Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. Agent S (1/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. Agent S (1/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. Agent S (1/14)
Vous allez être obligé de me croire, je viens d’être engagé par les services secrets pour remplir des missions à travers le monde entier.

Tout à commencer il y a trois jours quand une jeune femme très mystérieuse, belle dans sa tenue de jogging, m’a abordé près de la porte du parc Montsouris à Paris à deux pas de la fac où je fais des études de langues.
Je parle et j’écris avec un niveau bi-langue en français par maman et l’anglais par papa, petite j’ai compris très vite que les seuls objets qui me servaient de jeux, c’étaient les dictionnaires de maman étant traductrice.
J’ai appris à parler et écrire seule, l’italien et l’espagnole et mon aptitude à étudier les mots et surtout les phrases m’ont amené à un niveau proche de la perfection.
Je suis sortie du cursus normal des études avec mon bac avec mention très bien, tout naturellement je me suis inscrite pour apprendre le russe sans oublier l’arabe mais là pour une autre raison afin de devenir traductrice et interprète comme maman.
Le russe la chute du mur ayant entraîné des échanges plus importants avec ce pays et l’arabe, car depuis six mois je couche avec un garçon marocain Asim dont les parents et surtout la maman ne parle que cette langue.
Son dialecte arabe par jeu voulant impressionner cette femme que je n’avais jamais vue.
Je pensais que nous deux c’était pour la vie, hélas, je devais rapidement m’apercevoir que si j’étais passionné par les langues, j’étais aussi accro au sexe sous toutes ses formes et la bite du fils était loin de me suffire.
J’ai été dépucelé par Asim un soir quand il est venu dans ma chambre d’étudiante puis dans la sienne sans compter les jardins de la cité universitaire où j’acceptais de me faire sauter sur les pelouses derrière des buissons dès que la nuit était venue.

Au bout de six mois je savais comment sucer pour faire bander un homme, me mettre en levrette ou dessus lui pour mieux diriger le jeu sans compter ma bouche qui adorait recevoir sa verge jusqu’au fond en gorge profonde.
Chaque fois que je finissais de baiser, j’avais hâte de recommencer à tel point qu’un jour un de nos professeurs m’a abordé à la terrasse d’un café au Quartier Latin alors que je regardais des tournures de russes pour préparer le devoir à rendre le lendemain.
Le soleil chauffait ma jupe et j’étais à deux doigts de passer ma main dessous pour me caresser sa brûlure me déclenchant des vagues à la limite du plaisir.

• Pardon, je m’excuse de vous déranger, étudiez-vous le russe à la fac !

Je lève la tête, notre professeur de russes est assis à la table voisine, il est beau sans être beau, il est vieux sans être vieux.

• Vous avez raison, j’étais à votre cour ce matin, je travaille sur le texte que vous nous avez demandés d’étudier pour demain et je dois dire que certaines questions sont assez ardues.

Il me répond en russe, je pratique cette langue insuffisamment pour comprendre tout ce qu’il veut me dire, je saisis qu’il habite non loin de là dans un appartement donnant sur la seine.
Il veut que je vienne chez lui pour me montrer quelques livres très rares écrits par de grands écrivains russes.
Je suis Ivan, après avoir feuilleté deux livres écrits, l’un par Dostoïevski dans l’année 1862, l’autre par Tchekhov, en 1886.
C’est sur son canapé dans sa salle à manger, la fenêtre ouverte à cause de la chaleur, malgré le bruit des voitures passant sur les quais de Seine qu’il me baise m’apprenant d'autres figures faisant partie du Kama-Sutra grâce à sa bite longue et fine.
Rapidement j’ai été tiraillé entre les cours d’arabe et les cours de russe, mais je trouvais sexuellement une satisfaction à mon excitation permanente provoquée par mon clitoris me démangeant sans retenue.
Pour éviter de choisir, j’ai décidé de les quitter tous les deux quand j’ai rencontré dans un premier temps un homme d'âge mûr qui disait s’appeler Hubert avec lequel j’ai eu des rapports sans tabou, hélas, il m’a quitté du jour au lendemain.
Je l’ai remplacé par Benjamin gentil garçon que j’ai moi-même dépucelé, j’avais acquis tellement d’expérience dans les jeux sexuels que de dominer ce joli puceau m’ai apporté la plénitude des sens.
Il était sportif et nous faisions du jogging dans le parc Montsouris, même à ce sport j’étais plus forte que lui et je lui mettais quelques centaines de mètres dans la vue.
Depuis quelque temps une femme, je devrais dire une jolie femme aux cheveux roux coiffer d’un chignon régulièrement d'une foulée légère me rattrapais.
On aurait dit qu’elle savait quand nous avions décidé de venir courir et chaque fois à la fin du parcours elle était déjà en train de s’étirer quand j’arrivais aux portes du parc.

• Mademoiselle Juliette Marceau ?
• Oui, madame ?
• Voici ma carte présentez-vous demain à 13 heures à cette adresse, nous avons prévenu que vous seriez absente à vos cours, soyez à l’heure.

Et avant que Benjamin n’arrive, elle était repartie me laissant avec cette carte dans la main.

• Tu parlais avec cette femme, que te voulait-elle ?
• Elle m’a donné cette carte, elle connaît mon nom et mon prénom et m’a proposé de venir la voir demain après-midi à cette adresse.

Il me prend la carte des mains et la regarde, Banque Privée du Château Paris 7 ème quai Anatole France.

• C’est une gouine, tu lui as tapé dans l’œil et elle te donne rendez-vous pour te sauter.

La gouine elle a bon dos, comment savait-elle que j’étais libre demain et pourquoi me donner rendez-vous sur son lieu de travail.
Bref, le lendemain à 13 heures je suis devant la porte d’un immeuble où il y a une plaque identique à la carte donnée par cette femme.
Pour une banque rien d’impressionnant mais c’est une banque privée, je vais bien apprendre quelles affaires elle traite et pourquoi elle veut rencontrer une jeune traductrice.

• Êtes-vous mademoiselle Juliette ?
• Oui, je suis à l’heure, pouvez-vous me dire où je suis.
• Passez cette porte et attendez dans le sas, quelqu’un va venir vous chercher.

Cette femme derrière son pupitre est bien mystérieuse, mais je sens qu’elle m’a dit tout ce qu’elle était en droit de me dire.
La porte passée, je me retrouve devant une porte d’ascenseur dans une pièce toute blanche et entièrement vide.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent sans aucun bruit et sans que je ne l’aie entendu arriver, la femme du parc est devant moi dans une tenue qui la met en valeur. Tailleur certainement acheté chez un grand couturier, chaussures à hauts talons et port de tête magnifique sans compter sa chute de reins aux courbes parfaites quand elle se retourne après m’avoir serré la main.

• Ou est-on ?
• Aucune question, je vais tous vous expliquer dans mon bureau.

L’ascenseur, cabine blanche avec de chaque côté des sièges blancs eux aussi.

• Assieds-toi et attendons.

Nous ne bougeons pas et au bout d’un moment les portes s’ouvrent à l’opposé d’où nous sommes entrées là encore sans aucun bruit.

• Suis-moi, appelle-moi Virginie.

Nous sommes dans une grande salle souterraine ou de nombreuses personnes femmes et hommes se déplacent des dossiers à la main ou sont derrière des ordinateurs.
Elle pousse une porte, je suis dans un bureau sobre sans aucune fenêtre, mais là aussi avec un ordinateur et un pupitre comme celui que l’on peut trouver sur un tableau de bord d’un Airbus en plus petit bien sûr.

• Assieds-toi, je vais te dire pourquoi je t’ai fait venir dans ce lieu mystérieux.
Tu es dans les sous-sols d’un édifice parisien où ont été installés les bureaux d’une toute nouvelle unité qui vient d’être créé à ma demande.
Je suis la responsable des opérations et du recrutement, tu es l’une de celles qui si tu le désir j’engagerais.

Je suis loin de la gouine que Benjamin m’avait prédite, j’ai devant moi une femme du monde bien que lorsqu’elle me regarde avec ses yeux d’un bleu profond, j’ai l’impression qu’ils me transpercent.

• Je vais être direct, tu nous intéresses à plusieurs titres, après avoir cherché dans nos universités des jeunes femmes ayant ton profil, multi-langue et sportive, tu es l’une de celles que j’ai sélectionnées.
Tu as du potentielle, mais je souhaite qu’il soit du niveau du mien, tu as vu que chaque fois que j’ai couru contre toi je t’ai battu.
Mais je devrais dire surtout, car tu nous as montré des aptitudes à savoir baiser même avec des hommes d’âge certain.
• Voulez-vous parler de l’aventure que j’ai eue avec Hubert ?
• Voir d’autres, cela fait partie de la partie secrète de nos relations, il vaut mieux que tu te souviennes de tes amants comme de simples amants.
Tu vas passer un test dès ce soir si tu souhaites le tenter et d’entrer dans mon équipe, accepte de devenir l’un de nos agents, tu seras entraîné.
Ce que je veux ce sont des filles intelligentes et dociles qui se servent de leur cerveau et de leur corps pour remplir les missions qui leur sont attribuées à travers le monde, même avec les risques que cela comporte.
Tu seras engagée officiellement par la banque privée qui nous sert de couverture et à ce titre pour tes proches, tu seras l’une de leurs interprètes, cela t’apportera une couverture sociale.
Entre deux missions tu continueras tes études de langues avec par exemple le Mandarin que tu pourrais apprendre les missions pour la Chine étant de plus en plus nombreuses depuis qu’ils ont décidé de travailler avec le monde entier.
Tu seras payé 5 000 € par mois net dès aujourd’hui avec la possibilité de garder les sommes que tu gagneras comme ce soir par exemple.
• En somme, vous avez parlé de me servir de mon corps, vous me proposez de devenir une pute !
• Pas tout à fait, certes, ce soir si tu acceptes la mission que je vais te proposer après que je t’ai vêtu de façon adéquate tu pourras le penser.
Au fil du temps tu comprendras pourquoi nous avons créé cette unité le sexe dirigeant le monde.
• Cela peut-être marrant, c’est vrai qu’à simplement évoquer mes besoins de sexes vous me donnez envie de baiser, alors je veux bien essayer une fois pour voir.
• À partir de maintenant tu deviens un agent « S » comme sexe.
Je t’emmène dans une pièce voisine remplie d’affaires pouvant servir à tes missions et tu vas partir en jet du Bourget pour Amsterdam ou un taxi te conduira dans le quartier chaud de la ville où tu prendras place dans une vitrine.
Sais-tu ce que ces filles y font ?
• Oui, ce que nous venons de parler, elle gagne du fric avec leur sexe.
• Exact à un moment un client te sollicitera et après que tu auras fait l’amour avec lui, en te payant bien sûr pour que tout semble naturel, il te remettra un objet rose en forme de cœur.
Tu finiras de travailler à minuit, voici la clef avec un permis de conduire à ton nom, nous avons contrôlé que tu l’avais passé à tes dix-huit ans, d’une voiture qui est déjà garée en face des vitrines.
Elle te permettra de rentrer en France et jusqu’à notre société de couverture, tu te gareras sur la place devant la porte d’entrée et laisseras les clefs à la personne qui t’a reçu tout à l’heure sans te préoccuper du stationnement.
La porte de l’ascenseur s’ouvrira comme tout à l’heure, tu viendras à mon bureau et tu me rapporteras le cœur.
Pour cette première mission, tu t’appelles Odile Courtois, vingt-quatre ans habitant Montrouge dans le 92.
Si l'on t’arrête apprend bien ces coordonnés par cœur, tu risques de te retrouver avec des méchants.
S’il te fond parler, ils ne trouveront rien même ici grâce à notre système d’ascenseur et moins tu parleras et plus tu seras en sécurité, tu diras simplement ton nom et ton adresse, c’est tout.
Viens que je t’habille.

Virginie m’aide à choisir de m’habiller comme une pute, avec des vêtements tapant dans l’œil surtout le short ras ma minette en paillette rose et le chemisier cachant un minimum de mes seins.
Elle accompagne le tout par un sac à dos de couleur voyante ou je vais pouvoir mettre mes papiers, ainsi que les clefs de la voiture et de chez moi.
Virginie me souhaite bonne chance, un homme vient me chercher, nous attendons sans bouger et quelles minutes après les portes s’ouvrent.
Je n’ai pas le temps de voir où nous sommes en face de nous une camionnette où je monte et nous partons sans que je puisse voir quoi que ce soit enfermé à l’arrière…

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