Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VOYAGE DANS LE TEMPS. Retour à Paris pour Marie-Antoinette (3/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VOYAGE DANS LE TEMPS. Retour à Paris pour Marie-Antoinette (3/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION VOYAGE DANS LE TEMPS. Retour à Paris pour Marie-Antoinette (3/4)
Une chose extraordinaire vient de se produire, Marie-Antoinette, je dis bien Marie-Antoinette l’Autrichienne comme les insurgés l’appelaient avant que les juges lui fassent couper la tête, la femme de Louis XVI est dans mon lit, mais quand je lui montre les dessins de sa mort sur Internet, elle a l’horreur de s’apercevoir que Blanche sa servante s’est fait raccourcir à sa place.
Cela explique qu’elle soit dans mon lit caressant négligemment ma queue.

• Comment Blanche a-t-elle pu se faire couper la tête à ma place ?
• J’ai bien une petite idée, quand Blanche a pris ta place dans ton lit pour nous donner du temps et nous échapper, elle a demandé ta perruque.
Les gardes qui sont venues t’arrêter devaient avoir ordre d’emmener la femme se trouvant dans cette chambre sans l’avoir vu, notre stratagème a fonctionné et Blanche a dû se retrouver piégée à la Conciergerie.
Soit elle a accepté son sort jusqu’au bout, soit voyant le piège se refermer sur elle, elle a crié qu’elle était Blanche et non l’Autrichienne, mais dans le boxon de la révolution, elle sait faire raccourcir sans que personne ne prenne le temps de contrôler ses dires, nous avons sans le vouloir changé le sens de l’histoire.
• Tu dois avoir raison Bichon, souvent avec Blanche, nous échangions nos vêtements, ce qui me permettait de m’échapper des Tuileries et flâner dans Paris.
• Allais-tu voir un galant, comme il était dit dans ton époque ?
• Arrête, je te dis que depuis la mort de mon mari, ta queue est la première que je vois.

Marie est chaude comme la braise, comme une gazelle, elle est prompte à me sauter sur la verge, s’empalant sur ma bite et trouvant la position sans que je sois obligé de la guider, pour une dame qui n’avait connu que la position du missionnaire.
Après l’amour nous rêvassons et elle reprend l’ordinateur.

• Cette boîte est extraordinaire, en 200 ans, nous avons inventé tout ça, mais dis-moi, j’ai eu peur de ce que tu appelles une « voiture », à quoi ça sert.
• C’est facile, quand tu voulais aller avec le roi des Tuileries à Versailles, comment te déplaçais-tu ?
• Avec mon carrosse royal.
• Tiré par des chevaux ?
• Oui, huit.
• Cette voiture devant la porte est mon carrosse et j’ai aussi huit chevaux sous son capot.
• Où sont-ils, à l’écurie, j’adore les chevaux, je chevauchais souvent avec le Comte Axel de Fersen quand j’étais à Versailles.
• Ton amant ?
• Bichon, je t’ai dit que c’était un simple ami.
• Regardons Comte Axel de Fersen, qu’est-ce qui en est dit dans mon encyclopédie cachée dans ma boîte.

À ce moment elle semble vouloir faire diversion, elle s’allonge, s’étire et écarte ses jolies jambes.

• J’ai encore envie, Bichon, tu m’as dit que tu t’appelais Julien, comme l’empereur Romain.
• Tu vas me tuer, nous reparlerons de ton comte, qu’il t’a baisé ou pas, peu importe, grâce à ma machine à remonter le temps, c’est moi qui te sexe et j’adore ça !
Pour la voiture vient, je t’emmène à la cascade nous baigner.

Je mets mes baskets, c’est plus sûr pour conduire, j’ouvre la portière et je l’aide à monter nue, je me mets au volant et je vais pour mettre le contact.

• Quand attaches-tu les chevaux ?
• Je t’ai dit qu’ils sont sous le capot, cela s’appelle un moteur Ma Reine !

Je démarre, elle a l’air terrifié, mais reste sur son siège plaçant seulement sa main sur ma cuisse, au lieu de descendre par le chemin vers le village, je roule vers l’opposer jusqu’à un bois où nous arrivons à la cascade.

• Viens, plongeons, tu verras l’eau est fraîche en août, sais-tu nager !
• Je vais te dire un secret, à Versailles avec mes dames de compagnie, l’été la nuit, nous allions dans le grand bassin où nous nous mettions nues et où j’ai appris à nager, je te montre.

Elle plonge, je la suis et malgré l’eau froide quand elle revient vers moi, elle se pend à mon cou et ma verge vient en contact de sa féminité, dommage pour ma belle salope, l’eau très froide m’a fait baisser pavillon, mais elle ne perd rien pour attendre.

• Bichon, pourras-tu m’apprendre à dompter les chevaux sous le capot de notre voiture ?
• Tu veux conduire, il faudra que tu passes ton permis, mais j’y pense, il te faudrait des papiers d’identité.
Il va falloir que je trouve une solution car à notre époque, la tienne maintenant il faut avoir une identité.

Nous sortons de l’eau et nous nous allongeons sur un carré de verdure regardant le ciel d’un bleu pur.

• J’ai compris, votre époque est bien différente de la mienne, je comprends que je dois admettre plein de choses, regarde, un aigle nous survole, c’est drôle, il laisse une trace blanche derrière lui.
• Tu es prête à mettre en pratique ce que tu viens de dire, c’est un avion, nous avons inventé ces grands oiseaux en métal, ils vont se poser de ville en ville sur des aéroports, je t’emmènerais visiter l’un d’eux.
• Es-tu sûr que je suis bien réveillée ?
• Oui, viens t’habiller, je vais te faire découvrir ton pays 200 ans après.

Nous nous levons, je suis repu de sexe depuis que Ma Reine est montée dans la machine de papy, avant de retourner à sa maison, j’ai du mal à dire la mienne, j’ouvre le capot du moteur.

• Regarde, voici les chevaux d’une voiture, tu vas voir des centaines de voitures, les maisons aussi n’ont rien à voir avec celle de ton monde.

Nous retournons chez nous.

• Je vais te prêter des affaires.

Un jean, une chemise blanche trop grande pour elle, mais en la nouant sous ses seins magnifiques, je la fais monter en voiture direction Pau.
Les voitures sont de plus en plus nombreuses, est-ce le fait de l’avoir prévenue, elle est assez calme.
Un moment nous manquons d’avoir un accident, nous longeons une voix de chemin de fer, un train nous dépasse venant de notre arrière, elle me saute au cou de peur me faisant faire un écart.
Je m’arrête le long des voies.

• Je t’avais prévenue que tu serais étonnée, il est impossible que je t’explique tout ce qui a changé depuis plus de 200 ans, il faut que tu admettes que tu vas voir des choses extraordinaires pour toi.
Comment faisaient les gens pour aller d’une ville à l’autre dans ton époque ?
• Ils prenaient la diligence.
• Bien, jusque-là c’est exact, combien de distance parcourait-il ?
• Je l’ignore, mais il fallait qu’ils s’arrêtent dans des relais pour reposer ou changer les chevaux.
• Tu vois maintenant, le train qui vient de nous croiser va peut-être à Paris en passant par Toulouse, il va transporter des centaines de personnes qui feront les 800 à 900 kilomètres en environ 6 heures sans s’arrêter.
• Tu me fais peur, que dois-je découvrir d’autres ?
• Pour nous transporter, sur de très grandes distances, nous avons les avions, tu en as vu un passer dans le ciel, sais-tu que Christophe Colomb a découvert l’Amérique !
• J’ai eu des précepteurs qui m’ont tous appris, il y allait en bateau, des voiliers.
• Maintenant, les voiliers nous servent pour nous amuser, nous avons des bateaux en fer qui traverse les océans à grande vitesse.
Il y a les voitures, mais c’est seulement pour les familles et les personnes qui travaillent.
Il y a les trains pour aller de ville en ville, regarde, il y en a un qui arrive et va passer devant nous.
• Je voudrais prendre le train.
• Allons à Pau, voudrais-tu monter à Paris.

Une vraie petite fille, elle saute sur son siège en battant des mains.
Une heure d’attente avant de partir, vers la gare Montparnasse, je la conduis dans des boutiques près de la gare pour lui acheter des affaires, nous trouvons une valise et presque en courant tellement elle est impatiente, nous montons et le train démarre.
À Toulouse, nous prenons un TGV, elle est émerveillée de rouler à plus de 300 kilomètres heures, elle est suspendue à la fenêtre.
Est-ce le fait d’avoir franchi 200 années avec ma machine, ce qui est sûr, c’est qu’elle apprend très vite.

• Julien, il faut arrêter le train, j’ai envie de faire pipi.

J’éclate de rire.

• Suis-moi, il y a des toilettes dans se train où tu vas pouvoir te soulager.

Je la conduis jusqu’à la porte des toilettes.

• Entre et fait pipi, je t’attends.

Je reste devant, car il serait trop long à lui expliquer qu’il y a un verrou pour s’isoler des autres passagers, la porte s’ouvre.

• Viens, aide-moi comment il faut faire.

Je pénètre dans l’espace réduit, je lui baisse son jean et je la fais asseoir.

• Soulage-toi dans ce trou, après tu as du papier pour t’essuyer.

La gourgandine, son visage est à hauteur de mon sexe, elle ouvre mon jean et place mon sexe dans sa bouche, avant d’arriver à Montparnasse, elle me fait une magnifique fellation avalant avec délectation mon sperme.
Est-ce l’accélération de son espace-temps, ou la découverte du sexe, j’ai nettement l’impression que nous sommes devenus des fous du cul…

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