soumis Amabalar au Château – Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumis Amabalar au Château – Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE)
soumis Amabalar au Château – Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE) - (suite de l'épisode N°1380) -
- Votre chien est prêt, Monsieur le Marquis… - Merci, mon cher Walter- Chers amis, nous allons pouvoir commencer le dressage de ce chien
Monsieur le Marquis d’Evans se lève et s’approche de mon visage, moi qui suis toujours à quatre pattes sur la table basse, les chevilles solidement attachées aux quatre pieds. Je me trouve ainsi à la hauteur de sa ceinture et j’imagine que c’est maintenant que ma punition va réellement commencer. Le Maître ouvre Son pantalon et exhibe une belle verge de forte taille, saillante, bien veinée, au gland violacé et déjà droite.
- Regarde bien Mon Vit, bien dressé pour toi. Regarde bien mon gland, aussi, m’ordonne le Maître.
En effet, Monsieur le Marquis a une verge de taille fort respectable, longue et épaisse. Un gland impressionnant, violacé de sang d’un volumineux diamètre.
- Je vais maintenant te dépuceler du cul, t’enculer, te perforer l’anus bien serré avec Mon Noble gland. Tu vas sentir ensuite toute la longueur et l’épaisseur de Ma verge, jusqu’à ce que tu sentes mes couilles buter contre tes fesses, ce qui sera signe d’une saillie totale, profonde, jusqu’à la garde... Alors, non seulement Valérie sera vengée, mais surtout, tu M’appartiendras définitivement, chien Amabalar... Et tu vivras uniquement pour Me servir et Me satisfaire, ce sera ton seul et unique bonheur …- Oui Maître, m’entendis-je dire dans un mélange de bonheur inouï et d’excitation folle et que jamais j’aurai soupçonné- Tout est prêt, Walter ?
- Oui, Monsieur le Marquis
Devant l’imminence de mon dressage par le dépucelage de mon cul, je ne porte pas attention à ce que fait Walter. Monsieur Le Marquis me contourne et se retrouve devant mon fessier. Le Noble, pose alors Sa verge sur le haut de ma raie anale de chien soumis. Je sens ensuite mes fesses s’écarter, laissant le passage à la Verge du Châtelain, qui s’arrête sur mon œillet étroit. Le contact du gland du Maître sur mon anus m’excite tellement que je sens ma bite se tendre de nouveau. Ce que ne manque pas de faire remarquer Coralie et Charles, les amis de Monsieur le Marquis.
- Regarde, Valérie, comme ton mari est excité de cette proche saillie anale, un vrai soumis avec une nouille de chien
Je sais que je vais me faire prendre par le cul, attaché, sans pouvoir bouger, juste subir. Et je pense que secrètement, c’est ce que je veux, être pénétré comme une salope, possédé comme une femelle, pris profondément, besogné à grands coups de reins sinon je ne serai pas dans cet état d’excitation, en forte érection. Le Maître m’agrippe et me maintient fermement par les hanches de Ses mains puissantes et commence à pousser. Je sens Son gland entrer et me pénétrer de plus en plus. Monsieur Le Marquis pousse plus fort encore. Je sens mon anus s’élargir acceptant d’être forcé, il s’ouvre de plus en plus et je me sens m’écarté le plus possible pour faciliter cette enculade qui me fait bander comme un fou. Je suis en train de me faire dépuceler et ça me met un barreau d’enfer ! Mon cul s’ouvre encore plus, je sens le gland qui m’entre dedans, il me semble énorme. J’ouvre la bouche sans pouvoir dire un mot. Cela devient douloureux mais paradoxalement délicieux en sensations. Il continue d’avancer, je me détends pour m’ouvrir plus, j’ai envie qu’il passe, je souhaite m’offrir, donner mon corps à ce Dominant si charismatique, j’en jouirai presque…. Je ne peux m’ouvrir plus et pourtant Monsieur le Marquis pousse encore. Sans relâche, sans s’occuper de moi, je ne suis plus qu’un objet, Son objet, une chose, Sa chose, un trou à bite, Son trou à bite, Son vide-couilles… Je suis devenu en cet instant un véritable soumis, un vrai chien et ça me rend tellement heureux, qu’un incroyable bien-être m’envahit. D’un coup sec des hanches, ponctué d’un puissant ‘‘han !’’ Monsieur le Marquis force définitivement mon anus, qui finit de s’ouvrir d’un coup en entier et se referme ensuite légèrement sur Sa hampe. Le gland est passé. Par ce dernier coup, soudain, je laisse échapper un cri quasi jouissif ‘‘aaah…’’
- Tais-toi ! Amabalar, le chien… Quelle sensation mes amis ! Il n’y a pas mieux qu’un joli petit cul serré autour de Ma verge. C’est un véritable plaisir de Dominant que de prendre un nouveau soumis qui ne demande qu’à se faire prendre … Et vous verrez comme il va y prendre goût, au point que de se faire saillir par Ma verge, sera pour lui, une véritable récompense, un bonheur inouï, un réel objectif de sa vie de soumis à Mes pieds…
Monsieur le Marquis entreprend de me déculer, il ressort d’un coup Son gland de mes fesses. Je pousse un cri de douleur et de surprise...
- Puisque tu ne veux pas te taire, soumis Amabalar, Nous allons faire autrement. Charles, Mon ami, pouvez-vous empêcher ce chien de parler ?
- Oh ! Cher Marquis avec le plus grand des plaisirs.
Monsieur Charles s’approche alors de moi, de mon visage. Il baisse son pantalon et laisse apparaître une bite de taille tout aussi respectable que celle du Maître. Il se positionne devant mon visage.
- Ouvre ta bouche, le chien !…
Je comprends très vite et j’ouvre la bouche qui est aussitôt remplie de son gland, suivi de sa hampe jusqu’à ma gorge.
- Voilà, cher Monsieur le Marquis, il ne parlera plus ainsi….
- Très bien, alors recommençons et sans bruit cette fois, exigea le Noble
Le sexe de Monsieur Charles me remplit la bouche, je ne sais comment mettre ma langue tellement il est gros, ni quoi faire. C’est la première fois que j’ai une queue dans la bouche. A ce moment, le Châtelain pousse brutalement et me pénètre en une seule fois, d’un coup puissant, d’un seul, rapide et profond. Entrée brutale, douloureuse mais mes cris sont étouffés par l’autre bite encombrant ma bouche.
- Alors ma chère Valérie, comment trouves-tu ton mari, ainsi possédé par ses deux orifices ?, s’enquit Monsieur le Marquis- Vu d’ici, avec vous deux de chaque côté, une grosse bite dans chaque trou de ma lope de mari, c’est un véritable embrochement qu’il subit, cher Edouard. Un véritable plaisir visuel, un magnifique spectacle qui me ravit de voir mon mari ainsi embroché. Il est vraiment bien pris, comme il faut. Et à voir la forme de sa nouille, à l’évidence, il apprécie aussi. Mon mari est devenu une véritable lopette ! Et qu’il est bon de savourer son état de docilité et servitude ! Me voilà bien vengée ! Tout ça, m’excite !, répond Valérie
Monsieur le Marquis commence alors à faire des va-et-vient dans mes entrailles. En même temps, Monsieur Charles fait de même avec ma bouche. Je mesure la longueur et l’épaisseur imposante de ses deux sexes qui vont simultanément et en rythme au plus profond de moi. Je suis possédé jusqu’aux couilles qui me touchent les fesses du côté anal et jusqu’au fond de ma gorge pour le côté buccal. Les va-et-vient sont synchronisés, je suis doublement et virilement baisé. Je me sens impuissant, totalement soumis. Les deux maîtres accélèrent jusqu’à se raidir encore plus, durcir, grossir. Le traitement dure un bon quart d’heure quand je reçois quantité de jets épais et saccadés de semence de leurs énormes sexes dans mes entrailles et au fond de ma gorge, quasi en même temps et dans des râles de mâles en rut… Puis ils se retirent me laissant avec mes trous béants dégoulinant de sperme.
- Sache bien, Charles, que je n’accorde ce privilège de la double jouissance sur un soumis qu’à mes véritables amis dont tu fais partie- C’est un grand honneur que vous me faîtes de me compter parmi vos amis, Monsieur le Marquis- chienne Lucie, occupes toi de ce chien, qu’il soit en forme et présentable pour tout à l’heure. Pas de plug, je veux que son joli petit cul se referme, ordonna le Noble à Son esclave femelle tout en lui claquant des doigts et ponctué par une claque sur mes fesses...- Quant à toi, tu n’oublies rien, le chien ?
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, répondis-je naturellement !
Je comprends alors que mon dressage, ma punition ne sont pas terminés. chienne Lucie me détache et m’emmène à l’écart. Monsieur de Marquis rejoint ses Invités.
- Alors très chère Valérie, satisfaite de l’inversion de ta lopette de mari ? interrogea le Noble- Ah pour ça oui. Je ne pouvais espérer mieux, Cher Edouard, mais j’avais confiance en tes qualités de Maître et je ne doutais pas du résultat !
Monsieur le Marquis se retourne vers son Majordome :
- Walter, quels sont les résultats ?
- Mes amis Charles et Coralie et toi Valérie, il faut que je vous dise que ce dépucelage anal a été transmis en vidéo direct par Walter sur un réseau crypté privé que j’ai créé avec un groupe d’amis triés sur le volet. Elles et ils ont tout vu en direct. Les résultats nous donneront une idée de la qualité de ce chien à éduquer. Aller Walter, dis-nous !
- Voilà, Monsieur le Marquis, quarante personnes ont suivi ce dépucelage. Douze ont fait des demandes d’inscriptions pour demain samedi. Ou plutôt six groupes de deux.
- Merci Walter. Donc, six duos vont venir demain pour embrocher Amabalar ton chien-lopette de mari
Monsieur le Marquis parait satisfait de cette première en vidéo.
- Fêtons ce brillant résultat, levons nos verres de Dom Pérignon à ce soumis prometteur.
Le Noble, Charles, Coralie et Valérie portèrent un toast en imaginant ce que sera demain pour le chien Amabalar.
- Tu avais l’air bien excitée, s’exclame le Châtelain en se retournant vers Valérie - Oh, ça oui, Cher Edouard, tu sais, je n’ai jamais été aussi mouillée de ma vie.
- Et qu’est-ce qui t’a tellement excitée ? De voir ton mari se soumettre et se faire prendre par deux hommes ?
- Oui beaucoup bien sûr … Mais pas que… je …, dit-elle en baissant la tête- … ‘Mais pas que’… quoi, aussi ?, coupa le Noble - Eh bien, c’est … c’est difficile à avouer, je …, dit-elle en baissant cette fois les yeux- Inutile d’en dire plus, ton visage, tes réactions, ton excitation sont un véritable livre ouvert… Alors écarte tes cuisses, salope !, rebondit le Noble en fixant Valérie dans les yeux.
Son regard calme mais glacial la fige sur place, bouche bée, dans l’incapacité de prononcer un mot. Le ton de Monsieur le Marquis est froid sans nuance
- Obéis !, j’ai dit !
Valérie, comme hypnotisée et l’excitation aidant, écarte lentement ses cuisses, balançant entre la crainte, la honte d’avouer ce qu’elle ressent à ce moment-là, et le plaisir excitant de la situation. Elle se sent comme une chienne en chaleur au fond d’elle-même, avec ce qu’elle vient de voir. Mais elle redoute de l’avouer à Monsieur le Marquis.
- C’est très bien, écarte encore plus, que Coralie vérifie que tu es bien trempée.
Aussitôt, Valérie referma brutalement ses cuisses…
- Je ne veux pas qu’elle me touche, je ne l’ai jamais été par une femme et je ne le désire pas, répondit Valérie expliquant ainsi son geste.
- Ah ! Ah ! Ah !, s’exclame Monsieur le Marquis en éclatant de rire !
- Ton comportement est inadmissible, c’est un manque flagrant de respect envers Ma noble lignée. Tu vas être punie immédiatement, petit salope de chienne, réplique le Maître.
Valérie tétanisée devant le ton employé baisse les yeux, et son visage s’empourpre comme par aveu de sa soumission.
- Je vois que tu as bien un tempérament de soumise. Je l’avais deviné. Alors, je vais te dire ce qui t’es si difficile à avouer ! Tu as amené ton mari ici pour te venger afin qu’il se soumette à Moi car tu savais, grâce à internet, avant de venir, ce que je suis, un Maître Dominant. Mais venger ton mari n’était pas ton seul objectif car même s’il t’a toujours été très difficile de te l’avouer à toi-même, être à la place de ton mari quand tu le voyais, là tantôt, se soumettre sous tes yeux, tu en rêves depuis bien longtemps. Oui, à l’évidence tu es une soumise en devenir et tes pulsions de soumission t’excitent grandement et cela sans même savoir ce que tu es profondément et depuis très longtemps. Peut-être même depuis toujours, car c’est ta Nature d’être ainsi. Alors venir ici a été pour toi une occasion inespérée de vivre également ta véritable Nature… Je me trompe ?
- Je … Oui… Non … Je … enfin … Oui Edouard, … Je l’avoue ... Tu as vu juste… mais…, répond-t-elle rouge comme une écrevisse et baissant la tête de honte- Mais n’en rougit pas, petite chienne en devenir ! La honte de ce que l’on est, n’existe pas dans notre monde D/s, il existe dans cette société dite bienpensante, mais pas ici ! Avec Moi, tu vas avoir cette chance de t’assumer pleinement sans honte, ni crainte. Tu vas pouvoir vivre ta véritable Nature, tout simplement, sauf bien entendu si tu souhaites ne pas franchir le cap et dans ce cas-là, on en parle plus... Mais je doute que ce soit le cas, car, encore une fois, j’ai vite deviné les vraies raisons de ta présence ici … Tu as donc 1 minute pour te décider : Soit tu avances au milieu de la pièce et attend Mes ordres, soit tu quittes la pièce tout de suite et on oublie cette conversation et je m’occuperai uniquement de ta lopette de mari …
Valérie ne bouge pas et les pensées dans son cerveau s’activent à vitesse grand V. Mille questions lui viennent en tête … Mais elle comprend très vite que son ami de collège, le Noble, a deviné très exactement ce qu’elle ressent, ce qu’elle est par Nature … Et il aurait été trop stupide de ne pas saisir cette incroyable main que lui tend le Châtelain… Alors la minute n’est pas terminée qu’elle s’avance au milieu de la pièce la tête baissée, les mains derrière le dos… Alors Monsieur le Marquis lui dit d’un ton ferme, mais calme :
- Parfait, je vois que tu as compris la chance que je t’offre, de vivre ta soumission qui sommeille depuis trop longtemps, en toi … A partir de cet instant, terminé le tutoiement du copain de collège à Mon égard, et plus de ‘Edouard’… Dorénavant, tu Me vouvoies et tu M’appelles Maître …
(A suivre…)
- Votre chien est prêt, Monsieur le Marquis… - Merci, mon cher Walter- Chers amis, nous allons pouvoir commencer le dressage de ce chien
Monsieur le Marquis d’Evans se lève et s’approche de mon visage, moi qui suis toujours à quatre pattes sur la table basse, les chevilles solidement attachées aux quatre pieds. Je me trouve ainsi à la hauteur de sa ceinture et j’imagine que c’est maintenant que ma punition va réellement commencer. Le Maître ouvre Son pantalon et exhibe une belle verge de forte taille, saillante, bien veinée, au gland violacé et déjà droite.
- Regarde bien Mon Vit, bien dressé pour toi. Regarde bien mon gland, aussi, m’ordonne le Maître.
En effet, Monsieur le Marquis a une verge de taille fort respectable, longue et épaisse. Un gland impressionnant, violacé de sang d’un volumineux diamètre.
- Je vais maintenant te dépuceler du cul, t’enculer, te perforer l’anus bien serré avec Mon Noble gland. Tu vas sentir ensuite toute la longueur et l’épaisseur de Ma verge, jusqu’à ce que tu sentes mes couilles buter contre tes fesses, ce qui sera signe d’une saillie totale, profonde, jusqu’à la garde... Alors, non seulement Valérie sera vengée, mais surtout, tu M’appartiendras définitivement, chien Amabalar... Et tu vivras uniquement pour Me servir et Me satisfaire, ce sera ton seul et unique bonheur …- Oui Maître, m’entendis-je dire dans un mélange de bonheur inouï et d’excitation folle et que jamais j’aurai soupçonné- Tout est prêt, Walter ?
- Oui, Monsieur le Marquis
Devant l’imminence de mon dressage par le dépucelage de mon cul, je ne porte pas attention à ce que fait Walter. Monsieur Le Marquis me contourne et se retrouve devant mon fessier. Le Noble, pose alors Sa verge sur le haut de ma raie anale de chien soumis. Je sens ensuite mes fesses s’écarter, laissant le passage à la Verge du Châtelain, qui s’arrête sur mon œillet étroit. Le contact du gland du Maître sur mon anus m’excite tellement que je sens ma bite se tendre de nouveau. Ce que ne manque pas de faire remarquer Coralie et Charles, les amis de Monsieur le Marquis.
- Regarde, Valérie, comme ton mari est excité de cette proche saillie anale, un vrai soumis avec une nouille de chien
Je sais que je vais me faire prendre par le cul, attaché, sans pouvoir bouger, juste subir. Et je pense que secrètement, c’est ce que je veux, être pénétré comme une salope, possédé comme une femelle, pris profondément, besogné à grands coups de reins sinon je ne serai pas dans cet état d’excitation, en forte érection. Le Maître m’agrippe et me maintient fermement par les hanches de Ses mains puissantes et commence à pousser. Je sens Son gland entrer et me pénétrer de plus en plus. Monsieur Le Marquis pousse plus fort encore. Je sens mon anus s’élargir acceptant d’être forcé, il s’ouvre de plus en plus et je me sens m’écarté le plus possible pour faciliter cette enculade qui me fait bander comme un fou. Je suis en train de me faire dépuceler et ça me met un barreau d’enfer ! Mon cul s’ouvre encore plus, je sens le gland qui m’entre dedans, il me semble énorme. J’ouvre la bouche sans pouvoir dire un mot. Cela devient douloureux mais paradoxalement délicieux en sensations. Il continue d’avancer, je me détends pour m’ouvrir plus, j’ai envie qu’il passe, je souhaite m’offrir, donner mon corps à ce Dominant si charismatique, j’en jouirai presque…. Je ne peux m’ouvrir plus et pourtant Monsieur le Marquis pousse encore. Sans relâche, sans s’occuper de moi, je ne suis plus qu’un objet, Son objet, une chose, Sa chose, un trou à bite, Son trou à bite, Son vide-couilles… Je suis devenu en cet instant un véritable soumis, un vrai chien et ça me rend tellement heureux, qu’un incroyable bien-être m’envahit. D’un coup sec des hanches, ponctué d’un puissant ‘‘han !’’ Monsieur le Marquis force définitivement mon anus, qui finit de s’ouvrir d’un coup en entier et se referme ensuite légèrement sur Sa hampe. Le gland est passé. Par ce dernier coup, soudain, je laisse échapper un cri quasi jouissif ‘‘aaah…’’
- Tais-toi ! Amabalar, le chien… Quelle sensation mes amis ! Il n’y a pas mieux qu’un joli petit cul serré autour de Ma verge. C’est un véritable plaisir de Dominant que de prendre un nouveau soumis qui ne demande qu’à se faire prendre … Et vous verrez comme il va y prendre goût, au point que de se faire saillir par Ma verge, sera pour lui, une véritable récompense, un bonheur inouï, un réel objectif de sa vie de soumis à Mes pieds…
Monsieur le Marquis entreprend de me déculer, il ressort d’un coup Son gland de mes fesses. Je pousse un cri de douleur et de surprise...
- Puisque tu ne veux pas te taire, soumis Amabalar, Nous allons faire autrement. Charles, Mon ami, pouvez-vous empêcher ce chien de parler ?
- Oh ! Cher Marquis avec le plus grand des plaisirs.
Monsieur Charles s’approche alors de moi, de mon visage. Il baisse son pantalon et laisse apparaître une bite de taille tout aussi respectable que celle du Maître. Il se positionne devant mon visage.
- Ouvre ta bouche, le chien !…
Je comprends très vite et j’ouvre la bouche qui est aussitôt remplie de son gland, suivi de sa hampe jusqu’à ma gorge.
- Voilà, cher Monsieur le Marquis, il ne parlera plus ainsi….
- Très bien, alors recommençons et sans bruit cette fois, exigea le Noble
Le sexe de Monsieur Charles me remplit la bouche, je ne sais comment mettre ma langue tellement il est gros, ni quoi faire. C’est la première fois que j’ai une queue dans la bouche. A ce moment, le Châtelain pousse brutalement et me pénètre en une seule fois, d’un coup puissant, d’un seul, rapide et profond. Entrée brutale, douloureuse mais mes cris sont étouffés par l’autre bite encombrant ma bouche.
- Alors ma chère Valérie, comment trouves-tu ton mari, ainsi possédé par ses deux orifices ?, s’enquit Monsieur le Marquis- Vu d’ici, avec vous deux de chaque côté, une grosse bite dans chaque trou de ma lope de mari, c’est un véritable embrochement qu’il subit, cher Edouard. Un véritable plaisir visuel, un magnifique spectacle qui me ravit de voir mon mari ainsi embroché. Il est vraiment bien pris, comme il faut. Et à voir la forme de sa nouille, à l’évidence, il apprécie aussi. Mon mari est devenu une véritable lopette ! Et qu’il est bon de savourer son état de docilité et servitude ! Me voilà bien vengée ! Tout ça, m’excite !, répond Valérie
Monsieur le Marquis commence alors à faire des va-et-vient dans mes entrailles. En même temps, Monsieur Charles fait de même avec ma bouche. Je mesure la longueur et l’épaisseur imposante de ses deux sexes qui vont simultanément et en rythme au plus profond de moi. Je suis possédé jusqu’aux couilles qui me touchent les fesses du côté anal et jusqu’au fond de ma gorge pour le côté buccal. Les va-et-vient sont synchronisés, je suis doublement et virilement baisé. Je me sens impuissant, totalement soumis. Les deux maîtres accélèrent jusqu’à se raidir encore plus, durcir, grossir. Le traitement dure un bon quart d’heure quand je reçois quantité de jets épais et saccadés de semence de leurs énormes sexes dans mes entrailles et au fond de ma gorge, quasi en même temps et dans des râles de mâles en rut… Puis ils se retirent me laissant avec mes trous béants dégoulinant de sperme.
- Sache bien, Charles, que je n’accorde ce privilège de la double jouissance sur un soumis qu’à mes véritables amis dont tu fais partie- C’est un grand honneur que vous me faîtes de me compter parmi vos amis, Monsieur le Marquis- chienne Lucie, occupes toi de ce chien, qu’il soit en forme et présentable pour tout à l’heure. Pas de plug, je veux que son joli petit cul se referme, ordonna le Noble à Son esclave femelle tout en lui claquant des doigts et ponctué par une claque sur mes fesses...- Quant à toi, tu n’oublies rien, le chien ?
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, répondis-je naturellement !
Je comprends alors que mon dressage, ma punition ne sont pas terminés. chienne Lucie me détache et m’emmène à l’écart. Monsieur de Marquis rejoint ses Invités.
- Alors très chère Valérie, satisfaite de l’inversion de ta lopette de mari ? interrogea le Noble- Ah pour ça oui. Je ne pouvais espérer mieux, Cher Edouard, mais j’avais confiance en tes qualités de Maître et je ne doutais pas du résultat !
Monsieur le Marquis se retourne vers son Majordome :
- Walter, quels sont les résultats ?
- Mes amis Charles et Coralie et toi Valérie, il faut que je vous dise que ce dépucelage anal a été transmis en vidéo direct par Walter sur un réseau crypté privé que j’ai créé avec un groupe d’amis triés sur le volet. Elles et ils ont tout vu en direct. Les résultats nous donneront une idée de la qualité de ce chien à éduquer. Aller Walter, dis-nous !
- Voilà, Monsieur le Marquis, quarante personnes ont suivi ce dépucelage. Douze ont fait des demandes d’inscriptions pour demain samedi. Ou plutôt six groupes de deux.
- Merci Walter. Donc, six duos vont venir demain pour embrocher Amabalar ton chien-lopette de mari
Monsieur le Marquis parait satisfait de cette première en vidéo.
- Fêtons ce brillant résultat, levons nos verres de Dom Pérignon à ce soumis prometteur.
Le Noble, Charles, Coralie et Valérie portèrent un toast en imaginant ce que sera demain pour le chien Amabalar.
- Tu avais l’air bien excitée, s’exclame le Châtelain en se retournant vers Valérie - Oh, ça oui, Cher Edouard, tu sais, je n’ai jamais été aussi mouillée de ma vie.
- Et qu’est-ce qui t’a tellement excitée ? De voir ton mari se soumettre et se faire prendre par deux hommes ?
- Oui beaucoup bien sûr … Mais pas que… je …, dit-elle en baissant la tête- … ‘Mais pas que’… quoi, aussi ?, coupa le Noble - Eh bien, c’est … c’est difficile à avouer, je …, dit-elle en baissant cette fois les yeux- Inutile d’en dire plus, ton visage, tes réactions, ton excitation sont un véritable livre ouvert… Alors écarte tes cuisses, salope !, rebondit le Noble en fixant Valérie dans les yeux.
Son regard calme mais glacial la fige sur place, bouche bée, dans l’incapacité de prononcer un mot. Le ton de Monsieur le Marquis est froid sans nuance
- Obéis !, j’ai dit !
Valérie, comme hypnotisée et l’excitation aidant, écarte lentement ses cuisses, balançant entre la crainte, la honte d’avouer ce qu’elle ressent à ce moment-là, et le plaisir excitant de la situation. Elle se sent comme une chienne en chaleur au fond d’elle-même, avec ce qu’elle vient de voir. Mais elle redoute de l’avouer à Monsieur le Marquis.
- C’est très bien, écarte encore plus, que Coralie vérifie que tu es bien trempée.
Aussitôt, Valérie referma brutalement ses cuisses…
- Je ne veux pas qu’elle me touche, je ne l’ai jamais été par une femme et je ne le désire pas, répondit Valérie expliquant ainsi son geste.
- Ah ! Ah ! Ah !, s’exclame Monsieur le Marquis en éclatant de rire !
- Ton comportement est inadmissible, c’est un manque flagrant de respect envers Ma noble lignée. Tu vas être punie immédiatement, petit salope de chienne, réplique le Maître.
Valérie tétanisée devant le ton employé baisse les yeux, et son visage s’empourpre comme par aveu de sa soumission.
- Je vois que tu as bien un tempérament de soumise. Je l’avais deviné. Alors, je vais te dire ce qui t’es si difficile à avouer ! Tu as amené ton mari ici pour te venger afin qu’il se soumette à Moi car tu savais, grâce à internet, avant de venir, ce que je suis, un Maître Dominant. Mais venger ton mari n’était pas ton seul objectif car même s’il t’a toujours été très difficile de te l’avouer à toi-même, être à la place de ton mari quand tu le voyais, là tantôt, se soumettre sous tes yeux, tu en rêves depuis bien longtemps. Oui, à l’évidence tu es une soumise en devenir et tes pulsions de soumission t’excitent grandement et cela sans même savoir ce que tu es profondément et depuis très longtemps. Peut-être même depuis toujours, car c’est ta Nature d’être ainsi. Alors venir ici a été pour toi une occasion inespérée de vivre également ta véritable Nature… Je me trompe ?
- Je … Oui… Non … Je … enfin … Oui Edouard, … Je l’avoue ... Tu as vu juste… mais…, répond-t-elle rouge comme une écrevisse et baissant la tête de honte- Mais n’en rougit pas, petite chienne en devenir ! La honte de ce que l’on est, n’existe pas dans notre monde D/s, il existe dans cette société dite bienpensante, mais pas ici ! Avec Moi, tu vas avoir cette chance de t’assumer pleinement sans honte, ni crainte. Tu vas pouvoir vivre ta véritable Nature, tout simplement, sauf bien entendu si tu souhaites ne pas franchir le cap et dans ce cas-là, on en parle plus... Mais je doute que ce soit le cas, car, encore une fois, j’ai vite deviné les vraies raisons de ta présence ici … Tu as donc 1 minute pour te décider : Soit tu avances au milieu de la pièce et attend Mes ordres, soit tu quittes la pièce tout de suite et on oublie cette conversation et je m’occuperai uniquement de ta lopette de mari …
Valérie ne bouge pas et les pensées dans son cerveau s’activent à vitesse grand V. Mille questions lui viennent en tête … Mais elle comprend très vite que son ami de collège, le Noble, a deviné très exactement ce qu’elle ressent, ce qu’elle est par Nature … Et il aurait été trop stupide de ne pas saisir cette incroyable main que lui tend le Châtelain… Alors la minute n’est pas terminée qu’elle s’avance au milieu de la pièce la tête baissée, les mains derrière le dos… Alors Monsieur le Marquis lui dit d’un ton ferme, mais calme :
- Parfait, je vois que tu as compris la chance que je t’offre, de vivre ta soumission qui sommeille depuis trop longtemps, en toi … A partir de cet instant, terminé le tutoiement du copain de collège à Mon égard, et plus de ‘Edouard’… Dorénavant, tu Me vouvoies et tu M’appelles Maître …
(A suivre…)
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