Titre de l'histoire érotique : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Camping à la ferme (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Camping à la ferme (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Camping à la ferme (2/2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Un an de mariage, première vacances Claude et moi, nous décidons de faire une randonnée à pied avec nos sacs à dos dans le massif des Bauges en Haute Savoie.
Nous marchons pendant plusieurs jours quand avant un orage, nous nous réfugions dans une ferme isolée où le propriétaire s’appel monsieur Paul.
Il a un chien Brutus, une bête immense qui me fait peur, Claude visite la ferme et me rapporte six œufs et deux tomates que je fais cuire sur notre réchaud à alcool, nous nous régalons.
Quand nous émergeons, nous sommes pendus entièrement nues à des palans, les mains tenues par des menottes.
Monsieur Paul est là son chien à ses pieds, il a réussi à nous endormir et veut se venger de ce qu’il considère comme un vol.
Il nous détache chacun une main, il donne le choix à Claude, soit il lui tranche une phalange avec son sécateur, soit c’est moi qui perds deux doigts dont celui où j’ai mon alliance.
Claude me fait voir sa vraie nature, c’est un pleutre qui n’hésite pas à me désigner pour être amputé, me montrant le peut d’amour qu’il a pour moi, ce qui me laisse sans voix.
Comment pourrais-je continuer à le regarder à notre retour de vacances, je l’ignore ce dont je me souviens, c’est l’ordre qu’il me donne de détaler même nue et d’aller chercher la gendarmerie pendant qu’il réussit à maîtriser d’une seule main monsieur Paul.
Comme une imbécile, je suis son ordre, alors que je ne ressens plus aucun sentiment depuis sa décision abjecte, je fais quelques mètres quand j’entends l’ordre qu’il donne à son chien.

• Brutus !

Je cours, mais je sens le chien sur mes talons, j’ai à peine franchi le premier virage sur le chemin de terre détrempé que je glisse m’étalant dans une flaque de boue.
Brutus arrive, se place devant moi et me montre ses crocs.
Comment monsieur Paul s’est dégagé de la main de Claude, je ne saurais le dire, ce qui est sûr, c’est que dès qu’il arrive, il me prend le bras qu’il tord dans mon dos à m’en faire pleurer.

• T’es un bon chien Brutus, je tiens cette salope.

Le chien referme sa gueule et part devant nous.

• Reviens vers ton mec, petite pute, à cause de lui, tu vas ramasser.

Que va-t-il m’arriver, une nouvelle fois en me donnant l’ordre de détaler, Claude me met dans une situation impossible, ça fait beaucoup, une certaine haine monte en moi de retour près de mon mari, l’ordre tombe sec.

• On va voir ce que ton gars t’a appris, regarde, elle va me sucer.

Il sort une queue aussi gigantesque, son chien s’est couché devant la porte semblant la garder.
Il me fait placer à genoux face à lui, je suis fascinée par ce morceau, il est impossible que je le prenne dans ma bouche, même en pensant à mon fumier de mari.

• Aie.

Une claque magistrale m’arrive sur la joue me faisant valser au sol.
Je vois trente-six chandelles, il me redresse d’une poigne de fer et me replace devant sa verge.
Ça pue la crasse et l’urine, mais pourquoi je me sens attirée par ce pieu, je sens que je mouille, ma bouche et surtout ma langue se met en marche du gland aux couilles, montant et descendant.

• Tu aimes, petite pute.

Je le lâche et je redresse ma tête.

• Oui, Paul.
• Tu vois, elle commence à être à ma botte, simplement en me suçant quesque ça va être quand je lui défoncerai la chatte.

Je reprends mon travail sur cette queue, j’ai du mal à couvrir toute la surface sans compter ses boules impossibles à avaler.

• Tu en veux, dès que tu es prête place toi comme tu aimes, je suis à ton service.

J’ai dit que j’aime baiser en levrette, je pivote me mettant dans ma position favorite sans me rendre compte que je vois Claude pleurer.
Il est attendrissant, mais quand je baisse les yeux sur mon doigt portant mon alliance, je me souviens qu’il avait prévu de le sacrifier, j’enlève mon alliance que je jette à ses pieds.

• Ne fais pas ça chérie, je ferrais ce que tu veux.
• Ferme ta gueule, sinon tu vas me sucer, tarlouze.

Je sens qu’il se place et extraordinaire, il entre en moi me faisant jouir dès que son gland touche mon clito.
Pendant presque une heure, il me chevauche, je prends mon pied comme jamais, il me prend par les cheveux tirant dessus comme sur des rennes, il finit par m’achever quand il éjacule son sperme débordant de moi.

Il semble satisfait et moi, je dois reconnaître que je jouis presque en continu.
Je me verrais bien vivre avec un tel sexe tous les jours à ma disposition, mais les conditions de vie que Paul semble s’imposer sont loin des canons de la vie de couple que je suis capable de supporter.

• On va mettre ton mec dans la cage où j’enferme Brutus, les soirs d’orage, quand celui d’hier est survenu très violant, je suis venu l’enfermer, il a horreur du tonnerre, avant que je construise sa cage, une fois, j’ai mis deux jours avant de le retrouver.
C’est là que j’ai vu ce fumier, sortir du poulailler, alors que les premières grosses gouttes tombaient, allant même me voler mes tomates.

Il détache Claude, je sens qu’il a envie de se rebeller, mais Brutus qui c’est redressé devant sa porte l’en dissuade, il y a deux chiens en lui, celui qui dort non loin de son maître et l’autre, se réveillant montrant facilement les crocs.

• Reste à quatre pattes, tu avances vers le coin de la grange, tu vas découvrir ton nouvel univers pendant que je vais m’occuper du petit cul de ta femme, je crois qu’elle a apprécié le traitement que je viens de lui faire subir et je suis sûr qu’elle en redemande, pas vrai ma poule.
• Oui, monsieur Paul.
• Simplement Paul, poupée, on est assez intimes maintenant pour nous appeler par nos prénoms.
• Tu es devenue folle Julie, baiser avec ce gros dégueulasse, après il faudra te désinfecter.
• Brutus.

Le chien qui s’était recouché grogne en montrant ses crocs, la cage est là et Claude y pénètre, elle est à la taille du chien, mais il est dans l’impossibilité de se tenir debout.

• Julie, je ferme le cadenas, je place la clef sur ce clou sur ce poteau, ce soir tu viendras lui apporter sa patté, tu pourras ouvrir la cage pour qu’il s’échappe, mais je reste persuadé que tu reviendras vers moi, le laissant à son destin.
• Oui, Paul.

Je le suis dans la maison, tout est sale, même les draps, mais je m’en fiche, la queue de mon amant est à nouveau en moi dans la position du missionnaire, mes jambes enserrant sa taille, il vient de décharger faisant couler beaucoup de sperme.

• Julie va donner à manger à ton homme, il a droit à une gamelle par jour, ici qui ne travaille pas n’a aucun droit.
Tu tireras un seau d’eau fraîche du puits, tu verras, c’est de l’eau de source descendant des montagnes, elle est plus pure que celle que certains rapiats vendent dans des bouteilles.
J’ai demandé, il y a 20 ans d’avoir l’eau courante, j’attends toujours, j’ai simplement pu avoir le courant.
Brutus accompagne là, fait tout ce qu’elle te dira.

Le chien a redressé ses oreilles, il se lève, dans la cuisine, je prends la camelle en fer qu’il a préparé à midi avec de vieux restes et qu’il a placé dans un réfrigérateur.
Un frigo de marque Frigidaire qui doit dater d’après-guerre.
Je pensais que c’était pour Brutus, mais je vois que s’était réservé à mon mari, du moins jusqu’à ce que je revienne à la vie civilisée où j’irai voir un avocat.
Je vais au puits, je me rends compte que je me déplace toujours nue, j’ignore où sont mes affaires, le soleil couchant n’abaisse pas la température et je suis zen, je me sens en phase avec la nature.
J’apporte l’eau et le repas jusqu’à la cage, sur le côté, un trou dans le grillage permet de pousser les gamelles sans ouvrir.

• Je t’en supplie, Julie, la clef est là et le chien semble t’écouter, libère-moi, si je mange cette saleté, je vais perdre ma masse musculaire et louper le championnat de France.

Il pleure comme une gonzesse si tentée que moi, je pleure, je m’attendais qu’il me déclare son amour, mais seuls ses muscles l’intéressent, je comprends mieux le fait de perdre sa phalange, il n’aurait pu avoir un corps parfait.
Quel con, ce doit être les protéines qui lui font grossir les muscles, lui ramollissant le cerveau, je tourne les talons pour retrouver mon sexe afin de passer une nuit mémorable.

Trois nuits, je suis restée, apportant sa pitance à celui que je considère comme mon ex et me faisant baiser dès que nous le pouvons.
Il me prend au moment où je remonte un seau d’eau, mes seins sur la margelle, pendant qu’il me pilonne, je vois l’eau briller au fonds du puits, dix mètres plus bas.
Il est levé à l’aube comme tous les jours, il faut qu’il traille ses cinq vaches, qu’il sorte ses moutons et ses deux cochons dans le pré derrière chez lui et que ses poules et lapins aient à manger.

• Julie, voici tes nippes, aujourd’hui je descends au marché vendre mes jeunes poulets et mes œufs, ainsi que mes tomates, tu comprends pourquoi j’étais en colère contre ton voleur de mari.
Je vais te laisser au car qui te permettra de prendre un train à la ville, rentre chez toi, je libérerai ton mec la semaine prochaine au prochain marché.

Quand je suis habillée, je vois Brutus qui me regarde, il doit se dire que quelque chose va arriver, je m’approche et je lui prends la tête pour l’embrasser, il dodeline de la tête, j’ai l’impression de voir une larme couler.
Pas de grandes effusions, je rentre chez moi, juste le temps de ramasser mes affaires encore peut nombreuse et de retourner chez mes parents.

Je revois Claude chez le juge des divorces, il me traite de pute me permettant de gagner une grosse pension, il faut dire que mon ventre s’est bien arrondi, Jules va naître au printemps comme les jeunes moutons et le veau de la vache que Paul a conduit au taureau.

C’est le mois de juillet, le soleil est revenu, le car vient de me déposer sur la place du marcher de notre village, Paul est en train de vendre des œufs, Claude a eu le test de paternité qu’il avait demandé chez le juge, j’étais certaine du résultat.
Quand il me voit, aucune marque d’intérêt, sauf pour Jules qui est sur mon ventre dans le sac prévu pour cela, Brutus est là qui me fait fête.

• Brutus couché, tu auras le temps de jouer avec ma femme à la maison.
Pose notre enfant dans la camionnette, il y a un panier qui va lui servir de lit jusqu’à ce que nous ayons vendu tout ce qui est sur l’étalage.
J’ai toujours eu horreur de venir au marché, c’est du temps perdu, je pourrais faire du travail, c’est toi qui viendras dorénavant.

Quand nous arrivons à la ferme, c’est incroyable, il y a l’eau courante, une douche, l’intérieur est nickel et surtout les draps.
En ce moment, Jules dort dans son panier où Paul a mis du foin me rappelant la dernière nuit que j’ai passée avec mon ex, je suis nue dès que je l’ai pu.
Nous allons nous mettre à table après que j’ai sorti le repas du réfrigérateur flambant neuf, mon homme est près du puits se lavant en se versant de l’eau glacé sur son corps.
Je le rejoins et je pose mes seins sur la margelle ou de l’eau glacée est tombée me faisant frissonner, j’attends peu et ma chatte retrouve avec plaisir le sexe qui va me défoncer autant que possible été comme hiver.
Il faut peu de chose pour être heureuse, depuis ce jour, c’est mon cas.

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