Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Femme parfaite (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Femme parfaite (1/1)
• Bonsoir, ma chérie, je suis heureux de te retrouver avec ces beaux vêtements, je te les avais sorties ce matin avant de partir à mon travail.
Ta petite culotte, surtout, j’adore la ficelle qui passe entre tes fesses.
Je viens de revenir de mon travail et ma petite femme fait tout ce qui est en son pouvoir pour m’aguicher.
• Tu veux que je te lèche la raie des fesses dès mon retour, tu es une vraie cochonne, mais tu sais que j’adore te faire une feuille de rose.
Arrête de me provoquer en tortillant du croupion, sinon je vais directement te sodomiser.
C’est incroyable comme elle aime me provoquer, outre ses dessous affriolants, elle prend toujours des postures me faisant bander.
Quelle chance, j’ai eue de la rencontrer, maman n’accepte pas notre relation, j’ai peur qu’elle ne soit jalouse de notre amour sans aucune faille depuis qu’elle a enterré mon père.
• Tes seins, bien sûr qu’ils sont très beaux, d’autant plus que tu as mis la guêpière que je t’ai offerte pour Noël, elle les relève magnifiquement, faisant bander leur pointe en forme de fraise.
Tu veux que je fasse attention avec mes dents, tu as peur que je ne les sectionne.
Je fais attention mon amour, je sais que ta cousine est morte d’un coup de dent malencontreux lors d’ébats le jour de ses noces.
Il faut dire que cette poitrine, c’est la plus belle des jolies petites poupées qu’il m’a été donné de rencontrer, cette rousse incendiaire est le sommet de celles que j’ai tenues dans mes bras.
• C’est bien, excuse-moi de t’avoir dit hier que tu embrassais très mal, oui, donne-moi ta bouche.
Nous échangeons ce baiser très profond comme j’aime être embrassé, je peux plonger ma langue bien au fond de sa cavitée buccale.
• Tu veux que je remplace ma langue par ma bite, salope comme tu y vas, mais tu sais comme j’aime quand tu me fais une fellation.
Oui, comme ça, laisse-moi entrer profondément dans ta bouche, une gorge profonde, j’adore quand tu la réussis.
J’entre et je sors dans sa bouche, je prends les oreilles de ma petite pute afin de rythmer cette magnifique fellation.
• Arrête, je vais cracher mon sperme, mais avant de nous coucher, j’aimerais te la mettre dans ta chatte.
Attends, je vais te sucer, moi aussi.
Nous pivotons et dans un magnifique 69, je continue à limer dans sa bouche pendant que ma langue se retrouve dans sa petite cramouille de rousse.
• Ma chérie, je vois que tu es en forme ce soir, viens que je te pénètre, chaque fois que nous copulons, c’est chaque fois de plus en plus intense.
Tu sens, je viens d’écarter tes grandes lèvres et je suis en toi de nouveau.
Sois plus discrète, j’ai l’impression d’entendre maman quand mon père était encore de ce monde et qu’il la pilonnait la faisant hurler de plaisir.
Je suis profondément entré en elle, chaque fois que ma verge touche le fond de son vagin, j’ai peur de jouir trop vite alors je pense à autre chose, je veux que ta jouissance soit deux fois moins forte que ce que tu espères.
• Salope, tu m’as eu, oui, oui, je te remplis de mon sperme, viens dans la salle de bains, nous allons nous laver avant de dormir, demain je me lève à six heures.
Oui, mon amour, je me lève sans te réveiller, hier tu as été parfaite, je te prépare les vêtements pour mon retour ce soir, tu verras, j’ai choisi celle que tu préfères porter pour m’aguicher.
Pensant et faisant ses gestes, la regardant dormir, impudiques dans sa nudité, couchée sur le ventre sa chatte offerte.
Je suis à deux doigts de défaire mon pantalon pour lui mettre un petit coup avant d’aller au travail, mais il faut savoir être sérieux, j’ai eu du mal à trouver ce travail et maman serait en colère si je le perdais.
J’ai déjà du mal à lui faire admettre la présence de la Rousse dans sa maison, inutile à faire de nouveau drame.
Depuis que je me suis aperçu que je bandais, il y en a eu trois, chaque fois elle s’est arrangée pour les faire fuir, la rousse est prévenue, si elle la rencontre, elle évite de lui parler.
• Ma chérie, je suis exténué, j’ai porté des dizaines de paquets tous plus lourds les uns que les autres.
J’adore ta jupette, je te l’ai préparé exprès ce matin, soulève là.
C’est bien, je vois que ce soir c’est un soir sans petite culotte, fais voir tes seins !
Bien, ils sont libres de toute entrave, je veux les sucer.
Tu me les refuse, vilaine, j’aime mieux ça, je croyais que tu te refusais à moi.
J’ai compris, tu veux recevoir une fessée, comme quand tu allais dans ton collège anglais, attends, je sors ta cravache, tes fesses seront bientôt toutes rouges.
Je sais, ce n’est pas bien d’être violent avec les femmes, mais elle ne se plein jamais alors j’abuse, je vais sortir la fine badine de l’armoire et l’ayant placé les fesses à ma portée, les coups pleuves.
J’arrête quand mon bras a mal et comme prévu jamais elle ne se plaint.
• Tu as été vilaine, mais je vais quand même te donner une dernière marque d’amour, je vais te sodomiser, reste dans cette position, tu seras très bien et je vais pouvoir aller bien au fond de ton anus.
Quel pied, la sodomiser, j’évite d’abuser de cette pratique si divine, c’est peut-être depuis la visite de mon cousin pendant les dernières vacances, maman étant partie au super marché, il a tenté de me sodomiser.
C’était avant que je trouve la Rousse, je venais de prendre ma douche et comme je suis rentré nu dans notre chambre, il m’a regardé flatter la croupe comme je le fais en ce moment avec mon amie et il m’a mis un doigt.
J’ai beaucoup aimé, mais il devait être écrit que la sodomie serait pour moi certainement plus tard, car nous avons entendu la porte s’ouvrir et maman l’appeler pour le reconduire chez lui.
Depuis, j’ai trouvé la femme de ma vie et je suis resté vierge de mon trou du cul sauf le doigt m’ayant pénétré.
• Je vois que tu as tour prévue pour te faire sodomiser ma belle, je vois le tube de Vaseline que tu as posé sur notre table de chevet, attends, je vais t’en mettre.
Toi aussi, tu aimes que je t’introduise un doigt dans l’anus, tu es toujours plus exigeante dans tes plaisirs.
Bien lubrifié et bien doigté, je rentre en elle comme dans du beurre, c’est divin, plaisir extrême, mais la salope est pire que toutes celles que j’ai connues, elle sort ma bite de son fondement se retourne et sans la nettoyer se la place dans la bouche.
C’est à ce moment que j’entends maman parler tout en ouvrant ma porte.
• Christophe, petit pervers, que fais-tu, ta verge dans la bouche de cette poupée gonflable, tu es plus ignoble que ton père.
• Maman que viens-tu faire ici, je t’avais interdit de rentrer dans mon domaine, surtout depuis que j’ai trouvé la femme parfaite, jamais un mot plus haut que l’autre.
Quand tu étais avec papa, vous passiez votre temps à hurler en vous engueulant, depuis que mon amie est avec moi, jamais tu ne l’as entendue se plaindre de quoi que ce soit, alors qu’elle accepte tout ce que j’aime lui faire.
Alors dehors.
Ta petite culotte, surtout, j’adore la ficelle qui passe entre tes fesses.
Je viens de revenir de mon travail et ma petite femme fait tout ce qui est en son pouvoir pour m’aguicher.
• Tu veux que je te lèche la raie des fesses dès mon retour, tu es une vraie cochonne, mais tu sais que j’adore te faire une feuille de rose.
Arrête de me provoquer en tortillant du croupion, sinon je vais directement te sodomiser.
C’est incroyable comme elle aime me provoquer, outre ses dessous affriolants, elle prend toujours des postures me faisant bander.
Quelle chance, j’ai eue de la rencontrer, maman n’accepte pas notre relation, j’ai peur qu’elle ne soit jalouse de notre amour sans aucune faille depuis qu’elle a enterré mon père.
• Tes seins, bien sûr qu’ils sont très beaux, d’autant plus que tu as mis la guêpière que je t’ai offerte pour Noël, elle les relève magnifiquement, faisant bander leur pointe en forme de fraise.
Tu veux que je fasse attention avec mes dents, tu as peur que je ne les sectionne.
Je fais attention mon amour, je sais que ta cousine est morte d’un coup de dent malencontreux lors d’ébats le jour de ses noces.
Il faut dire que cette poitrine, c’est la plus belle des jolies petites poupées qu’il m’a été donné de rencontrer, cette rousse incendiaire est le sommet de celles que j’ai tenues dans mes bras.
• C’est bien, excuse-moi de t’avoir dit hier que tu embrassais très mal, oui, donne-moi ta bouche.
Nous échangeons ce baiser très profond comme j’aime être embrassé, je peux plonger ma langue bien au fond de sa cavitée buccale.
• Tu veux que je remplace ma langue par ma bite, salope comme tu y vas, mais tu sais comme j’aime quand tu me fais une fellation.
Oui, comme ça, laisse-moi entrer profondément dans ta bouche, une gorge profonde, j’adore quand tu la réussis.
J’entre et je sors dans sa bouche, je prends les oreilles de ma petite pute afin de rythmer cette magnifique fellation.
• Arrête, je vais cracher mon sperme, mais avant de nous coucher, j’aimerais te la mettre dans ta chatte.
Attends, je vais te sucer, moi aussi.
Nous pivotons et dans un magnifique 69, je continue à limer dans sa bouche pendant que ma langue se retrouve dans sa petite cramouille de rousse.
• Ma chérie, je vois que tu es en forme ce soir, viens que je te pénètre, chaque fois que nous copulons, c’est chaque fois de plus en plus intense.
Tu sens, je viens d’écarter tes grandes lèvres et je suis en toi de nouveau.
Sois plus discrète, j’ai l’impression d’entendre maman quand mon père était encore de ce monde et qu’il la pilonnait la faisant hurler de plaisir.
Je suis profondément entré en elle, chaque fois que ma verge touche le fond de son vagin, j’ai peur de jouir trop vite alors je pense à autre chose, je veux que ta jouissance soit deux fois moins forte que ce que tu espères.
• Salope, tu m’as eu, oui, oui, je te remplis de mon sperme, viens dans la salle de bains, nous allons nous laver avant de dormir, demain je me lève à six heures.
Oui, mon amour, je me lève sans te réveiller, hier tu as été parfaite, je te prépare les vêtements pour mon retour ce soir, tu verras, j’ai choisi celle que tu préfères porter pour m’aguicher.
Pensant et faisant ses gestes, la regardant dormir, impudiques dans sa nudité, couchée sur le ventre sa chatte offerte.
Je suis à deux doigts de défaire mon pantalon pour lui mettre un petit coup avant d’aller au travail, mais il faut savoir être sérieux, j’ai eu du mal à trouver ce travail et maman serait en colère si je le perdais.
J’ai déjà du mal à lui faire admettre la présence de la Rousse dans sa maison, inutile à faire de nouveau drame.
Depuis que je me suis aperçu que je bandais, il y en a eu trois, chaque fois elle s’est arrangée pour les faire fuir, la rousse est prévenue, si elle la rencontre, elle évite de lui parler.
• Ma chérie, je suis exténué, j’ai porté des dizaines de paquets tous plus lourds les uns que les autres.
J’adore ta jupette, je te l’ai préparé exprès ce matin, soulève là.
C’est bien, je vois que ce soir c’est un soir sans petite culotte, fais voir tes seins !
Bien, ils sont libres de toute entrave, je veux les sucer.
Tu me les refuse, vilaine, j’aime mieux ça, je croyais que tu te refusais à moi.
J’ai compris, tu veux recevoir une fessée, comme quand tu allais dans ton collège anglais, attends, je sors ta cravache, tes fesses seront bientôt toutes rouges.
Je sais, ce n’est pas bien d’être violent avec les femmes, mais elle ne se plein jamais alors j’abuse, je vais sortir la fine badine de l’armoire et l’ayant placé les fesses à ma portée, les coups pleuves.
J’arrête quand mon bras a mal et comme prévu jamais elle ne se plaint.
• Tu as été vilaine, mais je vais quand même te donner une dernière marque d’amour, je vais te sodomiser, reste dans cette position, tu seras très bien et je vais pouvoir aller bien au fond de ton anus.
Quel pied, la sodomiser, j’évite d’abuser de cette pratique si divine, c’est peut-être depuis la visite de mon cousin pendant les dernières vacances, maman étant partie au super marché, il a tenté de me sodomiser.
C’était avant que je trouve la Rousse, je venais de prendre ma douche et comme je suis rentré nu dans notre chambre, il m’a regardé flatter la croupe comme je le fais en ce moment avec mon amie et il m’a mis un doigt.
J’ai beaucoup aimé, mais il devait être écrit que la sodomie serait pour moi certainement plus tard, car nous avons entendu la porte s’ouvrir et maman l’appeler pour le reconduire chez lui.
Depuis, j’ai trouvé la femme de ma vie et je suis resté vierge de mon trou du cul sauf le doigt m’ayant pénétré.
• Je vois que tu as tour prévue pour te faire sodomiser ma belle, je vois le tube de Vaseline que tu as posé sur notre table de chevet, attends, je vais t’en mettre.
Toi aussi, tu aimes que je t’introduise un doigt dans l’anus, tu es toujours plus exigeante dans tes plaisirs.
Bien lubrifié et bien doigté, je rentre en elle comme dans du beurre, c’est divin, plaisir extrême, mais la salope est pire que toutes celles que j’ai connues, elle sort ma bite de son fondement se retourne et sans la nettoyer se la place dans la bouche.
C’est à ce moment que j’entends maman parler tout en ouvrant ma porte.
• Christophe, petit pervers, que fais-tu, ta verge dans la bouche de cette poupée gonflable, tu es plus ignoble que ton père.
• Maman que viens-tu faire ici, je t’avais interdit de rentrer dans mon domaine, surtout depuis que j’ai trouvé la femme parfaite, jamais un mot plus haut que l’autre.
Quand tu étais avec papa, vous passiez votre temps à hurler en vous engueulant, depuis que mon amie est avec moi, jamais tu ne l’as entendue se plaindre de quoi que ce soit, alors qu’elle accepte tout ce que j’aime lui faire.
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