Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste Chapitre 1

Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste Chapitre 1
Chapitre 1 : Arrivée au Domaine - première découvertes
Steve rentra du travail, fatigué mais impatient de retrouver Virginie. Lorsqu’il passa la porte, elle l’attendait, appuyée contre le comptoir de la cuisine, un sourire espiègle aux lèvres. Sa robe légère moulait son corps à la perfection, mettant en valeur sa poitrine généreuse qu’elle aimait tant exhiber.
— J’ai une surprise pour toi, annonça-t-elle en jouant avec la fine bretelle de sa robe.
Il haussa un sourcil, intrigué. Virginie adorait pimenter leur quotidien, et il savait que cette annonce n’était pas anodine.
— J’ai réservé nos vacances… notre première vraie escapade ensemble.
— Ah oui ? Où ça ? demanda Steve, curieux.
— Un domaine naturiste, répondit-elle, plantant son regard brûlant dans le sien. Un petit bungalow, juste au bord de la mer…
Un silence s’installa, chargé de tension. Steve comprit aussitôt le jeu de Virginie. Elle adorait être regardée, admirer les regards qui glissaient sur son corps offert sans retenue.
— Tu veux t’exhiber, murmura-t-il en s’approchant d’elle, posant une main ferme sur sa hanche.
— J’ai envie d’être libre… de sentir les regards sur moi… sur nous, souffla-t-elle en effleurant son torse.
Steve sentit un frisson parcourir son échine. Ces vacances promettaient d’être inoubliables.
Le jour J arriva plus vite que prévu. Excités par cette aventure inédite, Steve et Virginie prirent la route en direction du domaine naturiste. Plus ils s’en approchaient, plus Virginie sentait une chaleur délicieuse envahir son ventre.
À l’entrée, un homme d’une cinquantaine d’années, le torse nu et bronzé, les accueillit avec un sourire chaleureux.
— Bienvenue ! Vous êtes Steve et Virginie, c’est bien ça ?
— Oui, répondit Steve en serrant la main de l’homme.
— Parfait. Je vais vous expliquer les règles du domaine…
L’homme leur détailla les principes fondamentaux :
— Ici, la nudité était la norme, mais toujours dans le respect des autres. Aucune contrainte, chacun allait à son rythme. Pas de photos, pas de voyeurisme déplacé, juste une atmosphère de liberté totale.
Virginie buvait ses paroles, ses doigts jouant nerveusement avec l’ourlet de sa robe. L’idée d’être nue parmi d’autres inconnus lui procurait une excitation qu’elle ne se cachait plus.
On les conduisit jusqu’à leur bungalow, un petit cocon en bois avec une terrasse équipée de deux transats et d’une table. Juste devant, un sentier menait directement à la plage, où des silhouettes nues se dessinaient déjà sous le soleil brûlant.
Dès que la porte se referma derrière eux, Virginie se tourna vers Steve, son regard brûlant de malice.
— Alors, tu es prêt à me voir comme jamais ? murmura-t-elle en glissant lentement les bretelles de sa robe de ses épaules.
Le tissu glissa le long de son corps, révélant ses courbes sous la lumière dorée. Elle se tenait là, fière, offerte, savourant le frisson de l’interdit qui s’effaçait peu à peu.
Steve sentit son souffle s’accélérer. Ces vacances s’annonçaient bien plus intenses qu’il ne l’avait imaginé…
Virginie noua un paréo transparent à sa taille, laissant ses seins fièrement exposés. L’air chaud caressa sa peau nue tandis qu’elle préparait son sac de plage, glissant à l’intérieur une serviette, de la crème solaire et une bouteille d’eau.
Steve, lui, prit son temps pour se déshabiller. Il observait Virginie, admirant sa confiance, son plaisir évident à se montrer.
— Tu as l’air déjà excitée, dit-il avec un sourire en coin.
Elle se retourna vers lui, un éclat de malice dans les yeux.
— Je sens que je vais avoir du mal à te contrôler…
Elle s’approcha lentement, laissant sa poitrine effleurer son torse avant de déposer un baiser brûlant sur ses lèvres. Au moment où ils sortirent du bungalow, ils tombèrent sur leur voisin, un homme d’une soixantaine d’années, entièrement nu, la peau tannée par le soleil et un sourire bienveillant aux lèvres.
— Bonjour, mes jeunes amis ! lança-t-il d’un ton jovial. Bienvenue au paradis naturiste !
Virginie et Steve échangèrent un regard amusé avant de répondre.
— Merci, Jacques, répondit Steve en lui serrant la main.
Les yeux du vieil homme glissèrent naturellement sur le corps de Virginie, sans gêne ni vulgarité, comme s’il savourait simplement la beauté de la nudité.
— Vous allez à la plage ?
— Oui, répondit Virginie avec un sourire complice. Il fait trop beau pour ne pas en profiter.
— Ah, vous allez voir, c’est un vrai plaisir de s’y promener sans contrainte. On se sent libre comme jamais…
Virginie mordilla sa lèvre, déjà impatiente de sentir les regards sur elle.
— Je vous laisse profiter alors, dit Jacques avec un clin d’œil avant de s’éloigner tranquillement.
Steve posa une main sur la chute de reins de Virginie.
— Je crois que tu as trouvé un admirateur…
— Tu crois ? souffla-t-elle en se frottant contre lui.
Virginie avançait d’un pas léger sur le sentier menant à la plage, savourant la chaleur du soleil sur sa peau nue. Seul son paréo transparent, noué à la taille, lui donnait un semblant d’habillage. Ses seins lourds et fiers rebondissaient librement au rythme de ses pas, attirant des regards à chaque coin du domaine.
Elle sentait cette tension électrique monter en elle, un frisson d’excitation la parcourir à l’idée de tous ces inconnus qui la dévoraient des yeux.
— Tu devrais peut-être attacher ton paréo un peu mieux, glissa Steve en souriant.
— Et pourquoi ? demanda-t-elle innocemment.
— Parce qu’il pourrait tomber au moindre mouvement…
Elle haussa un sourcil, un sourire mutin aux lèvres.
— Oh ? C’est embêtant, ça…
Steve attrapa les pans du tissu et fit mine de le nouer plus solidement. Mais au lieu de le serrer, il le fixa si lâchement qu’un simple coup de vent suffirait à le faire glisser.
— Voilà, c’est mieux, murmura-t-il.
Virginie se mordilla la lèvre, frissonnant à l’idée de ce qui pouvait arriver. Ils reprirent leur marche, longeant les bungalows où plusieurs vacanciers se prélassaient. Quelques hommes, installés sur leur terrasse ou marchant sur le sentier, ne se gênaient pas pour admirer son corps offert. Soudain, une brise légère souffla… et, comme prévu, le paréo glissa doucement, s’ouvrant sur ses hanches avant de tomber à ses pieds.
Virginie s’arrêta net, feignant la surprise. Autour d’eux, plusieurs regards s’étaient tournés vers elle.
— Oups… souffla-t-elle en fixant Steve, amusée.
Elle se pencha lentement pour ramasser le tissu, offrant une vue imprenable sur sa poitrine et la courbe de ses fesses. Lorsqu’elle se redressa, elle croisa le regard d’un homme plus loin, assis sur un banc, qui ne semblait pas vouloir détourner les yeux.
Au lieu de renfiler immédiatement son paréo, elle le laissa pendre négligemment entre ses doigts, savourant le frisson d’être totalement nue sous les yeux de parfaits inconnus.
— On continue ? murmura-t-elle à Steve en glissant sa main dans la sienne.
— Si tu es prête à recommencer ce petit accident en route…
Elle éclata de rire, s’imaginant déjà d’autres occasions de jouer avec cette nouvelle liberté.
Le sable chaud caressa leurs pieds lorsqu’ils arrivèrent sur la plage. L’endroit était idyllique : une vaste étendue dorée bordée par une mer scintillante, et des corps dénudés profitant du soleil en toute liberté.
Virginie choisit un emplacement stratégique, non loin d’un petit groupe d’hommes qui discutaient à voix basse. Elle étendit sa serviette avec nonchalance, sachant pertinemment que chaque mouvement attirait des regards.
Elle s’installa lentement, croisant les jambes avant de saisir son flacon de crème solaire. Steve l’observait déjà avec intensité, mais elle voulait jouer encore un peu avec lui… et avec les autres. Elle fit couler une généreuse dose de crème dans ses mains, puis posa délicatement ses paumes sur sa poitrine nue. Un soupir lui échappa lorsqu’elle commença à masser la crème sur sa peau, ses doigts glissant lentement sur ses courbes pleines.
Steve déglutit, captivé par le spectacle qu’elle lui offrait.
— Tu comptes faire ça toute seule ? murmura-t-il, les yeux brillants d’excitation.
Elle sourit, continuant son jeu, effleurant ses tétons durcis du bout des doigts, étalant la crème avec une lenteur calculée.
— Je veux m’assurer que chaque centimètre de ma peau est bien protégé… souffla-t-elle, le regard brûlant.
Autour d’eux, les conversations semblaient ralentir. Quelques hommes, allongés sur leurs serviettes ou assis sur le sable, jetaient des coups d’œil discrets… ou moins discrets. L’un d’eux, plus audacieux, la fixait sans détourner les yeux. Virginie sentit une vague d’excitation l’envahir. Elle prit alors la main de Steve et la guida vers sa poitrine.
— Aide-moi…
Il ne se fit pas prier. Ses doigts s’emparèrent de ses seins, les pétrissant avec fermeté, étalant la crème tout en jouant avec ses formes. Virginie bascula légèrement la tête en arrière, savourant le mélange exquis d’exhibition et de plaisir.
— Tu es infernale… grogna Steve, le souffle court.
— Et tu adores ça…
Virginie s’étira langoureusement sur sa serviette, savourant la sensation du soleil caressant sa peau nue. Elle jeta un coup d’œil autour d’elle : plusieurs hommes semblaient captivés par le spectacle qu’elle leur offrait. Certains tentaient de rester discrets, d’autres assumaient leur regard sans gêne.
Steve, allongé à côté d’elle, l’observait avec amusement.
— J’ai un défi pour toi, murmura-t-il en se penchant vers elle.
Elle tourna la tête, intriguée.
— Oh ? Quel genre de défi ?
— Traverse la plage jusqu’à l’eau… lentement… sans chercher à cacher quoi que ce soit. Fais comme si tu étais seule, mais ressens chaque regard sur toi.
Virginie frissonna. Elle adorait ce jeu, cette montée d’adrénaline qui accompagnait l’excitation d’être vue.
— Facile, souffla-t-elle avec un sourire mutin.
Elle se leva sans précipitation, s’étirant légèrement, consciente que chaque mouvement mettait en valeur son corps offert à la lumière du jour. Ses seins se soulevèrent dans un doux balancement, et avant même de commencer sa marche, elle sentit plusieurs regards glisser sur elle. Elle s’élança sur le sable chaud, prenant son temps. Chaque pas était une invitation, chaque mouvement une provocation calculée. Le soleil accentuait l’éclat de sa peau, et elle sentit des frissons d’excitation parcourir son échine.
Elle croisa un groupe d’hommes assis sous un parasol. L’un d’eux s’interrompit en plein milieu d’une phrase, son regard accroché à sa poitrine. Virginie ne put s’empêcher de sourire en coin. Puis elle passa près d’un couple plus âgé. La femme sourit en la voyant passer, tandis que son mari détourna maladroitement les yeux, comme s’il se forçait à ne pas trop fixer son corps.
À quelques mètres de l’eau, Virginie ralentit encore, sentant le regard brûlant de Steve dans son dos. Elle savait qu’il adorait la voir ainsi, totalement libre, s’amusant à tester les limites du regard des autres. Une brise soudaine fit courir un frisson sur sa peau nue alors qu’elle atteignait enfin l’eau. Elle s’y enfonça lentement, laissant les vagues caresser ses jambes, puis son ventre, avant d’immerger sa poitrine dans l’eau fraîche.
Elle jeta un coup d’œil vers la plage : certains continuaient de l’observer, fascinés.
Elle plongea sous l’eau, savourant cette montée d’adrénaline, avant de refaire surface en rejetant ses cheveux en arrière dans un geste sensuel. De loin, Steve la fixait toujours, un sourire aux lèvres. Virginie resta quelques instants dans l’eau, savourant le frisson du contraste entre la chaleur du soleil et la fraîcheur des vagues qui léchaient sa peau nue. Elle jeta un coup d'œil vers la plage : les regards ne s’étaient pas détournés. Certains hommes faisaient mine de discuter entre eux, mais elle voyait bien leurs yeux glisser sur elle à intervalles réguliers.
Un sourire mutin aux lèvres, elle décida de pousser le jeu encore plus loin.
Elle plongea ses mains dans l’eau et les remonta lentement, laissant les gouttes ruisseler entre ses doigts avant de les faire couler le long de son corps. Elle caressa ses bras, ses épaules, puis descendit sur sa poitrine, effleurant ses seins d’un geste langoureux.
La fraîcheur lui arracha un soupir. Ses doigts glissèrent doucement, traçant un sillon humide sur sa peau dorée. Elle massa sa poitrine, la soulevant légèrement avant de la relâcher dans un mouvement lent et calculé. Un frisson la parcourut lorsqu’elle sentit l’eau s’écouler sur ses tétons durcis. Elle jeta un coup d’œil furtif à Steve, qui l’observait depuis la plage, les mâchoires crispées sous l’effet du désir.
— Tu comptes me torturer longtemps comme ça ? lança-t-il d’un ton rauque.
Elle fit mine de ne pas entendre et continua son jeu, cette fois en faisant couler l’eau sur son ventre, puis plus bas, effleurant ses cuisses avec une sensualité provocante.
Les vagues accompagnaient son mouvement, l’enveloppant dans une étreinte liquide, comme une caresse prolongée.
Un homme qui nageait non loin sembla ralentir son crawl, fascinant par ce spectacle inattendu. Virginie ferma les yeux un instant, savourant le pouvoir qu’elle exerçait sur ceux qui l’entouraient.
Quand elle les rouvrit, Steve était déjà en train de la rejoindre dans l’eau, son regard brûlant de promesses.
— Tu veux jouer ? murmura-t-il en s’approchant d’elle.
— Toujours… souffla-t-elle en laissant ses doigts effleurer son torse.
Steve s’approcha lentement, l’eau effleurant son torse alors que Virginie continuait de jouer avec les vagues sur sa peau. Elle savourait l’excitation qui montait entre eux, mais aussi celle qu’elle provoquait chez ceux qui l’observaient.
Les rayons du soleil faisaient scintiller l’eau autour d’eux, créant un écrin lumineux où chaque mouvement semblait amplifié. Virginie plongea de nouveau ses mains, cette fois pour les laisser glisser lentement sur son ventre, ses hanches, effleurant la courbe de ses cuisses avec une sensualité délibérée.
Elle s’amusait à tester les limites de Steve, à voir jusqu’où elle pouvait le faire craquer. Mais elle ignorait encore qu’un autre regard suivait ses moindres gestes… Alors qu’elle basculait légèrement la tête en arrière, profitant du frisson de l’eau sur sa poitrine, une ombre furtive attira son attention sous la surface.
Un nageur, plus loin, venait de plonger en apnée. Il avançait lentement sous l’eau, comme s’il savourait le calme de l’océan… ou peut-être autre chose.
Virginie sentit une décharge électrique parcourir son corps en réalisant que l’homme s’attardait juste en dessous d’elle. Il ne bougeait presque plus, semblant fixer son corps ondulant dans l’eau. L’idée d’être observée dans cet instant d’intimité amplifia son excitation. Elle échangea un regard rapide avec Steve, qui comprit immédiatement ce qui se passait.
— Tu as un admirateur, murmura-t-il avec un sourire en coin.
Virginie mordilla sa lèvre inférieure. Elle aurait pu reculer, se cacher un peu plus sous l’eau… mais elle n’en fit rien. Au lieu de cela, elle se laissa lentement flotter, ouvrant légèrement les cuisses sous l’eau, comme si de rien n’était.
L’homme en apnée resta quelques secondes immobile, hypnotisé par le spectacle, avant de finalement remonter à la surface, son souffle court, les joues légèrement rougies par l’effort… ou par autre chose. Il croisa le regard de Virginie, mais ne dit rien. Juste un sourire discret avant de se détourner, troublé.
Steve s’approcha d’elle et la saisit doucement par la taille.
— Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? souffla-t-il, son désir de plus en plus palpable.
— C’était un accident, chuchota-t-elle d’une voix faussement innocente.
L’homme venait de refaire surface, son souffle encore court après son apnée. Il avait vu. Il avait compris. Et Virginie sentait une montée d’adrénaline l’envahir en réalisant à quel point ce moment l’avait troublé… mais aussi excité.
Elle fixa Steve, dont le regard brûlait d’un mélange de désir et d’amusement. Il savait qu’elle ne s’arrêterait pas là. D’un mouvement fluide, elle plongea à son tour sous l’eau. L’océan l’enveloppa dans un silence cotonneux, coupant le monde extérieur pour ne laisser place qu’à cette bulle intime et interdite.
Le nageur n’était qu’à quelques mètres, flottant paisiblement, mais elle savait qu’il la voyait.
Alors, lentement, Virginie ouvrit légèrement les jambes sous l’eau, jouant avec le courant qui caressait sa peau nue. Elle glissa une main le long de son clitoris, l’effleurant du bout des doigts avant de descendre plus bas, traçant des cercles sensuels sur son intimité.
Elle n’avait jamais ressenti une telle montée d’excitation. L’idée d’être vue, désirée, impuissante face à ce regard indiscret qui la scrutait dans cette eau limpide, l’enivrait totalement. Le nageur ne bougeait plus. Il retenait son souffle, suspendu à ce spectacle irréel.
Puis, Virginie remonta lentement à la surface, brisant l’instant en reprenant une grande bouffée d’air.
Steve, qui l’avait vue disparaître, s’approcha immédiatement, ses mains trouvant ses hanches sous l’eau.
— T’es complètement folle… murmura-t-il à son oreille, son souffle brûlant contre sa peau.
— Et ça te plaît, non ? répondit-elle, espiègle.
Elle jeta un regard furtif vers le nageur. Il était toujours là, flottant à quelques mètres, troublé. Son sourire en coin confirmait qu’il n’oublierait pas cette vision de sitôt.
Virginie frissonna en sentant l’eau glisser sur son corps tandis qu’elle remontait doucement à la surface. Son cœur battait à un rythme effréné, non pas à cause de l’effort, mais de l’adrénaline qui l’envahissait après ce jeu interdit sous l’eau.
Steve la regardait avec une intensité qui en disait long. Il savait ce qu’elle venait de faire. Il avait vu le nageur retenir son souffle, figé sous l’eau, hypnotisé par ce qu’il venait d’apercevoir.
Virginie se redressa dans l’eau, rejetant ses cheveux en arrière, envoyant une pluie de gouttelettes scintillantes autour d’elle. Sa poitrine nue, perlée d’eau, se souleva dans un mouvement lent et sensuel. Elle jeta un dernier regard au nageur, toujours à quelques mètres, le souffle court. Puis, avec un sourire mutin, elle fit volte-face et commença à marcher vers la plage.
Chaque pas qu’elle faisait hors de l’eau accentuait la révélation de son corps sous le soleil éclatant. Ses hanches ondulaient légèrement, sa peau luisante d’eau captait chaque rayon du soleil. Les conversations autour d’elle semblaient s’interrompre par instants. Des hommes détournaient le regard un peu trop tard, leurs yeux piégés dans l’instant. Certains vacanciers feignaient l’indifférence, mais elle voyait bien leurs regards en coin, leur fascination mal dissimulée.
Elle passa près d’un groupe d’hommes assis sous un parasol. L’un d’eux déglutit discrètement, tentant de se concentrer sur son verre, mais son regard se perdit un instant sur les gouttes d’eau glissant entre ses seins.
Plus loin, un couple sur une serviette semblait observer la scène avec amusement. La femme chuchota quelque chose à son compagnon, qui esquissa un sourire complice.
Virginie se mordilla la lèvre, troublée par ce pouvoir qu’elle exerçait.
Lorsqu’elle atteignit finalement sa serviette, Steve était juste derrière elle.
— Tu es un vrai danger public, souffla-t-il en s’asseyant près d’elle.
Elle rit doucement, s’allongeant sur le ventre, sa peau nue offerte aux rayons du soleil.
— Et tu adores ça, non ?
Steve passa lentement sa main sur le bas de son dos, effleurant sa peau brûlante.
— Tu n’as même pas idée…
Mais ils n’étaient pas seuls. Et Virginie le savait très bien.
Elle sentit encore ces regards furtifs autour d’eux. Comme si la plage entière retenait son souffle, suspendue à cette tension électrique qu’elle venait d’instaurer. Allongée sur sa serviette, Virginie sentait le soleil réchauffer son corps encore humide. Mais ce n’était pas la chaleur du soleil qui faisait battre son cœur plus fort. C’était autre chose. Les regards.
Elle les sentait sur elle. Ces hommes qui faisaient semblant de ne pas la voir, mais qui étaient incapables de détourner les yeux. Ce couple un peu plus loin, dont la femme semblait amusée tandis que son compagnon luttait pour rester discret.
Et Steve, assis juste à côté d’elle, dont la main effleurait distraitement son dos nu, comme un avertissement silencieux.
— Toujours envie de jouer ? murmura-t-il, sa voix basse et brûlante.
Virginie ouvrit les yeux et tourna légèrement la tête vers lui.
— Ça dépend… quel est ton défi ?
Steve laissa son regard glisser sur elle, puis sur la plage autour.
— Joue avec la crème solaire, proposa-t-il. Mais fais-le… comme tu sais si bien le faire.
Un sourire mutin éclaira le visage de Virginie.
Elle se redressa lentement, sans chercher à cacher quoi que ce soit, et attrapa le flacon de crème solaire. Elle savait que tous les regards étaient déjà sur elle. Alors autant leur offrir ce qu’ils attendaient. Elle pressa lentement le flacon au-dessus de sa poitrine, laissant un filet de crème couler entre ses seins, avant de l’étaler du bout des doigts.
Ses mains glissèrent sur sa peau, massant chaque courbe avec une sensualité calculée. Elle fit durer le moment, traçant des cercles autour de ses seins, effleurant à peine ses tétons durcis par l’excitation et la chaleur.
Plus loin, un homme allongé sur une serviette avait mis ses lunettes de soleil, mais elle savait qu’il ne perdait pas une miette du spectacle. Elle fit descendre ses mains plus bas, appliquant la crème sur son ventre, puis sur ses hanches. Chaque mouvement était une caresse, un frisson. Steve la regardait, fasciné.
— Tu es infernale, souffla-t-il.
Elle se tourna vers lui, son regard brûlant d’amusement.
— Je crois que notre voisin aimerait un peu de crème lui aussi…
Elle jeta un coup d’œil vers Jacques, le vieil homme qui logeait dans le bungalow voisin. Il était assis sur sa chaise longue, un livre en main, mais il n’avait tourné aucune page depuis un bon moment…
Virginie attrapa le flacon de crème et se leva avec une lenteur étudiée. Sa peau luisait sous le soleil, chaque mouvement mettant en valeur les courbes de son corps. Elle sentait les regards sur elle, certains furtifs, d’autres assumés.
Elle se dirigea vers Jacques, son sourire mutin accroché aux lèvres.
Le vieil homme releva la tête lorsqu’il la vit approcher. Son livre resta ouvert sur ses genoux, mais il n’y prêta plus aucune attention.
— Vous devriez faire attention au soleil, Jacques, murmura-t-elle d’une voix douce. Vous voulez que je vous mette un peu de crème ?
Elle le vit déglutir discrètement, hésitant un instant. Puis, dans un souffle :
— Si ça ne vous dérange pas…
Virginie se plaça derrière lui, s’agenouillant juste assez près pour que sa poitrine frôle légèrement son dos. Elle fit couler un filet de crème sur ses épaules et commença à l’étaler avec des gestes lents, presque caressants.
Ses mains glissaient sur sa peau tannée par le soleil, ses doigts traçaient de petits cercles, appuyant parfois juste ce qu’il fallait pour amplifier la sensation. Elle s’amusa à se pencher légèrement en avant, sachant pertinemment que son corps se retrouvait exposé juste devant lui.
Jacques restait immobile, son souffle légèrement plus rapide. Autour d’eux, le silence s’était installé.
Virginie savait que plusieurs vacanciers jetaient des coups d’œil dans leur direction, curieux de cette scène troublante. Certains faisaient mine de discuter, mais leurs regards revenaient sans cesse sur elle. Elle continua son massage quelques secondes de plus, effleurant la nuque de Jacques, glissant doucement vers ses bras. Puis, comme si de rien n’était, elle se redressa et recula d’un pas.
— Voilà, maintenant vous êtes protégé, dit-elle avec un sourire amusé.
Jacques expira lentement, comme s’il venait de retenir son souffle trop longtemps.
— Merci, Virginie… souffla-t-il, la voix légèrement rauque.
Elle se retourna vers Steve, qui l’observait avec un regard brûlant.
— Tu veux que je t’en mette aussi ? demanda-t-elle malicieusement.
Steve se mordit la lèvre.
— Si tu continues comme ça, je ne vais plus pouvoir me contrôler…
Steve rentra du travail, fatigué mais impatient de retrouver Virginie. Lorsqu’il passa la porte, elle l’attendait, appuyée contre le comptoir de la cuisine, un sourire espiègle aux lèvres. Sa robe légère moulait son corps à la perfection, mettant en valeur sa poitrine généreuse qu’elle aimait tant exhiber.
— J’ai une surprise pour toi, annonça-t-elle en jouant avec la fine bretelle de sa robe.
Il haussa un sourcil, intrigué. Virginie adorait pimenter leur quotidien, et il savait que cette annonce n’était pas anodine.
— J’ai réservé nos vacances… notre première vraie escapade ensemble.
— Ah oui ? Où ça ? demanda Steve, curieux.
— Un domaine naturiste, répondit-elle, plantant son regard brûlant dans le sien. Un petit bungalow, juste au bord de la mer…
Un silence s’installa, chargé de tension. Steve comprit aussitôt le jeu de Virginie. Elle adorait être regardée, admirer les regards qui glissaient sur son corps offert sans retenue.
— Tu veux t’exhiber, murmura-t-il en s’approchant d’elle, posant une main ferme sur sa hanche.
— J’ai envie d’être libre… de sentir les regards sur moi… sur nous, souffla-t-elle en effleurant son torse.
Steve sentit un frisson parcourir son échine. Ces vacances promettaient d’être inoubliables.
Le jour J arriva plus vite que prévu. Excités par cette aventure inédite, Steve et Virginie prirent la route en direction du domaine naturiste. Plus ils s’en approchaient, plus Virginie sentait une chaleur délicieuse envahir son ventre.
À l’entrée, un homme d’une cinquantaine d’années, le torse nu et bronzé, les accueillit avec un sourire chaleureux.
— Bienvenue ! Vous êtes Steve et Virginie, c’est bien ça ?
— Oui, répondit Steve en serrant la main de l’homme.
— Parfait. Je vais vous expliquer les règles du domaine…
L’homme leur détailla les principes fondamentaux :
— Ici, la nudité était la norme, mais toujours dans le respect des autres. Aucune contrainte, chacun allait à son rythme. Pas de photos, pas de voyeurisme déplacé, juste une atmosphère de liberté totale.
Virginie buvait ses paroles, ses doigts jouant nerveusement avec l’ourlet de sa robe. L’idée d’être nue parmi d’autres inconnus lui procurait une excitation qu’elle ne se cachait plus.
On les conduisit jusqu’à leur bungalow, un petit cocon en bois avec une terrasse équipée de deux transats et d’une table. Juste devant, un sentier menait directement à la plage, où des silhouettes nues se dessinaient déjà sous le soleil brûlant.
Dès que la porte se referma derrière eux, Virginie se tourna vers Steve, son regard brûlant de malice.
— Alors, tu es prêt à me voir comme jamais ? murmura-t-elle en glissant lentement les bretelles de sa robe de ses épaules.
Le tissu glissa le long de son corps, révélant ses courbes sous la lumière dorée. Elle se tenait là, fière, offerte, savourant le frisson de l’interdit qui s’effaçait peu à peu.
Steve sentit son souffle s’accélérer. Ces vacances s’annonçaient bien plus intenses qu’il ne l’avait imaginé…
Virginie noua un paréo transparent à sa taille, laissant ses seins fièrement exposés. L’air chaud caressa sa peau nue tandis qu’elle préparait son sac de plage, glissant à l’intérieur une serviette, de la crème solaire et une bouteille d’eau.
Steve, lui, prit son temps pour se déshabiller. Il observait Virginie, admirant sa confiance, son plaisir évident à se montrer.
— Tu as l’air déjà excitée, dit-il avec un sourire en coin.
Elle se retourna vers lui, un éclat de malice dans les yeux.
— Je sens que je vais avoir du mal à te contrôler…
Elle s’approcha lentement, laissant sa poitrine effleurer son torse avant de déposer un baiser brûlant sur ses lèvres. Au moment où ils sortirent du bungalow, ils tombèrent sur leur voisin, un homme d’une soixantaine d’années, entièrement nu, la peau tannée par le soleil et un sourire bienveillant aux lèvres.
— Bonjour, mes jeunes amis ! lança-t-il d’un ton jovial. Bienvenue au paradis naturiste !
Virginie et Steve échangèrent un regard amusé avant de répondre.
— Merci, Jacques, répondit Steve en lui serrant la main.
Les yeux du vieil homme glissèrent naturellement sur le corps de Virginie, sans gêne ni vulgarité, comme s’il savourait simplement la beauté de la nudité.
— Vous allez à la plage ?
— Oui, répondit Virginie avec un sourire complice. Il fait trop beau pour ne pas en profiter.
— Ah, vous allez voir, c’est un vrai plaisir de s’y promener sans contrainte. On se sent libre comme jamais…
Virginie mordilla sa lèvre, déjà impatiente de sentir les regards sur elle.
— Je vous laisse profiter alors, dit Jacques avec un clin d’œil avant de s’éloigner tranquillement.
Steve posa une main sur la chute de reins de Virginie.
— Je crois que tu as trouvé un admirateur…
— Tu crois ? souffla-t-elle en se frottant contre lui.
Virginie avançait d’un pas léger sur le sentier menant à la plage, savourant la chaleur du soleil sur sa peau nue. Seul son paréo transparent, noué à la taille, lui donnait un semblant d’habillage. Ses seins lourds et fiers rebondissaient librement au rythme de ses pas, attirant des regards à chaque coin du domaine.
Elle sentait cette tension électrique monter en elle, un frisson d’excitation la parcourir à l’idée de tous ces inconnus qui la dévoraient des yeux.
— Tu devrais peut-être attacher ton paréo un peu mieux, glissa Steve en souriant.
— Et pourquoi ? demanda-t-elle innocemment.
— Parce qu’il pourrait tomber au moindre mouvement…
Elle haussa un sourcil, un sourire mutin aux lèvres.
— Oh ? C’est embêtant, ça…
Steve attrapa les pans du tissu et fit mine de le nouer plus solidement. Mais au lieu de le serrer, il le fixa si lâchement qu’un simple coup de vent suffirait à le faire glisser.
— Voilà, c’est mieux, murmura-t-il.
Virginie se mordilla la lèvre, frissonnant à l’idée de ce qui pouvait arriver. Ils reprirent leur marche, longeant les bungalows où plusieurs vacanciers se prélassaient. Quelques hommes, installés sur leur terrasse ou marchant sur le sentier, ne se gênaient pas pour admirer son corps offert. Soudain, une brise légère souffla… et, comme prévu, le paréo glissa doucement, s’ouvrant sur ses hanches avant de tomber à ses pieds.
Virginie s’arrêta net, feignant la surprise. Autour d’eux, plusieurs regards s’étaient tournés vers elle.
— Oups… souffla-t-elle en fixant Steve, amusée.
Elle se pencha lentement pour ramasser le tissu, offrant une vue imprenable sur sa poitrine et la courbe de ses fesses. Lorsqu’elle se redressa, elle croisa le regard d’un homme plus loin, assis sur un banc, qui ne semblait pas vouloir détourner les yeux.
Au lieu de renfiler immédiatement son paréo, elle le laissa pendre négligemment entre ses doigts, savourant le frisson d’être totalement nue sous les yeux de parfaits inconnus.
— On continue ? murmura-t-elle à Steve en glissant sa main dans la sienne.
— Si tu es prête à recommencer ce petit accident en route…
Elle éclata de rire, s’imaginant déjà d’autres occasions de jouer avec cette nouvelle liberté.
Le sable chaud caressa leurs pieds lorsqu’ils arrivèrent sur la plage. L’endroit était idyllique : une vaste étendue dorée bordée par une mer scintillante, et des corps dénudés profitant du soleil en toute liberté.
Virginie choisit un emplacement stratégique, non loin d’un petit groupe d’hommes qui discutaient à voix basse. Elle étendit sa serviette avec nonchalance, sachant pertinemment que chaque mouvement attirait des regards.
Elle s’installa lentement, croisant les jambes avant de saisir son flacon de crème solaire. Steve l’observait déjà avec intensité, mais elle voulait jouer encore un peu avec lui… et avec les autres. Elle fit couler une généreuse dose de crème dans ses mains, puis posa délicatement ses paumes sur sa poitrine nue. Un soupir lui échappa lorsqu’elle commença à masser la crème sur sa peau, ses doigts glissant lentement sur ses courbes pleines.
Steve déglutit, captivé par le spectacle qu’elle lui offrait.
— Tu comptes faire ça toute seule ? murmura-t-il, les yeux brillants d’excitation.
Elle sourit, continuant son jeu, effleurant ses tétons durcis du bout des doigts, étalant la crème avec une lenteur calculée.
— Je veux m’assurer que chaque centimètre de ma peau est bien protégé… souffla-t-elle, le regard brûlant.
Autour d’eux, les conversations semblaient ralentir. Quelques hommes, allongés sur leurs serviettes ou assis sur le sable, jetaient des coups d’œil discrets… ou moins discrets. L’un d’eux, plus audacieux, la fixait sans détourner les yeux. Virginie sentit une vague d’excitation l’envahir. Elle prit alors la main de Steve et la guida vers sa poitrine.
— Aide-moi…
Il ne se fit pas prier. Ses doigts s’emparèrent de ses seins, les pétrissant avec fermeté, étalant la crème tout en jouant avec ses formes. Virginie bascula légèrement la tête en arrière, savourant le mélange exquis d’exhibition et de plaisir.
— Tu es infernale… grogna Steve, le souffle court.
— Et tu adores ça…
Virginie s’étira langoureusement sur sa serviette, savourant la sensation du soleil caressant sa peau nue. Elle jeta un coup d’œil autour d’elle : plusieurs hommes semblaient captivés par le spectacle qu’elle leur offrait. Certains tentaient de rester discrets, d’autres assumaient leur regard sans gêne.
Steve, allongé à côté d’elle, l’observait avec amusement.
— J’ai un défi pour toi, murmura-t-il en se penchant vers elle.
Elle tourna la tête, intriguée.
— Oh ? Quel genre de défi ?
— Traverse la plage jusqu’à l’eau… lentement… sans chercher à cacher quoi que ce soit. Fais comme si tu étais seule, mais ressens chaque regard sur toi.
Virginie frissonna. Elle adorait ce jeu, cette montée d’adrénaline qui accompagnait l’excitation d’être vue.
— Facile, souffla-t-elle avec un sourire mutin.
Elle se leva sans précipitation, s’étirant légèrement, consciente que chaque mouvement mettait en valeur son corps offert à la lumière du jour. Ses seins se soulevèrent dans un doux balancement, et avant même de commencer sa marche, elle sentit plusieurs regards glisser sur elle. Elle s’élança sur le sable chaud, prenant son temps. Chaque pas était une invitation, chaque mouvement une provocation calculée. Le soleil accentuait l’éclat de sa peau, et elle sentit des frissons d’excitation parcourir son échine.
Elle croisa un groupe d’hommes assis sous un parasol. L’un d’eux s’interrompit en plein milieu d’une phrase, son regard accroché à sa poitrine. Virginie ne put s’empêcher de sourire en coin. Puis elle passa près d’un couple plus âgé. La femme sourit en la voyant passer, tandis que son mari détourna maladroitement les yeux, comme s’il se forçait à ne pas trop fixer son corps.
À quelques mètres de l’eau, Virginie ralentit encore, sentant le regard brûlant de Steve dans son dos. Elle savait qu’il adorait la voir ainsi, totalement libre, s’amusant à tester les limites du regard des autres. Une brise soudaine fit courir un frisson sur sa peau nue alors qu’elle atteignait enfin l’eau. Elle s’y enfonça lentement, laissant les vagues caresser ses jambes, puis son ventre, avant d’immerger sa poitrine dans l’eau fraîche.
Elle jeta un coup d’œil vers la plage : certains continuaient de l’observer, fascinés.
Elle plongea sous l’eau, savourant cette montée d’adrénaline, avant de refaire surface en rejetant ses cheveux en arrière dans un geste sensuel. De loin, Steve la fixait toujours, un sourire aux lèvres. Virginie resta quelques instants dans l’eau, savourant le frisson du contraste entre la chaleur du soleil et la fraîcheur des vagues qui léchaient sa peau nue. Elle jeta un coup d'œil vers la plage : les regards ne s’étaient pas détournés. Certains hommes faisaient mine de discuter entre eux, mais elle voyait bien leurs yeux glisser sur elle à intervalles réguliers.
Un sourire mutin aux lèvres, elle décida de pousser le jeu encore plus loin.
Elle plongea ses mains dans l’eau et les remonta lentement, laissant les gouttes ruisseler entre ses doigts avant de les faire couler le long de son corps. Elle caressa ses bras, ses épaules, puis descendit sur sa poitrine, effleurant ses seins d’un geste langoureux.
La fraîcheur lui arracha un soupir. Ses doigts glissèrent doucement, traçant un sillon humide sur sa peau dorée. Elle massa sa poitrine, la soulevant légèrement avant de la relâcher dans un mouvement lent et calculé. Un frisson la parcourut lorsqu’elle sentit l’eau s’écouler sur ses tétons durcis. Elle jeta un coup d’œil furtif à Steve, qui l’observait depuis la plage, les mâchoires crispées sous l’effet du désir.
— Tu comptes me torturer longtemps comme ça ? lança-t-il d’un ton rauque.
Elle fit mine de ne pas entendre et continua son jeu, cette fois en faisant couler l’eau sur son ventre, puis plus bas, effleurant ses cuisses avec une sensualité provocante.
Les vagues accompagnaient son mouvement, l’enveloppant dans une étreinte liquide, comme une caresse prolongée.
Un homme qui nageait non loin sembla ralentir son crawl, fascinant par ce spectacle inattendu. Virginie ferma les yeux un instant, savourant le pouvoir qu’elle exerçait sur ceux qui l’entouraient.
Quand elle les rouvrit, Steve était déjà en train de la rejoindre dans l’eau, son regard brûlant de promesses.
— Tu veux jouer ? murmura-t-il en s’approchant d’elle.
— Toujours… souffla-t-elle en laissant ses doigts effleurer son torse.
Steve s’approcha lentement, l’eau effleurant son torse alors que Virginie continuait de jouer avec les vagues sur sa peau. Elle savourait l’excitation qui montait entre eux, mais aussi celle qu’elle provoquait chez ceux qui l’observaient.
Les rayons du soleil faisaient scintiller l’eau autour d’eux, créant un écrin lumineux où chaque mouvement semblait amplifié. Virginie plongea de nouveau ses mains, cette fois pour les laisser glisser lentement sur son ventre, ses hanches, effleurant la courbe de ses cuisses avec une sensualité délibérée.
Elle s’amusait à tester les limites de Steve, à voir jusqu’où elle pouvait le faire craquer. Mais elle ignorait encore qu’un autre regard suivait ses moindres gestes… Alors qu’elle basculait légèrement la tête en arrière, profitant du frisson de l’eau sur sa poitrine, une ombre furtive attira son attention sous la surface.
Un nageur, plus loin, venait de plonger en apnée. Il avançait lentement sous l’eau, comme s’il savourait le calme de l’océan… ou peut-être autre chose.
Virginie sentit une décharge électrique parcourir son corps en réalisant que l’homme s’attardait juste en dessous d’elle. Il ne bougeait presque plus, semblant fixer son corps ondulant dans l’eau. L’idée d’être observée dans cet instant d’intimité amplifia son excitation. Elle échangea un regard rapide avec Steve, qui comprit immédiatement ce qui se passait.
— Tu as un admirateur, murmura-t-il avec un sourire en coin.
Virginie mordilla sa lèvre inférieure. Elle aurait pu reculer, se cacher un peu plus sous l’eau… mais elle n’en fit rien. Au lieu de cela, elle se laissa lentement flotter, ouvrant légèrement les cuisses sous l’eau, comme si de rien n’était.
L’homme en apnée resta quelques secondes immobile, hypnotisé par le spectacle, avant de finalement remonter à la surface, son souffle court, les joues légèrement rougies par l’effort… ou par autre chose. Il croisa le regard de Virginie, mais ne dit rien. Juste un sourire discret avant de se détourner, troublé.
Steve s’approcha d’elle et la saisit doucement par la taille.
— Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? souffla-t-il, son désir de plus en plus palpable.
— C’était un accident, chuchota-t-elle d’une voix faussement innocente.
L’homme venait de refaire surface, son souffle encore court après son apnée. Il avait vu. Il avait compris. Et Virginie sentait une montée d’adrénaline l’envahir en réalisant à quel point ce moment l’avait troublé… mais aussi excité.
Elle fixa Steve, dont le regard brûlait d’un mélange de désir et d’amusement. Il savait qu’elle ne s’arrêterait pas là. D’un mouvement fluide, elle plongea à son tour sous l’eau. L’océan l’enveloppa dans un silence cotonneux, coupant le monde extérieur pour ne laisser place qu’à cette bulle intime et interdite.
Le nageur n’était qu’à quelques mètres, flottant paisiblement, mais elle savait qu’il la voyait.
Alors, lentement, Virginie ouvrit légèrement les jambes sous l’eau, jouant avec le courant qui caressait sa peau nue. Elle glissa une main le long de son clitoris, l’effleurant du bout des doigts avant de descendre plus bas, traçant des cercles sensuels sur son intimité.
Elle n’avait jamais ressenti une telle montée d’excitation. L’idée d’être vue, désirée, impuissante face à ce regard indiscret qui la scrutait dans cette eau limpide, l’enivrait totalement. Le nageur ne bougeait plus. Il retenait son souffle, suspendu à ce spectacle irréel.
Puis, Virginie remonta lentement à la surface, brisant l’instant en reprenant une grande bouffée d’air.
Steve, qui l’avait vue disparaître, s’approcha immédiatement, ses mains trouvant ses hanches sous l’eau.
— T’es complètement folle… murmura-t-il à son oreille, son souffle brûlant contre sa peau.
— Et ça te plaît, non ? répondit-elle, espiègle.
Elle jeta un regard furtif vers le nageur. Il était toujours là, flottant à quelques mètres, troublé. Son sourire en coin confirmait qu’il n’oublierait pas cette vision de sitôt.
Virginie frissonna en sentant l’eau glisser sur son corps tandis qu’elle remontait doucement à la surface. Son cœur battait à un rythme effréné, non pas à cause de l’effort, mais de l’adrénaline qui l’envahissait après ce jeu interdit sous l’eau.
Steve la regardait avec une intensité qui en disait long. Il savait ce qu’elle venait de faire. Il avait vu le nageur retenir son souffle, figé sous l’eau, hypnotisé par ce qu’il venait d’apercevoir.
Virginie se redressa dans l’eau, rejetant ses cheveux en arrière, envoyant une pluie de gouttelettes scintillantes autour d’elle. Sa poitrine nue, perlée d’eau, se souleva dans un mouvement lent et sensuel. Elle jeta un dernier regard au nageur, toujours à quelques mètres, le souffle court. Puis, avec un sourire mutin, elle fit volte-face et commença à marcher vers la plage.
Chaque pas qu’elle faisait hors de l’eau accentuait la révélation de son corps sous le soleil éclatant. Ses hanches ondulaient légèrement, sa peau luisante d’eau captait chaque rayon du soleil. Les conversations autour d’elle semblaient s’interrompre par instants. Des hommes détournaient le regard un peu trop tard, leurs yeux piégés dans l’instant. Certains vacanciers feignaient l’indifférence, mais elle voyait bien leurs regards en coin, leur fascination mal dissimulée.
Elle passa près d’un groupe d’hommes assis sous un parasol. L’un d’eux déglutit discrètement, tentant de se concentrer sur son verre, mais son regard se perdit un instant sur les gouttes d’eau glissant entre ses seins.
Plus loin, un couple sur une serviette semblait observer la scène avec amusement. La femme chuchota quelque chose à son compagnon, qui esquissa un sourire complice.
Virginie se mordilla la lèvre, troublée par ce pouvoir qu’elle exerçait.
Lorsqu’elle atteignit finalement sa serviette, Steve était juste derrière elle.
— Tu es un vrai danger public, souffla-t-il en s’asseyant près d’elle.
Elle rit doucement, s’allongeant sur le ventre, sa peau nue offerte aux rayons du soleil.
— Et tu adores ça, non ?
Steve passa lentement sa main sur le bas de son dos, effleurant sa peau brûlante.
— Tu n’as même pas idée…
Mais ils n’étaient pas seuls. Et Virginie le savait très bien.
Elle sentit encore ces regards furtifs autour d’eux. Comme si la plage entière retenait son souffle, suspendue à cette tension électrique qu’elle venait d’instaurer. Allongée sur sa serviette, Virginie sentait le soleil réchauffer son corps encore humide. Mais ce n’était pas la chaleur du soleil qui faisait battre son cœur plus fort. C’était autre chose. Les regards.
Elle les sentait sur elle. Ces hommes qui faisaient semblant de ne pas la voir, mais qui étaient incapables de détourner les yeux. Ce couple un peu plus loin, dont la femme semblait amusée tandis que son compagnon luttait pour rester discret.
Et Steve, assis juste à côté d’elle, dont la main effleurait distraitement son dos nu, comme un avertissement silencieux.
— Toujours envie de jouer ? murmura-t-il, sa voix basse et brûlante.
Virginie ouvrit les yeux et tourna légèrement la tête vers lui.
— Ça dépend… quel est ton défi ?
Steve laissa son regard glisser sur elle, puis sur la plage autour.
— Joue avec la crème solaire, proposa-t-il. Mais fais-le… comme tu sais si bien le faire.
Un sourire mutin éclaira le visage de Virginie.
Elle se redressa lentement, sans chercher à cacher quoi que ce soit, et attrapa le flacon de crème solaire. Elle savait que tous les regards étaient déjà sur elle. Alors autant leur offrir ce qu’ils attendaient. Elle pressa lentement le flacon au-dessus de sa poitrine, laissant un filet de crème couler entre ses seins, avant de l’étaler du bout des doigts.
Ses mains glissèrent sur sa peau, massant chaque courbe avec une sensualité calculée. Elle fit durer le moment, traçant des cercles autour de ses seins, effleurant à peine ses tétons durcis par l’excitation et la chaleur.
Plus loin, un homme allongé sur une serviette avait mis ses lunettes de soleil, mais elle savait qu’il ne perdait pas une miette du spectacle. Elle fit descendre ses mains plus bas, appliquant la crème sur son ventre, puis sur ses hanches. Chaque mouvement était une caresse, un frisson. Steve la regardait, fasciné.
— Tu es infernale, souffla-t-il.
Elle se tourna vers lui, son regard brûlant d’amusement.
— Je crois que notre voisin aimerait un peu de crème lui aussi…
Elle jeta un coup d’œil vers Jacques, le vieil homme qui logeait dans le bungalow voisin. Il était assis sur sa chaise longue, un livre en main, mais il n’avait tourné aucune page depuis un bon moment…
Virginie attrapa le flacon de crème et se leva avec une lenteur étudiée. Sa peau luisait sous le soleil, chaque mouvement mettant en valeur les courbes de son corps. Elle sentait les regards sur elle, certains furtifs, d’autres assumés.
Elle se dirigea vers Jacques, son sourire mutin accroché aux lèvres.
Le vieil homme releva la tête lorsqu’il la vit approcher. Son livre resta ouvert sur ses genoux, mais il n’y prêta plus aucune attention.
— Vous devriez faire attention au soleil, Jacques, murmura-t-elle d’une voix douce. Vous voulez que je vous mette un peu de crème ?
Elle le vit déglutir discrètement, hésitant un instant. Puis, dans un souffle :
— Si ça ne vous dérange pas…
Virginie se plaça derrière lui, s’agenouillant juste assez près pour que sa poitrine frôle légèrement son dos. Elle fit couler un filet de crème sur ses épaules et commença à l’étaler avec des gestes lents, presque caressants.
Ses mains glissaient sur sa peau tannée par le soleil, ses doigts traçaient de petits cercles, appuyant parfois juste ce qu’il fallait pour amplifier la sensation. Elle s’amusa à se pencher légèrement en avant, sachant pertinemment que son corps se retrouvait exposé juste devant lui.
Jacques restait immobile, son souffle légèrement plus rapide. Autour d’eux, le silence s’était installé.
Virginie savait que plusieurs vacanciers jetaient des coups d’œil dans leur direction, curieux de cette scène troublante. Certains faisaient mine de discuter, mais leurs regards revenaient sans cesse sur elle. Elle continua son massage quelques secondes de plus, effleurant la nuque de Jacques, glissant doucement vers ses bras. Puis, comme si de rien n’était, elle se redressa et recula d’un pas.
— Voilà, maintenant vous êtes protégé, dit-elle avec un sourire amusé.
Jacques expira lentement, comme s’il venait de retenir son souffle trop longtemps.
— Merci, Virginie… souffla-t-il, la voix légèrement rauque.
Elle se retourna vers Steve, qui l’observait avec un regard brûlant.
— Tu veux que je t’en mette aussi ? demanda-t-elle malicieusement.
Steve se mordit la lèvre.
— Si tu continues comme ça, je ne vais plus pouvoir me contrôler…
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