soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala) - (suite de l'épisode N°1358) - histoire érotique

soumise Calypso au Château (devenue chienne Nala) - (suite de l'épisode N°1358) -
« …Votre petite chienne Nala dévouée et soumise à Vos pieds » …
C’est seulement quelques heures plus tard, avant d’aller dormir et une fois mes émotions de bonheur un peu redescendues que je me souviens avoir fauté ce matin au Château pendant la douche. Mais surtout, je réalise que je ne l’ai pas dit au Maitre. J’avoue toujours mes fautes, le plus rapidement possible, je n’attends jamais que Monsieur le Marquis les découvre, ou une occasion spécifique pour les dire... Je prends donc au plus vite mon téléphone et envoie un message Skype au Noble :
« Bonsoir Maitre Vénéré, J’espère que Vous n’avez pas encore vu les caméras de surveillance de la douche au jet d’eau froide, de ce matin au Château, que Votre soumis-esclave m’a fait prendre. Car j’ai une faute à avouer, et avant tout je souhaite Vous dire, que je n’avais pas l’intention de Vous la cacher, simplement que j’étais tellement heureuse de ma nouvelle opportunité de Vous voir, que ça m’est sorti de la tête. Ce matin donc durant la douche, l’eau était si froide et ça m’a tellement surpris, que sans faire exprès, par réflexe de me protéger, j’ai croisé mes jambes. J’ai donc désobéi à la première règle de vie que Vous m’avez donnée. J’ai l’espoir que Vous l’appreniez par moi et non par les caméras. Je vous présente mes excuses les plus sincères pour cette faute, et Vous supplie de me punir pour espérer obtenir Votre pardon. »
Je m’endors de fatigue peu après ce message, un sommeil trouble et dérangé, car je m’en veux de ne pas avoir parlé au Maitre plus tôt de ma faute. Par cette omission, j’ai trahi la confiance que Monsieur le Marquis porte en moi, à avoir attendu autant de temps avant d’avouer ma faute. Je me réveille très souvent, j’ai espoir que le Châtelain n’est pas encore vu la caméra de surveillance et qu’il ait vraiment appris ma faute, par mon message. C’est seulement le matin vers onze heures que je reçois une notification Skype.

« Bonjour chienne Nala, Je suis tellement déçu de toi. Un de Mes esclave-soumis qui t’a fait prendre une douche, de la manière que je lui avais indiqué. Te voyant fauter, il est parti avouer ta faute à mon Majordome dès que ce dernier soit sorti de mon bureau. Si Mon esclave-soumis n’avait pas fait cela, il aurait été sévèrement puni… J’ai donc reçu un rapide sms de Walter m’informant de ta faute, avant d’aller la constater sur les caméras de surveillance. J’ai attendu de voir combien de temps il te faudrait pour l’avouer. Inutile de te dire que tu devrais avoir honte de prendre autant de temps à avouer une faute, quelle que soit sa gravité. Tu seras donc doublement punie, tu seras punie pour ta faute, mais aussi punie pour avoir mis autant de temps à me l’avouer. J’avais prévu de faire une soirée pour te présenter comme Ma nouvelle chienne soumise à l’essai, tu peux être sûre que ce sera donc l’occasion de te punir devant mes Invités pour avoir tardé à avouer… En ce qui concerne ta faute d’avoir croisé les jambes, tu recevras ta deuxième punition mais une autre fois uniquement en Ma seule présence... J’exige donc ta présence en Mon Château durant tout le weekend prochain, tu devras arriver à 18h précise le vendredi. Walter, mon Majordome, t’attendra au perron avec des instructions précises te concernant.

C’est donc le vendredi d’après que je me prépare pour aller au Château. J’ai reçu hier des instructions du Maitre sur comment je dois être présentable. Je dois être bien sûr, entièrement et parfaitement épilée, avoir un plug dans l’anus, et habillée comme je le souhaite mais le plus sexy possible et avec mon collier et ma laisse dans ma main… J’arrive au château à 17h50, je me gare devant le perron, sors de la voiture et attend 18h, l’arrivée de Walter. Quand je le vois, je monte les marches du perron et je me retrouve devant lui. Le Majordome me prend des mains mon collier et ma laisse, avant d’exiger que je le suive. A l’intérieur du Château tout le monde et en activité. En effet, je vois des soumis en quadrupédie ou marchant la tête baissée traverser le grand hall d’entrée pour se déplacer de couloir en couloir, et préparer la soirée. Nous arrivons dans la grande salle à manger. Tout au fond se trouve un grand rideau d’une belle tenture de soie bordeaux. C’est là que Walter m’emmène, je vois une table avec des cordes posées dessus, quatre bracelets-menottes équipés pour chacun d’un solide anneau, plusieurs chaines qui pendent du plafonds, et pour finir tout au bout de la table, j’aperçois un long et assez épais fouet.

Walter exige que je me déshabille, que je m’agenouille, puis il s’approche ensuite de moi. Il me met d’abord mon collier autour du cou, ensuite les bracelets-menottes, à mes poignets et chevilles. Le Majordome m’attrape ensuite par le bras pour me placer juste en dessous d’une poutre du plafond à la française où 2 anneaux sont scellés au sol. Il prend donc une chaine et il m’attache les poignets à la poutre, m’écartant largement ainsi les bras levés. Ensuite de même avec mes chevilles que Walter attache aux anneaux au sol, et ainsi mes jambes deviennent très écartées, largement ouvertes. A un mur se trouvant assez proche derrière moi, il y prend une chaine que le Majordome attache à l’anneau de mon collier et l’accroche à un anneau scellé au mur. Il revient devant moi et pour finir, Walter sort de sa bouche un bâillon écarteur, qu’il me met dans la bouche, avant de partir et de me laisser comme ça. Je suis donc attachée les chevilles très écartées, les bras fixés et aussi écartés en l’air, mon cou attaché au mur derrière sans avoir la possibilité de faire un mouvement. Je ne sais pas combien de temps je suis reste comme ça, mais mes muscles me font mal, mes bras, mes jambes. Je rêve de reposer mes muscles, mais j’ai n’ai aucun moyen de bouger, pour apaiser la douleur même et seulement quelques secondes.

J’entends un fond de musique classique, il me semble que c’est Bach, et j’ouïs aussi des gens qui arrivent et parlent entre eux… Quand soudain le rideau de soie bordeaux, derrière lequel je me trouve, bouge et je vois le Maitre en face de moi. Je reçois une double gifles de Sa part et je comprends donc qu’il me faut baisser les yeux car ne pouvant pas baisser la tête vue qu’elle est accrocher par mon collier, ce qui m’empêche de la baisser ou de la lever…
- Bonsoir Ma chienne, cette soirée devait démarrer par ta présentation en tant que Ma nouvelle soumise à l’essai à Mes pieds, à mes amis. Mais suite à ton attitude relative à ta faute, j’ai décidé quand le rideau se baissera que tu seras fouettée afin de te punir. Ensuite, cette soirée se passera comme il avait été prévu initialement, c’est-à-dire comme si tu n’avais pas fauté. Pour le moment, tu as toujours interdiction de jouir.

C’est sur Ses mots que le Maitre prend les cordes sur la table et reviens vers moi…
(A suivre …)