Thérapie entre hommes - histoire érotique

Ca doit faire quelques jours, que j'ai plus de nouvelles de ma belle Adeline.

Cette fois, c'est fini pour de bon ! Elle m'a libéré en me quittant, pour disparaitre, je ne sais où.
Cela devait être prémédité, elle a du avoir une opportunité de quitter la ville, c'est sûr !
Tant mieux pour elle, j'espère qu'elle m'oubliera vite ! Je ne la méritais pas !
Je sais que je vais avoir du mal à l'oublier de mon coté, elle a fini par gagner mon amour !

C'est dans cet esprit, de détestation de moi-même, que je reçois la visite surprise d'Ahmed !
Il me trouve différent !

"Qu'est ce qui t'arrives ? Tu te laisses pas embrasser comme ça, d'habitude !".
"On s'en fout ! Baises-moi ! N'oublies ce que je suis ! J'en ai besoin !".

"Tu veux que j't'encules comme une salope ? Une chienne ? C'est ça ?".
"Oui, fais moi tout ce que tu veux ! J'ai envie que tu m'humilies, le plus possible !".

"Alors, commences par me pomper la bite ! Salope !".

Je me prosterne à ses pieds, en posant mes doigts sur son bouton de braguette.

"Allez ! Sors là ! Et applique toi ! Quand tu me suces !".

Je baisse sa fermeture éclair, puis fait glisser son pantalon, avec son slip, jusqu'aux chevilles.
Sa grosse verge est toujours aussi splendide et énorme, très veinée et brune, presque noire, à cause de ses origines Arabes.

Je sais que je représente un fantasme pour lui, je suis jeune avec un aspect juvénile, mais surtout, je suis français ! Et il adore baiser des p'tits culs blancs !

Ca tombe bien, moi, c'est lui qui m'excite , j'ai découvert depuis longtemps que les magrébins étaient plus chauds que les autres en général.
Plus vifs et dominateurs, aussi !

Quand je saisi sa verge à la base, pour lui déposer des coups de langue sur le gland, il se met à gémir son plaisir.

"Orhhh ! Salope, elle m'a manqué ta p'tite bouche de pute !".

Je gémis de plaisir cérébral, j'aime qu'il me parle ainsi.
Je me dirige vers ses couilles, que je lèche longuement, puis remonte lentement vers son gland énorme.
Je lui recouvre le bout de la verge, en m'y enfonçant le plus possible.

"Voilà ! Comme ça ! Hummm, tu me suces toujours aussi bien ! T'es ma p'tite chienne ! Pascal ! On va encore bien s'amuser tous les deux ! Orghhh ! Encore ! Continues, oui ! Pompes moi la bite !".

Il se cale à mon rythme buccal, en m'enfonçant sa verge le plus profondément possible.

Ses mains me dénudent le haut du corps, sans cesser de me baiser la bouche.
Je lui offre ma gorge, pour me dénuder le bas, patiemment.

Il me fait saliver, à grands coups de queue, en me tenant par les cheveux.

"C'est ça que tu veux ? Salope ?".
"Ggggggglllllll ! Ggggggglllllll ! Ggggggglllllll Pffffahhh ! Oui, c'est ça ! Je le mérite ! Encore ! Ggggggglllllll !Ggggggglllllll !...".

Il m'humilie encore ainsi, longuement, puis il m'ordonne:

"Va te mettre là-bas ! Sur ton canapé, comme une chienne ! J'vais te saillir comme tu le mérites ! Plus vite que ça ! Salope !".

Je m'attend à me faire lubrifier l'anus, de gel anal, mais il s'y colle, sans même me saliver.

"Orghhhh ! Comme ça ? Sans gel ? Orghhhhhhhhhhh !".
"Oui, c'est comme ça, qu'on encule les salopes comme toi ! Laisses entrer ma bite ! Espèce de sale petite pute !".

Je l'aide de mes mains sur mes fesses, en m'écartelant l'anus au maximum.

"Arghhhhh ! Salaud ! Arggggggggggggggg ! Putain, t'es trop gros pour ça ! Arggggggghhhhhhhhhhh !".

Il entre, et ressort plusieurs fois d'affilée, jusqu'à venir coller ses couilles contre les miennes.
Je suis pris d'un râle interminable.

"Alors, t'es content ? Tu l'as ma grosse bite dans ta chatte !".
"Arhhhhh ! Ouiiii ! Je l'ai enfin ! Putain ! Défonces moi maintenant ! Ne te retiens pas !".

"Comptes sur moi, tu vas déguster ma p'tite salope ! Tiens ! Prends ça pour commencer !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhh ! Oui ! Encore !".

Il m'appuie sur le dos, pour m'enfoncer dans le fond du canapé, afin de s'en donner à cœur joie dans ma chatte.
Il m'assène des claques en m'enculant.
Je crie mon plaisir douleur, sans rechigner, c'est moi qui l'ai voulu, je ne dois pas me plaindre.

Son gland énorme cogne très fort contre mon coccyx, au début, rendant la saillie encore plus douloureuse.
Puis, mon passage s'ouvre, et il y glisse sans retenue, ensuite.
Ca me provoque un écoulement urinaire, incontrôlable.

Il redouble d'énergie, en me forçant à vider ma vessie sur le canapé.

"Putain, t'as la chatte bien éclatée, maintenant ! Tu me mouilles bien la bite ! T'es une bonne salope ! Pascal !".
"Orghhhh ! Arghhhhhhhhh ! Tu m'as trop fait jouir ! Orhhhh ! Ca vient encore ! Ne t'arrêtes pas !".
"J'comptais pas m'arrêter, tu vas en prendre plein la chatte, encore ! Tournes toi !".

Je pivote, mais au lieu de le prendre analement, il me défonce encore la gorge.
Puis me fait tomber au sol, pour me posséder en m'écartant les cuisses, comme une vulgaire femelle soumise.

"Branles toi ! Je veux te voir cracher ton foutre ! Allez, bouges toi !".

Je me fait bander, au gré de ses assauts, dans ma chatte béante et poisseuse.
J'essaie de retenir mon éjaculation, je ne veux exploser trop vite.
Mon rythme est beaucoup plus lent que le sien.

"Orghhhhh ! Salope ! J'aime te baiser comme ça ! J'vais te remplir la chatte, bébé ! Vite, craches ton jus ! J'veux le voir !".

Comme le plaisir anal est intense, je n'ai aucun mal à venir en même temps que lui, en augmentant mon rythme de masturbation.
Mes plaisirs s'accumulent, c'est énorme ! Autant dans ma verge, que dans ma chatte.

Il s'y déverse longuement, notre communion est parfaite.
Nos râles se rejoignent, sans cesse.
Si les voisins nous entendaient, ils devineraient que je ne suis pas avec une fille, cette fois !

Ahmed s'écroule lentement, de tout son poids sur moi.

"Orhhhhhh ! Pascal ! J't'adore ! Tu sais pas à quel point !".

Ces mots sont de trop ! J'explose en pleurs en le serrant contre moi !

"Qu'est-ce qui t'arrives mon chaton ?".
"Tu peux pas comprendre ! Je mérite pas qu'on m'aime autant !".
"Explique-moi, alors !".

"C'est à cause d'Adeline !".
"La fille qui nous a dérangé, la dernière fois ? Quel est le rapport ? Ha ! T'es tombé amoureux ! C'est ça ?".

"Oui, mais c'est fini ! Et je m'en veux de l'avoir rendue malheureuse ! En plus, elle m'a tout donné, je la méritais pas ! Je suis qu'un connard ! En fait, je suis à ma place quand tu me baises ! Je suis qu'un enculé ! C'est tout ce que je mérite !".

"Non, tu sais que c'est différent ! T'es un mec bien ! Je la comprends ! T'es un beau mec, et t'es super attachant !".
"Je m'en veux tellement, si tu savais !".

Il nous entraine vers mon lit, puis me serre, avec mon dos contre son torse, en nous posant sur le coté.
Je me reprend en séchant mes larmes.

"Pardon, Ahmed, je voulais pas gâcher ce moment !".
"Tu gâches rien ! La preuve !".

Il bande encore, et se plante à nouveau dans ma chatte.

"Arghhhhhhhhhh ! Comment ça se fait ?".
"Y a que toi pour m'exciter comme ça !".

"Orhhhh ! C'est bon !".
"Putain ! Comment t'es, avec les filles ? Pour les rendre amoureuses de toi, à ce point là ?".

"Orhhhh ! Je suis dingue de leurs corps ! Je leur fait l'amour avec passion !".
"Putain, j'ai du mal à t'imaginer ! Tellement, tu aimes te prendre ma bite dans la chatte !".

"Arghhhhhhhh ! Je sais, je peux pas m'en passer, non plus ! Orghhh ! Encore ! Je vais jouir du cul !".

Je vis mes nouveaux orgasmes comme un excès de dessert, parce que j'en ai plus besoin.
J'ai assez joui avec notre première séance anale, mais je dois lui donner ça, je veux son plaisir aussi !
Il me détruit l'anus dans des tas de positions, presque avec violence.
Je vide encore un peu ma vessie.

Puis, il explose enfin, sans retenue, au fond de mes entrailles.
Il admire ensuite, le résultat de son insémination, au bord de mon trou béant.

"Je l'aime ta chatte ! Pascal ! Si t'étais pas bi, et que je vivais à Toulon, je t'aurais gardé pour moi !".
"Hummmm ! Merci, ça me touche ! Moi aussi, j'aurai aimé, mais j'aime trop les filles !".

"Elle sait qu'elle a de la chance ? Celle que tu aimes ?".
"Non, elle sait rien, mais je lui avoue souvent pour les autres filles ! Par contre pour les hommes, elle sait pas !".

"Putain, mais t'es dangereux, en fait ! Tu nous fait tous craquer !".
"Arrêtes Ahmed, je le fais pas exprès ! Tôt ou tard, j'arrêterai tout ça, moi aussi, ça me fait du mal !".

"Pour les filles ! Tu y arriveras, mais les mecs, c'est perdu d'avance ! A moins de vivre avec un trans ! Ou que la fille te baise avec un gode !".

Ca me rend pensif, Pourquoi pas ?

Il est parti le lendemain, avant midi, comme d'habitude, les couilles à nouveau vidées, et moi avec l'anus poisseux, content de mon sort.
Cette séance m'a servi de mini thérapie, je ne suis senti mieux après cette soumission poussée.
Merci Ahmed !