Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VENGEANCE : Tueur à gages (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VENGEANCE : Tueur à gages (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VENGEANCE : Tueur à gages (1/3)
• Êtes-vous en place ?
• Oui, je suis rentré sans problème, comme prévu la mémé est dans son fauteuil, elle dort, je suis dans sa chambre, la fenêtre est entrouverte, j’ai une vue parfaite sur les marches du Palais de justice de Chalon.
• Votre arme est prête.
• Vous demandez cela à celui qui ne vous a jamais déçu.
• Excusez, question idiote, combien de mission vous a-t-on confié ?
• Celle-ci, c’est le vingt-deuxième.
• Préparez-vous, ça bouge.
• Prêt, j’ai la porte du Palais bien dans ma ligne de mire.
• Cinq secondes, maintenant, l’homme en costume bleu à côté de l’avocat.

Je suis tueur à gages, bien sûr, je ne suis pas né un fusil à la main me disant un jour, je vais tuer des personnes pour le plaisir de faire un carton dans leur cœur, moi qui ne manque jamais sa cible.
J’avais vingt-cinq ans, gueule d’ange, depuis l’âge de seize ans, au début au collège et après lors de compétitions à travers le monde, j’ai tiré toutes les gonzesses dont j’avais envie.
À cette époque, à mes débuts, j’étais simplement un champion de France de tir sur cible à la carabine, et me défendant aussi au pistolet.
J’ai eu la chance que mes parents m’aient conçue avec des attributs qui plaisent aux femmes, on aurait dit qu’elle se donnait le mot.
Un jour où je faisais une compétition à Toulon, Polo mon copain d’enfance m’a entraîné dans un tripot où des pointures jouaient au poker, au début j’ai regardé et comme j’avais une mémoire visuelle assez développée, j’ai joué et j’ai gagné.
Je suis revenu le lendemain, entre-temps ayant gagné ma compétition, j’étais avec une blonde qui avait à toute force voulu me suivre.
J’ai joué et j’ai perdu 20 000 €, le joueur à qui je devais cet argent, à voulu que je lui cède la fille, j’ai vite vu que j’avais affaire à un maquereau qui allait la prostituer, je ne sais où.
Il m’a proposé de venir discuter dans une autre salle, je l’ai suivi.

• Petit, le pognon, ce n’est pas à moi que tu le dois, mais à Pedro le Toulonnais, en as-tu entendu parlé ?

Qui n’a pas entendu parler de ce maffioso officiellement rangé des affaires, étant rarement en première ligne, sur la côte, sa réputation avait fait de lui la pointure des pointures.
Aux États-Unis, on l’aurait appelé le parrain.


• Est-il vrai que tu peux mettre une balle dans une pièce de 50 centimes à 100 mètres ?
• Cela, c’était auparavant, avec les entraînements pour le championnat du monde que j’espère gagner dans deux mois, je suis capable de toucher une pièce de 20 centimes, plein centre, à 150 mètres.
• Voilà, tu gardes la fille, ta dette est effacée, en plus voilà 30 000 € de plus dans cette enveloppe avec tes instructions, si tu remplis ce contrat sans anicroche, il y en aura bien d’autres à travers le monde.

J’ai pris l’enveloppe sans réfléchir et j’ai emmené la fille dans mon hôtel, Polo était-il complice, je ne l’ai jamais su, même revu, qu’est-il devenu Dieu seul le sait, mais la fille devait être une pute qu’ils avaient engagée pour me faire chanter.

• Merci, tu n’as pas cédé à cet homme qui voulait que je serve de monnaie d’échange après avoir perdu cette grosse somme.

Elle était dans ma chambre quelques minutes après, sans que j’aie ouvert l’enveloppe, je savais trop bien ce qu’elle contenait en plus des billets, je venais de rejoindre un monde que le commun des mortels ignore.
La question sur ma précision de tir faisait de moi un tueur à gages.

• Enlève tes affaires, fais-moi voir pourquoi je viens d’accepter de descendre vers les enfers.
• Tu me fais peur Julien, qu’as-tu accepté de faire pour m’éviter d’appartenir à ce gros porc ?
• C’est une affaire d’homme, tu ne pourrais pas comprendre, aller, déloque-toi.

Elle enlève ses affaires comme la bonne pute qu’elle doit être, combien lui a-t-on donné pour traîner vers le stand de tir et venir avec moi dans ce tripot ?
Je venais de perdre ma liberté, obligée de descendre celui ou celle dont le nom figure sur le papier avec la masse des billets de 500 €.

• Julien, prends-moi, tu as une bite le double de celle que j’ai vue depuis que j’ai perdu ma virginité.

Je l’ai couché et je lui ai labouré la chatte, jusqu’au moment où elle a hurlé de plaisir, j’étais satisfait de moi, elle savait tortiller du croupion et j’ai fini par lui décharger mon sperme qui n’arrêtait pas de gicler.

Passons ce contrat et les autres, tous réussis, je sais que j’ai fait mouche, mais je ne regarde jamais les informations et ainsi j’ignore quelle était ma cible.
Dans les contrats suivants, j’ai compris que l’adrénaline que mon corps fabriquait chaque fois que je visais ma cible était si forte que dès la troisième fois, je m’arrangeais pour avoir une femme dans mon lit m’attendant dans mon hôtel.
C’est le cas après avoir vu tomber l’homme au costume bleu, plein cœur, tire parfaits, 100 000 € sur mon compte à déposer, car au fure et à mesure que mes balles atteignent leurs cibles, mes tarifs augmentent.

• C’est fait, je me replis, j’entends la mémé tousser.

Je sors de l’appartement situé au-dessus d’une pharmacie où je rentre pour donner le change en achetant des préservatifs.
Si l’on vient m’interroger la petite blonde, que j’aurais bien dragué si Manon ne m’attendait à l’hôtel dirait que j’étais bien venu, ce n’est pas toutes les heures qu’elle vend ce type de produit.
La police est arrivée de l’autre côté de la rue, mais comme il y avait des routes à sens unique, j’ai pu prendre ma voiture garée devant et partir tranquillement.
On pourrait croire que j’ai un travail où il faut savoir être discret, c’est vrai, mais les passant remarque plus facilement ma Porche plus que le beau gosse qui l’a conduit.
Je rejoins l’autoroute à Chalon Nord pour me rendre à Beaune, dans l’hôtel de la vieille ville où Manon m’attend.
Manon, je l’ai draguée hier, dans un bar à vins près des Hospices, un jour où j’aurais le temps, il faudra que je les visite, dans cette chambre prise hier, il y avait une brochure montrant le triptyque que l’on ouvrait le dimanche devant les malades montrant la pesée de leur âme.
Depuis que je suis devenu ce que je suis, je sais bien de quel côté penche la balance, mais je pense disparaître dans une petite Île du Pacifique où je profiterais de tout l’argent que je gagne.

• Te voilà, j’ai failli partir, j’ai cru que tu m’avais abandonné.
• Tu sais quand je suis dans un stand de tir, je perds la notion du temps, j’ai toujours envie que la cible que je dois toucher soit me plus en son centre, viens me sucer, tu m’as faite cela divinement hier au soir.

Je l’ai trouvée nue dormant dans la chambre où hier je l’ai baisée après qu’elle m’eut sucé le plus simplement possible, là j’ai le temps et surtout beaucoup d’adrénaline accumulée.
Si je l’ai fait jouir hier une seule fois afin d’éviter de perdre mon influe nerveux, ce soir elle va ramasser, j’envisage de lui faire le grand jeu.
Depuis que je baise des gonzesses, aucune n’a eu à se plaindre de moi, surtout ce soir ou Manon a l’air d’être une jolie petite chienne.

• Aboie si tu aimes ce que je te fais dans ta position en levrette.

J’espère que la chambre est bien insonorisée, car elle me fait entendre le chant qui démultiplie mon plaisir, les encore succèdent aux encore, alors je la prends par sa queue-de-cheval que je tire en arrière pénétrant plus loin en elle.
Quand j’emploie le verbe tirer, j’emploie ce mot qui est la fonction primordiale de ma vie, j’aime tirer dans toute l’acception du terme.

• Arrête, c’est bon, j’ai mon compte, dormons, demain je reprends mon travail et il faut que je puisse mettre un pied devant l’autre.

Au matin, je quitte discrètement l’hôtel sans la réveiller, pour récupérer ma voiture et reprendre l’autoroute afin de rentrer chez moi attendre les autres billets que l’on va me donner.
Je garde secrète l’adresse où je me rends, inutile de prendre des risques si la police vient vous interroger, la seule chose que je peux vous avouer, c’est que les kilomètres succèdent aux kilomètres.

• Allez dans votre boîte aux lettres, un nouveau contrat vous attend.

Ce coup de téléphone que je reçois sur le portable trouvé dans la dernière enveloppe est celui qui va m’aider à remplir ma mission, la voix est toujours la même, vers quelle destination va-t-elle me conduire…

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