soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°570)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°570)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°570) -
La suite allait être encore bien perverse pour l’esclave Mâle MDE… En effet, un garde arriva, le même qui était venu assister le Maître quelques instants auparavant. Il était lourdement chargé. Il posa une imposante machine face au cul exposé de soumis Endymion MDE, il fixa un gode d’une bonne dimension au bout d’une tige métallique, puis le lubrifia. Sans aucun ménagement, il glissa ensuite, deux doigts dans le cul heureusement déjà bien dilaté de l’esclave mâle MDE et appliqua soigneusement une graisse épaisse sur ses sphincters. Il vérifia le bon alignement de la tige métallique, ajusta le gode sur l’anus de l’esclave mâle MDE et lança le moteur pneumatique de la machine. Le chien soumis MDE sentit alors son fondement se faire envahir profondément, jusqu’à ce que ce pieu de latex cogne au fond de son rectum, mais déjà il se retirait pour l’envahir de nouveau dans une régularité parfaite tel un métronome. Le mouvement était lent, mais terriblement pénétrant, le chien soumis MDE gémissait au rythme de ces longues pénétrations, sa queue jusqu’ici molle se redressa subitement, tant l’excitation de la pénétration anale lui procurait un plaisir jouissif puissant et subite. Madame Ella s’intéressait désormais aux couilles de l’esclave MDE. Elle avait pris une fine cordelette, la noua à la base du sac à foutre du chien soumis, puis le fit passer entre ses deux couilles pour bien les séparer.
Madame Ella joua quelques instants avec ces deux grosses noisettes et la peau très tendue de son scrotum, tout en posant un vicieux regard sur ce chien soumis totalement offert. Avec dextérité, elle empaqueta chacune des couilles, comme si elle ficelait un rôti créant une inexorable tension sur celles-ci. Elle arrêta la machine à enculer, alors que le gode était enfoui aux plus profonds des entrailles du chien soumis, attacha en le tendant au maximum, l’extrémité du lien ayant servi à attacher les couilles de soumis Endymion MDE à la tige métallique de la machine puis remis en marche le mécanisme. La perversité avait atteint son paroxysme. Lorsque le gode s’échappait du cul du chien soumis MDE, ses couilles étaient étirées d’une quinzaine de centimètres, créant une tension sur celles-ci difficilement supportable. Pourtant soumis Endymion MDE bandait encore mieux à ce traitement, sa queue avait retrouvé une belle dimension, la douleur avait un effet incroyable sur l’excitation du chien soumis et surtout du masochiste qu’il était. Jamais il n’aurait pu imaginer ça avant ces expériences sadomasochistes ! Progressivement la vitesse de pénétration augmenta, mais la profondeur restait la même, soumis Endymion MDE se faisait défoncer et étirer les couilles à chaque va et vient et donc en même temps dans une cadence de plus en plus rapide, lui arrachant chaque fois de longs gémissements autant plaintifs que jouissifs.
- C’est bon le chien ! lança Madame Ella vicieusement.
Oh que oui c’était bon ! Tellement bon que soumis Endymion MDE ne put répondre. Il haletait sauvagement. Il était à bout de souffle, comme s’il jouissait du cul, et plus il anhélait, plus il était excité, il se voyait sur ce lit tenu fermement, incapable de bouger contraint à la douleur et au plaisir, en même temps … il n’était plus qu’une belle lope en chaleur. Madame Ella avait encore une terrible envie d’asservir un peu plus encore ce mâle, elle lui posa un bandeau sur les yeux et lui mit un casque audio sur les oreilles. Privé de la vue et de l’ouïe, le chien soumis MDE pouvait un peu plus encore se concentrer sur ces sensations extraordinaires et sur cette dilation anale forcée. Pour le contraindre encore plus, Madame Ella fixa un bâillon-boule dans sa bouche, la lui maintenant ainsi grande ouverte ! … Les minutes passèrent ainsi et soumis Endymion MDE s’imaginait seul maintenant, bien sûr, il ne pouvait en être certain, mais pouvait-il savoir si Madame Ella avait quitté les lieux ! Car il était toujours plongé dans le noir et le silence le plus absolu, seuls ressentis perçus : Cette camisole qui le compressait avec force, ce gode de latex l’enfournant à forte cadence, inlassablement et si profondément, cet étirement incessant de ses couilles meurtries, ces contractures douloureuses au niveau de ses épaules et surtout le plus sublime des ressentis du masochiste qu’il était en puissance : Ce divin mélange de douleur et de plaisirs excitants…. Depuis combien de temps était-il ainsi… Il ne se posait même plus la question tant il savourait tous ces ressentis, quand tout d’un coup il sursauta, enfin comme il put…! Lorsqu’il entendit une douce musique sortir du casque audio qu’il portait sur les oreilles, certainement du Mozart, à ne pas douter ! Qu’est-ce que Madame Ella avait imaginé encore ? Mais très vite cette musique devint inaudible, très vite elle fut remplacée par une voix, une voix qui lui était très proche, une voix qu’il reconnaissait tout de suite et pour cause …
- Maître, je souhaite de tout mon être devenir Votre chien-mâle soumis MDE, éduquez-moi, dressez-moi ardemment, comme vous l’exigez, Votre Volonté est ma liberté, Vos résolutions mes désirs, Vos décisions mes plaisirs !
Cette voix n’était rien d’autre que la sienne !… Cette phrase, soumis Endymion MDE avait sans doute du la prononcer devant le Maître, mais quand exactement, dans quel contexte ? Il ne s’en souvenait plus, mais à ce moment-là, sa voix avait été enregistrée. Aujourd’hui, elle résonnait d’avantage, elle prenait une autre dimension, alors qu’il était contraint et forcé, alors qu’il souffrait maintenant autant qu’il jouissait mentalement du traitement imposé. Elle était répétée sans cesse, elle tournait en boucle, comme si le chien soumis devait se l’approprier définitivement. Elle était répétée encore et encore lorsque le cul du chien soumis MDE fut libéré, lorsqu’une main tâtait et tirait fermement sur ses couilles, elles aussi libérées, comme pour vérifier leur souplesse et élasticité ! Le volume dans le casque audio fut quelque peu augmenté, le son était d’une pureté parfaitement extraordinaire. Maintenant, on lui badigeonnait son prépuce, son gland, ses couilles et son anus d’une crème très froide au départ, qui se réchauffa très rapidement, avec ces massages incessant sur ses génitaux à en devenir une chaleur presque insupportable, insoutenable et cette douleur l’excitait grandement… Le chien soumis MDE cherchait à se débattre, en vain bien sûr, et pour cause… et toujours cette phrase récurrente et si présente à chaque instant « … éduquez-moi, dressez-moi ardemment, comme vous l’exigez, Votre Volonté est ma liberté, Vos résolutions mes désirs, Vos décisions mes plaisirs ! » … La douleur était-elle qu’on pourrait se demander s’il allait regretter ses mots, ses propres mots ? … Mais aussi seul son plaisir inouï du masochiste peut nous faire penser au contraire !
Abasourdi, la bite triturée et le cul défoncé en feu, soumis Endymion MDE fut détaché et relevé, on lui ôta son bandeau, son bâillon-boule, et surtout le casque audio, mais point sa camisole de force. Il n’en pouvait plus d’entendre ses mots se répéter sans cesse, Il chancelait, titubait, tant il était ankylosé. Lorsqu’il se retrouva son équilibre, il vit debout devant lui, d’abord Madame Ella, puis un peu en retrait derrière elle, le Maître, Monsieur le Marquis, debout très droit, la tête haute et les bras croisés regardant le chien soumis , Son chien soumis MDE. Il prit la parole avec une grande solennité :
- Ici tous les mots prononcés par Mes esclaves sont toujours pris très au sérieux. Tu peux le constater par toi-même aujourd’hui. J’écoute et j’agis en conséquence. Te souvenais-tu de cette phrase prononcée peu de temps après ton arrivé ici au Château, Mon chien soumis?
- Non Maître- Tu vois, elle n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Je suis certain, désormais, que tu vas t’en souvenir, n’est-ce pas ?
- Oui Maître- Je suis sûr aussi que lorsque, sur Ma demande, tu me feras part de tes souhaits, tu mesureras attentivement tes propos !
- Oui Maître.
- Récite-moi donc cette phrase Mon chien.
Comble de l’horreur, soumis Endymion MDE eut bien du mal à restituer mot à mot précis et dans le bon ordre ses propres propos pourtant entendus cent fois peut être plus encore. Il fit une erreur en oubliant un mot et un autre mal placé dans la phrase à la place d’un autre, ce qui n’échappa au Maître.
- Non chien, tu intervertis désirs et plaisirs et tu as oublié le mot ‘ardemment’. Je suis donc contraint de te punir. L’étourderie à ce stade n’est plus acceptable, elle est même décevante de mon point de vue… Et me décevoir est la pire chose qu’il puisse t’arriver. Tu vas donc payer pour ton manque de concentration… Allonge-toi sur le lit, à plat ventre !
Le ton était plus que sévère ! Ce ne fut pas son fessier qui eut droit à la badine, mais ses dessous de pieds, cinq coups portés sur chacun avec force et détermination, par le Maître lui-même.
- Si tu bouges encore, tu en reçois dix supplémentaires.
Immobile, concentré, visage crispé, soumis Endymion MDE comprit que le temps de l’indulgence était bel et bien terminé, il accepta la sentence résigné, immobile, sachant que ce châtiment était juste et mérité. Et durant son châtiment sa nouille prenait du volume, en effet plus le Maître frappait le dessous de ses pieds, plus il criait sa douleur et plus il bandait fort…
(A suivre…)
La suite allait être encore bien perverse pour l’esclave Mâle MDE… En effet, un garde arriva, le même qui était venu assister le Maître quelques instants auparavant. Il était lourdement chargé. Il posa une imposante machine face au cul exposé de soumis Endymion MDE, il fixa un gode d’une bonne dimension au bout d’une tige métallique, puis le lubrifia. Sans aucun ménagement, il glissa ensuite, deux doigts dans le cul heureusement déjà bien dilaté de l’esclave mâle MDE et appliqua soigneusement une graisse épaisse sur ses sphincters. Il vérifia le bon alignement de la tige métallique, ajusta le gode sur l’anus de l’esclave mâle MDE et lança le moteur pneumatique de la machine. Le chien soumis MDE sentit alors son fondement se faire envahir profondément, jusqu’à ce que ce pieu de latex cogne au fond de son rectum, mais déjà il se retirait pour l’envahir de nouveau dans une régularité parfaite tel un métronome. Le mouvement était lent, mais terriblement pénétrant, le chien soumis MDE gémissait au rythme de ces longues pénétrations, sa queue jusqu’ici molle se redressa subitement, tant l’excitation de la pénétration anale lui procurait un plaisir jouissif puissant et subite. Madame Ella s’intéressait désormais aux couilles de l’esclave MDE. Elle avait pris une fine cordelette, la noua à la base du sac à foutre du chien soumis, puis le fit passer entre ses deux couilles pour bien les séparer.
Madame Ella joua quelques instants avec ces deux grosses noisettes et la peau très tendue de son scrotum, tout en posant un vicieux regard sur ce chien soumis totalement offert. Avec dextérité, elle empaqueta chacune des couilles, comme si elle ficelait un rôti créant une inexorable tension sur celles-ci. Elle arrêta la machine à enculer, alors que le gode était enfoui aux plus profonds des entrailles du chien soumis, attacha en le tendant au maximum, l’extrémité du lien ayant servi à attacher les couilles de soumis Endymion MDE à la tige métallique de la machine puis remis en marche le mécanisme. La perversité avait atteint son paroxysme. Lorsque le gode s’échappait du cul du chien soumis MDE, ses couilles étaient étirées d’une quinzaine de centimètres, créant une tension sur celles-ci difficilement supportable. Pourtant soumis Endymion MDE bandait encore mieux à ce traitement, sa queue avait retrouvé une belle dimension, la douleur avait un effet incroyable sur l’excitation du chien soumis et surtout du masochiste qu’il était. Jamais il n’aurait pu imaginer ça avant ces expériences sadomasochistes ! Progressivement la vitesse de pénétration augmenta, mais la profondeur restait la même, soumis Endymion MDE se faisait défoncer et étirer les couilles à chaque va et vient et donc en même temps dans une cadence de plus en plus rapide, lui arrachant chaque fois de longs gémissements autant plaintifs que jouissifs.
- C’est bon le chien ! lança Madame Ella vicieusement.
Oh que oui c’était bon ! Tellement bon que soumis Endymion MDE ne put répondre. Il haletait sauvagement. Il était à bout de souffle, comme s’il jouissait du cul, et plus il anhélait, plus il était excité, il se voyait sur ce lit tenu fermement, incapable de bouger contraint à la douleur et au plaisir, en même temps … il n’était plus qu’une belle lope en chaleur. Madame Ella avait encore une terrible envie d’asservir un peu plus encore ce mâle, elle lui posa un bandeau sur les yeux et lui mit un casque audio sur les oreilles. Privé de la vue et de l’ouïe, le chien soumis MDE pouvait un peu plus encore se concentrer sur ces sensations extraordinaires et sur cette dilation anale forcée. Pour le contraindre encore plus, Madame Ella fixa un bâillon-boule dans sa bouche, la lui maintenant ainsi grande ouverte ! … Les minutes passèrent ainsi et soumis Endymion MDE s’imaginait seul maintenant, bien sûr, il ne pouvait en être certain, mais pouvait-il savoir si Madame Ella avait quitté les lieux ! Car il était toujours plongé dans le noir et le silence le plus absolu, seuls ressentis perçus : Cette camisole qui le compressait avec force, ce gode de latex l’enfournant à forte cadence, inlassablement et si profondément, cet étirement incessant de ses couilles meurtries, ces contractures douloureuses au niveau de ses épaules et surtout le plus sublime des ressentis du masochiste qu’il était en puissance : Ce divin mélange de douleur et de plaisirs excitants…. Depuis combien de temps était-il ainsi… Il ne se posait même plus la question tant il savourait tous ces ressentis, quand tout d’un coup il sursauta, enfin comme il put…! Lorsqu’il entendit une douce musique sortir du casque audio qu’il portait sur les oreilles, certainement du Mozart, à ne pas douter ! Qu’est-ce que Madame Ella avait imaginé encore ? Mais très vite cette musique devint inaudible, très vite elle fut remplacée par une voix, une voix qui lui était très proche, une voix qu’il reconnaissait tout de suite et pour cause …
- Maître, je souhaite de tout mon être devenir Votre chien-mâle soumis MDE, éduquez-moi, dressez-moi ardemment, comme vous l’exigez, Votre Volonté est ma liberté, Vos résolutions mes désirs, Vos décisions mes plaisirs !
Cette voix n’était rien d’autre que la sienne !… Cette phrase, soumis Endymion MDE avait sans doute du la prononcer devant le Maître, mais quand exactement, dans quel contexte ? Il ne s’en souvenait plus, mais à ce moment-là, sa voix avait été enregistrée. Aujourd’hui, elle résonnait d’avantage, elle prenait une autre dimension, alors qu’il était contraint et forcé, alors qu’il souffrait maintenant autant qu’il jouissait mentalement du traitement imposé. Elle était répétée sans cesse, elle tournait en boucle, comme si le chien soumis devait se l’approprier définitivement. Elle était répétée encore et encore lorsque le cul du chien soumis MDE fut libéré, lorsqu’une main tâtait et tirait fermement sur ses couilles, elles aussi libérées, comme pour vérifier leur souplesse et élasticité ! Le volume dans le casque audio fut quelque peu augmenté, le son était d’une pureté parfaitement extraordinaire. Maintenant, on lui badigeonnait son prépuce, son gland, ses couilles et son anus d’une crème très froide au départ, qui se réchauffa très rapidement, avec ces massages incessant sur ses génitaux à en devenir une chaleur presque insupportable, insoutenable et cette douleur l’excitait grandement… Le chien soumis MDE cherchait à se débattre, en vain bien sûr, et pour cause… et toujours cette phrase récurrente et si présente à chaque instant « … éduquez-moi, dressez-moi ardemment, comme vous l’exigez, Votre Volonté est ma liberté, Vos résolutions mes désirs, Vos décisions mes plaisirs ! » … La douleur était-elle qu’on pourrait se demander s’il allait regretter ses mots, ses propres mots ? … Mais aussi seul son plaisir inouï du masochiste peut nous faire penser au contraire !
Abasourdi, la bite triturée et le cul défoncé en feu, soumis Endymion MDE fut détaché et relevé, on lui ôta son bandeau, son bâillon-boule, et surtout le casque audio, mais point sa camisole de force. Il n’en pouvait plus d’entendre ses mots se répéter sans cesse, Il chancelait, titubait, tant il était ankylosé. Lorsqu’il se retrouva son équilibre, il vit debout devant lui, d’abord Madame Ella, puis un peu en retrait derrière elle, le Maître, Monsieur le Marquis, debout très droit, la tête haute et les bras croisés regardant le chien soumis , Son chien soumis MDE. Il prit la parole avec une grande solennité :
- Ici tous les mots prononcés par Mes esclaves sont toujours pris très au sérieux. Tu peux le constater par toi-même aujourd’hui. J’écoute et j’agis en conséquence. Te souvenais-tu de cette phrase prononcée peu de temps après ton arrivé ici au Château, Mon chien soumis?
- Non Maître- Tu vois, elle n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Je suis certain, désormais, que tu vas t’en souvenir, n’est-ce pas ?
- Oui Maître- Je suis sûr aussi que lorsque, sur Ma demande, tu me feras part de tes souhaits, tu mesureras attentivement tes propos !
- Oui Maître.
- Récite-moi donc cette phrase Mon chien.
Comble de l’horreur, soumis Endymion MDE eut bien du mal à restituer mot à mot précis et dans le bon ordre ses propres propos pourtant entendus cent fois peut être plus encore. Il fit une erreur en oubliant un mot et un autre mal placé dans la phrase à la place d’un autre, ce qui n’échappa au Maître.
- Non chien, tu intervertis désirs et plaisirs et tu as oublié le mot ‘ardemment’. Je suis donc contraint de te punir. L’étourderie à ce stade n’est plus acceptable, elle est même décevante de mon point de vue… Et me décevoir est la pire chose qu’il puisse t’arriver. Tu vas donc payer pour ton manque de concentration… Allonge-toi sur le lit, à plat ventre !
Le ton était plus que sévère ! Ce ne fut pas son fessier qui eut droit à la badine, mais ses dessous de pieds, cinq coups portés sur chacun avec force et détermination, par le Maître lui-même.
- Si tu bouges encore, tu en reçois dix supplémentaires.
Immobile, concentré, visage crispé, soumis Endymion MDE comprit que le temps de l’indulgence était bel et bien terminé, il accepta la sentence résigné, immobile, sachant que ce châtiment était juste et mérité. Et durant son châtiment sa nouille prenait du volume, en effet plus le Maître frappait le dessous de ses pieds, plus il criait sa douleur et plus il bandait fort…
(A suivre…)
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