Sous le Soleil : notre voyage en domaine naturiste Chapitre 5 - histoire érotique

Chapitre 5 : Rencontre Inattendue : Le supérieur de Virginie

Le soleil déclinait sur le domaine naturiste où Steve et Virginie avaient passé une semaine inoubliable. Dernier jour, dernière occasion de savourer cette liberté exaltante. Virginie adorait être nue, sentir le vent caresser sa peau, les regards discrets ou insistants glisser sur ses formes généreuses.
Sous la douche de la plage, l’eau fraîche ruisselait sur sa poitrine ferme, ses pointes durcissant sous la caresse liquide. Elle ferma les yeux, profitant du moment, quand une voix masculine l’interrompit :
— Virginie ?
Son cœur manqua un battement. Elle tourna la tête et se figea. Son supérieur hiérarchique, entièrement nu, la regardait avec un sourire surpris.
— Docteur Morel… balbutia-t-elle.
La gêne la traversa un instant, mais bien vite, un frisson plus intense s’empara d’elle. Le voir ainsi, dans cette nudité imposée par le lieu, rendait la situation aussi troublante qu’excitante. Lui aussi la détaillait, son regard glissant sans retenue sur son corps offert.
— Je ne savais pas que vous étiez adepte du naturisme… souffla-t-il en s’avançant.
Elle mordilla sa lèvre. L’atmosphère se chargeait d’une tension brûlante. L’eau continuait de couler entre ses seins tandis qu’il s’approchait encore, son corps frôlant presque le sien.
— Vous êtes magnifique, Virginie… murmura-t-il.
Ses doigts effleurèrent la courbe de sa hanche. Elle sentit son propre désir monter en flèche, une chaleur délicieuse l’envahir. Les règles du travail n’avaient plus leur place ici, dans cette bulle hors du monde. Juste un homme et une femme, nus, attirés l’un par l’autre.
Et puis… pourquoi se priver d’un dernier frisson avant de partir ?
Virginie frissonna sous l'eau fraîche, mais ce n'était pas la température qui faisait durcir ses tétons. Le regard du docteur Morel sur elle, insistant, brûlant, éveillait une onde de plaisir qui l'électrisait de la tête aux pieds. Complètement nue, sa peau perlée d'eau, elle sentait son sexe lisse, parfaitement épilé, frémir sous l’effet du désir interdit.
Lui ne cachait rien. Son regard s’attardait sur ses seins lourds, leurs pointes fièrement dressées, glissant plus bas, sur la courbe de son ventre, jusqu’à ce creux intime qui la rendait si désirable. L’évidence était là : il aimait ce qu’il voyait.
Il s’approcha encore, à quelques centimètres seulement, effleurant presque son épaule nue. Sa voix grave résonna, vibrante d’une tension contenue :
—On se voit lundi. Nous devons parler d’un sujet assez important.
Virginie arqua un sourcil, son souffle court, la poitrine soulevée par l’excitation. Un frisson parcourut sa peau nue, non pas par gêne, mais par la délicieuse provocation de la situation. Elle savait ce qu’elle faisait. Elle aimait être admirée, désirée. Elle se redressa légèrement, offrant sa poitrine, les tétons tendus vers lui, un sourire espiègle sur les lèvres.
— Oh… important, dites-vous ? souffla-t-elle en passant sa langue sur ses lèvres.
Le docteur Morel ne répondit pas immédiatement. Son regard s’attardait toujours sur son corps, ses muscles tendus par l’envie qu’il semblait vouloir contrôler. Mais il était médecin, et surtout, son supérieur. Alors, après une longue seconde où l’électricité sembla envahir l’air, il recula légèrement et esquissa un sourire mystérieux.
— Oui, très important…
Puis il s’éloigna lentement, laissant Virginie seule sous la douche, la peau brûlante malgré l’eau fraîche. Elle le suivit des yeux, sentant encore son regard imprimé sur elle. Un mélange de frustration et d’excitation l’envahit.
Virginie était en feu. Ce moment sous la douche, le regard insistant du Docteur Morel sur son corps nu, l’avait laissée dans un état d’excitation incontrôlable. Ses tétons pointaient toujours fièrement, son ventre se contractait sous l’adrénaline et une chaleur délicieuse irradiait entre ses cuisses. Il lui fallait plus. Maintenant.
Elle rejoignit Steve, toujours allongé sur leur serviette un peu plus loin, face à la mer. Dès qu'il posa les yeux sur elle, il comprit. Son regard s'attarda sur ses seins encore humides, ses tétons bien dressés, sur ce frisson qui parcourait son corps.
— Ça va, ma chérie ? demanda-t-il d’une voix amusée, mais déjà allumée par ce qu’il voyait.
Virginie mordilla sa lèvre et s’agenouilla près de lui, effleurant sa peau du bout des doigts.
— J’ai envie de m’amuser une dernière fois… murmura-t-elle à son oreille, laissant son souffle chaud chatouiller sa nuque.
Steve, déjà dur sous le simple effet de sa voix, esquissa un sourire en coin.
— Tu veux t’exhiber, c’est ça ?
Elle hocha la tête, les yeux brillants de malice.
— Je veux qu’on me voie, qu’on sache à quel point je suis excitée…
Son désir d’être admirée, de s’offrir aux regards indiscrets une dernière fois avant de quitter ce paradis de liberté, la rendait incontrôlable. Steve se redressa et lui prit la main.
— Suis-moi.
Ils quittèrent la plage principale et empruntèrent un sentier qui menait à une petite crique plus discrète, mais non isolée. Des couples passaient de temps en temps, profitant du soleil couchant. C’était parfait.
Virginie s’allongea sur le sable chaud, écartant légèrement les jambes, sa peau nue offerte aux derniers rayons de lumière. Steve se plaça entre ses cuisses, ses doigts effleurant son intimité déjà trempée.
— Regarde autour de toi… souffla-t-il en caressant son sexe du bout des doigts.
Elle tourna la tête. Plus loin, un couple marchait lentement, leurs regards attirés par leur présence. Un homme seul, à quelques mètres, fit semblant d’observer l’horizon, mais elle sentait son attention rivée sur elle.
L’excitation monta en flèche.
— Ils te regardent, Virginie…
Steve embrassa lentement ses seins, mordillant ses tétons déjà durs, pendant que ses doigts jouaient entre ses cuisses. Elle gémit doucement, cambrant le dos, consciente de chaque œil posé sur elle.
— Je veux plus… haleta-t-elle.
Sans attendre, Steve se plaça au-dessus d’elle, ses mains fermement accrochées à ses hanches. Dans un mouvement lent mais profond, il s’enfonça en elle, arrachant à Virginie un gémissement qui résonna dans l’air du soir.
Elle savait qu’ils étaient vus. Elle savait que des yeux avides suivaient chacun de leurs mouvements. Et c’était précisément ce qui la rendait folle.
Le rythme s’intensifia, la tension devint insoutenable. Steve la prenait avec passion, leurs corps en parfaite harmonie sous le regard des inconnus. Virginie s’abandonna complètement, portée par l’interdit, le plaisir brut, la sensation d’être admirée jusqu’à l’orgasme qui la submergea en un cri étouffé contre le cou de Steve.
Essoufflés, encore tremblants, ils restèrent un instant immobile.
— Tu es incroyable… souffla Steve en caressant sa joue.
Virginie sourit, repensant à ce dernier moment d’exhibition intense.
— Je vais avoir du mal à attendre lundi… murmura-t-elle, repensant au Docteur Morel.
Allongée sur le sable, encore haletante, Virginie laissa son regard vagabonder. L’excitation n’était pas complètement retombée, au contraire. Son cœur battait toujours à un rythme effréné, et elle sentait encore les palpitations de plaisir entre ses cuisses.
C’est alors qu’elle croisa un regard.
À quelques mètres, un couple les observait discrètement. L’homme, la quarantaine séduisante, se tenait debout, torse nu, le short de bain inutilement ajusté. La femme, une brune sculpturale à la poitrine généreuse, mordillait sa lèvre, visiblement troublée par le spectacle auquel elle venait d’assister.
Virginie, toujours nue, laissa un sourire coquin se dessiner sur ses lèvres. Lentement, sans la moindre gêne, elle écarta légèrement les cuisses encore tremblantes, comme pour leur offrir un dernier aperçu de son intimité encore luisante de plaisir.
La femme échangea un regard brûlant avec son partenaire avant de reporter son attention sur Virginie. Une tension chargée de sous-entendus flotta entre eux.
Steve, qui avait suivi la scène du coin de l’œil, se pencha à l’oreille de Virginie et murmura :
— Je crois qu’on leur a donné des idées…
Virginie frissonna de plaisir en voyant l’homme glisser une main sur la hanche de sa compagne, l’attirant contre lui. Elle sentit une nouvelle vague de désir monter en elle. Son propre corps réagissait encore, avide de sensations.
Elle se tourna vers Steve, un éclat provocateur dans les yeux.
— Pourquoi ne pas en profiter une dernière fois avant de rentrer ?
Sans attendre de réponse, elle se redressa et monta à califourchon sur lui, sentant déjà l’effet qu’elle lui faisait. Les regards du couple posés sur eux rendaient l’instant encore plus excitant.
Dans un mouvement fluide, elle s’empala lentement sur Steve, étouffant un gémissement de plaisir contre sa bouche. Ses seins se balançaient au rythme de ses ondulations, et elle savait qu’ils étaient toujours observés.
Le frisson de l’exhibition et la sensation enivrante de Steve en elle la firent chavirer une dernière fois. Son orgasme explosa en vagues intenses tandis que son cri de jouissance se mêlait au murmure des vagues.
Quand tout fut terminé, elle se laissa retomber contre lui, le souffle saccadé, le corps encore vibrant.
Le couple les regarda une dernière fois avant de s’éloigner, laissant dans leur sillage une tension électrique et une promesse silencieuse d’autres jeux interdits.
Virginie sourit en attrapant la main de Steve.
— Je crois que cette semaine naturiste va me manquer…
Et dans son esprit, une idée germait déjà pour la prochaine fois.