Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Livrée par ma belle-mère (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Livrée par ma belle-mère (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Livrée par ma belle-mère (1/1)
Ma belle-mère, mon papa s’étant remarié après son veuvage, étant, lui aussi disparu, nous venions de fêter mes dix-huit ans le dimanche avec le peu de familles qui me restaient lorsque ma vie a été bouleversée.

Sous couvert de cadeau pour mon anniversaire, le mardi après-midi suivant, belle-maman, m’a emmené dans un institut de beauté m’a fait raser intégralement ma toison, coiffée, fais les ongles et maquillés.
Elle a sorti de sa poche plusieurs billets de cent euros pour payer.
Nous qui étions fauchés accumulants mêmes les dettes, j’aurais dû me méfier lorsqu’elle m’a emmené dans une boutique de vêtements pour jeunes filles et qu’elle m’a imposé de prendre, shorts cachant à peine mon sexe et deux hauts si affriolants.
En sortant elle m’a entraîné dans un café et après avoir enlevé les étiquettes, elle m’a ordonné de descendre aux toilettes me changer.
Elle m’a dit d’éviter les petites culottes et le soutien-gorge, car selon elle, c’est disgracieux avec ce type de vêtements.
J’avais des baskets et nous sommes allés finir mon personnage en achetant des chaussures à très grosses semelles et talons.
Nous avons pris le métro pour nous rendre dans les rues chaudes de Bruxelles, elle s’est arrêtée devant un immeuble où elle a tapé le Digicode.

• Tu prends l’ascenseur jusqu’au quatrième et tu sonnes à la porte, tu feras tout ce que l’on te dira de faire.

Je suis ses directives me demandant bien ce que je fais là.
Belle-maman sort souvent le soir, la dernière fois lorsqu’elle revient au matin alors que je me prépare à aller au bahut, je remarque qu’elle a pleuré, car ses yeux sont tout rouges.
Je sors de l’ascenseur et comme j’ai devant moi, une seule porte, je sonne.
Une soubrette vient m’ouvrir.

• Suivez-moi ?

Nous longeons un couloir, vers le fond, elle frappe à une porte et entrons dans une pièce emplie de fumer.
Une table, autour quatre hommes et une femme d’un certain âge.
Assises derrière eux trois jeunes femmes ayant la même allure que la mienne.

• Entre Poupette, viens t’asseoir près de moi.

L’homme qui a parlé est grand plutôt beau gosse la quarantaine.
Comment se fait-il qu’il connaisse le petit nom que me donnent mes parents depuis ma naissance alors que mon prénom est Pauline.

• Agnès a dit vrai, tu es bandante.

De mieux en mieux, il connaît le prénom de ma belle-mère.

• Bien, on va voir tout de suite, si tu es un chat noir ou un porte-chance.
Tapis.

Il pose ses cartes sur la table sans les montrer et pousse un gros paquet de jetons.

• Je suis.

La femme a parlé et elle pousse ses jetons.
L’homme compte ses jetons pendant que la dame compte les siens.

• Carte.

La dame jette une carte et en récupère une.

• Mes jetons plus Poupette pour voir.

Qu’est-ce que Poupette vient faire là-dedans et que veut-il voir ?

• Je suis.

La femme prend un gros paquet de billets dans son sac à main posé près d’elle à ses pieds en compte un certain nombre et les met sur ses jetons.

• Carré de Valets.

L’homme étale ses quatre valets et porte ses mains vers les jetons.

• Stop, carré de dames.
• Merde un chat noir.
• Poupette vient t’asseoir près de moi.

Je me lève et comme Agnès ma belle-mère m’a dit de faire ce que l’on me demande, j’exécute son ordre.
Je déplace ma chaise et me mets derrière la dame.

• Henriette, je sais que cela est proscrit, mais as-tu eu la chance de trouver la quatrième dame à la dernière carte que tu as changé.
• Tu as raison, cela est hors de la pratique, mais je vais te répondre.
J’avais les quatre dames servies et j’ai fait cet écart pour t’obliger à monter les enchères, je savais la situation identique à celle d’Agnès, l’autre soir et je savais que tu jouerais Poupette pour te refaire, comme elle l’a fait.
La petite m’intéresse et maintenant elle est à moi.

De pire en pire, pourquoi cette Henriette s’intéresse à moi.
Dans quel monde suis-je tombé ?
Et ces hommes qui fument comme des pompiers des cigarettes l’une sur l’autre.

• Tu fumes.

Elle me tend un étui à cigarettes, non, à cigarillos.

• Non, merci.

Elle en prend un et l’allume, chaque fois qu’elle tire dessus la fumée vient vers moi et finit par me faire tousser.
L’homme qui m’a joué et qui m’a perdu se lève et sort de la pièce.

• Messieurs, on continue, je propose cinq mains avant d’arrêter.

Tous sont d’accord.
Il joue et à la troisième main la même situation se joue avec un autre homme.
Le tapis est annoncé, Henriette contre et remet de l’argent sur la table.

• Chéri, tu ne vas pas me jouer comme l’a fait l’autre homme tout à l’heure.
• Je vais me gêner, évite de te tracasser, il m’est impossible de perdre de plus, Henriette a récupéré le chat noir.
Je suis, avec en prime ma femme.
Carré de rois, alors, fais-moi voir ta défaite, depuis le temps que je joue contre toi et que je rêve de te faire manger tes dents.
• Carré d’as.
• Pauvre minable depuis le temps que je te parle d’arrêter de jouer ta chemise.
• Madame, venez près de Poupette.
• Tu peux toujours courir vieille maquerelle.

Henriette sans s’énerver sort son portable et compose un numéro.

• Venez.

Deux minutes après deux hommes entrent.

• Emmenez madame à mon club et préparez-la pour la mettre au boulot demain soir.
• Fred, tu vas m’éviter cela, je me tuerais.

Le dénommé Fred regarde ses chaussures pendant que sa femme sort avec les deux malabare.

• Je pense que l’on en reste là pour ce soir messieurs.
• Avec ta chance, je jette l’éponge.
• Moi aussi, je veux éviter de rentrer à poil.
• Poupette suis-moi.

Nous sortons de la pièce, un homme de la carrure de ceux qui ont emmené la fille nous suit.

• Quelle bande de cons, tu es un ange blanc, nous allons bien nous entendre.
C’est ton jour de chance aujourd’hui, car si j’avais laissé faire le destin sans lui donner un coup de pouce, tu roulerais pour Anvers afin de travailler dans des vitrines.
• Je ne comprends rien à ce qui m’arrive, je veux rentrer chez moi.
• Viens, je vais t’expliquer.

Nous sortons de l’immeuble et des gyrophares de polices tournent devant nous.

• Salut Henriette, tu as joué avec lui.

L’homme retire le drap sur le visage de la personne couché sur un brancard.

• Non, on a juste bu un verre avec mon amie et quelques potes.

Henriette, c’est l’homme contre qui tu as joué et que tu m’as gagné, regarde bien, j’allais dire cette phrase quand j’ai pris conscience depuis le début de soirée de l’ambiguë de la situation, alors je ferme ma bouche.
La pièce où ils jouaient donnait sur l’arrière de l’immeuble et nous a évité d’entendre les coups de feu.
Nous montons dans sa grosse limousine et le colosse vient s’asseoir sur un strapontin.

• Quand je t’ai dit que c’était ton jour de chance, c’est que si je t’avais laissé dans les mains de l’allonger, tu serais comme lui sous un drap avec quelques balles dans le corps.
Alors maintenant, je vais tout t’expliqué.

Elle m’explique ce qui était impossible à croire, ma belle-mère m’a vendu pour payer une dette de jeu et l’argent qu’elle a sorti était celui que l’homme qui s’est fait descendre lui a donné pour me préparer comme il aimait que ses putes soient avant de les mettre au turbin.
Elle m’a vendu à un réseau de proxénètes.

Nous arrivons devant une grosse boîte de strip-tease de Bruxelles « FOLIE PARISIENNE ».
Dès que nous entrons, la salle est noire de monde surtout des hommes et des femmes bien moins habillés que moi.
Certaines danses sur des scènes et dans des cages en se servant de barre et d’autres se trémoussent devant des hommes.
J’en vois une qui prend un homme par la main et l’emmène derrière un grand rideau rouge au fond de la salle.
Une autre arrive de derrière le rideau en ajustant son string seul vêtement qu’elle porte.

• Poupette vient avec moi, je vais me coucher.

Nous prenons un ascenseur avec devant un homme identique à celui qui était dans la voiture.
Nous montons deux étages et nous entrons dans une salle à manger grande comme l’appartement de mes parents.
Elle m’entraîne dans une salle de bains avec une baignoire où nous pourrions nous tenir à cinq dedans.

• Déshabille-toi et viens dans l’eau.

Elle appuie sur un bouton et la surface se met à bouillonner.
Alors qu’elle me dit de me mettre nue, elle en fait autant.
Elle est bien fichue malgré sa cinquantaine.
Lorsqu’elle enjambe, la baignoire sa chatte avec une toison noire s’ouvre.
Elle doit avoir une vision identique et meilleure, car ma chatte rasée laisse mon intimité à sa vision.

• Je vois que ta belle-mère, t’as fait prendre la marque de fabrique du proxo qui a été tué, toutes ces filles sont rasées.
As-tu eu beaucoup d’amants ?
• Aucun, j’ai toujours ma virginité.
• Un ange blanc, demain, j’organise des enchères, je vais doubler ma mise.
Viens dans mes bras que je t’embrasse.

Pour la première fois, j’ai une bouche qui fouille ma bouche et c’est celle d’une femme.
J’aime bien, elle m’embrasse et je lui rends son baiser.
Mon corps s’enflamme et ma chatte me brûle, c’est comme cela que ma vie a changé, je n’ai jamais revu ma belle-mère, par contre demain, je prends enfin conscience que je vais connaître ma première bite.

Les avis des lecteurs

Toujours sympa le membre premium qui massacre...
Qu'as-tu écrit pour que je sache prendre exemple...



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