Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Burn-out. (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Burn-out. (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Burn-out. (2/2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Burn-out, je suis victime d’un burn-out, saturé de travail aussi bien dans les bureaux de mon mari, mais surtout à m’occuper de mes quatre enfants, non cinq, mon mari est aussi un grand enfant.
J’ai pris le premier train en partance pour le Sud et je me suis retrouvé à Marseille.
Je vais dans un bar proche de l’hôtel que j’ai choisi dans une petite rue près de la Canebière et c’est là qu’un homme me propose de l’argent pour me faire l’amour.
Je suis encore un peu fleur bleue en parlant de me faire l’amour, car le moment que je passe est ni plus ni moins une passe comme le fond, les prostitués.
Je me convaincs que le deuxième homme qui monte dans ma chambre sera le dernier et que, demain je vais rentrer à la maison forte de ce que j’ai fait, quand un coup de théâtre se produit quand l’homme qui m’a donné son argent me met une carte sous les yeux.

• Madame, police des mœurs, voici ma carte, veuillez me suivre au commissariat où vous serez fiché sur nos registres avant d’être présenté à un juge pour racolage actif, plusieurs personnes dans le bar que nous venons de quitter, ont vu quand vous avez pris mon argent.
• Monsieur le policier, pardon, je suis une honnête femme, j’ai quitté mon mari et mes quatre enfants sur un coup de tête et je souhaite les retrouver demain.
• Le coup de la femme mariée avec des enfants, vous le dite à chaque fois, toi tu y vas fort, quatre enfants de la façon dont tu es gaulée.

Je tombe en pleurs prenant conscience de la catastrophe qui m’arrive sur la tête.

• Il y a peut-être une solution, tu travailles pour moi, je te protège de mes collègues de la police ou des juges, tu gardes la chambre, tu retournes au bar, tu montes ici avec tes clients, chaque soir, je passe ramasser 50% de ce que tu gagnes.

Comment dire non au risque de me retrouver encartée aux mœurs avec tout le déshonneur pour ma famille et surtout mon père retraité de la fonction publique ?

• Pierrot m’a dit que tu suçais bien fait moi voir, tu pourras garder les 1 000 €.

Il me baise, et je suis dans l’obligation de reconnaître que je jouis, je veux que mon corps reste neutre, mais dès que le sexe de celui qui vient de devenir mon mac entre en moi, j’éclate de plaisir.
Il jouit, remplit sa capote, la retire et me regardant dans les yeux me la tend.

• Bois mon sperme vide la capote.

C’est abject, mais je le fais sachant que je viens de tomber au plus bas de ce que peut accepter une femme, avec en arrière-plan un plaisir qui me marque à jamais.
Je pense être arrivé au bout de mon abjection, il me demande de le pomper et dès qu’il bande, il souhaite me prendre en levrette, je connais, mais ce que j’ignore c’est qu’il a un autre but, c’est comme cela que je sens sa queue s’appuyer sur mon anus et sans me prévenir, entrer intégralement sa verge en moi.

• J’ignore si tu étais vierge par ta rosette, tu sembles accepter de te faire enculer facilement chaque fois qu’un client te demandera de monter te sodomiser, tu accepteras en lui demandant 1 500 €.
500 pour une pipe, mais dans les toilettes du bar, 1 000 la baise ici dans ta chatte et 1 500 sur ce lit pour te faire sodomiser.
Tu iras te laver le cul quand j’aurai rempli ma capote dans ta rosette et redescends au bar, je sais que tu as déjà des clients qui t’attendent.

Il fait ce qu’il dit et pour la première fois, je franchis la porte du bar pour en ressortir 5 minutes plus tard avec un gros ventru qui a directement payé la somme pour me sodomiser alors que j’ai encore le cul cassé par Raoult du moins, c’est le nom que m’a donné mon souteneur.
Nous faisons nos affaires, je dois reconnaître que je suis bien une salope qui s’ignorait, car il me fait jouir par ma rosette, je suis satisfaite d’avoir bien fait mon travail de prostituée.
Je fais 5 clients le premier soir du moins dans la chambre, j'en pompe, deux en descendant aux toilettes étant obligés d’avaler leur sperme.
Pierrot est là qui surveille les filles au point que je finis par me demander si Raoult est bien un flic de la police des mœurs, je comprends pourquoi je suis tombée dans leur nasse.

Je travaille trois jours sans bouger, le quatrième, je souhaite apporter de l’argent dans le sac à la consigne de la gare Saint-Charles afin que dès mon retour, je les donne à Charles pour consolider la société en lui expliquant que je les ai gagnés au casino pendant mes vacances que je me suis octroyé lui demandant de m’excuser ayant été victime d’un burn-out.
J’entre et je me dirige vers les consignes qui sont par malchance dans la direction des quais.

• Salope où vas-tu, on te surveille, retournes en ville, tu vas ramasser ce soir.

C’est un homme méconnu, qui a cru que je voulais prendre le train pour me sauver, je fais demi-tour ayant tout de même évité de leur faire voir que j’avais déjà de l’argent caché.
L’après-midi, je suis angoissée, mais Pierrot semble calme aussi le soir quand mon dernier client redescend, je vais pour fermer ma porte, une furie entre et dans la minute qui suit, je ramasse une volée de ceinturon sur tout mon corps encore dénudé m’apprêtant à aller me doucher pour me coucher afin de récupérer.

• Si tu en veux encore, recommences à essayer de te sauver, tu es ma pute et de mes filles tu es celle qui me rapporte le plus, si je dois recommencer, on retrouvera ton corps dans le vieux port un matin, car je t’aurais percé.

Il sort et c’est roulé en boule que je constate l’état où Raoult ma mise dès que j’essaye de bouger, mon corps me fait hurler de douleur loin du plaisir qu’ils m’ont apporté les premiers jours de mon arrivée dans cet hôtel et dans ce bar.
Les jours passent et je suis devenue la pute que mon souteneur voulait que je devienne, j’ai un seul regret, mes enfants me manquent de plus en plus, quant au sexe, j’arrive encore à jouir certaine fois.
Un jour deux hommes veulent monter avec moi, je me suis fait prendre en double pénétration, mon anus et ma chatte se dilatant sans problème après le nombre de passes que j’ai subites.
Je les sens aller et venir en moi et je finis par avoir un orgasme en même temps que les deux garçons se déversent dans leur capote.

Je suis de plus en plus avide de l’argent que Raoult comme il me l’a promis me laisse, pour lui cet argent est fait pour m’acheter des fringues provocantes qui plaisent à mes clients et qui les font lâcher du pognon pour avoir mon cul ou mon vagin.
J’avais l’habitude de faire attention avec ma famille et j’économise un maximum d’argent que je cache dans la ventilation de la douche en achetant des affaires provocantes, mais peu chères.
J’ai une autre idée, quand je monte pour une sodomie à 1 500, je lui dis que le client ne m’a payé que 1 000 pour me prendre par la chatte ainsi je gratte 250 € ceci pendant quatre jours.

Un soir, je lui déclare que les clients ne m’ont baisé que dans ma chatte, je le vois retirer son ceinturon, je ramasse une nouvelle volée qui m’empêche le lendemain d’aller tapiner, l’un des clients était un de leurs comparses qui est monté avec moi pour voir si j’étais clean.
Ils ont vu que je trichais et pendant une semaine Raoult à ramassé tous le pognon que sa salope avait gagné.
Par chance, il a voulu savoir pourquoi je trichais et où je mettais l’argent.

• Non, Raoult, j’ai vu une parure sexy, slip et guêpière rouge, regarde, elle est dans mon tiroir, je voulais la mettre pour te plaire, il y a longtemps que tu me délaisses, laisse-moi la passer.

Un coup de bite par mon souteneur contre de beaux billets bien planqués, ça vaut le coup surtout qu’il sait y faire avec ses femmes et je jouis toute la nuit.

Un soir, je me crêpe le chignon avec l’une des autres filles de Raoult, car elle m’accuse de lui avoir piqué un de ses clients, Pierrot témoin malgré mon innocence me taxe de deux jours à 100% pour eux alors je fais attention à tout ce que je fais.

Un nouveau client, c’est un grand noir, il me prend en levrette, dans cette position, encore une chance que seuls ma chatte l’intéresse, car la première fois qu’il pénètre en moi, je crois que mon vagin va être écartelé, j’ai voulu le sucer, mais ma bouche est trop petite.
J’ai envie de lui faire des remises chaque fois qu’il vient, maintenant il est le seul garçon à me faire jouir tellement mon corps est devenu insensible.
Mes enfants, mes enfants, je veux revoir mes enfants.

• Veux-tu me rendre service ?

Un jour je l’ai vu arriver avec sa voiture alors que je retournais au bar, quelques minutes après il me faisait monter et profitant de sa grosse queue.
La phrase qu’il avait dite, voulant m’aider, tourne en boucle dans la tête, je suis prête à tout tenter pour recouvrer ma liberté et ma famille.
En attendant le moment propice, il ne me fallait donner aucun soupçon à Raoult, cela fera un mois dimanche, que je me prostitue pour lui.
Dimanche, le jour où j’ai constaté qu’il nous permettait d’être quelques fois en retard, car les clients étaient chez bobonne et était rare.
Quand un client monte et me propose le double du tarif, je sais qu’il va me demander une spécialité, c’est le cas, il souhaite me fister, fister terme que j’ai demandé à Pierrot de m’expliquer quand le premier de cet homme me l’a demandé, c’est lui qui m’a dit d’accepter au double d’une passe normale,
Arrivé dans la chambre, il me place directement sur le lit les cuisses écartées, sa main vient caresser ma fente qui s’est ouverte à sa pénétration, je suis tellement dilaté que je la sens à peine entrer.
Si je retrouve mon mari et qu’il rentre sa bite en moi, verra-t-il la salope devenue, nageant dans cette chatte distendue.
C’est le vendredi que j’ose parler à mon grand noir.

• Dis-moi, tu m’as proposé de me rendre un service, en ne disant rien à personne autour de toi, peux-tu venir me prendre Dimanche matin à 8 heures devant l’hôtel pour me conduire à Aix-en-Provence ?
• Aucun problème, si tu me payes l’essence.

Dépenser quelques billets pour ma liberté et retrouver mes enfants ce n’est pas cher payé, aussi je suis à l’heure m’engouffrant dans sa voiture, car j’ignore jusqu’à quel point le patron de l’hôtel est en cheville avec mon souteneur.
Nous passons non loin de la gare, mais je l’évite laissant provisoirement mon argent au chaud dans sa consigne.
À dix heures, j’entre par une porte de l’hôpital regardant la voiture partir, j’attends dix longues minutes persuadées de voir arriver Raoult ou Pierrot avec leur ceinturon. Dès qu’un taxi arrive, je m’engouffre et je me retrouve à la gare dans un train en direction de Paris avec un simple arrêt à Lyon où je me cache dans les toilettes.
Pendant le voyage, je repense à ce que je viens de vivre pendant un mois, je suis tombé sur un réseau de proxénètes, Raoult est un mac, la carte qu’il m’a présentée était un leurre et je vais pouvoir me cacher chez moi si mon mari accepte de me pardonner.
Je prends un taxi et je me fais déposer devant notre appartement, j’ouvre la porte avec mes clefs que j’avais conservées au fond de mon sac.

• Maman.

Ce sont quatre bouches qui crient, maman et huit paires de bras qui m’empoignent, Charles les suit avec une jeune fille, c’est fichu, j’aurais vu mes enfants quelques secondes, il m’a remplacé.

• Je te présente Olga, une jeune Suédoise que j’ai embauchée aux paires pour s’occuper de nos enfants.
• Je vais t’expliquer pourquoi j’ai pris un mois de vacances à Nice au soleil.
• Inutile, quand j’ai vu que tu nous avais quitté, j’ai compris que j’avais un peu trop tiré sur la corde ici et au bureau en te faisant reprendre ton travail près de moi pour gagner un salaire.
C’est moi le fautif, j’ai eu la chance pendant ton absence de signer un gros contrat, la boîte est sauvée pour plus de dix ans, j’ai embauché une secrétaire très laide afin que tu évites d’être jalouse et Olga est là pour plusieurs mois.
Les enfants l’ont adopté et tu seras dégagé de la plupart des corvées ménagères, tu vas pouvoir vivre la vie d’oisiveté que tu mérites surtout après la patience que tu as montrée en me donnant quatre enfants dont un fils.

Incroyable, je pensais avoir à revenir pour entendre des flots d’injures voire une mise à la porte immédiate et définitive.
Quand Olga et les enfants sont couchés, je me retrouve dans la chambre conjugale.

• Charles, j’ai beaucoup réfléchi pendant ce mois, je crois que je suis aussi responsable dans notre couple, je suis resté sur la réserve sexuellement, viens, j’ai lu un livre sur le problème des couples.

Il revient de la salle de bain où il a enfilé son pyjama, je m’agenouille et je le pompe pour la première fois de sa vie et de notre couple.

• Aimes-tu ?
• J’ai toujours voulu que tu me suces sans jamais te le demander, continue ta bouche est divine.

Je me place sur le lit en levrette, mon mois de prostitution m’aura au moins servi à connaître les positions qui plaisent aux hommes.

• Prends-moi en levrette, tu verras dans mon livre, j’ai appris beaucoup de position, notre vie sexuelle va être parfaite, même surprenante pour toi.

Il me prend sans sembler nager dans mon sexe, jusqu’à ce qu’une boule monte dans mon ventre.
Mon mari me fait jouir et ce sera le cas pendant les cinq jours suivants, comme tous les matins Olga conduit les enfants à l’école, quand on sonne à ma porte, je vais ouvrir pensant qu’elle a oublié ses clefs.

• Police des mœurs, madame, veuillez monter dans cette voiture, un inspecteur veut vous parler.

Il me présente une carte de police comme celle que Raoult m’avait présenté, il me prend le bras et me fait monter à l’arrière, l’homme placé à côté du chauffeur se retourne.

• Alors chérie, tu croyais pouvoir m’échapper, j’aime beaucoup tes enfants, j’ai du travail pour toi sur Paris.

Les avis des lecteurs

Réveillez-vous jolie lectrice, ce n'est que de l'écriture, dois-je écrire simplement des textes ou tout le long, "ils furent heureux et ont eux beaucoup d'enfants"...
Dite-moi, en ce moment j'écris un texte ou un jeune couple ne sachant pas baiser apprennent la vie grâce à leur voisin...
Vont-ils être heureux et avoir beaucoup d'enfants, se serait trop simple...
A moins que vous avez subit un "Burn-out qui vous a fait disjoncté, si oui que vous est-il arrivée... chr.r.r@sfr.fr
Je pourrais écrie votre histoire.

Histoire Libertine
Moi j’arrêterais tout ça. en les faisant coincer par la police. Car cela va aller trop loin. Même si il y a des choses a dire. Car c'est tout simplement du chantage à une personne qui avait disjonctée.



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Burn-out. (2/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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