soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°742) - histoire érotique

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°742) -
Je trébuchais en entrant dans la cabine de douche. Je pouvais sentir le Médecin me suivre très près de mon corps. Alors que j'allais me retourner pour lui faire face, il me poussa de façon à ce que mes seins et mon abdomen soient appuyés contre une des faces du mur de faïence froide.

- Huuumm ! M'exclamais-je en sentant le contraste du froid sur mon devant et le corps chaud du Docteur dans mon dos.
- J'ai encore envie de toi, Chienne ! Je veux te prendre comme ça alors que l'eau s'abat sur nos corps et te faire encore crier. J'exige que tu cries fort, c'est tellement bon quand tu hurles alors que je baise ta chatte et ton cul ! Tu es tellement serrée autour de ma verge ! Aimes-tu cela, salope ?
- Oui Monsieur, je souhaite tout cela et surtout vous satisfaire amplement ! Vous me baisez tellement bien, j'aime sentir votre queue dans mes orifices, j’adore... !

Je ne pus continuer mes paroles que le Docteur prit possession de ma chatte. Il recula d'un pas avec toujours sa bite en moi pour me faire cambrer au maximum.

- Monsieuuuuuur ! criais-je déjà de plaisir- Ressens comment tes paroles et ton corps m'excitent, salope ! Putain, c'est bon de te besogner de la sorte. Je pensais que tu demanderais grâce, mais tu aimes ça ! Ajouta-il en me fessant dans un rythme soutenu.

Je me sentais besogner au fur et à mesure de ses coups de butoir contre le mur. Il allait tellement profond en moi que je me mis à crier. Il était tellement excité par mes cris qu'il amplifia ses mouvements.

- Crie plus fort ! dit-il en arrêtant de me fesser.

Il déplaça une des mains vers mon clitoris, alors que l'autre partit vers un de mes seins. Il pinça simultanément les deux ensembles, alors qu'il continuait à me pénétrer fortement. Je hurlais mon plaisir. Ma gorge était de plus en plus douloureuse. Le Docteur ne s'arrêta pas là. Il prit possession de mon cul par la suite tout en attrapant une poignée de cheveux qu'il tira durement.

-Je veux te voir jouir et crier ton plaisir encore une fois, chienne en chaleur !

Il dit cela en me retournant d'un seul coup en appuyant mon dos contre le mur alors que d'un coup de genou, il me fit écarté les jambes. Il se plaça entre elle et remis sa grosse queue dans ma chatte. Il mit sa bouche dans mon cou puis me mordit. Le mélange douleur/plaisir fut immense après cette expérience extraordinaire. Il continua de pomper dans mes chairs et il finit par éjaculer dans ma chatte avec de longs et interminables râles de jouissance. Je laissais de nouveau mon plaisir m'envahir et s'exprimer. Le Toubib resta enfoncer longtemps en moi alors que nous reprenions tous les deux notre respiration. Après quelques minutes, il sortit de ma chatte et un gémissement de manque nous échappa en même temps. Le Docteur ne parla pas et je ne le fis pas non plus… Le Dominant pris un gant et se mis à me nettoyer. Il commença par le haut de mon corps puis gentiment, doucement, lava l’ensemble de haut en bas. Après ce moment de douceur très érotique, il exigea que je fasse de même alors je lui rendis la pareille en le lavant de la même façon. Nous sortîmes de la douche et nous séchâmes. Je restais debout en attente du bon vouloir du Dominant alors que j'avais lâchée la serviette à mes pieds sur le sol. J'avais baissé mes yeux au sol. Je sentis alors une main appuyer sur mon visage de façon à le relever. Alors que mon visage se levait, je croisais le regard du Doc. Il y avait un sourire satisfait et détendu. Je n'avais pas fait attention mais le Docteur était un homme vraiment beau et bien proportionné. Je lui rendis alors son sourire et il m'embrassa. Il s'éloigna de moi, attrapa mon collier et ma laisse puis me les remis. Il tira dessus puis nous nous dirigeâmes vers le lit. Le Docteur m'approcha d'un des côtés du lit. Il enleva ma laisse.

- Couches-toi, il est très tard ! Ce que je t'ai dit tout à l'heure et encore d'actualité, je te prends quand bon me semble et comme j'en ai envie ! Et je vais le faire, je te veux encore et encore !
- Faites ce que bon vous semblera, je suis votre objet de plaisir, Monsieur ! Seule votre satisfaction compte.

Alors, il me rejoignit dans le lit en faisant le tour de celui-ci. Il se coucha derrière moi en cuillère et plaça une de ses mains sur mon sein. Je m'endormis rapidement en sentant le souffle du Dominant dans mon cou. Mon corps était comme du coton protégé par des bras protecteurs, dans cette douce nuit… Je pris connaissance de muscles dont j'ignorais leur existence alors que je me réveillais doucement au matin. Le Docteur était noué autour de moi comme une liane. Je ne pouvais pas savoir l'heure mais je sus, qu'il devait être tard dans la matinée car je pouvais voir le soleil qui passait par les fenêtres. Je bougeais un peu dans le lit pour changer de position, ce qui fit bouger Le Docteur. Il se décrocha de moi et se plaça sur le dos. Je me retournais doucement et l'observais. Après quelques minutes, je vis que le drap était relevé à un endroit. En levant celui-ci, je pus observer que la bite du Docteur était bien dressée par une belle et naturelle érection matinale. Ne pouvant y résister, je glissais sous le drap. Je pris doucement la bite du Dominant dans une de mes mains et je commençais lentement un va et viens… La verge continua de grossir dans ma main. Je ne pus me retenir bien longtemps avant de faire courir ma langue sur elle. Après quelques allés et retours, je mis juste le gland dans ma bouche et je fis tourner ma langue autour et je pointais le bout de ma langue sur son méat urinaire. Un gémissement s’échappa du Doc mais il ne se réveilla pas. Je continuais donc mon massage buccal. Je pris de la vitesse. J'étais complètement concentrée sur ma tâche et je ne sentis pas le drap que l'on retirait au-dessus de mon corps. Je m'en rendis compte quand, levant les yeux vers le Doc. Il me regardait d'un air bestial.

- Tu sais comment réveiller un homme, n'est-ce-pas ? dit-il en empoignant mes cheveux et en me faisant lever la tête. Répond-moi ! m'ordonna-t-il.
- Je ne sais Monsieur si cela est la bonne méthode mais j'ai vu que vous étiez dans le besoin alors je ne pouvais pas vous laisser comme cela sans réagir. N'est-ce pas le rôle d'une soumise que de vous satisfaire dans n'importe quelle occasion ? demandais-je d'un air innocent.
- Non, tu dois obéir aux ordres, c'est tout ! Mais tu as de la chance que j'aime le réveil que tu viens de me donner. Continue maintenant et après je vais reprendre possession de ton corps avant de te rendre à mon cher Ami, Monsieur Le Marquis d'Evans. Je vais te faire crier de plaisirs encore !
- Bien Monsieur, je.... je ne pus finir ma phrase qu'il appuya sur ma tête ce qui fit pénétrer sa queue dans ma cavité buccale.

Je continuais donc mon activité. Je souhaitais lui faire autant de bien que lui m'en avait donné. Je m'appliquais vraiment dans ma tâche, je gardais toujours mes yeux rivés sur le Doc pour voir s'il aimait mon traitement donné, le résultat n'était pas pour le déplaire. Il avait fermé ses yeux et ses mains étaient de chaque côté de son corps. J’entrepris d'accélérer mes mouvements et il ouvrit son regard. Je baissais rapidement le mien.

- Non regarde-moi ! exigea-t-il. Tu vas venir t'empaler sur ma verge. Je veux sentir le fond de ta chatte d'abord puis je vais éjaculer dans ton cul.

Je relâchais donc sa bite dans un petit plop ! Je plaçais mes jambes de chaque côté de son corps et je m'empalais sur sa verge. Un gémissement m'échappa alors que je me sentais à nouveau pleine. Je commençais à me déhancher pendant que le Dominant donnait des coups de reins qui soulevaient ses fesses. Après quelques instants, il se redressa et prit un de mes mamelons en bouche. Il croisa ses jambes sous mes fesses et il me fit grâce, à ses mains, placer mes jambes sur ses reins. Il bougea en moi tellement puissamment que je dus placer mes bras autour de sa nuque. Il me posséda entièrement et joua avec mes mamelons fièrement dressés.

- Laisse-toi tomber sur le dos ! Et met tes bras au-dessus de ta tête !

J'exécutais les ordres. Mes seins partaient dans tous les sens alors qu'il continuait à me besogner. Le Doc attrapa mes seins, les pinça, tira et il les frotta avec son ongle. Je hurlais de plaisir alors que je jouissais sans me retenir.

- Bien, maintenant je veux que tu te places en levrette ! Je vais baiser ce cul qui me fait si envie !

Je me plaçais comme demandé avec mon cul bien cambré. Il joua un moment avec mon anus et ma chatte puis d'un seul coup sans me prévenir, il entra dans mon fondement. Nous hurlâmes, moi du mélange de douleur et de plaisir, lui je pense que ce ne fus que de plaisir. Il me besogna pendant une éternité puis il finit par passer une de ses mains sous mon corps et atteindre mon clitoris. Nous criâmes à l'unisson notre plaisir quand il lâcha un flot de sperme par saccades dans mes entrailles. Le Doc s'écroula sur moi puis après avoir repris sa respiration, il se retira en exigeant que je nettoie sa verge avec ma langue, puis il s'éloigna. Il sortit du lit et se dirigea vers la salle de bain. Je pus entendre l'eau couler mais aussi que l'on se déplaçait.

- A genoux sur le tapis, chienne ! ordonna-t-il.

Je me plaçais comme il me l'avait demandé. Je l'entendis s'affairer dans la chambre puis remettre ma laisse à mon collier. Alors que je redressais mon visage, je pus observer qu'il s'était rhabillé.

- Allons retrouver ce cher Monsieur le Marquis, je suis sûr qu'il a hâte de te récupérer !

Il tira sur ma laisse et me fit le suivre en quadrupédie. Nous empruntâmes le même chemin de la veille et nous nous arrêtâmes devant une magnifique double-porte. Le Doc frappa et entra avec moi à sa suite.

- Ah voici, le dernier de mes Invités : s'exclama la voix du Maître. Alors, mon ami, votre nuit s'est-elle bien passée ? ...

(A suivre ...)