Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste Chapitre 2

- Par l'auteur HDS Steve40 -
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Récit libertin : Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste  Chapitre 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste Chapitre 2
Chapitre 2 : Premiers pas avec Jacques, l'Ami du domaine


Après cette première après-midi au bord de l’océan, le soleil déclinait lentement à l’horizon, enveloppant le domaine naturiste d’une douce lumière orangée. Steve et Virginie rentraient tranquillement vers leur bungalow après une première journée de farniente et de plaisirs ensoleillés. Virginie, nue comme à son habitude, savourait la liberté de son corps exposé aux caresses du vent tiède.
À leur arrivée, ils trouvèrent Jacques, déjà installé à sa table avec un verre de vin blanc à la main. Il semblait savourer pleinement ce moment.
— Ah, mes jeunes amis ! lança-t-il avec un sourire. Quelle belle journée, n’est-ce pas ? Virginie, je voulais encore te remercier pour ton aide cet après-midi… Ta douceur m’a fait un bien fou.
Virginie rit légèrement et jeta un regard complice à Steve. Elle se souvenait très bien de ce moment où elle avait appliqué de la crème solaire sur le dos du sexagénaire, ses mains effleurant sa peau encore ferme sous les effets du soleil et du temps.
— C’était avec plaisir, Jacques, répondit-elle en s’asseyant sans la moindre gêne face à lui.
Steve s’installa à son tour pendant que Jacques leur servait un verre. L’ambiance était légère, un peu chargée d’une tension imperceptible. Virginie sentait les regards masculins sur elle, et loin de s’en offusquer, elle en jouait avec une subtile sensualité.
— Vous êtes un couple charmant, observa Jacques en levant son verre.
Virginie croisa les jambes lentement, laissant son pied effleurer celui de son mari. La soirée ne faisait que commencer...
Jacques parlait avec passion, racontant son passé avec son épouse disparue. Ils avaient découvert le naturisme ensemble, une philosophie de vie qui avait renforcé leur complicité et leur liberté. Chaque année, il revenait ici, renouant avec ces souvenirs empreints de chaleur et de plaisir simple.
Virginie l’écoutait attentivement, son regard pétillant de curiosité et de malice. Elle appréciait l’enthousiasme du vieil homme, son énergie communicative et sa voix grave qui résonnait sous la douceur de la nuit.
— C’est beau, murmura-t-elle. On sent combien elle comptait pour vous…
Jacques hocha la tête, un sourire nostalgique au coin des lèvres. Son regard dériva alors sur la peau légèrement rosée de Virginie, marquée par le soleil de la journée.
— Tu as pris quelques couleurs, fit-il remarquer. Attention à ne pas brûler…
Virginie baissa les yeux vers ses épaules et acquiesça. Effectivement, une légère rougeur trahissait l’ardeur du soleil. Sans hésitation, elle attrapa un tube de crème posé sur la table et le tendit à Jacques avec un sourire amusé.
— Vous pourriez m’aider ? demanda-t-elle d’une voix douce. Après tout, j’ai fait pareil pour vous ce matin…
Un instant de flottement s’installa. Steve, silencieux mais attentif, observait la scène avec un léger sourire en coin. Jacques, un brin surpris, hésita avant de prendre le tube, son regard glissant malgré lui sur le corps dénudé de la jeune femme.
— Avec plaisir, répondit-il finalement.
Il se leva et se plaça derrière Virginie, ses mains prenant une noisette de crème avant de la déposer délicatement sur sa peau brûlante. Ses doigts expérimentés commencèrent à masser ses épaules, étalant la lotion avec des gestes lents et appliqués.
Virginie ferma les yeux, savourant le contraste entre la fraîcheur de la crème et la chaleur des paumes de Jacques. Son toucher était à la fois sûr et précautionneux, glissant le long de sa nuque, effleurant la naissance de sa poitrine sans jamais franchir la frontière de la bienséance… pour l’instant.
Steve les observait, amusé et intrigué.
— Tu as un vrai don, Jacques, glissa-t-il avec un sourire.
Jacques rit doucement.
— Des années de pratique… Mais il faut dire que j’ai un modèle particulièrement agréable ce soir.
Virginie ouvrit les yeux et croisa son regard, un éclat malicieux dans les siens.
— Continuez… C’est très agréable.
Les mains de Jacques glissaient sur la peau satinée de Virginie, étalant la crème avec une douceur presque hypnotique. Son souffle chaud effleurait sa nuque, et elle frissonna légèrement sous ce mélange de fraîcheur et de chaleur.
Puis, dans un mouvement lent et délibéré, Virginie redressa son buste, bombant légèrement la poitrine. Son regard provocant se planta dans celui de Jacques, un sourire au coin des lèvres.
— Vous pourriez aussi m’en mettre ici… murmura-t-elle en effleurant le haut de ses seins du bout des doigts.
Un silence chargé d’électricité s’abattit sur la terrasse. Jacques, figé un instant, scrutait son visage, cherchant à s’assurer qu’elle mesurait bien la portée de sa demande. Steve, installé confortablement dans son fauteuil, observait la scène sans intervenir, son sourire en coin révélant un amusement complice.
— Je… Bien sûr, répondit Jacques, la voix légèrement rauque.
Il prit une nouvelle noisette de crème et posa délicatement ses mains sur le haut de la poitrine de Virginie. Son toucher était hésitant au début, presque respectueux, mais la souplesse de sa peau sous ses paumes sembla l’encourager. Il étala la lotion avec des mouvements lents et circulaires, effleurant la courbe des seins sans jamais aller trop loin.
Virginie soupira doucement, appréciant la sensualité du moment. Elle n’était pas pudique, et sentir ces mains plus âgées sur son corps éveillait en elle une chaleur inattendue.
— Vous êtes très délicat, Jacques, souffla-t-elle, le regard brûlant.
L’homme esquissa un sourire, son regard accroché au sien.
— Il faut toujours savoir apprécier les belles choses… et en prendre soin.
Steve, silencieux jusque-là, se redressa légèrement, observant sa femme avec un intérêt manifeste.
— Il semblerait que tu sois entre de bonnes mains, Virginie…
Elle tourna la tête vers lui, un sourire mutin sur les lèvres, puis reporta son attention sur Jacques, dont les mains continuaient d’explorer lentement, timidement, comme s’il testait les limites de cette tension délicieuse qui flottait dans l’air.
— Peut-être devriez-vous insister un peu plus… souffla-t-elle en penchant légèrement la tête en arrière.
Virginie prit doucement les mains de Jacques et les guida sur sa poitrine, l’invitant à explorer avec plus d’assurance. Ses doigts fermes et légèrement rugueux s’adaptèrent rapidement à la douceur de sa peau, pressant et caressant avec une lenteur savoureuse. Un frisson parcourut son corps lorsqu’il se risqua à approfondir son toucher, savourant la chaleur de ce moment inattendu.
Steve, toujours assis en retrait, ne disait rien, mais son regard brûlait d’un mélange d’excitation et de curiosité. Il connaissait sa femme et savait qu’elle adorait jouer avec les limites du plaisir et de la tentation. Après quelques minutes de cette sensualité suspendue, Virginie, un sourire énigmatique aux lèvres, recula doucement.
— Merci, Jacques… souffla-t-elle, sa voix légèrement voilée. Je crois que vous êtes un excellent masseur.
L’homme, un peu troublé mais visiblement ravi, lui adressa un regard complice.
— Tout le plaisir était pour moi…
Steve se leva alors, posant une main sur la hanche de Virginie.
— Il se fait tard… On va aller se reposer. Merci pour ce moment, Jacques.
L’homme hocha la tête et leur fit un signe amical tandis que le couple regagnait leur bungalow.

Dans leur chambre, la chaleur de la nuit pesait doucement sur leurs corps. Virginie s’étira lentement, nue sous la lumière tamisée. Elle alla jusqu’à la fenêtre et jeta un regard vers la terrasse voisine. Jacques était toujours là, assis tranquillement, un verre à la main, semblant perdu dans ses pensées.
Un sourire espiègle se dessina sur ses lèvres.
Elle se tourna vers Steve, qui s’était allongé sur le lit en la regardant, attendant visiblement de voir ce qu’elle avait en tête.
— Tu as vu ? Il est encore là… murmura-t-elle d’une voix joueuse.
Steve haussa un sourcil.
— Et alors ?
Elle se mordit légèrement la lèvre et jeta un dernier regard vers Jacques avant de se redresser, prenant bien soin d’exhiber ses courbes sous la lumière.
— Et si on lui offrait un dernier souvenir de cette soirée… ?
Steve sourit lentement, comprenant exactement où elle voulait en venir.
Virginie se rapprocha du lit, posa un genou dessus et vint glisser son corps contre celui de son mari. Son souffle était déjà plus court, son excitation grandissante à l’idée d’être vue.
— Tu es sûre ? souffla Steve en caressant sa hanche.
— Complètement…
Elle se redressa, se plaça volontairement face à la fenêtre entrouverte… et la nuit continua, sous le regard discret mais captivé de Jacques.
Dans la chambre faiblement éclairée, Steve attira Virginie contre lui, leurs corps nus s’épousant naturellement. Son souffle chaud effleurait sa peau tandis que ses mains glissaient le long de ses courbes avec une envie contenue. Virginie frissonna sous ses caresses, les yeux mi-clos, savourant chaque instant de cette montée de désir.
Elle se plaça face à la fenêtre entrouverte, consciente du regard qui, peut-être, était encore posé sur elle. Son sourire mutin trahissait son excitation grandissante.
Steve la saisit fermement par la taille et la fit basculer sous lui. Leurs souffles se mêlèrent dans un gémissement étouffé lorsqu’il la pénétra lentement, savourant la chaleur de son corps offert. Virginie se cambra, ses doigts agrippant les draps alors qu’il imprimait un rythme profond et maîtrisé.
Sur la terrasse voisine, Jacques, toujours assis avec son verre à la main, laissa son regard errer distraitement dans la direction du bungalow. Il ne pouvait voir distinctement ce qu’il s’y passait, mais il aperçut Virginie, son visage tourné légèrement vers la fenêtre, ses lèvres entrouvertes, son sourire troublant.
Et alors, il comprit.
Il n’avait pas besoin de voir pour deviner. L’intensité de son expression, la façon dont elle semblait absente tout en étant pleinement présente… Il savait que Steve la prenait en cet instant, que son corps vibrait sous lui dans un abandon total.
Jacques resta figé, son cœur battant un peu plus fort. Un frisson le parcourut, non pas de jalousie, mais d’une étrange et douce excitation.
Virginie, elle, le savait. Et c’est ce qui rendait cet instant encore plus électrisant.
Jacques, toujours assis sur sa terrasse, sentait son cœur battre plus fort. Son regard restait fixé sur la fenêtre du bungalow voisin, où il distinguait la silhouette de Virginie. Même sans tout voir, il devinait l’intensité du moment. Le sourire qu’elle affichait, la lueur dans ses yeux, sa posture légèrement cambrée… Il n’avait aucun doute sur ce qu’elle vivait à cet instant.
Un frisson le parcourut. Une chaleur diffuse envahit son bas-ventre, éveillant en lui un désir qu’il n’avait plus ressenti depuis longtemps. Son corps réagissait instinctivement à cette scène chargée d’érotisme. Sa main descendit lentement le long de son ventre alors qu’il fermait un instant les yeux, s’abandonnant à ses pensées.
De l’autre côté, Virginie savait. Elle devinait que Jacques n’était pas seulement spectateur, mais aussi captif de ce moment interdit. Cette idée l’excitait encore plus. Elle accentua ses mouvements, se pressant davantage contre Steve, gémissant juste assez fort pour franchir la mince frontière de leur intimité.
Jacques inspira profondément, caressant son désir grandissant. Il s’abandonna un instant à cette pulsion, laissant sa main parcourir lentement son propre plaisir. Il ne voyait que des ombres et des éclats de peau sous la lumière tamisée, mais son imagination comblait les vides avec une précision troublante.
Le moment sembla suspendu dans le temps, comme un secret partagé dans le silence de la nuit.
Puis, soudain, la lumière du bungalow s’éteignit.
Jacques rouvrit les yeux, son souffle encore irrégulier. Il resta ainsi quelques instants, le regard perdu dans la pénombre. Un sourire discret se dessina sur son visage.
Il venait de vivre quelque chose d’inattendu. Quelque chose de troublant… et terriblement excitant.
La nuit était maintenant silencieuse, mais l’électricité flottait encore dans l’air.
Et quelque part, dans l’obscurité, Virginie souriait aussi.


Le soleil venait à peine de se lever sur le village naturiste, baignant la terrasse d’une douce lumière dorée. L’air était encore frais, imprégné des parfums marins et du calme apaisant du matin.
Virginie ouvrit lentement les yeux, un sourire aux lèvres, repensant aux événements de la veille. Steve dormait encore profondément à ses côtés. Sans bruit, elle se leva et alla se préparer un café, savourant le contact de la brise matinale sur sa peau nue.
Lorsqu’elle sortit sur la terrasse, elle aperçut Jacques, déjà installé à sa table, une tasse à la main. Il semblait plongé dans ses pensées, mais son regard s’éclaira lorsqu’il la vit approcher.
Sans hésiter, Virginie traversa l’espace qui les séparait et vint s’asseoir en face de lui. Comme toujours, elle était nue, pleinement à l’aise dans sa sensualité assumée. Dans un geste lent et naturel, elle écarta légèrement les cuisses, laissant Jacques profiter de la vue sans le moindre artifice.
Elle porta sa tasse à ses lèvres, le fixant d’un regard espiègle.
— Alors, tu as bien profité de la soirée ? demanda-t-elle, sa voix teintée d’une malice évidente.
Jacques haussa un sourcil, légèrement surpris par son audace, mais un sourire amusé vint rapidement flotter sur ses lèvres. Il posa sa tasse et plongea son regard dans le sien, cherchant ses mots.
— Disons que la nuit a été… mémorable, répondit-il enfin, une lueur troublante dans les yeux.
Virginie inclina légèrement la tête, faisant glisser un doigt sur le rebord de sa tasse, feignant l’innocence alors que son sourire en disait long.
— Tant mieux… J’aime savoir que mes voisins passent de bonnes vacances.
Un silence complice s’installa, chargé de non-dits et de tensions à peine voilées. Jacques savait qu’elle jouait avec lui, qu’elle testait ses limites, et il devait bien avouer que cela réveillait en lui des sensations oubliées. Son souffle s’accéléra légèrement lorsque Virginie écarta lentement les cuisses, lui dévoilant l’intimité encore marquée par les jeux nocturnes.
Virginie fit mine de s’étirer, levant les bras au-dessus de sa tête, faisant ainsi pointer ses seins lourds et fermes vers Jacques. Son regard s’attarda sur lui, lisant dans ses yeux un mélange de trouble et de fascination. Elle savait exactement l’effet qu’elle lui faisait.
Lentement, elle laissa glisser ses mains sur son propre corps, effleurant ses seins avant de caresser ses tétons durcis du bout des doigts. Elle soupira doucement, comme si ce simple contact la troublait déjà. Son bassin ondula légèrement sur la chaise, et elle laissa tomber une jambe sur le côté, dévoilant plus encore son intimité offerte au regard de Jacques.
Elle vit ses mains se crisper sur sa tasse, sa gorge se serrer alors qu’il luttait contre l’envie de détourner le regard… ou peut-être contre une tentation plus brûlante encore.
— Il fait chaud ce matin, tu ne trouves pas ? murmura-t-elle, sa voix un brin moqueuse et provocante.
Elle glissa lentement une main entre ses cuisses, effleurant la peau trempée de désir. Ses doigts s’attardèrent, caressant doucement, tandis qu’elle observait Jacques, savourant son trouble.
Un silence électrique s’installa entre eux. Virginie jouait avec les limites, les repoussant un peu plus à chaque mouvement.
Jacques déglutit, visiblement partagé entre l’envie et la retenue.
— Tu ne devrais pas… souffla-t-il, d’une voix rauque.
Virginie soutenait le regard de Jacques, un sourire effleurant ses lèvres. Elle voyait l’effet qu’elle avait sur lui, la tension qui crispait ses traits, la lutte intérieure entre la morale et le désir. Cela l’excitait encore plus.
Sans la moindre hésitation, elle laissa glisser ses doigts sur son ventre, effleurant la courbe de ses hanches avant de descendre plus bas, entre ses cuisses offertes. Un soupir s’échappa de sa bouche lorsqu’elle toucha son sexe humide, encore marqué par les plaisirs de la nuit.
Elle écarta un peu plus les jambes, amplifiant la vue qu’elle lui offrait. Ses doigts commencèrent à dessiner de lents cercles, faisant monter en elle une chaleur plus brûlante encore. Elle ne quittait pas Jacques des yeux, savourant chaque frisson qui le parcourait, chaque tressaillement de ses mains sur sa tasse oubliée.
— Tu aimes ce que tu vois, Jacques ? murmura-t-elle d’une voix suave, accentuant la pression de ses caresses.
Il ne répondit pas, mais son regard parlait pour lui. Il était hypnotisé, incapable de détourner les yeux de ce spectacle interdit.
Virginie laissa échapper un gémissement étouffé, amplifiant le rythme de ses caresses, sentant le plaisir monter en elle comme une vague irrésistible. Son dos se cambra légèrement, ses seins tressaillirent sous l’effet de l’excitation grandissante.
Elle savait que Jacques n’avait pas connu un tel frisson depuis longtemps… et c’est exactement ce qu’elle voulait lui offrir : un moment inoubliable, une vision qui hanterait ses nuits solitaires.
Ses soupirs se firent plus pressants, plus haletants. Son corps entier frémissait sous l’intensité du plaisir qu’elle se donnait, s’abandonnant sans la moindre gêne sous les yeux avides de Jacques…
Virginie sentait le plaisir monter en elle comme une vague irrépressible. Ses doigts jouaient habilement avec son clitoris, amplifiant chaque frisson, chaque frémissement. Ses gémissements devinrent plus pressants, sa respiration plus saccadée.
Jacques, toujours figé sur sa chaise, la regardait avec une intensité brûlante, hypnotisé par ce spectacle auquel il n’aurait jamais osé rêver. Son torse se soulevait lentement sous l’effet de l’émotion, et ses mains crispées trahissaient l’envie qui le consumait.
Virginie, elle, s’abandonna totalement. Son corps se tendit, son dos se cambra, et dans un dernier soupir tremblant, elle bascula dans un orgasme profond, ondulant de plaisir sous le regard du vieil homme. Son sexe palpitait encore sous l’effet des vagues de jouissance, tandis qu’elle reprenait son souffle, le cœur battant à tout rompre.
C’est à ce moment-là qu’une voix grave brisa le silence chargé de tension.
— Alors, tu as aimé te faire jouir devant Jacques ?
Virginie sursauta, son corps encore frémissant d’extase. Elle releva brusquement la tête et découvrit Steve, appuyé contre l’encadrement de la porte du bungalow. Ses bras étaient croisés sur son torse nu, et un sourire amusé flottait sur ses lèvres.
Elle comprit immédiatement. Il avait tout vu.
Un frisson parcourut son échine, mélange d’excitation et de trouble. Jacques, lui, se tendit légèrement, comme pris sur le fait, mais Steve ne paraissait ni en colère, ni jaloux. Il semblait plutôt… diverti.
Virginie déglutit et tenta de retrouver un semblant de contenance.
— Tu dormais, murmura-t-elle.
— C’est ce que tu croyais, répondit-il en s’approchant d’elle.
D’un geste possessif, il caressa lentement l’intérieur de sa cuisse encore tremblante, puis l’embrassa avec une intensité troublante, goûtant le désir qui brûlait encore sur ses lèvres. Jacques détourna légèrement le regard, mal à l’aise mais visiblement bouleversé par ce qu’il venait de vivre.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Génial cette exhibition de Virginie devant le vieil homme fasciné et excité comme longtemps il ne l'avait été et tout ça avec la complicité de Steve !!!
Du grand art !
Merci.
Bonobobo



Texte coquin : Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste  Chapitre 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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