Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1011) - histoire érotique

Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°1010) –

Mais Monsieur Walter s'éloigne et disparait… Les deux jeunes magnifiques esclaves retirent toutes leurs entraves et conduisent la chienne MDE et le chiot-soumis jusque dans la douce piscine tiède à remous tel un immense spa. Alain est conduit d'un côté par le jeune garçon qui le prend par la main et il est d’une douceur incroyable dans ses gestes et qui laisse deviner une homosexualité évidence lorsqu’il caresse avec tendresse et envie le torse d’Alain. La jeune fille fait de même avec Aphrodite MDE mais elle va plus loin dans la piscine se séparant d'environ cinq mètres. Le jeune garçon commence alors un lent massage sensuel ponctué de doux baisers dans le cou d’Alain, commençant par masser le sommet de la tête tandis qu'Alain, toujours un peu anxieux, observe sa formatrice pour se rassurer. Comme il peut le voir, Aphrodite MDE se détend complètement sous les lents mouvements de la jeune fille caressant son visage tout en passant sa langue dans la nuque de la chienne MDE. Alain se sent triste lorsque les yeux de sa formatrice se ferment de plaisirs, il se sent perdu, abandonné. Son regard est alors attiré par un mouvement sur sa droite, une magnifique créature, une sublime femme nue à la beauté plastique parfaite, aux seins fermes et qui s’approche avec une souplesse naturelle voire féline et se dirige vers Aphrodite MDE. Lorsque sa formatrice sent cette présence, elle rouvre les yeux qui s'écarquillent aussitôt. C'est un radieux visage communicatif qui accueille la très belle femme. Visiblement elles se connaissent et portent le même collier de cuir raffiné. Cette femme descend gracieusement dans l'eau et dépose un petit coffret qu'elle utilise, de suite, pour savonner doucement le corps offert. Le ballet des mains est magnifique, hypnotiseur, dégageant un amour intense et provoquant un immense bien-être partagé. Ce rayonnement parvient jusqu'à Alain qui reprend conscience des douces mains baladeuses du jeune garçon maintenant dans sa nuque.

Sans quitter le spectacle magique sous ses yeux, Alain sent une incroyable relaxation envahir son corps. Sa relâche est tellement profonde que sa tête s'effondre doucement en arrière. Le jeune esclave l’embrasse dans le cou avec passion et envie, sa langue le lèche avec avidité. L’étreinte se forme, les deux mâles s’entrelacent avec des désirs puissants ce qui accentue les caresses et baisers. Au bout d’un moment Alain se baisse et sa tête atterrit souplement sur la cuisse du jeune garçon qui ne réagit pas, car il continue son assouplissement expert par ses caresses. Alain finit par fermer ses yeux et, même s'il est conscient de la forte érection près de son oreille, il se perd dans ses pensées de soumission et ce sont les images du Maître qui le submergent. Le Noble semble être avec lui, devant lui, le Dominant, l'observant et Alain se relaxe de plus en plus pour s'offrir entièrement au Maître dans son bien-être. La piscine n'existe plus, les doux soupirs au loin ont disparu. Alain dans sa tête est seul avec le Maître, pour le Maître, pour le servir, le satisfaire, pour son besoin, pour son plaisir, pour son désir. Alain est une partie du Maître, Alain a besoin du Maître, Il est sa jouissance. Cette réalisation amène un bonheur aussi inattendu qu'immense dans son être intérieur…

Alain sursaute et cette image de bonheur disparaît aussitôt. Alain rouvre les yeux, la femme qu'il avait aperçue est devant lui, une main autour de son sexe et elle le pince légèrement. D'abord légèrement en colère, Alain offre de grands yeux de remerciement. Sans elle, il aurait sans doute gaspillé sa semence et Alain souhaite absolument la garder pour le Maitre car Il est le Seul à décider s’il a le droit d’éjaculer. Il ne sait pas vraiment pourquoi mais cela semble tellement logique, naturel que l’Exigence première de sa soumission, ce sont toutes les Exigences du Maître… La magnifique femme continue de laver Alain, son corps entier, chaque partie comme si elle était l'essentielle. Le jeune esclave a disparu e c’est à regret pour Alain car une envie forte de le sucer avait traversé son esprit. De l'autre côté de l'immense piscine, Aphrodite MDE est allongée sur quelques coussins mous. Son corps étalé sur le dos semble recevoir de la part de la jeune fille de divines caresses buccales sur ses lèvres intimes. Le corps d'Alain est maintenant rincé de cette douce eau parfumée. Alain est invité à s'allonger aussi par-dessus de magnifiques coussins. Alain est heureux de constater qu’il est attendu par le jeune garçon, un flacon dans sa main. Alain s'allonge sur son ventre pour s'enfoncer dans la douceur du tissu soyeux. Dès que les mains baladeuses, douces, sensuelles du jeune garçon déambulent divinement le long de son dos, Alain prend conscience de fortes douleurs mélangées à une puissante excitation des coups de fouet qui atterrissaient impitoyablement sur son dos tandis qu'il courait sur le tapis mais il en savoure tout le délice masochiste se rappelant comme cela le faisait bander...

En effet, quelque chose en Alain a changé, il ne se cloître pas dans cette douleur inouïe et cette excitation excessive, ses pensées et son cœur vont d’abord vers le plaisir qu'il a donc donné au Maître, une complicité partagée qui fait que un plus un ne fait pas deux, mais décuple les sentiments, la sensation et la joie. C'est dans cet état d'esprit qu'Alain savoure les mains réparatrices du jeune soumis et une fois de plus, les pensées d'Alain repartent vers le Maître. Les rares fois où il l'a vu, son être a été comblé, béni dans une plénitude où plus rien ne lui manquait. Alain se sent possédé, possédé comme il l'a toujours désiré, possédé comme il a toujours aspiré et maintenant, Alain est enfin proche de la libération, oui il se sent libre, il se sent léger. Alain est incroyablement conscient de son présent, il n'est pas dans son petit nuage fantasmagorique comme il l'a souvent été. Il est bien dans la réalité.

Quand deux autres jeunes soumis nus et en érection arrivent et viennent se joindre à Alain et au jeune esclave masseur. Ils commencent à s’occuper d’Alain qui se retrouve donc avec trois esclaves mâles aux corps parfaits, leur peau dépourvue de tout poil faisant encore plus saillir leurs musculatures fines. Les trois mâles entourent Alain, se collant à lui, le caressant avec douceur, l'un s'agenouillant face à son entrejambe afin de le sucer avec délicatesse et amour, tandis que les deux autres nettoient de leurs langues aussi le moindre espace de la peau d’Alain. Toujours avec douceur, ils invitent délicatement Alain à s'allonger sur le sol, eux trois venant sur lui, l'un lui léchant les bourses, la nouille si tendue, un autre l'embrassant goulument à pleine bouche, le troisième pelotant sa poitrine frémissante, son torse, ses hanches, ses fesses. Se mettant un peu plus à son aise, Alain fébrile et excité commence alors à s'impliquer plus, saisissant le sexe de l'un des esclaves, attirant l'autre vers sa bouche afin de le sucer... C'est une scène magnifique que ces quatre corps de mâles en chaleurs par leur forte érection formant une masse ondulante de chairs, les uns sur les autres, les uns dans les autres, enchevêtrés, mêlés, imbriqués... mais aucun d’eux n’a l’autorisation de jouir et au bout d’un moment, une sonnette venue de nulle part sonne et les deux esclaves venus les rejoindre, ainsi que le jeune masseur, s’éclipsent comme il sont arrivés, sans bruit, sans un seul mot prononcé !

C'est alors avec une grande paix intérieure qu'Alain se lève lorsqu'il lui est exigé. Presqu'instinctivement, Alain se met à quatre pattes et, lorsque sa formatrice arrive à côté de lui, dans un élan de bonheur Alain lui lèche tendrement la nuque tandis que ces lourdes entraves sont remises en place. Seulement alors, Alain s'aperçoit que Monsieur Walter est devant eux, mais Alain n'a pas honte de ses actes. Le Majordome les mène rapidement de retour dans les somptueux couloirs et toutes les questions, tous les tracas semblent avoir fui le cerveau d'Alain. D'un pas léger, Alain semble trotter derrière les pieds de Walter. Lorsqu'ils arrivent devant une magnifique grande et haute double-porte de bois sculpté, Alain perçoit un frisson chez Aphrodite MDE. La porte s'ouvre, les laisses sont détachées, la chienne MDE et le chiot-soumis se précipitent en avant. Alain, le museau pointé sur le somptueux plancher de bois avance rapidement à côté d'Aphrodite MDE, mais légèrement décalé pour marquer son respect, son rang...

Ce sont deux pieds nus qui accueillent les chaleureuses langues des soumis. Alain n'a jamais léché de pieds, mais ceux-ci ne peuvent être que des pieds de Maître. Alain les vénère, alternant quelques regards en coin pour assurer la technique. Alain a un profond désir de lécher plus, d'explorer plus loin, en fait, de tout explorer mais il se limite à suivre l'exemple. Alain ressent, perçoit et entend la satisfaction de Monsieur le Marquis. Tandis que le binôme est affairé avec les pieds du Maître, deux femelles soumises viennent retirer leurs entraves. Alain a à peine le temps de soupirer que de nouvelles entraves en cuir rembourré apparaissent sur leurs poignets et leurs chevilles. Aphrodite MDE est emmenée au loin et Alain peut entendre quelques murmures, son museau collé sur le bois luisant du plancher en position prosternée, le cul bien relevé. Lorsque son tour arrive, Alain reçoit d'abord un bandeau sur ses yeux. Il est emmené ensuite quelques mètres plus loin sur une sorte de balançoire et ses mains sont attachées devant lui, puis hissées par-dessus sa tête. Alain sent son corps continuer à monter et ses pieds ne touchent plus le sol. Il est poussé vers l'avant, ses jambes sont écartées, son corps redescend sur le siège de la balançoire doucement et Alain sent une pression contre son petit trou tandis que ses, seuls, orteils touchent de nouveau le sol. La tension dans ses bras est relâchée, mais Alain ne veut pas être empalé même si la tige, de la cage qu’une femelle-soumise lui a remis en place, ne semble pas trop épaisse, elle s’enfonce inexorablement dans son cul dès le contact avec le siège de la balançoire. Alain est moitié debout et il n'ose pas bouger, il force sur les pointes de ses orteils pour éviter une trop forte et rapide pénétration inévitable. Alain entend un claquement, le fouet tape le plancher, puis un autre claquement plus sourd, la cible n'est plus le sol. Un petit cri et une secousse contre son trou du cul sensible le fait bander mais il sent sa nouille contrainte et confinée et il ne peut laisser exprimer son excitation et cela lui provoque une douleur à sa verge...

À chaque coup de fouet, la pression contre son trou de lope s'amplifie. Alain a beau pousser sur ses orteils, maintenant son trou est bien pénétré, empalé. Malgré tous les efforts d'Alain, la chose ne veut pas quitter son trou. La pénétration n'est pas méchante mais le démange. Les coups de fouet semblent de plus en plus rapides, de plus en plus violents comme l'indique l'enfoncement du dur cylindre entre ses fesses. Puis, c'est le silence. Le bandeau d'Alain brusquement retiré et Alain découvre la situation avec effroi et excitation. Aphrodite MDE est devant lui dans la même situation, suspendue à une balançoire par ses bras tendus, mais ses pieds ne touchent plus le sol, ses chevilles sont menottées à la bascule sur laquelle elle repose. Son regard semble vide ou comblé, Alain ne sait pas trop. Il estime rapidement qu'elle doit être complètement empalée et que le fouet lui est maintenant totalement réservé. Rapidement, Alain entend un claquement sur le sol, c'est la marque du début des festivités. Le Maître est un expert et le fouet claque longuement sur le dos et la croupe d'Alain. Ce fouet-ci semble plus vicieux même si Alain n'a pas beaucoup de souvenirs de ses caresses précédentes. Il frappe à gauche, à droite, plus haut, plus bas et Alain ne sait jamais où il va atterrir. Le rythme change continuellement, prenant toujours Alain au dépourvu et chaque coup provoque une secousse et chaque secousse amène un enfoncement progressif de la tige de la cage dans son cul désormais collée au siège de la balançoire et un sursaut du corps inerte en face de lui. L'esprit d'Alain vagabonde entre l'atroce douleur et l'immense plaisir...

(A suivre...)