soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°1148)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°1148)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°1148) -
Je me rendis dans le lit et m’endormis rapidement, fatiguée mais heureuse et comblée... Je me réveillais bien reposée. Une douleur lancinante et migraineuse avait pris position dans mon crâne. Je ressentais aussi plusieurs courbatures dans mon corps… Au bout de plusieurs minutes, celles-ci ne passaient pas. Je me levais et allais prendre une douche que j’espérais salvatrice imaginant que l'eau chaude m'aiderait à éliminer mes courbatures. Je restais toujours bouche-bée devant la beauté de la salle de bain en général mais plus particulièrement devant cette robinetterie stylée de mille rosaces en or massif. La douche en effet me soulagea, du moins mon corps, mais ma tête me faisait toujours souffrir et c'était de plus en plus douloureux. Je m'essuyais le corps et je sortis. Je m'arrêtais tout net à la porte de la salle de bain car du bruit m’informa qu’une personne se trouvait dans la chambre qui m'avait été attribuée. Je dus faire moi-même du bruit car la personne se retourna d'un coup. Cette personne dut sentir que j'étais sur le point de m'enfermer dans la pièce car elle prit la parole.
- Cypris MDE, n'ai pas peur !, dit précipitamment la voix.
- Monsieur Walter, est-ce vous ?, demandais-je d'une voie soulagée et faible.
- Oui Cypris MDE, tu peux te rapprocher ou même te recoucher. Monsieur Le Marquis serait furieux si je te fais peur ou que tu te sauves !
- Je vous prie, Monsieur Walter, d'accepter mes excuses ! Je pense que je vais être pendant un moment assez peureuse, répondis-je honteuse de moi-même.
- J'accepte tes excuses Cypris MDE ! Viens te recoucher ! Même si ton corps me plaît énormément, je vois à ton visage que quelque chose ne va pas ! Alors explique-moi ? Le Maître Vénéré étant occupé à punir l'esclave désobéissant, il m'a envoyé voir si tu étais réveillée et comment tu te portais !
Pendant que Monsieur Walter m'expliquait sa présence, j'avais repris position dans le lit. Je m'appuyais contre la dossier du lit et sur des coussins avant de lui répondre.
- Je me suis réveillée, il y a quelques minutes, Monsieur Walter. J'avais des courbatures mais une bonne douche les a fait partir. En revanche, j'ai très mal à la tête !
- C'est une des raisons qui fait que je suis ici ! Je t'ai apporté les médicaments que le Docteur t'a prescrits ! Reste allongée, tu vas les prendre dans un verre d'eau.
Je vis le sac d'une pharmacie sur la table de nuit. Je me demandais pourquoi Monsieur Walter était aussi gentil avec moi. Pas que je n'appréciais pas, bien sûr ! Mais c'était troublant, lui qui d’habitude est froid et impassible !
- Voilà, tu prends ces deux comprimés ! Et ensuite, tu vas t'allonger sur le dos et lever les bras au-dessus de ta tête. Le docteur m'a dit avant de partir de te prendre aussi, à la pharmacie, une crème contre les bleus. Je vais t'en mettre sur tes côtes et après je t'en mettrais sur tes poignets. J'irai te commander un repas à la cuisine pour qu'il te soit apporté !
J’exécutais les paroles en même temps que Le Dominant me parlait. J'avalais les pilules en deux fois. Je m'allongeais par la suite comme exigé.
- Bien Cypris MDE ! Ferme les yeux et je veux t'entendre sans crier !
Je regardais les mouvements effectués par le Majordome. Il prit la pommade et en mit une noisette dans le creux de sa main. Alors qu'il se retournait vers moi, je fermais mes yeux, Il commença par l'étaler sur mes côtes. Ses gestes étaient doux et fermes en même temps. Je sentis le lit bouger et j'eus envie d'ouvrir les yeux mais je me retiens. Le Maître avait une grande confiance en Monsieur Walter alors je me devais de lui faire confiance à mon tour. Je sentis une caresse sur un de mes bras. C'était léger comme une plume et tellement agréable. Je pensais maintenant avoir compris pourquoi Monsieur Walter était aussi charmant. Il avait une idée derrière la tête et je pensais que celle-ci allais me plaire.
- Hummm Monsieur Walter !
- Tu es tellement belle, sensuelle, réceptive et désirable ! J'ai envie de faire cela depuis longtemps ! Monsieur le Marquis m'a autorisé à le faire mais si tu ne te sens pas bien, j'attendrais ! Tu es une vraie soumise MDE de ce Cheptel, ta façon de protéger Le Maître Vénéré et tous les autres Dominants présents, nous a montré que tu savais où étais ta place ! Dois-je arrêter, Cypris MDE ?
- Ne vous arrêtez pas, Monsieur s'il vous plaît !, suppliais-je.
- Avec joie, Cypris MDE. Je vais y aller doucement, je veux profiter de toi et ‘m'enfuir’ au plus profond de ton corps.
Les effleurements continuèrent et furent plus poussés. Ce n'était plus des plumes mais un massage complet de mon corps. Des gémissements de plaisirs, de bien-être m'échappaient à un rythme régulier. Au bout d'un moment, le Majordome fit glisser ses doigts sur le haut de mes reins pour descendre dans le creux pour ensuite aller sur ma raie entre mes fesses, puis il descendit doucement jusqu’à mon œillet. Il s’attarda sur celui-ci en me prodiguant un massage anal. Il passait et repassait ses doigts tout autour de mon anus, appuyant dessus, vérifiant son élasticité, enfonçant son pouce, le faisant aller et venir. Pui il se retira doucement pour se diriger vers mes lèvres intimes déjà bien gonflées de désirs. Il les massa de haut en bas avec régularité pour se diriger cette fois-ci sur mon clitoris qu’il branlait avec douceur alors que d’autres de ses doigts continuaient à me masser l’entrée de ma chatte sans vraiment me pénétrer. Ses gestes étaient toujours doux, précis et calmes. Cela me rendait folle, je souhaitais plus ! Devais-je le demander ou juste profiter ?
- Hummm … Plus, s'il vous plaît, Monsieur ?, chuchotais-je
Je n'avais pas besoin dans dire plus, ou du moins d’attendre plus longtemps la suite de ce doux et excitant traitement puisqu’un puis deux doigts rentraient en mon sexe trempée. Je pouvais sentir la turgescence de la verge du Majordome contre ma cuisse alors qu'il portait toujours son strict habit du parfait Majordome. Il se frottait contre moi en cadence avec ses doigts en mon vagin.
- Cypris MDE, touche-moi ! me murmura-t-il dans le creux de mon oreille avant de me mordiller le cou !
Je ne perdis pas de temps avant de bouger mon bras et de le caresser. Je pouvais sentir sa grosse queue encore grossir sous mes caresses. D'un seul coup, le Majordome se redressa. J'allais ouvrir les yeux, je souhaitais voir ce qu'il se passait mais je me retins. J'entendis une fermeture éclair se descendre.
- Regarde-moi, Cypris MDE !
Je fixais le Majordome. Le Dominant me regardait avec un regard gourmand par l'envie. Il enleva les boutons de sa chemise et la fit tomber au sol, dévoilant un torse parfaitement musclé et dessiné. Un gémissement m'échappa.
- Ce que tu vois te plaît, Cypris MDE ?
- Oui, Monsieur Walter !
- Bien ! Maintenant tu remets tes bras au-dessus de ta tête et tu écartes bien tes jambes de chienne ! Je vais pilonner cette si petite chatte que l'on dit si serrée.
J'exécutais les ordres avec excitation. Le lit bougea de nouveau. Le Majordome s'installa sur moi et commença par mon cou, ma nuque. Il les suça et les mordilla.
- Je ne peux pas mettre ta si jolie bouche à contribution mais je le ferais quand tu iras mieux ! Je baiserais ta bouche comme n'importe lequel de tes orifices !
- Hum ! Tout ce qu'il vous plaira, Monsieur, sentant ma cyprine s'écouler sur mes cuisses.
- Mes paroles t'excitent, espèce de petite salope !, ajouta Walter alors que je sentais sa grosse verge glisser entre mes lèvres intimes sans me pénétrer.
Il jouait avec moi. Cela me rendait folle. Il frottait son gland violacé contre mes lèvres intime sans me prendre. J'avais envie qu'il me pénètre et qu'il me fasse du bien… à me besogner comme une chienne en chaleurs que j’étais. Il finit par mettre ses bras sous mes genoux et écarta plus mes cuisses et jambes. Position qui ouvrit plus grand mon sexe trempé. Je sentais de nouveau ma cyprine s'écouler en grande quantité. Au bout d'un moment, le Dominant se décida enfin à me pénétrer d'un seul coup de reins puissant pour ensuite ne plus bouger étant bien planter profondément et immobile en coït vaginal. Je voulais crier mon plaisir mais je me retins. Je ne voulais plus jamais mécontenté le Maître Vénéré en me faisant punir par qui que ce soit.
- Tu enserres ma bite tellement fort ! Je pourrais te pilonner pendant une éternité ! Mais tu es toujours en convalescence !, ajouta-t-il en se décidant de bouger par des petits va-et-vient puis accélérant ses mouvements profonds.
Le Majordome butait au fond de ma chatte bien profondément sans arrêter dans sa cadence qu’il imposait alternant des rythmes rapides et lents en émettant des râles de plaisir. Je pouvais le sentir grossir, quand il accélérait désormais cette cadence digne d’un mâle en rut, signe qu'il allait bientôt se libérer. Il lâcha mes jambes que j'enroulais autour de ses hanches et enfonça un doigt dans mon cul. Un gémissement plus fort m'échappa. Il accélérait alors encore plus ses coups de butoir et au moment de sa délivrance jouissive, il me mordit à la base du cou où mon oreille toute proche percevait nettement ses longs râles de jouissances. Un orgasme me submergea alors au même moment. Un flot de spasmes me traversait, un flot de plaisirs, je perdais pied dans cette jouissance de femelle en chaleurs que j’étais… On resta dans cette position avant que l’on reprenne nos esprits et qu’'il ne reprenne ses massages sur mes bras et ne s'habille. Il sortit de la chambre sans ajouter quoi que ce soit. Je ne savais pas si cela venait de l'orgasme ou des médicaments, mais je n'avais plus mal à la tête, pensais-je seule dans la chambre, heureuse et comblée...
(A suivre...)
Je me rendis dans le lit et m’endormis rapidement, fatiguée mais heureuse et comblée... Je me réveillais bien reposée. Une douleur lancinante et migraineuse avait pris position dans mon crâne. Je ressentais aussi plusieurs courbatures dans mon corps… Au bout de plusieurs minutes, celles-ci ne passaient pas. Je me levais et allais prendre une douche que j’espérais salvatrice imaginant que l'eau chaude m'aiderait à éliminer mes courbatures. Je restais toujours bouche-bée devant la beauté de la salle de bain en général mais plus particulièrement devant cette robinetterie stylée de mille rosaces en or massif. La douche en effet me soulagea, du moins mon corps, mais ma tête me faisait toujours souffrir et c'était de plus en plus douloureux. Je m'essuyais le corps et je sortis. Je m'arrêtais tout net à la porte de la salle de bain car du bruit m’informa qu’une personne se trouvait dans la chambre qui m'avait été attribuée. Je dus faire moi-même du bruit car la personne se retourna d'un coup. Cette personne dut sentir que j'étais sur le point de m'enfermer dans la pièce car elle prit la parole.
- Cypris MDE, n'ai pas peur !, dit précipitamment la voix.
- Monsieur Walter, est-ce vous ?, demandais-je d'une voie soulagée et faible.
- Oui Cypris MDE, tu peux te rapprocher ou même te recoucher. Monsieur Le Marquis serait furieux si je te fais peur ou que tu te sauves !
- Je vous prie, Monsieur Walter, d'accepter mes excuses ! Je pense que je vais être pendant un moment assez peureuse, répondis-je honteuse de moi-même.
- J'accepte tes excuses Cypris MDE ! Viens te recoucher ! Même si ton corps me plaît énormément, je vois à ton visage que quelque chose ne va pas ! Alors explique-moi ? Le Maître Vénéré étant occupé à punir l'esclave désobéissant, il m'a envoyé voir si tu étais réveillée et comment tu te portais !
Pendant que Monsieur Walter m'expliquait sa présence, j'avais repris position dans le lit. Je m'appuyais contre la dossier du lit et sur des coussins avant de lui répondre.
- Je me suis réveillée, il y a quelques minutes, Monsieur Walter. J'avais des courbatures mais une bonne douche les a fait partir. En revanche, j'ai très mal à la tête !
- C'est une des raisons qui fait que je suis ici ! Je t'ai apporté les médicaments que le Docteur t'a prescrits ! Reste allongée, tu vas les prendre dans un verre d'eau.
Je vis le sac d'une pharmacie sur la table de nuit. Je me demandais pourquoi Monsieur Walter était aussi gentil avec moi. Pas que je n'appréciais pas, bien sûr ! Mais c'était troublant, lui qui d’habitude est froid et impassible !
- Voilà, tu prends ces deux comprimés ! Et ensuite, tu vas t'allonger sur le dos et lever les bras au-dessus de ta tête. Le docteur m'a dit avant de partir de te prendre aussi, à la pharmacie, une crème contre les bleus. Je vais t'en mettre sur tes côtes et après je t'en mettrais sur tes poignets. J'irai te commander un repas à la cuisine pour qu'il te soit apporté !
J’exécutais les paroles en même temps que Le Dominant me parlait. J'avalais les pilules en deux fois. Je m'allongeais par la suite comme exigé.
- Bien Cypris MDE ! Ferme les yeux et je veux t'entendre sans crier !
Je regardais les mouvements effectués par le Majordome. Il prit la pommade et en mit une noisette dans le creux de sa main. Alors qu'il se retournait vers moi, je fermais mes yeux, Il commença par l'étaler sur mes côtes. Ses gestes étaient doux et fermes en même temps. Je sentis le lit bouger et j'eus envie d'ouvrir les yeux mais je me retiens. Le Maître avait une grande confiance en Monsieur Walter alors je me devais de lui faire confiance à mon tour. Je sentis une caresse sur un de mes bras. C'était léger comme une plume et tellement agréable. Je pensais maintenant avoir compris pourquoi Monsieur Walter était aussi charmant. Il avait une idée derrière la tête et je pensais que celle-ci allais me plaire.
- Hummm Monsieur Walter !
- Tu es tellement belle, sensuelle, réceptive et désirable ! J'ai envie de faire cela depuis longtemps ! Monsieur le Marquis m'a autorisé à le faire mais si tu ne te sens pas bien, j'attendrais ! Tu es une vraie soumise MDE de ce Cheptel, ta façon de protéger Le Maître Vénéré et tous les autres Dominants présents, nous a montré que tu savais où étais ta place ! Dois-je arrêter, Cypris MDE ?
- Ne vous arrêtez pas, Monsieur s'il vous plaît !, suppliais-je.
- Avec joie, Cypris MDE. Je vais y aller doucement, je veux profiter de toi et ‘m'enfuir’ au plus profond de ton corps.
Les effleurements continuèrent et furent plus poussés. Ce n'était plus des plumes mais un massage complet de mon corps. Des gémissements de plaisirs, de bien-être m'échappaient à un rythme régulier. Au bout d'un moment, le Majordome fit glisser ses doigts sur le haut de mes reins pour descendre dans le creux pour ensuite aller sur ma raie entre mes fesses, puis il descendit doucement jusqu’à mon œillet. Il s’attarda sur celui-ci en me prodiguant un massage anal. Il passait et repassait ses doigts tout autour de mon anus, appuyant dessus, vérifiant son élasticité, enfonçant son pouce, le faisant aller et venir. Pui il se retira doucement pour se diriger vers mes lèvres intimes déjà bien gonflées de désirs. Il les massa de haut en bas avec régularité pour se diriger cette fois-ci sur mon clitoris qu’il branlait avec douceur alors que d’autres de ses doigts continuaient à me masser l’entrée de ma chatte sans vraiment me pénétrer. Ses gestes étaient toujours doux, précis et calmes. Cela me rendait folle, je souhaitais plus ! Devais-je le demander ou juste profiter ?
- Hummm … Plus, s'il vous plaît, Monsieur ?, chuchotais-je
Je n'avais pas besoin dans dire plus, ou du moins d’attendre plus longtemps la suite de ce doux et excitant traitement puisqu’un puis deux doigts rentraient en mon sexe trempée. Je pouvais sentir la turgescence de la verge du Majordome contre ma cuisse alors qu'il portait toujours son strict habit du parfait Majordome. Il se frottait contre moi en cadence avec ses doigts en mon vagin.
- Cypris MDE, touche-moi ! me murmura-t-il dans le creux de mon oreille avant de me mordiller le cou !
Je ne perdis pas de temps avant de bouger mon bras et de le caresser. Je pouvais sentir sa grosse queue encore grossir sous mes caresses. D'un seul coup, le Majordome se redressa. J'allais ouvrir les yeux, je souhaitais voir ce qu'il se passait mais je me retins. J'entendis une fermeture éclair se descendre.
- Regarde-moi, Cypris MDE !
Je fixais le Majordome. Le Dominant me regardait avec un regard gourmand par l'envie. Il enleva les boutons de sa chemise et la fit tomber au sol, dévoilant un torse parfaitement musclé et dessiné. Un gémissement m'échappa.
- Ce que tu vois te plaît, Cypris MDE ?
- Oui, Monsieur Walter !
- Bien ! Maintenant tu remets tes bras au-dessus de ta tête et tu écartes bien tes jambes de chienne ! Je vais pilonner cette si petite chatte que l'on dit si serrée.
J'exécutais les ordres avec excitation. Le lit bougea de nouveau. Le Majordome s'installa sur moi et commença par mon cou, ma nuque. Il les suça et les mordilla.
- Je ne peux pas mettre ta si jolie bouche à contribution mais je le ferais quand tu iras mieux ! Je baiserais ta bouche comme n'importe lequel de tes orifices !
- Hum ! Tout ce qu'il vous plaira, Monsieur, sentant ma cyprine s'écouler sur mes cuisses.
- Mes paroles t'excitent, espèce de petite salope !, ajouta Walter alors que je sentais sa grosse verge glisser entre mes lèvres intimes sans me pénétrer.
Il jouait avec moi. Cela me rendait folle. Il frottait son gland violacé contre mes lèvres intime sans me prendre. J'avais envie qu'il me pénètre et qu'il me fasse du bien… à me besogner comme une chienne en chaleurs que j’étais. Il finit par mettre ses bras sous mes genoux et écarta plus mes cuisses et jambes. Position qui ouvrit plus grand mon sexe trempé. Je sentais de nouveau ma cyprine s'écouler en grande quantité. Au bout d'un moment, le Dominant se décida enfin à me pénétrer d'un seul coup de reins puissant pour ensuite ne plus bouger étant bien planter profondément et immobile en coït vaginal. Je voulais crier mon plaisir mais je me retins. Je ne voulais plus jamais mécontenté le Maître Vénéré en me faisant punir par qui que ce soit.
- Tu enserres ma bite tellement fort ! Je pourrais te pilonner pendant une éternité ! Mais tu es toujours en convalescence !, ajouta-t-il en se décidant de bouger par des petits va-et-vient puis accélérant ses mouvements profonds.
Le Majordome butait au fond de ma chatte bien profondément sans arrêter dans sa cadence qu’il imposait alternant des rythmes rapides et lents en émettant des râles de plaisir. Je pouvais le sentir grossir, quand il accélérait désormais cette cadence digne d’un mâle en rut, signe qu'il allait bientôt se libérer. Il lâcha mes jambes que j'enroulais autour de ses hanches et enfonça un doigt dans mon cul. Un gémissement plus fort m'échappa. Il accélérait alors encore plus ses coups de butoir et au moment de sa délivrance jouissive, il me mordit à la base du cou où mon oreille toute proche percevait nettement ses longs râles de jouissances. Un orgasme me submergea alors au même moment. Un flot de spasmes me traversait, un flot de plaisirs, je perdais pied dans cette jouissance de femelle en chaleurs que j’étais… On resta dans cette position avant que l’on reprenne nos esprits et qu’'il ne reprenne ses massages sur mes bras et ne s'habille. Il sortit de la chambre sans ajouter quoi que ce soit. Je ne savais pas si cela venait de l'orgasme ou des médicaments, mais je n'avais plus mal à la tête, pensais-je seule dans la chambre, heureuse et comblée...
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