Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’échafaudage (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’échafaudage (1/1)
Viviane, ma femme, est partie quelques jours dans notre villa à Ramatuelle quand cette petite aventure est arrivée.
Petite mais pleine de conséquences.
C’est le temps des cerises et je suis peinard dans notre salon quand on sonne à la porte.
• Véronique, que fais-tu là, j’apprécie ta visite, Viviane t’a dit qu’elle prenait quelques jours de repos à Ramatuelle dans la villa qu’elle loue, elle a découvert un problème de peau et doit se faire bronzer naturellement.
• Oui, elle me l’a dit, mais c’est pour un tout autre sujet que je suis venue te voir.
• Dit-moi ?
• Jean-Noël comme Viviane m’a quitté pour la semaine, mais professionnellement, il est parti pour Nantes chez des amis pour les aider à rénover le restaurant qu’ils ont acheté.
Même s’il est loin, je commence à me morfondre, le contrat qu’ils ont signé va nous soulager, à ce qu’il m’a dit, le travail ici est rare en ce moment.
• De quoi suis-je content de l'apprendre, mais à part cela as-tu besoin ?
• D’une sécurité pour cueillir mes cerises.
• C’est vrai, j’ai vu votre arbre au moment des fleurs, comme le gel nous a épargnés, il doit être rouge de fruit.
• Je voulais en cueillir quelques-unes pour faire un clafoutis, ma fille passe demain midi avec son nouveau copain demain et elle en raffole.
• Nouveau copain, c’est déjà fini avec Romuald !
• Tu as trois longueurs de retard mon pauvre Christian, entre-temps, il y a eu Gaétan et celui de demain s’appelle Germain.
• Il doit aimer le foot !
• Pourquoi ?
• Germain, Paris saint Germain tu comprends la vanne sur le foot.
• Toujours ton humour à deux balles, tu vas me faire regretter d’être venue te demander à me rendre ce service.
• J’arrête l’humour, même si je pouvais continuer à cause de la phrase que tu viens de dire.
• Vas-y, lâche-toi, à un moment où à un autre, tu vas trouver le moyen de me la resservir.
• J’en rigole d’avance, tu as dit mon humour « à deux balles », deux balles, ballon de foot, je me bidonne.
• J’avais raison, vive ton humour, bref les plaisanteries les plus courtes sont les meilleurs, peux-tu venir m’aider à mettre l’échafaudage roulant de Nicola en place, il est trop lourd.
Bien sûr, une fois en place tu m’aideras à cueillir mes cerises en toute sécurité.
• Tu sais que je vais être opéré d’un genou la semaine prochaine, je peux le mettre en place le tenir pour que tu te sentes en sécurité, mais il me sera impossible de monter aussi haut.
• Je sais Christian, mais dis-moi la vérité, tu as le vertige et tu refuses de grimper même à trois mètres.
• Comment sais-tu cela Véronique, Viviane te l’a dit ?
• Souviens-toi, l’an passé, nous sommes allés passer un week-end à Paris et quand nous sommes montés sur la tour Effel, tu as refusé de t’avancer au bord dès le premier étage.
Tu es même resté seul dans un des bars à boire une bière pendant que nous montions avec Viviane jusqu’au troisième, entre parenthèses, tu as manqué une vue inoubliable.
Il est vrai que le séducteur que tu es quand nous t’avons retrouvé était en compagnie de deux jolies Suédoises.
• Tu exagères, elles me demandaient ce qui était plus beau à visiter, le Louvre et Beaubourg.
• Tu demanderas à ta femme ce qu’elle en pense, tu avais ton regard plongé dans leur profond décolleté.
• Je dois reconnaître que tu as raison, regarder ce qui est beau à mon âge, c’est tout à fait normal, elle t’en a parlé.
• Dès notre retour, elle m’a dit que quand tu croissais des chattes en chaleur, ta langue en pendait d’envie, quant à ton âge, tu es bien conservé en rapport de nos plus de vingt ans d’écart.
• Allons cueillir ces cerises, arrêtons de dire des conneries.
Je la suis, l’échafaudage est monté et je le fais rouler jusqu’au cerisier ou je le redresse.
Véronique devait être sûre que je la rejoindrais, car elle a déjà sorti un panier, l’échafaudage mis en place, je lui ouvre la trappe pour qu’elle puisse grimper.
Je le tiens au moment du point délicat où elle doit passer sur le plateau à trois mètres, le poids même aussi fluet de Véronique risquant de faire basculer l’ensemble vers l’avant.
Au moment de la manœuvre mon œil se porte sous la robe, je la connais bien, elle la porte pour faire son jardinage depuis dix ans que l’on se connaît, je détourne les yeux, il me semble qu’elle est montée au-dessus de moi sans mettre de culotte.
Quand elle se déplace et surtout qu’elle se soulève sur la pointe des pieds pour attraper les cerises les plus hautes, je m’aperçois que je me trompe, elle a un string la ficelle lui passant entre ses jolies fesses.
Ces dernières, je dois dire que je les ai déjà vues, Jean-Noël et Véronique ont une piscine chauffée comme nous, il y a à peine deux jours, j’étais dans notre grenier à réparer un Velux, quand se croyant seule elle est venue se baigner, surtout pour profiter des premiers rayons de soleil si prisés à la sortie de l’hiver.
Pourquoi refuser de regarder ce qui est beau, surtout quand elle a ôté son maillot me montrant sa petite chatte épilée que je serais bien venu lécher voire mordiller ?
Ma main s’est portée sur ma verge, mais j’ai réfréné mon envie de me masturber.
• C’est bon, j’en ai assez pour faire mon clafoutis, j’en ai pris un peu plus pour que nous en mangions quelques-unes quand je serai redescendu, prends le panier, pose-le au sol et tient bien l’échafaudage, c’est toujours au moment de redescendre que j’ai le plus peur.
Je me place pour être le plus efficace, mais en espérant bien que je pourrais avoir un dernier regard sur le joli cul de ma jolie voisine.
Elle pose, un pied, me satisfaisant pleinement, pose le deuxième sur l’échelle puis la semble hésiter.
• Christian, je suis bloquée, regarde mes jambes tremblent, je vais tout lâcher et tomber.
• Pas de panique ma belle, je monte t’aider à descendre.
Je monte trois marches passant ma tête entre elle et le plateau et je glisse une main devant elle lui prenant le sein gauche que j’avais trouvé plus joli que le droit vu de mon grenier par le Velux.
Je rigole toujours mon humour, il n’empêche que je le tiens fermement et comme Véronique semble reprendre vie à ce contact descendant marche après marche, je me garde bien de l’enlever.
Mieux même, dès que nos pieds sont sur le sol au centre de l’échafaudage, elle se retourne, nos regards se croisent et nos bouches se trouvent.
Je l’aide à sortir de notre cage très peu fermée et c’est elle qui m’entraîne sur la pelouse.
Elle défait la ceinture de mon pantalon pendant que je glisse ma main sous sa robe, retrouvant son string qui est trempé d’envie.
Elle sort ma verge, la regarde avec autant d’envie que je vais avoir à réaliser ce que je pensais tout à l’heure, lui lécher sa petite minette.
• Christian, elle est aussi grosse que ce que j’en avais vu de mon grenier quand je suis montée étendre mon linge, il faisait tellement chaud que j’ai ouvert mon Velux pour faire une circulation d’air et je t’ai vu nu sur ton transat à te faire bronzer près de ta piscine.
Bien sûr, ta bite était au repos, mais j’ai bien pu comparer avec celle de Jean-Noël, même si je la vois de moins en moins souvent ces mois si.
J’allais lui demander si elle pensait qu’il la trompait, mais sa bouche prenant ma verge m’oblige à me taire au moment où elle m’aspire comme nous aspirions notre roudoudou quand nous étions jeunes.
Pour éviter d’être en reste et surtout qu’elle soit frustrée dès notre premier moment d’intimité, je pivote de 180 degrés, je soulève sa robe, j’écarte son morceau de tissu qui se déchire malencontreusement, me livrant son abricot tout lisse, il devait être aussi doré que ses cheveux avant qu’elle ne s’épile.
Sous ma langue, je sens qu’elle frisonne et comme je suis au bord de lui emplir la bouche, je casse notre joli 69 pour me retrouver la verge entre ses cuisses et glisser divinement au fond de sa grotte.
Pendant les trois jours restants avant le retour de nos moitiés et le passage de sa fille pour venir chercher le clafoutis, nous faisons l’amour, qui au bord d’une de nos piscines, voire dans nos salons, ayant la décence d’éviter nos lits conjugaux.
Seuls les lits de nos chambres d’amis nous reçoivent avec délectation pour des nuits de folie et des matins torrides.
Épilogue.
Viviane est revenue le même jour que Jean-Noël nous annonçant qu’ils avaient été tous les deux à Ramatuelle, que le voyage à Nantes était bidon et qu’il désire vivre ensemble.
Voilà ce que c’est d’avoir épousé une femme vingt ans plus jeune que soi, aucun problème il est vrai, nous avons tiré à pile ou face pour savoir qui de nous ferions notre valise pour rejoindre la maison voisine.
Jean-Noël est marié avec Viviane, je vis en concubinage avec Véronique, tous les ans quand nous plaçons l’échafaudage sous le cerisier qui par chance est de notre côté, immanquablement nous roulons sur l’herbe tendre du printemps, nous remémorant la folle journée que nous avons vécue.
Nous remplissons deux paniers l’un pour nous l’autre que nous portons à nos ex qui nous remercient malgré la tromperie qu’ils ont eue envers nous.
C’est beau la mauvaise fois.
Dernier point du contrat de divorce entre nos deux couples, l’ÉCHAFAUDAGE reste notre propriété étant seule à avoir un cerisier, quand il est en place, je me garde bien de quitter notre foyer, au cas où ma concubine aurait des goûts de revenez-y.
Petite mais pleine de conséquences.
C’est le temps des cerises et je suis peinard dans notre salon quand on sonne à la porte.
• Véronique, que fais-tu là, j’apprécie ta visite, Viviane t’a dit qu’elle prenait quelques jours de repos à Ramatuelle dans la villa qu’elle loue, elle a découvert un problème de peau et doit se faire bronzer naturellement.
• Oui, elle me l’a dit, mais c’est pour un tout autre sujet que je suis venue te voir.
• Dit-moi ?
• Jean-Noël comme Viviane m’a quitté pour la semaine, mais professionnellement, il est parti pour Nantes chez des amis pour les aider à rénover le restaurant qu’ils ont acheté.
Même s’il est loin, je commence à me morfondre, le contrat qu’ils ont signé va nous soulager, à ce qu’il m’a dit, le travail ici est rare en ce moment.
• De quoi suis-je content de l'apprendre, mais à part cela as-tu besoin ?
• D’une sécurité pour cueillir mes cerises.
• C’est vrai, j’ai vu votre arbre au moment des fleurs, comme le gel nous a épargnés, il doit être rouge de fruit.
• Je voulais en cueillir quelques-unes pour faire un clafoutis, ma fille passe demain midi avec son nouveau copain demain et elle en raffole.
• Nouveau copain, c’est déjà fini avec Romuald !
• Tu as trois longueurs de retard mon pauvre Christian, entre-temps, il y a eu Gaétan et celui de demain s’appelle Germain.
• Il doit aimer le foot !
• Pourquoi ?
• Germain, Paris saint Germain tu comprends la vanne sur le foot.
• Toujours ton humour à deux balles, tu vas me faire regretter d’être venue te demander à me rendre ce service.
• J’arrête l’humour, même si je pouvais continuer à cause de la phrase que tu viens de dire.
• Vas-y, lâche-toi, à un moment où à un autre, tu vas trouver le moyen de me la resservir.
• J’en rigole d’avance, tu as dit mon humour « à deux balles », deux balles, ballon de foot, je me bidonne.
• J’avais raison, vive ton humour, bref les plaisanteries les plus courtes sont les meilleurs, peux-tu venir m’aider à mettre l’échafaudage roulant de Nicola en place, il est trop lourd.
Bien sûr, une fois en place tu m’aideras à cueillir mes cerises en toute sécurité.
• Tu sais que je vais être opéré d’un genou la semaine prochaine, je peux le mettre en place le tenir pour que tu te sentes en sécurité, mais il me sera impossible de monter aussi haut.
• Je sais Christian, mais dis-moi la vérité, tu as le vertige et tu refuses de grimper même à trois mètres.
• Comment sais-tu cela Véronique, Viviane te l’a dit ?
• Souviens-toi, l’an passé, nous sommes allés passer un week-end à Paris et quand nous sommes montés sur la tour Effel, tu as refusé de t’avancer au bord dès le premier étage.
Tu es même resté seul dans un des bars à boire une bière pendant que nous montions avec Viviane jusqu’au troisième, entre parenthèses, tu as manqué une vue inoubliable.
Il est vrai que le séducteur que tu es quand nous t’avons retrouvé était en compagnie de deux jolies Suédoises.
• Tu exagères, elles me demandaient ce qui était plus beau à visiter, le Louvre et Beaubourg.
• Tu demanderas à ta femme ce qu’elle en pense, tu avais ton regard plongé dans leur profond décolleté.
• Je dois reconnaître que tu as raison, regarder ce qui est beau à mon âge, c’est tout à fait normal, elle t’en a parlé.
• Dès notre retour, elle m’a dit que quand tu croissais des chattes en chaleur, ta langue en pendait d’envie, quant à ton âge, tu es bien conservé en rapport de nos plus de vingt ans d’écart.
• Allons cueillir ces cerises, arrêtons de dire des conneries.
Je la suis, l’échafaudage est monté et je le fais rouler jusqu’au cerisier ou je le redresse.
Véronique devait être sûre que je la rejoindrais, car elle a déjà sorti un panier, l’échafaudage mis en place, je lui ouvre la trappe pour qu’elle puisse grimper.
Je le tiens au moment du point délicat où elle doit passer sur le plateau à trois mètres, le poids même aussi fluet de Véronique risquant de faire basculer l’ensemble vers l’avant.
Au moment de la manœuvre mon œil se porte sous la robe, je la connais bien, elle la porte pour faire son jardinage depuis dix ans que l’on se connaît, je détourne les yeux, il me semble qu’elle est montée au-dessus de moi sans mettre de culotte.
Quand elle se déplace et surtout qu’elle se soulève sur la pointe des pieds pour attraper les cerises les plus hautes, je m’aperçois que je me trompe, elle a un string la ficelle lui passant entre ses jolies fesses.
Ces dernières, je dois dire que je les ai déjà vues, Jean-Noël et Véronique ont une piscine chauffée comme nous, il y a à peine deux jours, j’étais dans notre grenier à réparer un Velux, quand se croyant seule elle est venue se baigner, surtout pour profiter des premiers rayons de soleil si prisés à la sortie de l’hiver.
Pourquoi refuser de regarder ce qui est beau, surtout quand elle a ôté son maillot me montrant sa petite chatte épilée que je serais bien venu lécher voire mordiller ?
Ma main s’est portée sur ma verge, mais j’ai réfréné mon envie de me masturber.
• C’est bon, j’en ai assez pour faire mon clafoutis, j’en ai pris un peu plus pour que nous en mangions quelques-unes quand je serai redescendu, prends le panier, pose-le au sol et tient bien l’échafaudage, c’est toujours au moment de redescendre que j’ai le plus peur.
Je me place pour être le plus efficace, mais en espérant bien que je pourrais avoir un dernier regard sur le joli cul de ma jolie voisine.
Elle pose, un pied, me satisfaisant pleinement, pose le deuxième sur l’échelle puis la semble hésiter.
• Christian, je suis bloquée, regarde mes jambes tremblent, je vais tout lâcher et tomber.
• Pas de panique ma belle, je monte t’aider à descendre.
Je monte trois marches passant ma tête entre elle et le plateau et je glisse une main devant elle lui prenant le sein gauche que j’avais trouvé plus joli que le droit vu de mon grenier par le Velux.
Je rigole toujours mon humour, il n’empêche que je le tiens fermement et comme Véronique semble reprendre vie à ce contact descendant marche après marche, je me garde bien de l’enlever.
Mieux même, dès que nos pieds sont sur le sol au centre de l’échafaudage, elle se retourne, nos regards se croisent et nos bouches se trouvent.
Je l’aide à sortir de notre cage très peu fermée et c’est elle qui m’entraîne sur la pelouse.
Elle défait la ceinture de mon pantalon pendant que je glisse ma main sous sa robe, retrouvant son string qui est trempé d’envie.
Elle sort ma verge, la regarde avec autant d’envie que je vais avoir à réaliser ce que je pensais tout à l’heure, lui lécher sa petite minette.
• Christian, elle est aussi grosse que ce que j’en avais vu de mon grenier quand je suis montée étendre mon linge, il faisait tellement chaud que j’ai ouvert mon Velux pour faire une circulation d’air et je t’ai vu nu sur ton transat à te faire bronzer près de ta piscine.
Bien sûr, ta bite était au repos, mais j’ai bien pu comparer avec celle de Jean-Noël, même si je la vois de moins en moins souvent ces mois si.
J’allais lui demander si elle pensait qu’il la trompait, mais sa bouche prenant ma verge m’oblige à me taire au moment où elle m’aspire comme nous aspirions notre roudoudou quand nous étions jeunes.
Pour éviter d’être en reste et surtout qu’elle soit frustrée dès notre premier moment d’intimité, je pivote de 180 degrés, je soulève sa robe, j’écarte son morceau de tissu qui se déchire malencontreusement, me livrant son abricot tout lisse, il devait être aussi doré que ses cheveux avant qu’elle ne s’épile.
Sous ma langue, je sens qu’elle frisonne et comme je suis au bord de lui emplir la bouche, je casse notre joli 69 pour me retrouver la verge entre ses cuisses et glisser divinement au fond de sa grotte.
Pendant les trois jours restants avant le retour de nos moitiés et le passage de sa fille pour venir chercher le clafoutis, nous faisons l’amour, qui au bord d’une de nos piscines, voire dans nos salons, ayant la décence d’éviter nos lits conjugaux.
Seuls les lits de nos chambres d’amis nous reçoivent avec délectation pour des nuits de folie et des matins torrides.
Épilogue.
Viviane est revenue le même jour que Jean-Noël nous annonçant qu’ils avaient été tous les deux à Ramatuelle, que le voyage à Nantes était bidon et qu’il désire vivre ensemble.
Voilà ce que c’est d’avoir épousé une femme vingt ans plus jeune que soi, aucun problème il est vrai, nous avons tiré à pile ou face pour savoir qui de nous ferions notre valise pour rejoindre la maison voisine.
Jean-Noël est marié avec Viviane, je vis en concubinage avec Véronique, tous les ans quand nous plaçons l’échafaudage sous le cerisier qui par chance est de notre côté, immanquablement nous roulons sur l’herbe tendre du printemps, nous remémorant la folle journée que nous avons vécue.
Nous remplissons deux paniers l’un pour nous l’autre que nous portons à nos ex qui nous remercient malgré la tromperie qu’ils ont eue envers nous.
C’est beau la mauvaise fois.
Dernier point du contrat de divorce entre nos deux couples, l’ÉCHAFAUDAGE reste notre propriété étant seule à avoir un cerisier, quand il est en place, je me garde bien de quitter notre foyer, au cas où ma concubine aurait des goûts de revenez-y.
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