Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste Chapitre 3

Récit érotique écrit par Steve40 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste Chapitre 3
Chapitre 3 : La Piscine : L’endroit de la libération
Steve se redressa et lui lança un regard complice avant d’annoncer :
— Allez, il est temps d’aller profiter de la piscine.
Virginie se leva sur des jambes encore faibles et enfila une robe légère qui effleurait à peine ses courbes. Jacques, quant à lui, resta assis, comme figé, absorbé par ce qu’il venait de vivre.
Sur le chemin de la piscine, alors que Virginie tentait de calmer les battements affolés de son cœur, Steve glissa à son oreille :
— Tu t’es donnée en spectacle… et je dois dire que j’ai adoré.
Elle frissonna, troublée par la lueur de désir brut qui brillait dans ses yeux.
Près de la piscine, elle repéra un grand toboggan aquatique. Un sourire espiègle se dessina sur ses lèvres alors qu’elle se tourna vers Steve, son compagnon.
— Viens, on va l’essayer ! lança-t-elle d’un ton enjoué.
Steve suivit son regard et comprit immédiatement. Le toboggan était bondé. Des couples, des hommes seuls, des regards curieux… Il connaissait bien Virginie et son goût pour l’exhibition. L’excitation monta en lui instantanément.
— Tu es sûre ? demanda-t-il, faussement hésitant.
— Évidemment, répondit-elle en s’élançant déjà vers l’escalier métallique qui menait au sommet.
L’ascension fut lente, non pas à cause de la hauteur, mais des nombreux regards qui accompagnaient chaque pas de Virginie. Son corps ondulait avec sensualité, et Steve vit plusieurs hommes échanger des coups d’œil furtifs, troublés par son assurance et sa beauté. Arrivée en haut, elle se positionna au bord du toboggan, les seins fièrement dressés, offrant à tous une vue irrésistible sur son intimité.
Elle se laissa glisser d’un mouvement fluide, l’eau éclaboussant sa peau brûlante. Lorsqu’elle atterrit dans le bassin, elle se redressa lentement, savourant les regards posés sur elle. Steve la rejoignit aussitôt, son désir grandissant face à cette mise en scène audacieuse.
— Tu es incorrigible… murmura-t-il en l’attirant contre lui.
— Et tu adores ça, répliqua-t-elle avec un sourire provocant.
Alors qu'ils remontaient l'escalier du toboggan pour un deuxième tour, Virginie se retrouva cette fois entre Steve et un autre homme, un quadragénaire au corps sec et bronzé, visiblement captivé par la scène qui se jouait devant lui. Steve, attentif, remarqua immédiatement le regard insistant de l’inconnu posé sur les fesses fermes et rebondies de Virginie. Un sourire se dessina sur ses lèvres : il savait qu’elle adorait être admirée, frissonner sous les regards.
Comme pour accentuer la tension, Virginie ralentit légèrement sa montée, oscillant subtilement des hanches à chaque marche. Puis, d’un geste aussi naturel qu’indécent, elle se retourna brièvement, ses seins lourds se soulevant légèrement sous le mouvement, offrant à l’homme une vue sans filtre sur son intimité lisse et offerte. Elle soutint son regard un instant, amusée, avant de revenir vers Steve, les joues légèrement rosées d’excitation.
Le silence du spectateur en disait long sur son trouble. Steve, lui, sentait l’excitation monter en lui, à la fois possessif et terriblement excité par cette scène. Arrivés en haut, il la vit se positionner au bord du toboggan, cambrant exagérément ses reins avant de s’élancer, laissant derrière elle l’image fugace de son sexe humide et frémissant sous le soleil brûlant.
Steve la suivit immédiatement, le cœur battant à l’idée de ce que cette montée d’adrénaline éveillait en elle. Lorsqu’il la rejoignit dans le bassin, elle avait ce regard pétillant qu’il connaissait si bien, mélange de défi et d’excitation pure.
— Tu es en feu, murmura-t-il en l’attirant contre lui.
Elle glissa ses lèvres près de son oreille, effleurant sa peau d’un souffle chaud.
— Et ce n’est que le début…
Virginie émergea de l'eau dans un éclat de rires, les gouttelettes ruisselant sur sa peau dorée. À peine eut-elle le temps de se redresser que l’homme qui la suivait dans les escaliers arriva à son tour, glissant dans le bassin avec un peu trop d’élan. Déséquilibré, il se rattrapa instinctivement… directement sur elle.
Ses mains trouvèrent appui sur son corps, et l’espace d’une seconde, Virginie sentit la pression ferme de ses doigts sur sa poitrine nue et offerte. Le contact fut furtif, mais suffisant pour envoyer un frisson à travers son ventre. L’homme, visiblement gêné, recula aussitôt.
— Oh, excusez-moi ! s’excusa-t-il précipitamment.
Mais au lieu de paraître contrariée, Virginie lui adressa un sourire espiègle, ses yeux pétillant d’une lueur indéchiffrable.
— Ce n’est pas grave, assura-t-elle d’une voix douce, presque taquine.
À quelques pas, Steve observait la scène, son désir attisé par l’attitude joueuse de sa compagne. Il connaissait cette étincelle dans son regard. Elle adorait ce petit jeu, cette excitation mêlée à l’interdit, cette tension qui faisait frémir son corps.
L’homme, troublé, ne savait plus où poser les yeux. Virginie, elle, se redressa lentement, offrant à nouveau un spectacle troublant. Puis, jetant un coup d’œil complice à Steve, elle s’éloigna en nageant, laissant derrière elle une atmosphère chargée d’électricité… et une envie grandissante de pousser ce jeu encore plus loin.
Sous le soleil brûlant de l’après-midi, Virginie savourait pleinement l’instant. L’eau fraîche caressait sa peau nue tandis qu’elle se laissait porter par les mouvements doux de la piscine. Steve, non loin, gardait un œil amusé sur elle, devinant déjà ses pensées.
L’homme de tout à l’heure s’était approché à nouveau, comme attiré malgré lui par l’aura sensuelle qu’elle dégageait. Virginie le sentait derrière elle, tout proche. L’idée de jouer encore avec cette tension la fit frémir d’excitation. D’un geste lent et assumé, elle recula légèrement, frôlant son corps sous l’eau.
Puis, sans hésiter, sa main glissa avec une douceur troublante, effleurant la virilité de l’homme sous la surface. Un frisson parcourut son dos alors qu’elle l’entendait retenir son souffle. Elle se tourna légèrement vers lui, un sourire mutin sur les lèvres, et murmura :
— Avoue que je t’excite…
L’homme resta figé un instant, pris entre la surprise et le désir brûlant qu’elle éveillait en lui. Son regard, intense, croisa celui de Virginie. Elle aimait ce pouvoir, ce jeu interdit qui la rendait plus vivante encore.
Virginie adorait ce jeu, cette montée d’excitation qui faisait frissonner sa peau sous le soleil brûlant. Tandis que sa main caressait doucement la virilité de l’homme sous l’eau, elle se pencha à son oreille et murmura, provocante :
— Si tu veux plus… suis-moi.
Sans attendre sa réponse, elle retira lentement sa main et s’éloigna, laissant derrière elle une tension électrique. D’un pas assuré, elle sortit de l’eau, sa peau luisante sous la lumière, chaque goutte glissant lentement sur ses courbes. Elle savait que tous les regards étaient braqués sur elle, et elle adorait ça.
Elle rejoignit Steve, qui l’attendait non loin, un sourire amusé aux lèvres.
— Alors, tu le chauffes ? murmura-t-il en l’attirant contre lui.
— Évidemment, répondit-elle avec un sourire espiègle.
L’homme ne tarda pas à les rejoindre. Son regard ne quittait pas Virginie, visiblement troublé par son audace. Ils échangèrent quelques mots, puis Steve proposa de prendre un verre au bar du domaine.
Virginie, fidèle à elle-même, ne remit pas son paréo. Assise face à eux, elle savourait son cocktail, consciente de l’effet qu’elle produisait. L’homme, lui, peinait à détacher son regard de sa poitrine, de la courbe de ses hanches, de cette nudité qu’elle offrait sans retenue.
La conversation s’anima doucement, entre rires et regards brûlants. L’atmosphère devenait de plus en plus électrique, et Virginie savait qu’elle poussait les limites du jeu encore plus loin.
Virginie se sentait dans son élément, ivre de liberté et d’excitation sous les regards brûlants qui la détaillaient sans retenue. Assise sur sa chaise, elle jouait innocemment avec son verre, mais ses mouvements étaient tout sauf anodins.
D’un geste lent, elle croisa et décroisa les jambes, laissant entrevoir l’intimité lisse et humide qu’elle offrait sans la moindre gêne. Puis, comme si c’était le geste le plus naturel du monde, elle écarta davantage les cuisses, s’installant confortablement tout en plongeant son regard malicieux dans celui de Steve.
Il n’eut aucun doute. Ce petit jeu la rendait folle d’excitation. La lueur brillante entre ses cuisses en témoignait sans équivoque, et il était presque certain que l’homme en face d’eux l’avait remarqué aussi. Celui-ci, malgré ses efforts pour rester impassible, semblait captivé, ses yeux trahissant son désir grandissant.
Steve, amusé et excité, se pencha légèrement vers Virginie et murmura à son oreille :
— Tu adores te montrer, pas vrai ?
Elle esquissa un sourire, effleurant son bras d’un frisson.
— Et toi, tu adores me regarder, non ? répondit-elle, provocante.
Virginie adorait sentir l’attention braquée sur elle, cette tension brûlante qui montait entre eux comme une vague irrésistible. Installée face aux deux hommes, elle fit mine de se détendre encore plus sur sa chaise, écartant lentement les jambes sans la moindre retenue. Elle jouait avec son verre, l’effleurant du bout des doigts d’une manière troublante, tout en lançant des regards en coin à Steve, qui observait chaque mouvement avec un amusement mêlé d’excitation.
L’homme, lui, semblait captivé, son regard glissant sur chaque courbe offerte sous ses yeux. Virginie le testait, savourant la manière dont il essayait de garder contenance. Mais elle voyait ses doigts crispés autour de son verre, sa respiration légèrement plus saccadée. Il était pris au piège de son jeu.
D’un mouvement innocent en apparence, elle laissa glisser une main le long de sa cuisse, remontant doucement vers son bas-ventre, sans toucher directement son intimité, mais laissant planer une promesse silencieuse. La brillance humide entre ses cuisses était évidente, et elle savait qu’il ne pouvait pas l’ignorer.
Steve, toujours maître du jeu, se pencha vers elle, sa voix chaude et amusée.
— Tu es en train de le rendre fou…
Virginie lui répondit simplement par un sourire mutin, avant de poser son regard sur l’homme en face d’eux. Elle remarqua l’effet qu’elle lui faisait : son sexe commença à durcir, son excitation devenait évidente. Elle mordilla sa lèvre, savourant l’instant.
— Tu es bien silencieux… murmura-t-elle d’une voix taquine.
L’homme déglutit, tentant de masquer son trouble, mais Virginie savait qu’il était au bord de céder à cette tension brûlante. Elle adorait ce pouvoir, cette montée d’excitation où chaque geste, chaque regard, devenait une invitation implicite…
L’atmosphère était devenue brûlante, presque insoutenable. Virginie se délectait de cette tension, de cette excitation qui faisait vibrer son corps. Elle observa l’homme en face d’elle, dont l’excitation était désormais évidente. Son trouble la stimulait encore plus.
D’un geste lent et sensuel, elle passa sa main sur sa poitrine, effleurant la peau encore chaude du soleil, jouant avec l’un de ses seins comme si de rien n’était. Puis, sans détourner son regard du sien, elle demanda d’une voix suave :
— Tu ne connaîtrais pas un endroit un peu plus… intime ?
Sa question flottait entre eux, chargée de sous-entendus. L’homme, visiblement pris au dépourvu, ouvrit la bouche comme s’il allait répondre, mais aucun mot ne vint immédiatement. Il jeta un coup d’œil à Steve, qui se contenta de sourire en haussant les épaules, laissant Virginie mener la danse.
Elle fit glisser ses doigts sur sa peau, traçant des cercles autour de son téton durci, attendant sa réponse avec une patience feinte. L’homme déglutit avant de retrouver son souffle.
— Il y a un petit coin, pas très loin… plus discret, souffla-t-il finalement, sa voix légèrement tremblante.
Virginie échangea un regard complice avec Steve, puis se redressa lentement, laissant son corps s’offrir encore une fois sous les yeux avides de son nouvel invité.
— Alors montre-nous…
L’homme les guida à travers les allées discrètes du domaine, loin de la piscine animée et des regards curieux. Virginie marchait entre les deux hommes, son corps frémissant d’anticipation. Chaque pas rendait l’atmosphère plus lourde, plus électrique. Elle adorait cette sensation : être le centre de l’attention, sentir le désir brûlant qu’elle inspirait, jouer avec cette tension jusqu’à ce qu’elle devienne insoutenable.
Ils arrivèrent enfin dans un coin reculé, à l’abri des regards, où une petite alcôve naturelle offrait une intimité parfaite. Les arbres formaient un écrin ombragé, laissant filtrer quelques rayons dorés qui caressaient la peau nue de Virginie.
Elle se retourna lentement vers les deux hommes, leurs regards braqués sur elle, remplis d’envie et d’impatience. Un sourire mutin aux lèvres, elle recula légèrement jusqu’à effleurer un rocher plat, contre lequel elle s’appuya nonchalamment. Puis, d’un geste lent et sensuel, elle glissa ses mains sur son propre corps, caressant ses seins fermes, jouant avec ses courbes pour faire monter encore un peu plus la tension.
— J’espère que vous savez profiter de l’instant… murmura-t-elle d’une voix suave, ses yeux brûlant de défi.
Steve s’avança en premier, posant ses mains fermes sur les hanches de Virginie avant de mordiller doucement sa nuque. L’homme ne tarda pas à suivre, se postant devant elle, son regard brûlant croisant celui Virginie qui se mordit la lèvre. Elle sentait la tension monter, le désir grimper en flèche.
Les caresses devinrent plus insistantes, plus pressantes. Le souffle court, Virginie accueillit les baisers de l’homme sur sa peau brûlante tandis que Steve, derrière elle, explorait chaque courbe de son corps.
Virginie, totalement offerte, caressait déjà son sexe humide sous les regards avides de Steve et de l’homme. Ses doigts glissaient sur ses lèvres gonflées de désir, les écartant doucement pour leur dévoiler l’intimité trempée qui n’attendait qu’eux.
L’homme s’avança, son regard brûlant fixé sur la poitrine généreuse de Virginie, dont les tétons durcis pointaient déjà. Il tendit une main large et chaude, saisissant un de ses seins avec fermeté, le malaxant doucement avant de se pencher pour capturer l’un de ses boutons dressés entre ses lèvres. Sa langue tournoya autour, le titilla, le suça, l’étira doucement entre ses dents, arrachant un gémissement à Virginie qui cambra le dos sous cette caresse experte.
Pendant qu’il s’attardait sur sa poitrine, sa main libre descendit le long du ventre de la jeune femme pour venir effleurer son sexe trempé. Il passa un doigt sur son clitoris gonflé, traçant de petits cercles qui firent frémir tout son corps. Puis, lentement, il glissa un doigt en elle, sentant à quel point elle était déjà ouverte et impatiente. Un sourire s’étira sur son visage en sentant ses muscles se contracter autour de lui.
Steve, derrière elle, mordilla son cou, ses mains explorant chaque courbe de son corps. Excitée comme jamais, Virginie laissa échapper un gémissement plus fort lorsque l’inconnu ajouta un deuxième doigt, les enfonçant profondément en elle, les retirant lentement avant de les replonger dans sa chaleur. Elle bascula les hanches vers lui, quémandant davantage, sentant son plaisir monter en flèche.
Mais elle ne comptait pas rester passive. D’une main tremblante d’excitation, elle chercha les érections tendues de ses deux amants. Ses doigts rencontrèrent d’abord celle de l’homme, déjà dure et palpitante sous sa poigne. Elle l’enserra, la caressa lentement, appréciant sa chaleur et sa rigidité. Son autre main trouva celle de Steve, qu’elle effleura du bout des doigts avant de l’enserrer également, ses paumes glissant le long de leurs membres gonflés de désir.
Les deux hommes grognèrent sous la douceur experte de ses caresses. Elle alternait la pression, accélérant ses mouvements, jouant avec leurs envies, les rendant encore plus impatients de la posséder. La scène était brûlante : une femme nue offerte, ses seins gorgés de plaisir, son sexe dégoulinant sous les assauts de l’homme, tandis qu’elle s’occupait avec gourmandise des deux hommes prêts à la combler.
L’homme se redressa légèrement et fit pivoter Virginie, l’incitant à lui offrir le galbe parfait de ses fesses. D’un geste sûr, il la guida, laissant son sexe tendu glisser lentement entre les courbes fermes, effleurant sa peau frémissante avant de trouver son chemin vers sa chaleur humide. Il poussa un soupir rauque en sentant son intimité s’ouvrir autour de lui, l’accueillant dans un mélange de douceur et d’avidité.
Virginie se cambra, ses mains agrippant les bras de Steve, qui la tenait contre lui. Le frisson de la pénétration se répandit en elle, et elle laissa échapper un gémissement étouffé contre les lèvres de son compagnon. Steve, captivé par son abandon, l’embrassa avec une lenteur délicieuse, savourant le contraste entre la douceur de leurs baisers et la passion brute qui s’exprimait dans les mouvements profonds de l’homme derrière elle.
Chaque va-et-vient envoyait une vague de plaisir à travers son corps, la laissant pantelante, prise entre la tendresse de Steve et la fougue de son autre amant. Ses ongles s’enfoncèrent dans la peau du torse de son compagnon alors que le rythme s’intensifiait, la poussant lentement vers un plaisir qu’elle ne pourrait plus contenir longtemps.
Leurs corps s’accordaient parfaitement, les soupirs et les gémissements se mêlant dans l’air chargé de désir. L’instant était pur, sauvage, empreint d’une liberté exquise où seule comptait l’ivresse du plaisir partagé.
Virginie était submergée par le plaisir, son corps vibrant sous les assauts profonds de l’homme derrière elle, tandis que Steve continuait de l’embrasser avec une douceur contrastant avec l’intensité du moment. Son souffle était court, son cœur battait à tout rompre, et elle sentait cette montée inexorable la submerger.
Désireuse d’accentuer cette explosion imminente, elle glissa une main tremblante entre ses cuisses, ses doigts trouvant aussitôt son clitoris gorgé de plaisir. Elle commença à se caresser, ses mouvements s’accordant au rythme des va-et-vient qui la traversaient. Chaque frottement amplifiait la vague de chaleur qui montait en elle, la poussant vers le bord du précipice.
L’homme derrière elle accéléra, son souffle rauque dans son cou trahissant sa propre perte de contrôle. Steve, captivé par la vision de Virginie au bord de l’extase, serra les dents, sentant lui aussi la tension grimper irrémédiablement.
Un cri s’échappa des lèvres de Virginie lorsqu’elle bascula, son plaisir explosant en une déferlante intense qui la fit trembler de tout son être. Ses muscles se contractèrent autour de l’homme en elle, déclenchant son propre abandon. Il grogna, se figea un instant avant de se laisser aller complètement, son corps se tendant dans un dernier élan de plaisir profond.
Steve ne tarda pas à le suivre, emporté par l’intensité du moment, son front pressé contre celui de Virginie tandis qu’il atteignait à son tour le sommet du plaisir.
Les trois restèrent ainsi quelques instants, pantelants, le souffle erratique, profitant des dernières vagues d’extase qui parcouraient encore leurs corps. Puis, dans un soupir satisfait, l’homme se retira doucement, caressant une dernière fois la peau moite de Virginie avant de se redresser.
Un regard complice fut échangé, sans besoin de mots. Puis, avec un sourire entendu, l’homme s’éloigna, les laissant seuls, encore enlacés.
Steve se redressa et lui lança un regard complice avant d’annoncer :
— Allez, il est temps d’aller profiter de la piscine.
Virginie se leva sur des jambes encore faibles et enfila une robe légère qui effleurait à peine ses courbes. Jacques, quant à lui, resta assis, comme figé, absorbé par ce qu’il venait de vivre.
Sur le chemin de la piscine, alors que Virginie tentait de calmer les battements affolés de son cœur, Steve glissa à son oreille :
— Tu t’es donnée en spectacle… et je dois dire que j’ai adoré.
Elle frissonna, troublée par la lueur de désir brut qui brillait dans ses yeux.
Près de la piscine, elle repéra un grand toboggan aquatique. Un sourire espiègle se dessina sur ses lèvres alors qu’elle se tourna vers Steve, son compagnon.
— Viens, on va l’essayer ! lança-t-elle d’un ton enjoué.
Steve suivit son regard et comprit immédiatement. Le toboggan était bondé. Des couples, des hommes seuls, des regards curieux… Il connaissait bien Virginie et son goût pour l’exhibition. L’excitation monta en lui instantanément.
— Tu es sûre ? demanda-t-il, faussement hésitant.
— Évidemment, répondit-elle en s’élançant déjà vers l’escalier métallique qui menait au sommet.
L’ascension fut lente, non pas à cause de la hauteur, mais des nombreux regards qui accompagnaient chaque pas de Virginie. Son corps ondulait avec sensualité, et Steve vit plusieurs hommes échanger des coups d’œil furtifs, troublés par son assurance et sa beauté. Arrivée en haut, elle se positionna au bord du toboggan, les seins fièrement dressés, offrant à tous une vue irrésistible sur son intimité.
Elle se laissa glisser d’un mouvement fluide, l’eau éclaboussant sa peau brûlante. Lorsqu’elle atterrit dans le bassin, elle se redressa lentement, savourant les regards posés sur elle. Steve la rejoignit aussitôt, son désir grandissant face à cette mise en scène audacieuse.
— Tu es incorrigible… murmura-t-il en l’attirant contre lui.
— Et tu adores ça, répliqua-t-elle avec un sourire provocant.
Alors qu'ils remontaient l'escalier du toboggan pour un deuxième tour, Virginie se retrouva cette fois entre Steve et un autre homme, un quadragénaire au corps sec et bronzé, visiblement captivé par la scène qui se jouait devant lui. Steve, attentif, remarqua immédiatement le regard insistant de l’inconnu posé sur les fesses fermes et rebondies de Virginie. Un sourire se dessina sur ses lèvres : il savait qu’elle adorait être admirée, frissonner sous les regards.
Comme pour accentuer la tension, Virginie ralentit légèrement sa montée, oscillant subtilement des hanches à chaque marche. Puis, d’un geste aussi naturel qu’indécent, elle se retourna brièvement, ses seins lourds se soulevant légèrement sous le mouvement, offrant à l’homme une vue sans filtre sur son intimité lisse et offerte. Elle soutint son regard un instant, amusée, avant de revenir vers Steve, les joues légèrement rosées d’excitation.
Le silence du spectateur en disait long sur son trouble. Steve, lui, sentait l’excitation monter en lui, à la fois possessif et terriblement excité par cette scène. Arrivés en haut, il la vit se positionner au bord du toboggan, cambrant exagérément ses reins avant de s’élancer, laissant derrière elle l’image fugace de son sexe humide et frémissant sous le soleil brûlant.
Steve la suivit immédiatement, le cœur battant à l’idée de ce que cette montée d’adrénaline éveillait en elle. Lorsqu’il la rejoignit dans le bassin, elle avait ce regard pétillant qu’il connaissait si bien, mélange de défi et d’excitation pure.
— Tu es en feu, murmura-t-il en l’attirant contre lui.
Elle glissa ses lèvres près de son oreille, effleurant sa peau d’un souffle chaud.
— Et ce n’est que le début…
Virginie émergea de l'eau dans un éclat de rires, les gouttelettes ruisselant sur sa peau dorée. À peine eut-elle le temps de se redresser que l’homme qui la suivait dans les escaliers arriva à son tour, glissant dans le bassin avec un peu trop d’élan. Déséquilibré, il se rattrapa instinctivement… directement sur elle.
Ses mains trouvèrent appui sur son corps, et l’espace d’une seconde, Virginie sentit la pression ferme de ses doigts sur sa poitrine nue et offerte. Le contact fut furtif, mais suffisant pour envoyer un frisson à travers son ventre. L’homme, visiblement gêné, recula aussitôt.
— Oh, excusez-moi ! s’excusa-t-il précipitamment.
Mais au lieu de paraître contrariée, Virginie lui adressa un sourire espiègle, ses yeux pétillant d’une lueur indéchiffrable.
— Ce n’est pas grave, assura-t-elle d’une voix douce, presque taquine.
À quelques pas, Steve observait la scène, son désir attisé par l’attitude joueuse de sa compagne. Il connaissait cette étincelle dans son regard. Elle adorait ce petit jeu, cette excitation mêlée à l’interdit, cette tension qui faisait frémir son corps.
L’homme, troublé, ne savait plus où poser les yeux. Virginie, elle, se redressa lentement, offrant à nouveau un spectacle troublant. Puis, jetant un coup d’œil complice à Steve, elle s’éloigna en nageant, laissant derrière elle une atmosphère chargée d’électricité… et une envie grandissante de pousser ce jeu encore plus loin.
Sous le soleil brûlant de l’après-midi, Virginie savourait pleinement l’instant. L’eau fraîche caressait sa peau nue tandis qu’elle se laissait porter par les mouvements doux de la piscine. Steve, non loin, gardait un œil amusé sur elle, devinant déjà ses pensées.
L’homme de tout à l’heure s’était approché à nouveau, comme attiré malgré lui par l’aura sensuelle qu’elle dégageait. Virginie le sentait derrière elle, tout proche. L’idée de jouer encore avec cette tension la fit frémir d’excitation. D’un geste lent et assumé, elle recula légèrement, frôlant son corps sous l’eau.
Puis, sans hésiter, sa main glissa avec une douceur troublante, effleurant la virilité de l’homme sous la surface. Un frisson parcourut son dos alors qu’elle l’entendait retenir son souffle. Elle se tourna légèrement vers lui, un sourire mutin sur les lèvres, et murmura :
— Avoue que je t’excite…
L’homme resta figé un instant, pris entre la surprise et le désir brûlant qu’elle éveillait en lui. Son regard, intense, croisa celui de Virginie. Elle aimait ce pouvoir, ce jeu interdit qui la rendait plus vivante encore.
Virginie adorait ce jeu, cette montée d’excitation qui faisait frissonner sa peau sous le soleil brûlant. Tandis que sa main caressait doucement la virilité de l’homme sous l’eau, elle se pencha à son oreille et murmura, provocante :
— Si tu veux plus… suis-moi.
Sans attendre sa réponse, elle retira lentement sa main et s’éloigna, laissant derrière elle une tension électrique. D’un pas assuré, elle sortit de l’eau, sa peau luisante sous la lumière, chaque goutte glissant lentement sur ses courbes. Elle savait que tous les regards étaient braqués sur elle, et elle adorait ça.
Elle rejoignit Steve, qui l’attendait non loin, un sourire amusé aux lèvres.
— Alors, tu le chauffes ? murmura-t-il en l’attirant contre lui.
— Évidemment, répondit-elle avec un sourire espiègle.
L’homme ne tarda pas à les rejoindre. Son regard ne quittait pas Virginie, visiblement troublé par son audace. Ils échangèrent quelques mots, puis Steve proposa de prendre un verre au bar du domaine.
Virginie, fidèle à elle-même, ne remit pas son paréo. Assise face à eux, elle savourait son cocktail, consciente de l’effet qu’elle produisait. L’homme, lui, peinait à détacher son regard de sa poitrine, de la courbe de ses hanches, de cette nudité qu’elle offrait sans retenue.
La conversation s’anima doucement, entre rires et regards brûlants. L’atmosphère devenait de plus en plus électrique, et Virginie savait qu’elle poussait les limites du jeu encore plus loin.
Virginie se sentait dans son élément, ivre de liberté et d’excitation sous les regards brûlants qui la détaillaient sans retenue. Assise sur sa chaise, elle jouait innocemment avec son verre, mais ses mouvements étaient tout sauf anodins.
D’un geste lent, elle croisa et décroisa les jambes, laissant entrevoir l’intimité lisse et humide qu’elle offrait sans la moindre gêne. Puis, comme si c’était le geste le plus naturel du monde, elle écarta davantage les cuisses, s’installant confortablement tout en plongeant son regard malicieux dans celui de Steve.
Il n’eut aucun doute. Ce petit jeu la rendait folle d’excitation. La lueur brillante entre ses cuisses en témoignait sans équivoque, et il était presque certain que l’homme en face d’eux l’avait remarqué aussi. Celui-ci, malgré ses efforts pour rester impassible, semblait captivé, ses yeux trahissant son désir grandissant.
Steve, amusé et excité, se pencha légèrement vers Virginie et murmura à son oreille :
— Tu adores te montrer, pas vrai ?
Elle esquissa un sourire, effleurant son bras d’un frisson.
— Et toi, tu adores me regarder, non ? répondit-elle, provocante.
Virginie adorait sentir l’attention braquée sur elle, cette tension brûlante qui montait entre eux comme une vague irrésistible. Installée face aux deux hommes, elle fit mine de se détendre encore plus sur sa chaise, écartant lentement les jambes sans la moindre retenue. Elle jouait avec son verre, l’effleurant du bout des doigts d’une manière troublante, tout en lançant des regards en coin à Steve, qui observait chaque mouvement avec un amusement mêlé d’excitation.
L’homme, lui, semblait captivé, son regard glissant sur chaque courbe offerte sous ses yeux. Virginie le testait, savourant la manière dont il essayait de garder contenance. Mais elle voyait ses doigts crispés autour de son verre, sa respiration légèrement plus saccadée. Il était pris au piège de son jeu.
D’un mouvement innocent en apparence, elle laissa glisser une main le long de sa cuisse, remontant doucement vers son bas-ventre, sans toucher directement son intimité, mais laissant planer une promesse silencieuse. La brillance humide entre ses cuisses était évidente, et elle savait qu’il ne pouvait pas l’ignorer.
Steve, toujours maître du jeu, se pencha vers elle, sa voix chaude et amusée.
— Tu es en train de le rendre fou…
Virginie lui répondit simplement par un sourire mutin, avant de poser son regard sur l’homme en face d’eux. Elle remarqua l’effet qu’elle lui faisait : son sexe commença à durcir, son excitation devenait évidente. Elle mordilla sa lèvre, savourant l’instant.
— Tu es bien silencieux… murmura-t-elle d’une voix taquine.
L’homme déglutit, tentant de masquer son trouble, mais Virginie savait qu’il était au bord de céder à cette tension brûlante. Elle adorait ce pouvoir, cette montée d’excitation où chaque geste, chaque regard, devenait une invitation implicite…
L’atmosphère était devenue brûlante, presque insoutenable. Virginie se délectait de cette tension, de cette excitation qui faisait vibrer son corps. Elle observa l’homme en face d’elle, dont l’excitation était désormais évidente. Son trouble la stimulait encore plus.
D’un geste lent et sensuel, elle passa sa main sur sa poitrine, effleurant la peau encore chaude du soleil, jouant avec l’un de ses seins comme si de rien n’était. Puis, sans détourner son regard du sien, elle demanda d’une voix suave :
— Tu ne connaîtrais pas un endroit un peu plus… intime ?
Sa question flottait entre eux, chargée de sous-entendus. L’homme, visiblement pris au dépourvu, ouvrit la bouche comme s’il allait répondre, mais aucun mot ne vint immédiatement. Il jeta un coup d’œil à Steve, qui se contenta de sourire en haussant les épaules, laissant Virginie mener la danse.
Elle fit glisser ses doigts sur sa peau, traçant des cercles autour de son téton durci, attendant sa réponse avec une patience feinte. L’homme déglutit avant de retrouver son souffle.
— Il y a un petit coin, pas très loin… plus discret, souffla-t-il finalement, sa voix légèrement tremblante.
Virginie échangea un regard complice avec Steve, puis se redressa lentement, laissant son corps s’offrir encore une fois sous les yeux avides de son nouvel invité.
— Alors montre-nous…
L’homme les guida à travers les allées discrètes du domaine, loin de la piscine animée et des regards curieux. Virginie marchait entre les deux hommes, son corps frémissant d’anticipation. Chaque pas rendait l’atmosphère plus lourde, plus électrique. Elle adorait cette sensation : être le centre de l’attention, sentir le désir brûlant qu’elle inspirait, jouer avec cette tension jusqu’à ce qu’elle devienne insoutenable.
Ils arrivèrent enfin dans un coin reculé, à l’abri des regards, où une petite alcôve naturelle offrait une intimité parfaite. Les arbres formaient un écrin ombragé, laissant filtrer quelques rayons dorés qui caressaient la peau nue de Virginie.
Elle se retourna lentement vers les deux hommes, leurs regards braqués sur elle, remplis d’envie et d’impatience. Un sourire mutin aux lèvres, elle recula légèrement jusqu’à effleurer un rocher plat, contre lequel elle s’appuya nonchalamment. Puis, d’un geste lent et sensuel, elle glissa ses mains sur son propre corps, caressant ses seins fermes, jouant avec ses courbes pour faire monter encore un peu plus la tension.
— J’espère que vous savez profiter de l’instant… murmura-t-elle d’une voix suave, ses yeux brûlant de défi.
Steve s’avança en premier, posant ses mains fermes sur les hanches de Virginie avant de mordiller doucement sa nuque. L’homme ne tarda pas à suivre, se postant devant elle, son regard brûlant croisant celui Virginie qui se mordit la lèvre. Elle sentait la tension monter, le désir grimper en flèche.
Les caresses devinrent plus insistantes, plus pressantes. Le souffle court, Virginie accueillit les baisers de l’homme sur sa peau brûlante tandis que Steve, derrière elle, explorait chaque courbe de son corps.
Virginie, totalement offerte, caressait déjà son sexe humide sous les regards avides de Steve et de l’homme. Ses doigts glissaient sur ses lèvres gonflées de désir, les écartant doucement pour leur dévoiler l’intimité trempée qui n’attendait qu’eux.
L’homme s’avança, son regard brûlant fixé sur la poitrine généreuse de Virginie, dont les tétons durcis pointaient déjà. Il tendit une main large et chaude, saisissant un de ses seins avec fermeté, le malaxant doucement avant de se pencher pour capturer l’un de ses boutons dressés entre ses lèvres. Sa langue tournoya autour, le titilla, le suça, l’étira doucement entre ses dents, arrachant un gémissement à Virginie qui cambra le dos sous cette caresse experte.
Pendant qu’il s’attardait sur sa poitrine, sa main libre descendit le long du ventre de la jeune femme pour venir effleurer son sexe trempé. Il passa un doigt sur son clitoris gonflé, traçant de petits cercles qui firent frémir tout son corps. Puis, lentement, il glissa un doigt en elle, sentant à quel point elle était déjà ouverte et impatiente. Un sourire s’étira sur son visage en sentant ses muscles se contracter autour de lui.
Steve, derrière elle, mordilla son cou, ses mains explorant chaque courbe de son corps. Excitée comme jamais, Virginie laissa échapper un gémissement plus fort lorsque l’inconnu ajouta un deuxième doigt, les enfonçant profondément en elle, les retirant lentement avant de les replonger dans sa chaleur. Elle bascula les hanches vers lui, quémandant davantage, sentant son plaisir monter en flèche.
Mais elle ne comptait pas rester passive. D’une main tremblante d’excitation, elle chercha les érections tendues de ses deux amants. Ses doigts rencontrèrent d’abord celle de l’homme, déjà dure et palpitante sous sa poigne. Elle l’enserra, la caressa lentement, appréciant sa chaleur et sa rigidité. Son autre main trouva celle de Steve, qu’elle effleura du bout des doigts avant de l’enserrer également, ses paumes glissant le long de leurs membres gonflés de désir.
Les deux hommes grognèrent sous la douceur experte de ses caresses. Elle alternait la pression, accélérant ses mouvements, jouant avec leurs envies, les rendant encore plus impatients de la posséder. La scène était brûlante : une femme nue offerte, ses seins gorgés de plaisir, son sexe dégoulinant sous les assauts de l’homme, tandis qu’elle s’occupait avec gourmandise des deux hommes prêts à la combler.
L’homme se redressa légèrement et fit pivoter Virginie, l’incitant à lui offrir le galbe parfait de ses fesses. D’un geste sûr, il la guida, laissant son sexe tendu glisser lentement entre les courbes fermes, effleurant sa peau frémissante avant de trouver son chemin vers sa chaleur humide. Il poussa un soupir rauque en sentant son intimité s’ouvrir autour de lui, l’accueillant dans un mélange de douceur et d’avidité.
Virginie se cambra, ses mains agrippant les bras de Steve, qui la tenait contre lui. Le frisson de la pénétration se répandit en elle, et elle laissa échapper un gémissement étouffé contre les lèvres de son compagnon. Steve, captivé par son abandon, l’embrassa avec une lenteur délicieuse, savourant le contraste entre la douceur de leurs baisers et la passion brute qui s’exprimait dans les mouvements profonds de l’homme derrière elle.
Chaque va-et-vient envoyait une vague de plaisir à travers son corps, la laissant pantelante, prise entre la tendresse de Steve et la fougue de son autre amant. Ses ongles s’enfoncèrent dans la peau du torse de son compagnon alors que le rythme s’intensifiait, la poussant lentement vers un plaisir qu’elle ne pourrait plus contenir longtemps.
Leurs corps s’accordaient parfaitement, les soupirs et les gémissements se mêlant dans l’air chargé de désir. L’instant était pur, sauvage, empreint d’une liberté exquise où seule comptait l’ivresse du plaisir partagé.
Virginie était submergée par le plaisir, son corps vibrant sous les assauts profonds de l’homme derrière elle, tandis que Steve continuait de l’embrasser avec une douceur contrastant avec l’intensité du moment. Son souffle était court, son cœur battait à tout rompre, et elle sentait cette montée inexorable la submerger.
Désireuse d’accentuer cette explosion imminente, elle glissa une main tremblante entre ses cuisses, ses doigts trouvant aussitôt son clitoris gorgé de plaisir. Elle commença à se caresser, ses mouvements s’accordant au rythme des va-et-vient qui la traversaient. Chaque frottement amplifiait la vague de chaleur qui montait en elle, la poussant vers le bord du précipice.
L’homme derrière elle accéléra, son souffle rauque dans son cou trahissant sa propre perte de contrôle. Steve, captivé par la vision de Virginie au bord de l’extase, serra les dents, sentant lui aussi la tension grimper irrémédiablement.
Un cri s’échappa des lèvres de Virginie lorsqu’elle bascula, son plaisir explosant en une déferlante intense qui la fit trembler de tout son être. Ses muscles se contractèrent autour de l’homme en elle, déclenchant son propre abandon. Il grogna, se figea un instant avant de se laisser aller complètement, son corps se tendant dans un dernier élan de plaisir profond.
Steve ne tarda pas à le suivre, emporté par l’intensité du moment, son front pressé contre celui de Virginie tandis qu’il atteignait à son tour le sommet du plaisir.
Les trois restèrent ainsi quelques instants, pantelants, le souffle erratique, profitant des dernières vagues d’extase qui parcouraient encore leurs corps. Puis, dans un soupir satisfait, l’homme se retira doucement, caressant une dernière fois la peau moite de Virginie avant de se redresser.
Un regard complice fut échangé, sans besoin de mots. Puis, avec un sourire entendu, l’homme s’éloigna, les laissant seuls, encore enlacés.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré voir Virginie se donner à cet inconnu devant Steve. imaginer ce sexe étranger entrer en elle librement, l'ouvrir et le visiter sans voile pour finir par l'inséminer copieusement de sa jouissance abondante !
Excellent !
merci.
bonobobo
Excellent !
merci.
bonobobo

