Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. La bombe (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION DOMINANT DOMINE. La bombe (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
• Juliette, nous rentrons au lycée aujourd’hui, c’est sûr, c’est cette année que nous nous débarrassons de cette putain de membrane.
• Arrête de dire des conneries, ça fait trois ans qu’à chaque rentrée, tu me dis la même chose.
• Mais cette année, c’est certain, ici c’est le lycée, la plupart des mecs, ils ont déjà baisé, ils vont tous chercher à en profiter, à nous d’être plus maligne qu’eux, cochon qui s’en dédit, tape là Véro.
Nous nous tapons dans la main, je sais que si elle veut la même chose que moi, j’aurais plus de mal, j’ai des seins qui ont trop poussé et les garçons l’an passé m’appelaient la baleine, alors qu’elle est devenue un joli petit lot.
Certes, j’ai de deux ou trois kilos de trop, soyons zen quatre, mais de là à me prendre des râteaux chaque fois qu’un mec me plaît, il y a un monde et j’espère contourner cet obstacle, même si le monde, c’est énorme.
• Véronique, tu sembles soucieuse, sois cool, tu es jeune et belle, la vie t’appartient.
Celui qui vient de me dire cette phrase, c’est le sexe du moment de ma mère, depuis cinq ans que mon père est parti, elle s’éclate à quarante ans avec des mecs plus jeunes d’au moins vingt ans.
Elle en change comme d’autres changes de pantalon, qu’elle sait leur enlever rapidement quand elle les rencontre dès la première fois.
Johnny à vingt-huit ans et la fait monter au sommet de ce monde que je veux conquérir, ils baisent tellement, m’empêchant de dormir presque tous les soirs.
Heureusement, il part deux fois sur trois vers une heure du matin, il a son logement à deux tours de chez nous.
Comme je l’avais prévu, deux mois après, je suis toujours vierge et ma mère s’embrouille avec Johnny, j’entends la porte claquer quand elle le fiche dehors, cette nuit-là, il est vingt-deux heures quand il part et je passe une nuit tranquille.
• Véro, rends-moi service, tu n’es pas sans savoir que Johnny m’a quitté alors que j’ai tout fait pour le retenir, il a laissé quelques affaires, je préférerais que tu lui rapportes.
La salope, il l’a quittée.
« Pauvre con, tu ne sais même pas baiser, tire-toi, j’en ai de plus jeunes qui m’attendent. »
C’est par cette phrase, que j’ai entendu quand il a claqué la porte, qu’ils se sont séparés.
Je me rends dans la tour où loge Johnny avec le carton que maman m’a donné.
• Véro, toi ici, je n’avais pas vu tout à ma passion pour ta mère, la jolie fille que tu es, tous les garçons doivent être à tes pieds.
• Comment peux-tu dire ça Johnny, les garçons, aucun ne veut de moi, ils doivent me trouver trop grosse.
• Ce sont des fous, bébé, deux trois retouches et je vais faire de toi une bombe.
Il me prend par la main et me fait tourner sur moi-même, comme le ferait une ballerine de l’Opéra, en tournant, je m’enroule jusque sur sa poitrine, il est un peu fada, mais à une belle musculature.
Mes seins finissent en contact avec les siens, j’ai très chaud et quand ses lèvres viennent sur les miens, j’aurais dû penser qu’il était l’amant de ma mère quelques jours plus tôt.
J’ai attendu qu’un garçon soit attentionné avec moi depuis si longtemps que je perds la tête, quand il ouvre sa braguette, la vierge que je suis, ne rechigne pas à le prendre dans sa bouche.
Maman au secours vient me délivrer, j’aspirais à devenir femme, mais sûrement pas avec Johnny qui te faisait hurler de plaisir, m’empêchant de dormir, il est vrai que la queue que je masturbe fera largement l’affaire alors elle ou une autre pourquoi me poser des questions.
Me prenant de nouveau la main son sexe bandé au maximum, il m’entraîne dans sa chambre.
J’ai un moment de scrupule, ma vieille a-t-elle baisé dans ses draps, car certains soirs, elle rentrait tard, là encore quand mes affaires quittent mon corps, j’ai du remords, mais c’est naturellement que j’écarte mes cuisses pour qu’il me déflore.
Déflorer, c’est un grand mot, qu’il me défonce, car si je n’ai aucun point de comparaison, son sexe est d’un volume qui m’a presque posé problème pour le faire entrer dans ma bouche et qui me remplit au-delà de mes espérances.
Juliette quand nous en rêvions répondait aux questions que je lui posais concernant le sexe et les organes génitaux des mâles, même si elle était aussi inexpérimentée que moi, mais avait une sœur aînée qui s’appelait Sylvie très proche d’elle et qui lui donnait beaucoup de renseignement.
Celui que j’aie retenu, c’était que les filles avaient mal au vagin après la première pénétration.
Je dois être différente des autres, car certes, quand il a écarté mes chaires avec son nœud, j’ai ressenti un petit picotement, vite remplacé par une jouissance montée du fond de mon être.
• Merci du cadeau Véronique, j’ai la queue remplie de ton sang, mais une fille qui jouit dès la première fois, c’est rare, si tu veux, je vais te prendre en main.
J’aurais dû me méfier de cette phrase, mais mes remords s’étaient envolés avec mon pucelage, pendant deux heures, il triture mes seins, met sa langue au fond de ma grotte définitivement ouverte à tous les vents.
• Merci d’avoir fait de moi une femme, j’ai cru que j’allais rester toujours vierge, aucun homme ne semblant s’intéresser à moi.
• Tu te trompes, mais si tu t’attifais mieux que ça, par exemple si tu mettais tes attributs en valeur, comme je te l’ai dit, tu serais une bombe qui ferait craquer tous les hommes, je vais te prendre en main, je ne suis pas jaloux, des hommes, tu en auras et c’est même ici que tu les recevras.
C’est beau l’amour d’une jeune fille pucelle, il m’emmène faire des boutiques, me paye le coiffeur qui change entièrement ma tête et la maquilleuse qui met en valeur mon visage.
Nous retrouvons la tour prête à retourner au bahut dès demain montrer à toutes, mais surtout à tous, la nana que je suis devenue.
• Véro, où es-tu allée, comment es-tu habillée, on dirait une pute, ne me dit pas que c’est Johnny qui t’a donné ton nouveau look, je sais ce qu’il vaut et je serais toi, je sortirais rapidement de ses griffes.
• Tu es jalouse, car je t’ai pris ton amant, Johnny, je l’aime et s’il me le demande, je suis prête à prendre mes affaires et à m’installer chez lui.
• Sors d’ici, va retrouver ton Mac, je ne te donne pas un mois avant qu’il te fasse tapiner.
• C’est laid une femme jalouse, tu es pathétique, tu as raison, je retourne chez lui, au moins, il me respect lui.
Je suis arrivée avec les sacs de vêtements que j’ai achetés grâce à Johnny, je reparts deux blocs plus loin retrouver l’homme qui a su me faire confiance.
• Entre, je savais que ta pouffiasse de mère n’aurait pas accepté que sa fille lui dame le pion, côté beauté, toi tu as en plus ta jeunesse, allons nous coucher, demain tu vas à l’école, je veux que tu aies un bagage dans ta vie.
La nuit suivante, je rêve à ma vie nouvelle que ma décision de quitter ma mère pour mon amant va me faire vivre, se réveiller coucher le long la poitrine de son homme, me fait prendre conscience de la chance que j’aie eu à le rencontrer.
• Véro, quel changement, dis-moi que tu l’as perdue !
• Oui, Juliette, c’est fait, j’ai un mec, j’ai passé la nuit avec lui, tu te rends compte, j’ai quitté ma mère, je vis chez lui, on faisait fausse route, il fallait trouver des hommes plus vieux que nous et non les jeunes puceaux qui nous entourent.
• Tu as certainement raison, regarde, ils bavent sur toi en te reluquant.
Il est vrai, lorsque j’entre dans les couloirs de notre lycée, plus nous avançons, plus leurs yeux sont fixés sur moi.
Pendant les jours qui suivent, je suis de plus en plus amoureuse de Johnny qui me le rend bien, il m’apprend beaucoup de choses sur le sexe, j’adore être sur lui sa queue entrée en moi.
Que dire quand il me prend en levrette et me fait hurler de plaisir, jusqu’au samedi où nous allons chez un de ses copains faire une soirée poker ?
• Tient mon bébé, pose tes fesses dans ce canapé, évite de faire du bruit quand mes copains jouent, le moindre bruit peut les mettre en colère.
J’ignore combien de temps je me suis endormi, quand je sens que l’on me secoue.
• Mon bébé vient là.
Je suis mon homme, que me veut-il, allons-nous rentrer, cette petite sieste m’a mis en forme, j’ai hâte de retrouver sa queue, je faisais un rêve érotique, je sens que ma chatte dégouline.
Il me rapproche de la table de jeu.
• Je t’avais promis des sexes différents dans ta vie, agenouille-toi devant Amed, j’ai perdu ma Rolex, il me la rend si tu le suces.
Présenté comme ça, sans contrainte physique, je sors la queue d’Amed comme je l’ai fait pour Johnny, heureusement qu’il est bien moins monté que mon homme, à la différence qu’au lieu de me baiser, il décharge dans ma bouche.
Boire du sperme, quand nous échangions avec Juliette, nous n’avions jamais parlé de sperme, c’est un peu fade, mais ça glisse bien dans ma gorge et quand je lui ai bien nettoyé la queue, je suis fière de moi.
• Véro, ce soir, c’est nous qui recevons, j’ai constaté que ta mère avait oublié de t’apprendre à faire la cuisine, j’ai fait livrer des pizzas.
• Je vais apprendre Johnny, je veux que tu sois fière de moi, regarde, tu as voulu que je suce Amed, je n’ai pas rechigné, regarde au lit, je ne connaissais rien, j’ai bien progressé grâce à toi.
• On verra cela plus tard, va te préparer, si tu veux descends te faire coiffer et maquiller, prend cet argent, on va leur faire voir qu’elle bombe, tu es…
• Juliette, nous rentrons au lycée aujourd’hui, c’est sûr, c’est cette année que nous nous débarrassons de cette putain de membrane.
• Arrête de dire des conneries, ça fait trois ans qu’à chaque rentrée, tu me dis la même chose.
• Mais cette année, c’est certain, ici c’est le lycée, la plupart des mecs, ils ont déjà baisé, ils vont tous chercher à en profiter, à nous d’être plus maligne qu’eux, cochon qui s’en dédit, tape là Véro.
Nous nous tapons dans la main, je sais que si elle veut la même chose que moi, j’aurais plus de mal, j’ai des seins qui ont trop poussé et les garçons l’an passé m’appelaient la baleine, alors qu’elle est devenue un joli petit lot.
Certes, j’ai de deux ou trois kilos de trop, soyons zen quatre, mais de là à me prendre des râteaux chaque fois qu’un mec me plaît, il y a un monde et j’espère contourner cet obstacle, même si le monde, c’est énorme.
• Véronique, tu sembles soucieuse, sois cool, tu es jeune et belle, la vie t’appartient.
Celui qui vient de me dire cette phrase, c’est le sexe du moment de ma mère, depuis cinq ans que mon père est parti, elle s’éclate à quarante ans avec des mecs plus jeunes d’au moins vingt ans.
Elle en change comme d’autres changes de pantalon, qu’elle sait leur enlever rapidement quand elle les rencontre dès la première fois.
Johnny à vingt-huit ans et la fait monter au sommet de ce monde que je veux conquérir, ils baisent tellement, m’empêchant de dormir presque tous les soirs.
Heureusement, il part deux fois sur trois vers une heure du matin, il a son logement à deux tours de chez nous.
Comme je l’avais prévu, deux mois après, je suis toujours vierge et ma mère s’embrouille avec Johnny, j’entends la porte claquer quand elle le fiche dehors, cette nuit-là, il est vingt-deux heures quand il part et je passe une nuit tranquille.
• Véro, rends-moi service, tu n’es pas sans savoir que Johnny m’a quitté alors que j’ai tout fait pour le retenir, il a laissé quelques affaires, je préférerais que tu lui rapportes.
La salope, il l’a quittée.
« Pauvre con, tu ne sais même pas baiser, tire-toi, j’en ai de plus jeunes qui m’attendent. »
C’est par cette phrase, que j’ai entendu quand il a claqué la porte, qu’ils se sont séparés.
Je me rends dans la tour où loge Johnny avec le carton que maman m’a donné.
• Véro, toi ici, je n’avais pas vu tout à ma passion pour ta mère, la jolie fille que tu es, tous les garçons doivent être à tes pieds.
• Comment peux-tu dire ça Johnny, les garçons, aucun ne veut de moi, ils doivent me trouver trop grosse.
• Ce sont des fous, bébé, deux trois retouches et je vais faire de toi une bombe.
Il me prend par la main et me fait tourner sur moi-même, comme le ferait une ballerine de l’Opéra, en tournant, je m’enroule jusque sur sa poitrine, il est un peu fada, mais à une belle musculature.
Mes seins finissent en contact avec les siens, j’ai très chaud et quand ses lèvres viennent sur les miens, j’aurais dû penser qu’il était l’amant de ma mère quelques jours plus tôt.
J’ai attendu qu’un garçon soit attentionné avec moi depuis si longtemps que je perds la tête, quand il ouvre sa braguette, la vierge que je suis, ne rechigne pas à le prendre dans sa bouche.
Maman au secours vient me délivrer, j’aspirais à devenir femme, mais sûrement pas avec Johnny qui te faisait hurler de plaisir, m’empêchant de dormir, il est vrai que la queue que je masturbe fera largement l’affaire alors elle ou une autre pourquoi me poser des questions.
Me prenant de nouveau la main son sexe bandé au maximum, il m’entraîne dans sa chambre.
J’ai un moment de scrupule, ma vieille a-t-elle baisé dans ses draps, car certains soirs, elle rentrait tard, là encore quand mes affaires quittent mon corps, j’ai du remords, mais c’est naturellement que j’écarte mes cuisses pour qu’il me déflore.
Déflorer, c’est un grand mot, qu’il me défonce, car si je n’ai aucun point de comparaison, son sexe est d’un volume qui m’a presque posé problème pour le faire entrer dans ma bouche et qui me remplit au-delà de mes espérances.
Juliette quand nous en rêvions répondait aux questions que je lui posais concernant le sexe et les organes génitaux des mâles, même si elle était aussi inexpérimentée que moi, mais avait une sœur aînée qui s’appelait Sylvie très proche d’elle et qui lui donnait beaucoup de renseignement.
Celui que j’aie retenu, c’était que les filles avaient mal au vagin après la première pénétration.
Je dois être différente des autres, car certes, quand il a écarté mes chaires avec son nœud, j’ai ressenti un petit picotement, vite remplacé par une jouissance montée du fond de mon être.
• Merci du cadeau Véronique, j’ai la queue remplie de ton sang, mais une fille qui jouit dès la première fois, c’est rare, si tu veux, je vais te prendre en main.
J’aurais dû me méfier de cette phrase, mais mes remords s’étaient envolés avec mon pucelage, pendant deux heures, il triture mes seins, met sa langue au fond de ma grotte définitivement ouverte à tous les vents.
• Merci d’avoir fait de moi une femme, j’ai cru que j’allais rester toujours vierge, aucun homme ne semblant s’intéresser à moi.
• Tu te trompes, mais si tu t’attifais mieux que ça, par exemple si tu mettais tes attributs en valeur, comme je te l’ai dit, tu serais une bombe qui ferait craquer tous les hommes, je vais te prendre en main, je ne suis pas jaloux, des hommes, tu en auras et c’est même ici que tu les recevras.
C’est beau l’amour d’une jeune fille pucelle, il m’emmène faire des boutiques, me paye le coiffeur qui change entièrement ma tête et la maquilleuse qui met en valeur mon visage.
Nous retrouvons la tour prête à retourner au bahut dès demain montrer à toutes, mais surtout à tous, la nana que je suis devenue.
• Véro, où es-tu allée, comment es-tu habillée, on dirait une pute, ne me dit pas que c’est Johnny qui t’a donné ton nouveau look, je sais ce qu’il vaut et je serais toi, je sortirais rapidement de ses griffes.
• Tu es jalouse, car je t’ai pris ton amant, Johnny, je l’aime et s’il me le demande, je suis prête à prendre mes affaires et à m’installer chez lui.
• Sors d’ici, va retrouver ton Mac, je ne te donne pas un mois avant qu’il te fasse tapiner.
• C’est laid une femme jalouse, tu es pathétique, tu as raison, je retourne chez lui, au moins, il me respect lui.
Je suis arrivée avec les sacs de vêtements que j’ai achetés grâce à Johnny, je reparts deux blocs plus loin retrouver l’homme qui a su me faire confiance.
• Entre, je savais que ta pouffiasse de mère n’aurait pas accepté que sa fille lui dame le pion, côté beauté, toi tu as en plus ta jeunesse, allons nous coucher, demain tu vas à l’école, je veux que tu aies un bagage dans ta vie.
La nuit suivante, je rêve à ma vie nouvelle que ma décision de quitter ma mère pour mon amant va me faire vivre, se réveiller coucher le long la poitrine de son homme, me fait prendre conscience de la chance que j’aie eu à le rencontrer.
• Véro, quel changement, dis-moi que tu l’as perdue !
• Oui, Juliette, c’est fait, j’ai un mec, j’ai passé la nuit avec lui, tu te rends compte, j’ai quitté ma mère, je vis chez lui, on faisait fausse route, il fallait trouver des hommes plus vieux que nous et non les jeunes puceaux qui nous entourent.
• Tu as certainement raison, regarde, ils bavent sur toi en te reluquant.
Il est vrai, lorsque j’entre dans les couloirs de notre lycée, plus nous avançons, plus leurs yeux sont fixés sur moi.
Pendant les jours qui suivent, je suis de plus en plus amoureuse de Johnny qui me le rend bien, il m’apprend beaucoup de choses sur le sexe, j’adore être sur lui sa queue entrée en moi.
Que dire quand il me prend en levrette et me fait hurler de plaisir, jusqu’au samedi où nous allons chez un de ses copains faire une soirée poker ?
• Tient mon bébé, pose tes fesses dans ce canapé, évite de faire du bruit quand mes copains jouent, le moindre bruit peut les mettre en colère.
J’ignore combien de temps je me suis endormi, quand je sens que l’on me secoue.
• Mon bébé vient là.
Je suis mon homme, que me veut-il, allons-nous rentrer, cette petite sieste m’a mis en forme, j’ai hâte de retrouver sa queue, je faisais un rêve érotique, je sens que ma chatte dégouline.
Il me rapproche de la table de jeu.
• Je t’avais promis des sexes différents dans ta vie, agenouille-toi devant Amed, j’ai perdu ma Rolex, il me la rend si tu le suces.
Présenté comme ça, sans contrainte physique, je sors la queue d’Amed comme je l’ai fait pour Johnny, heureusement qu’il est bien moins monté que mon homme, à la différence qu’au lieu de me baiser, il décharge dans ma bouche.
Boire du sperme, quand nous échangions avec Juliette, nous n’avions jamais parlé de sperme, c’est un peu fade, mais ça glisse bien dans ma gorge et quand je lui ai bien nettoyé la queue, je suis fière de moi.
• Véro, ce soir, c’est nous qui recevons, j’ai constaté que ta mère avait oublié de t’apprendre à faire la cuisine, j’ai fait livrer des pizzas.
• Je vais apprendre Johnny, je veux que tu sois fière de moi, regarde, tu as voulu que je suce Amed, je n’ai pas rechigné, regarde au lit, je ne connaissais rien, j’ai bien progressé grâce à toi.
• On verra cela plus tard, va te préparer, si tu veux descends te faire coiffer et maquiller, prend cet argent, on va leur faire voir qu’elle bombe, tu es…
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ENCORE UNE HISTOIRE EXCITANTE BRABO
Merci cher lecteur
j'adore, très bandant !!!!