soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala) - (suite de l'épisode N°1356) - histoire érotique

soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala) - (suite de l'épisode N°1356) -
Je reste à Ses pieds, baisse la tête et essaie de me faire la plus petite possible... Je me sens vraiment comme un chien qui a fait une bêtise. Et cette réalité d’être si proche du vrai chien dans mes attitudes toutes plus canines à tous les niveaux, me fait encore plus mouiller augmentant ainsi mon excitation, et cela malgré la situation. Je n’ose pas bouger d’un millimètre. Si en virtuel, le regard bleu profond et Dominant du Maitre me transperçait, et me faisait même peur, en réel c’est beaucoup, mais beaucoup plus impressionnant. Et même si, tête baissée, je ne le vois pas, je le ressens sur moi, ce qui me fait rentrer ma tête encore plus dans mes épaules avec espoir de me faire encore la plus petite possible. Sans avoir le temps de comprendre, une gifle vient s’abattre sur ma joue droite avant que le Maitre prenne la parole, fermement, et froidement.

- Je le dirai qu’une seule fois Ma chienne, alors ouvre bien tes petites oreilles car je ne me répéterai pas. Je n’ai que faire dans Mon Cheptel d’une chienne qui vient troubler le silence et l’ambiance paisible de Mon Château. Donc si je décide que tu restes à ta niche, tu y resteras sans aboyer et sans geindre. Les seuls bruits pouvant perturber le silence de Mon Château, ce sont les cris d’une chienne qui se fait prendre et qui expriment son plaisir. Je veux être clair. Maintenant entre dans ta niche et tu pourras en ressortir seulement quand je serai rentré au Château…
Je me remets alors à quatre pattes et entre donc dans ma niche, pour en ressortir plus tard comme pour aller boire et manger dans mes gamelles mais seulement une fois certaine que le Maitre ne se trouve plus dehors.... Je ne sais pas quelle heure il est, mais il me semble qu’il soit assez tard, et le fait que je sois toujours dehors me fait dire que je dors ici, dans ma niche. Donc je vais me blottir au fond de celle-ci en position du chien de fusil, me couvre de la couverture et m’endors assez rapidement, la fatigue me gagnant… C’est le soleil levant du crépuscule matinal qui m’a réveillé le matin, c’est donc en chienne animale que je commence la journée en sortant de ma niche pour aller uriner dans l’herbe. A peine fini, que je vois des pieds devant moi. En relevant un peu la tête, je vois un homme, un black entièrement nu avec seulement un collier autour du cou et une large cage de chasteté à son sexe recouvrant aussi ses couilles. Je comprends alors que c’est un autre soumis du Maitre, il me sourit largement découvrant ses magnifiques dents blanches. Puis sans un seul mot, il s’accroupit et me caresse délicatement la tête, avant de détacher la chaîne à mon collier et de la remplacer par ma laisse. Me tapotant doucement le cuir chevelu, il s’exprime alors :
- Je vais t’emmener te nettoyer avant de voir le Maitre. Tu dois me suivre à quatre pattes sans lever la tête.

Tenue en laisse, j’évolue donc en quadrupédie pour suivre donc un des soumis-esclave du Maitre. Nous arrivons devant une porte dérobée que je n’avais pas encore vue et qui se trouve sur le côté gauche de la terrasse. Une fois franchie, je découvre une très grande salle de bain, équipée de toilettes. Le soumis-esclave du Maitre m’enlève mon plug et m’explique que j’ai 10 minutes pour me doucher, avant d’aller prendre le petit déjeuner.

L’esclave me mène devant un haut et long mur d’une dizaine de mètres entièrement carrelé de petits carreaux blanc, où sont accrochés en hauteur et environ tous les mètres, un pommeau de douche. Au sol, une simple dalle de béton froide avec une rigole bétonnée en pente douce pour l’évacuation de l’eau. L’esclave me dit de me redresser debout, face à lui, d’écarter largement les chevilles et cuisses puis de mettre mes mains sur la tête et de baisser celle-ci. Un court instant, j’hésite d’exhiber mon intimité ainsi devant lui, mais il me dit avec une extrême gentillesse qu’il a l’habitude de voir les chiennes et chiens du Maître en tenue d’Adam et Eve. Je comprends très vite que nous sommes, ici au Château, tous dénudés en tant que dominés et donc je n’ai aucune pudeur à avoir, avec une nudité toute Naturel à notre condition asservie... Il s’éloigne de moi. Alors que je pensais recevoir de l’eau sur la tête via le pommeau de douche, je vois l’esclave attraper à plusieurs mètres devant moi une sorte de lance à incendie qu’il déroule sur quelques mètres. Puis il actionne une manette afin de faire jaillir l’eau de la lance. Il dirige ensuite le jet sur moi, ce qui me surprend grandement surtout que l’eau est si froide que j’ai l’impression qu’elle est glacée. Je frissonne tellement de cette eau, qui agresse mon corps, que je mets instinctivement mes mains sur mes seins, sur mon sexe, les deux en alternance rapide, tout en me tortillant dans tous les sens en croisant les jambes sous l’effet de l’eau glacée, quand j’entends le soumis-esclave me dire d’une voix forte :
- Remet-toi vite dans la position que je t’ai dit et tourne-toi que je te lave ton dos et ton cul. Saches que tu es filmée par les caméras vidéo et tu verras bien plus tard ce que le Maître décidera comme punition quand il visionnera la vidéo de ta douche en voyant que tu as croisé tes jambes…
Frissonnante, j’obtempère au plus vite pour me mettre de dos face à lui. Le jet d’eau est plus supportable dans le dos, sur mes fesses et derrière mes jambes. Une fois fini, le soumis arrête le jet d’eau et me tend une grande serviette de bain afin que je puisse me sécher. Après cela et après aussi m’avoir remis mon plug queue de chienne dans mon anus, je le suis toujours en quadrupédie. Nous arrivons dans une des grandes salles des cuisines, où plusieurs gamelles sont posées par terre. Je comprends donc quand ce n’est pas en présence du Maitre, c’est ici que tous les soumis et soumises mangent. Chaque soumis à une gamelle d’eau ainsi qu’une de nourriture, ayant qu’un espace assez grand qui le (la) sépare d’un (e) autre soumis (se). Il reste très peu de soumis dans la salle qui n’ont pas fini de manger, ainsi qu’une soumise aux tétons annelés et qui nettoie. C’est une fois arrivée au fond de la pièce où se trouvent deux gamelles pleines qu’on s’arrête. Je comprends donc que c’est ici que je prendrai mon petit déjeuner. La première gamelle est remplie de céréale nourrissant avec du lait, et dans la deuxième de l’eau. Sachant qu’après ça, je vais voir le Maitre, je souhaite me dépêcher de manger pour y arriver plus vite, mais je me souviens que plus d’une fois en virtuelle, le Maitre a exigé que je mange doucement sans me presser, et que je mâche bien pour ma santé, pour une meilleure digestion. Je me doute que cette exigence et aussi d’actualité en réel, et je mange donc doucement, mais sans trop m’éterniser car le Maitre veux me voir en ce début de matinée…
Une autre demi-heure plus tard, nous sommes devant la double porte du bureau du Châtelain. Après avoir toqué et reçu l’autorisation nous entrons, moi toujours en quadrupédie toujours menée par le soumis de Monsieur le Marquis. Arrivée au milieu de la pièce, je vois le bout de ma laisse tomber par terre. Je me mets donc en position d’attente, à genoux, mes fesses ne touchant pas mes talons, et j’attends le bon vouloir du Maitre. Puis je vois le soumis se mettre en position prosternée juste à côté de moi. Un claquement de doigts subit et j’aperçois l’esclave mâle lécher les chaussures cirées du Noble. Cela dure un assez long moment. Je ne bouge pas d’un iota. Quand un autre claquement de doigts tout aussi subit résonne et l’esclave fait demi-tour sans un mot et quitte la pièce à quatre pattes…. Après peut-être 10 minutes, je ne sais pas exactement, j’entends de nouveau un claquement de doigts, je me dirige alors vers le Maitre à quatre pattes, quand il commence à me caresser la tête, et à me gratter derrière les oreilles, comme pour faire du bien à un chien, et j’attends donc ainsi à Ses pieds.

- Bonjour Ma petite putain en chaleurs. Tu ne vas pas tarder à rentrer chez toi, mais avant je vais t’enculer car j’aime trop prendre ton cul chaud et accueillant de salope. Et de bon matin, c’est le genre de choses qui me met de bonne humeur pour la journée ! Tu auras la chance de garder Ma semence en toi jusqu’à que tu rentres chez toi, et que tu te douches ce soir. Quand j’aurai fini mon Majordome Walter te raccompagnera à ta voiture, tu as interdiction de jouir, à partir de maintenant et ce jusqu’à que je le décide. Donc même cher toi, tu as l’interdiction absolue d’avoir un orgasme. J’attends de toi, un compte-rendu détaillé quand tu seras arrivée cher toi, Ma chienne. Maintenant, cul face à moi en levrette, Ma salope…
Sitôt dit, sitôt fait et c’est sans attendre que je sens, dans une forte poussée, la grosse verge du Maître s’enfoncer dans mon cul dès qu’il eut enlevé le plug. Je me fais donc enculer par le Noble à même le sol, à grands coups de reins puissants et sans ménagement telle une saillie des plus animale, alors qu’Il me claque les fesses en même temps... Je me fais prendre comme une bonne chienne, et j’y prends beaucoup de plaisirs, je l’avoue. Un peu avant de jouir, le Maitre me met un rosebud dans la bouche que je dois lubrifier. C’est un petit rosebud en métal juste conçu pour remplir mon cul et qui finit dans mon cul, une fois que le Maitre ait éjaculé dans mes entrailles dans un ultime assaut de coups de boutoirs virils et profonds lâchant de fortes saccades de sperme chaud dans des râles éloquents. Ainsi ce rosebud a pour effet de garder la semence en moi… C’est raccompagnée à ma voiture par Walter que je prends la route pour m’en aller cher moi. Une fois arrivée, j’informe le Maitre que je suis bien arrivée, avant de commencer mon compte-rendu par mail et de l’envoyer.

« Précieux Maitre Vénéré, je souhaite Vous remercier infiniment d’avoir pris de Votre temps pour Vous occuper de moi, mais surtout d’avoir décidé de faire de moi Votre animal de compagnie en plus de Votre soumise. J’ai tellement aimé cette humiliation, cette animalisation, cette sensation d’être à ma place, d’être enfin moi-même, d’être comprise à cette place que j’apprécie tant. Sachez Maitre Vénéré qu’en plus de Vous être reconnaissante, je suis aussi très honorée que Vous ayez trouvé la petite soumise que je suis digne de devenir une chienne animale à Vos pieds. Je ne doute pas que Vous allez continuer à me dresser pour faire de moi la meilleure chienne possible. Par ailleurs, je souhaiterai aussi Vous présenter mes excuses pour ne pas avoir rendu la baballe comme il fallait, mais aussi pour avoir aboyé quand Vous avez décidé de me laisser à ma niche pour la nuit, et ainsi déranger Votre paisible et noble Demeure. Je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie que depuis que je suis à Vos pieds. J’ai hâte de me retrouve à nouveau entre Vos mains, à Vos pieds, d’avoir la chance de Vous revoir. Avec toute ma gratitude et mon amour les plus sincères, Votre petite chienne Nala dévouée et soumise à Vos pieds » …
(A suivre …)