Titre de l'histoire érotique : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Grand-mère indigne (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Grand-mère indigne (1/1)
• Bonjour, merci d’être venue me chercher, conduisez-moi chez ma coiffeuse.
• Oui, madame à votre service, merci.
• Cela fait combien de temps que vous me conduisez ?
• Trois mois madame, jour pour jour.
• Et je ne connais pas ton nom et ta situation de famille, la seule chose que je sais, c’est que tu aies un garçon poli et serviable, même si nos rapports sont professionnels.
• Nicolas, Madame, je suis célibataire et je viens de racheter à mon père sa voiture et sa licence.
• Tu t’y retrouve !
• Difficilement, des heures et semaines sept jours sur sept me permettent de vivre certains jours sans manger.
• Acceptes-tu les longues courses ?
• On ne m’en a jamais proposé, mais je sais que mon père en faisait de temps en temps, je n’ai jamais dépassé le périphérique.
• Dans trois mois, je dois me rendre dans ma résidence d’été au Vigan, serais-tu intéressé, attention, j’ai horreur des autoroutes, nous décendrons par la nationale 6 et 7 comme au temps de ma jeunesse.
• Vous n’êtes pas vieille madame, vous avez de belles années devant vous, vous êtes veuve.
• Charmeur, mais curieux, oui, j’ai perdu mon mari, il y a deux ans, tu l’as peut-être connu, c’était un chanteur très célèbre Claude Durai dit le Sinatra français.
• Je suis de la génération rap, comme IAM madame, nous les enfants de banlieue, c’est la seule musique que nous acceptons.
• Quelle banlieue, le 9, 3.
• Bien madame, vous parlez jeunes, mais Claude Du, quelque chose, j’ignore qui il était.
• Tu vois Claude François, lui tu connais !
• À oui, l’homme électrique.
• Non, lui c’était Bécaud, monsieur 100 000 volts.
• Non, Claude François, monsieur 220 volts, il a voulu changer une lampe avec ses doigts et a été au courant.
• Je vois que tu as de l’humour, pour le 93 !
• Non, Madame, je suis du 9, 2, je suis de Montrouge.
• Je croyais que tu n’avais pas dépassé le périphérique.
• Vous aussi, Madame, vous avez de l’humour, pour ce que vous souhaitez, je suis d’accord, je viens de réviser ma voiture et je pars quand vous le voulez.
• Le 1er juin, je vais dans mes Cévennes chaque année, du 1er juin jusqu’au 30 septembre.
• Vous êtes bien réglée, Madame.
• Là aussi c’est de l’humour !
• Pourquoi, Madame ?
• Laisse tomber, pour la course, je te donnerais 3 000 €, allés retour, frais de restaurants et d’hôtels en plus, nous ferons étape à Collonges à l’auberge de mon ami Paul.
• J’adore les auberges, j’ai mangé dans un routier l’autre fois sur la nationale 4, je sais que c’était une auberge, j’ai mangé des pieds de cochon.
L’humour sur mes règles à soixante-deux ans et le routier identique à l’auberge de monsieur Paul, Nicolas a encore beaucoup de choses à apprendre comme tous ces jeunes qui sont de la génération Internet qui pourtant ont une vue du monde bien plus grande que nous dans notre jeunesse.
Le 1er juin, mes bagages partis par un transporteur et m’attendant au Vigan, Nicolas m’ouvre ma portière, toujours aussi gentleman.
• En route, à midi nous mangerons dans un routier à Saulieu, j’ai réservé une table à Loiseau des Ducs.
• J’espère qu’il y aura des pieds de cochon.
J’ai failli éclater de rire, mais cela aurait été un mauvais début de voyage.
• La route va être longue, dis-moi, tu as une copine.
• Non, j’en avais une, mais je viens de la larguer, de toute manière, c’était une vraie pute.
• Elle se faisait payer !
• Non, je l’ai trouvé en train de baiser avec son voisin un jour où le temps exécrable m’empêchait de gagner le moindre euro, ils étaient dans ma chambre et il la prenait en levrette.
Il est sorti d’elle si vite que je n’ai pas pu voir s’il la sodomisait, je lui ai mis mon poing dans la figure.
• À ta copine ?
• Non, au mec, c’était un petit gros insignifiant.
• Je te comprends comparer à toi si beau gosse, elle a manqué de clairvoyance.
• Et vous, Madame, vous avez été mariée longtemps avec votre chanteur.
• Quarante ans, j’avais vingt ans quand je l’ai connu, cela été le coup de foudre, un mois plus tard, il demandait ma main à mon père et nous nous sommes mariés.
• Tout ce temps avec un seul homme, vous avez eu de la chance madame.
• Si tu le dis, je veux bien le croire, je vais te faire une confidence, parce que tu es sympathique, j’ai eu les plus belles cornes de Paris, il sautait tout ce qui passait à porter de sa queue.
• Il vous trompait comme la salope d’Aicha que j’ai virés et tu es restée mariée !
• À mon époque, les filles faisaient rarement des études, je l’aurais quitté, que serais-je devenue, peut-être une prostituée, escorte comme l’on dit maintenant, j’ai mis ma conscience dans ma poche.
J’ai bien fait, il est mort, il y a deux ans et j’ai hérité de sa fortune, de ses droits d’auteur et d’interprètes, sans compter l’écriture dont les droits sont ma propriété, je peux vivre une vie pleine d’insouciance.
• Vous avez eu de la chance, si vous voulez, je vous épouse, j’aurais à mon tour beaucoup de chance, mais qu’écrivez-vous.
Je lui donne le titre de mon dernier livre en tête des ventes dans plusieurs sociétés vendeuses de mes ouvrages.
• Mais, bien sûr, vous êtes Adeline, je savais que je vous avais déjà vue, gare de Lyon dans le tabac presse, j’accompagnais un vieux monsieur jusqu’à son train, il a acheté des cigarettes et je vous avais devant moi sur votre couverture.
• C’est bien, je t’offrirais un exemplaire dédicacé.
• Vous savez moi les livres, je préfère Tintin et Milou.
Nous faisons la route, je suis dans mes souvenirs, tiens là, papa a rempli son réservoir d’essence, mince la station, est fermée en ruine, ici pose pipi dans ce café qui lui aussi est repli de ronce sur les murs.
L’autoroute a tué cette belle nationale 6.
• Je peux vous mettre de la musique.
• Bien sûr, j’ai vécu dans la musique.
« De Lucien pour Lucienne, le plus grand tube de Claude Dirai. »
Il aurait voulu le faire, il n’aurait pas fait mieux, c’est ainsi que nous arrivons dans Saulieu.
• Le restaurant est là sur la gauche, entre où il est marqué « Parc privé ».
• Vous m’avez pris pour un blaireau, ce restau est loin d’être un routier, je vais vous attendre dans la voiture, prenez votre temps.
• Que nénies, j’ai réservée pour deux, par compte, je ne pense pas que tu auras des pieds de cochon.
Il sait se tenir, il ne s’essuie pas la bouche avec la nappe, mon amie qui a continué l’œuvre de son mari, m’embrasse quand nous la quittons et me donne rendez-vous en septembre, une table m’étant déjà réservée.
Le soir, chez monsieur Paul, nous dînons et avant de rejoindre nos chambres, je veux faire une promenade, une pierre et je manque de m’étaler, mon chevalier servant me récupère avant que je finisse à l’hôpital.
Il me tient par le bras et je sens son avant-bras sur mon sein qui réagit, nous nous regardons et malgré la différence d’âge, il se passe quelque chose, qui a fait le chemin décisif et moi qui croyais ma vie sexuelle définitivement enterrée, nous nous embrassons.
J’ai beaucoup apprécié la soupe aux truffes, célèbre plat de monsieur Paul qui est venu nous saluer à la fin du service ainsi que tous ces autres clients, mais la langue de Nicolas est aussi douce que les pieds de cochon qu’il n’y avait pas sur la carte.
Je vole presque jusqu’à ma chambre qui devient notre chambre quand il me déshabille, que je le déshabille et qu’il me pose sur mon lit.
Il peut me sucer la chatte, mais j’apprécie qu’il aille droit au but, c’est en missionnaire qu’il réveille la femme qui est en moi, je le sers dans mes bras de peur qu’il ne m’échappe à cause de notre différence d’âge, de plus, j’enserre ses hanches par mes jambes encore très agiles.
Quand il se déverse en moi après qu’il m’eut fait jouir, c’est une femme aimante qui se réveille à ses côtés quand mon portable sonne.
Un peu étonné de sentir un corps près du mien, le baiser sur mes lèvres me ramène à la réalité surtout que je tiens une verge dans ma main, prête à l’emploi.
Au diable le planning de notre voyage, il attendra bien une petite demi-heure.
• Attends Nicolas.
Je sens qu’il va me reprendre classiquement or depuis que j’ai perdu mon pucelage dans des temps où ma mémoire en a perdu le souvenir, la levrette est ma position favorite, il me regarde me retourner, me mettre à quatre pattes.
• Baise-moi, j’aime surtout comme cela.
Il ne se fait pas prier et vingt minutes après, j’ai encore beaucoup joui et le petit déjeuner que je fais monter dans notre chambre est ingurgité comme jamais pour moi qui picore comme un moineau.
Le reste du voyage se passe sans encombre, jusqu’à ma villa au pied de mes Cévennes dont je suis tombée amoureuse dans d’autres temps qui me paraissent bien lointains.
• Merci du voyage, il a été fort plaisant pour moi.
On pourrait penser que c’est moi qui viens de prononcer ces mots, mais c’est lui qui les dit, mon sac de voyage sorti de son coffre.
• Hors de question que tu repartes ce soir, commence par aller dans la piscine te décontracter après ces heures au volant.
J’ai prononcé ces mots, il y a quelques mois, je l’ai rejoint dans la piscine, nous avons fait l’amour comme des adolescents baisant pour la première fois.
Je lui ai appris beaucoup de choses sur les jeux de l’amour, recevant toujours avec autant de plaisir sa verge en moi.
Pendant ses vacances, il a appris à jouer à la pétanque sur la place du village avec les joueurs au langage fleuri, il jouait avec un copain à mon mari et à moi Jean-jacques, pendant que moi, j’écrivais plusieurs livres dont mon best-seller de la rentrée.
En même temps qu’il sortait, les journaux people annonçaient mon remariage avec plein de détail croustillant sur cette grand-mère qui épousait son petit-fils.
Ce qu’ils ignoraient et ce qu’il apprendrait trop tard pour être plus raisonnable, c’est que, lorsque Nicolas m’a fait sa demande, je venais d’ouvrir la lettre que j’avais reçue le jour de mon départ pour Le Vilar et que j’avais posée sur la table de mon salon.
Je savais ce qu’elle contenait et le rendez-vous qui m’était fixé m’annoncerait que je suis condamnée.
Deux, trois ans maxi, avant que je retrouve Claude, mon premier amour, ce sera Nicolas, mon deuxième amour qui me fermera les yeux, avant d’aller chez mon notaire récupérer mes biens matériels et intellectuels.
Ils sont composés de deux manuscrits qu’il publiera à titre posthume et qui le placeront définitivement à l’abri matériel jusqu’à la fin de sa vie s’il sait les gérer.
Il trouvera aussi une lettre le remerciant de ces dernières années de bonheur qu’il a su m’apporter et surtout que je veux qu’il vive, lui aussi, dans le bonheur avec une jeune fille qui lui donnera de beaux enfants qui profiteront de ma piscine comme j’en ai profité avec lui.
Vous m’excusez, en attendant ses jours funestes pour moi, il m’attend à la mairie et je veux profiter de chaque minute sans qu’il sache que sa vieille va bientôt le quitter.
Après la cérémonie, j’ai réservé un restaurant sur la nationale 4, sans qu’il le sache, c’est un routier, où en plat principal, tous nos invités, vont manger des pieds de cochons.
• Oui, madame à votre service, merci.
• Cela fait combien de temps que vous me conduisez ?
• Trois mois madame, jour pour jour.
• Et je ne connais pas ton nom et ta situation de famille, la seule chose que je sais, c’est que tu aies un garçon poli et serviable, même si nos rapports sont professionnels.
• Nicolas, Madame, je suis célibataire et je viens de racheter à mon père sa voiture et sa licence.
• Tu t’y retrouve !
• Difficilement, des heures et semaines sept jours sur sept me permettent de vivre certains jours sans manger.
• Acceptes-tu les longues courses ?
• On ne m’en a jamais proposé, mais je sais que mon père en faisait de temps en temps, je n’ai jamais dépassé le périphérique.
• Dans trois mois, je dois me rendre dans ma résidence d’été au Vigan, serais-tu intéressé, attention, j’ai horreur des autoroutes, nous décendrons par la nationale 6 et 7 comme au temps de ma jeunesse.
• Vous n’êtes pas vieille madame, vous avez de belles années devant vous, vous êtes veuve.
• Charmeur, mais curieux, oui, j’ai perdu mon mari, il y a deux ans, tu l’as peut-être connu, c’était un chanteur très célèbre Claude Durai dit le Sinatra français.
• Je suis de la génération rap, comme IAM madame, nous les enfants de banlieue, c’est la seule musique que nous acceptons.
• Quelle banlieue, le 9, 3.
• Bien madame, vous parlez jeunes, mais Claude Du, quelque chose, j’ignore qui il était.
• Tu vois Claude François, lui tu connais !
• À oui, l’homme électrique.
• Non, lui c’était Bécaud, monsieur 100 000 volts.
• Non, Claude François, monsieur 220 volts, il a voulu changer une lampe avec ses doigts et a été au courant.
• Je vois que tu as de l’humour, pour le 93 !
• Non, Madame, je suis du 9, 2, je suis de Montrouge.
• Je croyais que tu n’avais pas dépassé le périphérique.
• Vous aussi, Madame, vous avez de l’humour, pour ce que vous souhaitez, je suis d’accord, je viens de réviser ma voiture et je pars quand vous le voulez.
• Le 1er juin, je vais dans mes Cévennes chaque année, du 1er juin jusqu’au 30 septembre.
• Vous êtes bien réglée, Madame.
• Là aussi c’est de l’humour !
• Pourquoi, Madame ?
• Laisse tomber, pour la course, je te donnerais 3 000 €, allés retour, frais de restaurants et d’hôtels en plus, nous ferons étape à Collonges à l’auberge de mon ami Paul.
• J’adore les auberges, j’ai mangé dans un routier l’autre fois sur la nationale 4, je sais que c’était une auberge, j’ai mangé des pieds de cochon.
L’humour sur mes règles à soixante-deux ans et le routier identique à l’auberge de monsieur Paul, Nicolas a encore beaucoup de choses à apprendre comme tous ces jeunes qui sont de la génération Internet qui pourtant ont une vue du monde bien plus grande que nous dans notre jeunesse.
Le 1er juin, mes bagages partis par un transporteur et m’attendant au Vigan, Nicolas m’ouvre ma portière, toujours aussi gentleman.
• En route, à midi nous mangerons dans un routier à Saulieu, j’ai réservé une table à Loiseau des Ducs.
• J’espère qu’il y aura des pieds de cochon.
J’ai failli éclater de rire, mais cela aurait été un mauvais début de voyage.
• La route va être longue, dis-moi, tu as une copine.
• Non, j’en avais une, mais je viens de la larguer, de toute manière, c’était une vraie pute.
• Elle se faisait payer !
• Non, je l’ai trouvé en train de baiser avec son voisin un jour où le temps exécrable m’empêchait de gagner le moindre euro, ils étaient dans ma chambre et il la prenait en levrette.
Il est sorti d’elle si vite que je n’ai pas pu voir s’il la sodomisait, je lui ai mis mon poing dans la figure.
• À ta copine ?
• Non, au mec, c’était un petit gros insignifiant.
• Je te comprends comparer à toi si beau gosse, elle a manqué de clairvoyance.
• Et vous, Madame, vous avez été mariée longtemps avec votre chanteur.
• Quarante ans, j’avais vingt ans quand je l’ai connu, cela été le coup de foudre, un mois plus tard, il demandait ma main à mon père et nous nous sommes mariés.
• Tout ce temps avec un seul homme, vous avez eu de la chance madame.
• Si tu le dis, je veux bien le croire, je vais te faire une confidence, parce que tu es sympathique, j’ai eu les plus belles cornes de Paris, il sautait tout ce qui passait à porter de sa queue.
• Il vous trompait comme la salope d’Aicha que j’ai virés et tu es restée mariée !
• À mon époque, les filles faisaient rarement des études, je l’aurais quitté, que serais-je devenue, peut-être une prostituée, escorte comme l’on dit maintenant, j’ai mis ma conscience dans ma poche.
J’ai bien fait, il est mort, il y a deux ans et j’ai hérité de sa fortune, de ses droits d’auteur et d’interprètes, sans compter l’écriture dont les droits sont ma propriété, je peux vivre une vie pleine d’insouciance.
• Vous avez eu de la chance, si vous voulez, je vous épouse, j’aurais à mon tour beaucoup de chance, mais qu’écrivez-vous.
Je lui donne le titre de mon dernier livre en tête des ventes dans plusieurs sociétés vendeuses de mes ouvrages.
• Mais, bien sûr, vous êtes Adeline, je savais que je vous avais déjà vue, gare de Lyon dans le tabac presse, j’accompagnais un vieux monsieur jusqu’à son train, il a acheté des cigarettes et je vous avais devant moi sur votre couverture.
• C’est bien, je t’offrirais un exemplaire dédicacé.
• Vous savez moi les livres, je préfère Tintin et Milou.
Nous faisons la route, je suis dans mes souvenirs, tiens là, papa a rempli son réservoir d’essence, mince la station, est fermée en ruine, ici pose pipi dans ce café qui lui aussi est repli de ronce sur les murs.
L’autoroute a tué cette belle nationale 6.
• Je peux vous mettre de la musique.
• Bien sûr, j’ai vécu dans la musique.
« De Lucien pour Lucienne, le plus grand tube de Claude Dirai. »
Il aurait voulu le faire, il n’aurait pas fait mieux, c’est ainsi que nous arrivons dans Saulieu.
• Le restaurant est là sur la gauche, entre où il est marqué « Parc privé ».
• Vous m’avez pris pour un blaireau, ce restau est loin d’être un routier, je vais vous attendre dans la voiture, prenez votre temps.
• Que nénies, j’ai réservée pour deux, par compte, je ne pense pas que tu auras des pieds de cochon.
Il sait se tenir, il ne s’essuie pas la bouche avec la nappe, mon amie qui a continué l’œuvre de son mari, m’embrasse quand nous la quittons et me donne rendez-vous en septembre, une table m’étant déjà réservée.
Le soir, chez monsieur Paul, nous dînons et avant de rejoindre nos chambres, je veux faire une promenade, une pierre et je manque de m’étaler, mon chevalier servant me récupère avant que je finisse à l’hôpital.
Il me tient par le bras et je sens son avant-bras sur mon sein qui réagit, nous nous regardons et malgré la différence d’âge, il se passe quelque chose, qui a fait le chemin décisif et moi qui croyais ma vie sexuelle définitivement enterrée, nous nous embrassons.
J’ai beaucoup apprécié la soupe aux truffes, célèbre plat de monsieur Paul qui est venu nous saluer à la fin du service ainsi que tous ces autres clients, mais la langue de Nicolas est aussi douce que les pieds de cochon qu’il n’y avait pas sur la carte.
Je vole presque jusqu’à ma chambre qui devient notre chambre quand il me déshabille, que je le déshabille et qu’il me pose sur mon lit.
Il peut me sucer la chatte, mais j’apprécie qu’il aille droit au but, c’est en missionnaire qu’il réveille la femme qui est en moi, je le sers dans mes bras de peur qu’il ne m’échappe à cause de notre différence d’âge, de plus, j’enserre ses hanches par mes jambes encore très agiles.
Quand il se déverse en moi après qu’il m’eut fait jouir, c’est une femme aimante qui se réveille à ses côtés quand mon portable sonne.
Un peu étonné de sentir un corps près du mien, le baiser sur mes lèvres me ramène à la réalité surtout que je tiens une verge dans ma main, prête à l’emploi.
Au diable le planning de notre voyage, il attendra bien une petite demi-heure.
• Attends Nicolas.
Je sens qu’il va me reprendre classiquement or depuis que j’ai perdu mon pucelage dans des temps où ma mémoire en a perdu le souvenir, la levrette est ma position favorite, il me regarde me retourner, me mettre à quatre pattes.
• Baise-moi, j’aime surtout comme cela.
Il ne se fait pas prier et vingt minutes après, j’ai encore beaucoup joui et le petit déjeuner que je fais monter dans notre chambre est ingurgité comme jamais pour moi qui picore comme un moineau.
Le reste du voyage se passe sans encombre, jusqu’à ma villa au pied de mes Cévennes dont je suis tombée amoureuse dans d’autres temps qui me paraissent bien lointains.
• Merci du voyage, il a été fort plaisant pour moi.
On pourrait penser que c’est moi qui viens de prononcer ces mots, mais c’est lui qui les dit, mon sac de voyage sorti de son coffre.
• Hors de question que tu repartes ce soir, commence par aller dans la piscine te décontracter après ces heures au volant.
J’ai prononcé ces mots, il y a quelques mois, je l’ai rejoint dans la piscine, nous avons fait l’amour comme des adolescents baisant pour la première fois.
Je lui ai appris beaucoup de choses sur les jeux de l’amour, recevant toujours avec autant de plaisir sa verge en moi.
Pendant ses vacances, il a appris à jouer à la pétanque sur la place du village avec les joueurs au langage fleuri, il jouait avec un copain à mon mari et à moi Jean-jacques, pendant que moi, j’écrivais plusieurs livres dont mon best-seller de la rentrée.
En même temps qu’il sortait, les journaux people annonçaient mon remariage avec plein de détail croustillant sur cette grand-mère qui épousait son petit-fils.
Ce qu’ils ignoraient et ce qu’il apprendrait trop tard pour être plus raisonnable, c’est que, lorsque Nicolas m’a fait sa demande, je venais d’ouvrir la lettre que j’avais reçue le jour de mon départ pour Le Vilar et que j’avais posée sur la table de mon salon.
Je savais ce qu’elle contenait et le rendez-vous qui m’était fixé m’annoncerait que je suis condamnée.
Deux, trois ans maxi, avant que je retrouve Claude, mon premier amour, ce sera Nicolas, mon deuxième amour qui me fermera les yeux, avant d’aller chez mon notaire récupérer mes biens matériels et intellectuels.
Ils sont composés de deux manuscrits qu’il publiera à titre posthume et qui le placeront définitivement à l’abri matériel jusqu’à la fin de sa vie s’il sait les gérer.
Il trouvera aussi une lettre le remerciant de ces dernières années de bonheur qu’il a su m’apporter et surtout que je veux qu’il vive, lui aussi, dans le bonheur avec une jeune fille qui lui donnera de beaux enfants qui profiteront de ma piscine comme j’en ai profité avec lui.
Vous m’excusez, en attendant ses jours funestes pour moi, il m’attend à la mairie et je veux profiter de chaque minute sans qu’il sache que sa vieille va bientôt le quitter.
Après la cérémonie, j’ai réservé un restaurant sur la nationale 4, sans qu’il le sache, c’est un routier, où en plat principal, tous nos invités, vont manger des pieds de cochons.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent sujet très bien traité. Merci à nouveau
encore sympa ce premium qui régulièrement saque ma note sans me dire pourquoi, il faut avoir le courage dans la vie de sortir à visage découvert...