Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1063)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1063)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
- Mais où donc l’avez-vous trouvée cette perle ? …
Monsieur le Marquis répondait ce qu’il voulait bien dire. J’étais à Ses côtés, fière, oui, très fière même car je le sentais heureux. Pour la première fois de ma vie, j’avais la sensation de rendre un homme heureux. Cette impression, nouvelle pour moi, me fit, à la fois, être très heureuse et fière et en même temps me faisait verser des larmes d’émotions pures d’être Sa soumise, de ressentir ce que j’étais devenue et si heureuse de l’être... Le Noble s’en était aperçu et tout en répondant aux questions posées par les Invités, qui avaient leur verre en main, redemandant de le remplir pour le boire d’un trait, se mettait à sécher mes larmes avec dans les yeux, une douceur à nulle autre pareille. Je me calmais lentement, mais avais encore des soubresauts nerveux dus aux orgasmes. Très doucement, à mon oreille, le Maître me dit, avec une voix dans une douceur inouïe :
- Je sais ce qui te fais pleurer, je sais, petite chienne, ne crains rien, sache que je sais, c’est tout.
- Merci Maître, répondis-je timidement.
Tout d’un coup, le Noble frappa dans ses mains et dit en riant :
- Vous devez avoir faim mes amis, passons donc à table mais je vous réserve d’autres surprises ce soir.
Tout le monde regagnait sa place, le Châtelain s’assit et me plaça à sa droite, toujours entièrement nue, tout en portant cependant boucles d’oreilles, collier en or, collier de chienne et laisse. Le repas commençait, les mets d’une délicatesse exquise régalaient les Invités. Je n’avais pas faim, d’autant que les convives me harcelaient de questions.
- Qu’elle âge avez-vous ? Comment la nommer Monsieur le Marquis ?, demanda le questionneur
- Appelez-là esclave, voulez-vous !
- Donc esclave, quel est votre âge s’il vous plait ?
- 26 ans, Monsieur, répondis-je timidement puis me reprenant, plus assurée ou tentant de l’être, oui 26 ans Monsieur.
- Ne vous ai-je pas vue ailleurs qu’ici Mademoiselle ?, demanda un autre convive.
Regardant la personne qui me posait la question et rougissant jusqu’à la pointe des oreilles :
- Oui Monsieur, en effet !
- Seriez-vous..... ?
- Je suis en effet, celle qui porte une de vos si belles robes à vos défilés, je suis celle que vous connaissez, celle que vous courtisiez même, passé un temps...
Des ahhhh se firent entendre, l’homme sourit tandis que son épouse le fusillait du regard…
- Je suis particulièrement heureux de voir que la robe que vous portez aussi, aujourd’hui sans aucun défilé, Mademoiselle, provient de...
- … de La Maison Dior, de votre Maison, Monsieur le Président Directeur Général, en effet.
J’avais répondu sans réfléchir comme dans une sorte d’attaque portée.... Le PDG de Dior Paris en fut surpris et resta sans voix, la bouche ouverte, tandis qu’il appuyait son menton dans le creux de sa main. Se reprenant il contre attaqua, comme pour me défier :
- Mais connaissez-vous vraiment notre Maison, Mademoiselle ?
- Parfaitement Monsieur, j’ai commencé ma carrière de mannequin en vos murs avant que vous ne m’invitiez assidument en votre bureau pour me baiser (des ohhhhh scandalisés fusèrent dans la pièce) ce qui me déplut au point de vous quitter. Ensuite je m’inscrivis en une agence qui m’a faite défiler pour des collections dont les vôtres, celle de la Maison Dior, en effet…et bien d’autres encore…mais cela vous, le savez, Monsieur le Président !
Le Président ne savait plus où se mettre, tentant maladroitement de reprendre la main.
Monsieur le Marquis semblait se régaler du début de la joute oratoire, prouvant à tout l’auditoire, mes qualités de Femelle Pur-Sang, fougueuse…
- Ah oui, je crois me souvenir de vous, dit le PDG, de cette petite oie qui (éclatant de rire grassement) se mit en mesure de séduire son Président, Ah ah ah... ! Elles ne doutent de rien les gamines de nos jours, on leur donne du travail et regardez comment elles vous remercient, dans quel monde vivons-nous, mon dieu !
Les autres Invités masculins faisaient bloc derrière lui. Le silence refit surface, et le Noble semblait jouir de ma réparti, je le voyais dans ses yeux, comme pour me dire :
- Vas-y ma petite chienne, vas-y cloue lui le bec à ce charognard...
Je me suis levée, ai fixé longuement dans les yeux le dit PDG, qui continuait de soutenir mon regard, tandis que par mes mouvements mes seins bougeaient en même temps.
- Monsieur le Directeur Général, vous me connaissez puisque vous m’avez vue entièrement nue !
- Quelle affirmation ! Quelle nouvelle étonnante en effet ! Des mannequins, Mademoiselle, j’en vois des centaines en effet par jour, et c’est tout ce que vous avez trouvé pour oser m’attaquer, ici, ce soir, en compagnie de mes amis, en présence de mon épouse bien aimée, pour semble-t-il me mettre en difficulté, il vous faudra trouver autre chose, mademoiselle la chienne. (Il riait grassement et le reste de l’auditoire le suivait encore) S’adressant au Maître :
- Et vous Monsieur le Marquis, je suis étonné que vous laissiez votre chienne m’interpeler comme elle le fait ! La laisserez-vous, cette catin, poursuivre ses ragots ... ?
Je restais de marbre savourant à l’avance ma vengeance. Le Noble avait son sourire si particulier, sourire de carnassier dans une prestance enveloppant son fort charisme naturel et son sourire dont les crocs acérés allaient se repaître de sa proie… Le Châtelain semblait avoir compris ce qui allait se passer et ostensiblement passait sa main sur mon fessier, le caressant de façon très douce comme pour m’encourager. Avant que je ne reprenne la parole, Monsieur le Marquis dit au PDG avec une impressionnante assurance :
- Méfiez-vous de ce que peuvent dire ces petites grues effrontées. En effet, parfois, leurs calomnies, quoique mensongères naturellement, peuvent laisser des traces, croyez-moi. Mais je sais que vous allez la démonter en deux temps, trois mouvements. En revanche, je ne sais ce que ma pouliche de luxe veut vous dire mais je suis certain assurément d’une chose cependant, vous avez, semble-t-il entamé une joute avec elle et je tiens à vous prévenir qu’elle a du ressort la bougresse, d’ailleurs je la compare souvent à un Pur-Sang femelle, ça veut tout dire, mais rassurez-vous, je la tiens fermement comme vous le voyez. Si au terme de l’échange, je trouve qu’elle vous a sali, je vous promets de la corriger, ici devant l’ensemble de mes amis. Je vais faire mieux encore, mon cher ami, je vous la donnerai et vous la corrigerez vous-même. (Puis s’adressant à moi) - vas-y Petite chienne, dis ce que tu voulais dire à mon ami.
De toute ma hauteur, augmentée par mes quinze centimètres de talons, nue mais fière, seins dardant, tétons raidis et pointés vers l’auditoire, je fixai les yeux du Président et dis :
- Monsieur le Directeur, en effet vous voyez journellement des tas de femelles, oui des femelles (des ohhhh réprobateurs s’élevaient encore dans la salle), car pour vous, nous ne sommes que des femelles.
- Mais faites-la taire donc, cette catin dit n’importe quoi, voyons, éructa le PDG, rouge de colère (tandis que pour couvrir ma voix, certains Invités, se servant de leurs fourchettes, tapaient sur leurs assiettes. Puis se reprenant)… - Chère Mademoiselle, ma patience a des limites, savez-vous, et même si j’aime plaisanter, apprenez que les meilleures blagues sont les plus courtes.
- J’en prends note cher Monsieur, aussi je serai directe puisque vous me le demandez. La verrue que vous avez sur le rebord droit de votre gland est affreuse, sent mauvais, parce que purulente… tandis que vos trois testicules sont très petits, par ailleurs…
Bondissant de son siège, cramoisi de colère et de honte, me menaçant presque, le PDG se leva...vociféra comme pris soudainement d’une colère... Monsieur le Marquis intervint :
- Veuillez, vous calmer mon ami, ne vous mettez pas en de tels états, ne perdez pas de vue votre dernier infarctus, ma pouliche ment assurément. (S’adressant à moi) - Je te préviens petite chienne, toucher à un ami proche peut te coûter très cher, tu me connais, tu sais comment je traite les menteuses !
- Oui, Maître, je le sais et vous certifie que je ne mens pas.
Je ne pouvais porter d’accusation aussi grave, si je n’avais pas vu le sexe de Monsieur le Président, ni ses testicules, ce qui prouve le pourquoi de ma présence en son bureau quand il avait voulu me baiser. Regardant son ami le Président, le Noble lui dit :
- Il n’y a qu’une seule manière de savoir comment ma chienne connait ces particularités de votre anatomie. Les dévoiler ! Ou reconnaître la véracité des propos de Ma pouliche.
Le PDG bondit
- Monsieur le Marquis, mon ami, si ma parole ne vous suffit pas…
- Il ne s’agit pas de parole Monsieur, lui rétorqua le Noble, mais, les affirmations de la chienne sont si précises que pour éviter de vous importuner plus avant, on va mettre un terme à cet incident regrettable et je vais, de ce pas corriger ma jument.
- Je vous remercie Mon ami, Cher Monsieur le Marquis, reprit le PDG, dans quel monde vivons-nous de nos jours, (se reprenant) vous allez avoir du travail mon très cher ami, avec ces petites.....ordures, on passerait bientôt pour des obsédés. Mais que veulent-elles à la fin ? De l’argent ? Elles veulent nous faire chanter alors qu’elles viennent pleurer pour trouver du travail....
- C’est assez hurla et coupa l’épouse du PDG. J’en ai assez entendu pour ce soir. (S’adressant à son époux) : -- Que vous sautiez vos salariées mon ami ne me fait rien, je le sais depuis longtemps, mais que vous vous donniez ainsi en spectacle, ce soir, ici, en présence de nos amis proches, ne vous rendant absolument pas compte que la... (hésitant) chienne vous mène par le bout du nez depuis le début de votre intervention imbécile, je ne puis le supporter.
Me regardant, les yeux de l’épouse retrouvèrent leur calme, devenus même, amicaux.
- Mademoiselle, je ne vous en veux pas, vraiment, mon mari est un malotru et je vous présente mes excuses pour son comportement, indigne vis-à-vis des femmes dont je suis. Depuis que je vous ai vue entrer, Mademoiselle, je vous regarde et admire votre courage. (Regardant le Maître, elle ajouta) : - Vous êtes entre d’excellentes mains et tiens à nouveau mais en mon propre nom à vous présenter mes excuses pour le comportement inadmissible de mon mari. (S’adressant au Noble) : - Je confirme, Monsieur le Marquis, les dires de votre... (hésitant) chienne si agréable à regarder et si… courageuse. L’anatomie de mon époux est bien conforme aux dires de votre esclave…
Des ohhh ! des ahhhh ! fusèrent en tous sens comme si les « amis » du couple étaient surpris de ce qu’ils apprenaient. Je regardais ces hypocrites, puis le Maître sembla me dire par son regard doux, « ils sont ainsi ».
- Veuillez me pardonner mon ami, reprit l’épouse s’adressant au Maître, mais devant l’offense publique commise par mon époux, je ne puis poursuivre cette soirée, et souffrez que je rejoigne mon domicile.
Monsieur le Marquis se leva, se dirigea vers elle, et lui baisa poliment la main. Il la raccompagna jusqu’à sa voiture et revint. Elle quittait la salle laissant derrière elle son mari qui ne savait plus quoi faire. La soirée en avait pris un sacré coup et je craignais que le Maître ne m’en veuille... mais il semblait ne pas m’en tenir rigueur. Je n’en menais pas large… La soirée reprit son cours.... les questions portaient beaucoup sur mon parcours de femme :
- Avez-vous été mariée ? - Avez-vous des enfants ?...
Le PDG honteux quitta la salle rapidement. Le Noble reprit la situation en mains, et le repas se poursuivit sans anicroches. Parvenu au moment du dessert, le Châtelain prit la parole :
- Mes amis, je vous avais dit que je vous réservais une surprise, je vais vous la montrer…
(A suivre …)
- Mais où donc l’avez-vous trouvée cette perle ? …
Monsieur le Marquis répondait ce qu’il voulait bien dire. J’étais à Ses côtés, fière, oui, très fière même car je le sentais heureux. Pour la première fois de ma vie, j’avais la sensation de rendre un homme heureux. Cette impression, nouvelle pour moi, me fit, à la fois, être très heureuse et fière et en même temps me faisait verser des larmes d’émotions pures d’être Sa soumise, de ressentir ce que j’étais devenue et si heureuse de l’être... Le Noble s’en était aperçu et tout en répondant aux questions posées par les Invités, qui avaient leur verre en main, redemandant de le remplir pour le boire d’un trait, se mettait à sécher mes larmes avec dans les yeux, une douceur à nulle autre pareille. Je me calmais lentement, mais avais encore des soubresauts nerveux dus aux orgasmes. Très doucement, à mon oreille, le Maître me dit, avec une voix dans une douceur inouïe :
- Je sais ce qui te fais pleurer, je sais, petite chienne, ne crains rien, sache que je sais, c’est tout.
- Merci Maître, répondis-je timidement.
Tout d’un coup, le Noble frappa dans ses mains et dit en riant :
- Vous devez avoir faim mes amis, passons donc à table mais je vous réserve d’autres surprises ce soir.
Tout le monde regagnait sa place, le Châtelain s’assit et me plaça à sa droite, toujours entièrement nue, tout en portant cependant boucles d’oreilles, collier en or, collier de chienne et laisse. Le repas commençait, les mets d’une délicatesse exquise régalaient les Invités. Je n’avais pas faim, d’autant que les convives me harcelaient de questions.
- Qu’elle âge avez-vous ? Comment la nommer Monsieur le Marquis ?, demanda le questionneur
- Appelez-là esclave, voulez-vous !
- Donc esclave, quel est votre âge s’il vous plait ?
- 26 ans, Monsieur, répondis-je timidement puis me reprenant, plus assurée ou tentant de l’être, oui 26 ans Monsieur.
- Ne vous ai-je pas vue ailleurs qu’ici Mademoiselle ?, demanda un autre convive.
Regardant la personne qui me posait la question et rougissant jusqu’à la pointe des oreilles :
- Oui Monsieur, en effet !
- Seriez-vous..... ?
- Je suis en effet, celle qui porte une de vos si belles robes à vos défilés, je suis celle que vous connaissez, celle que vous courtisiez même, passé un temps...
Des ahhhh se firent entendre, l’homme sourit tandis que son épouse le fusillait du regard…
- Je suis particulièrement heureux de voir que la robe que vous portez aussi, aujourd’hui sans aucun défilé, Mademoiselle, provient de...
- … de La Maison Dior, de votre Maison, Monsieur le Président Directeur Général, en effet.
J’avais répondu sans réfléchir comme dans une sorte d’attaque portée.... Le PDG de Dior Paris en fut surpris et resta sans voix, la bouche ouverte, tandis qu’il appuyait son menton dans le creux de sa main. Se reprenant il contre attaqua, comme pour me défier :
- Mais connaissez-vous vraiment notre Maison, Mademoiselle ?
- Parfaitement Monsieur, j’ai commencé ma carrière de mannequin en vos murs avant que vous ne m’invitiez assidument en votre bureau pour me baiser (des ohhhhh scandalisés fusèrent dans la pièce) ce qui me déplut au point de vous quitter. Ensuite je m’inscrivis en une agence qui m’a faite défiler pour des collections dont les vôtres, celle de la Maison Dior, en effet…et bien d’autres encore…mais cela vous, le savez, Monsieur le Président !
Le Président ne savait plus où se mettre, tentant maladroitement de reprendre la main.
Monsieur le Marquis semblait se régaler du début de la joute oratoire, prouvant à tout l’auditoire, mes qualités de Femelle Pur-Sang, fougueuse…
- Ah oui, je crois me souvenir de vous, dit le PDG, de cette petite oie qui (éclatant de rire grassement) se mit en mesure de séduire son Président, Ah ah ah... ! Elles ne doutent de rien les gamines de nos jours, on leur donne du travail et regardez comment elles vous remercient, dans quel monde vivons-nous, mon dieu !
Les autres Invités masculins faisaient bloc derrière lui. Le silence refit surface, et le Noble semblait jouir de ma réparti, je le voyais dans ses yeux, comme pour me dire :
- Vas-y ma petite chienne, vas-y cloue lui le bec à ce charognard...
Je me suis levée, ai fixé longuement dans les yeux le dit PDG, qui continuait de soutenir mon regard, tandis que par mes mouvements mes seins bougeaient en même temps.
- Monsieur le Directeur Général, vous me connaissez puisque vous m’avez vue entièrement nue !
- Quelle affirmation ! Quelle nouvelle étonnante en effet ! Des mannequins, Mademoiselle, j’en vois des centaines en effet par jour, et c’est tout ce que vous avez trouvé pour oser m’attaquer, ici, ce soir, en compagnie de mes amis, en présence de mon épouse bien aimée, pour semble-t-il me mettre en difficulté, il vous faudra trouver autre chose, mademoiselle la chienne. (Il riait grassement et le reste de l’auditoire le suivait encore) S’adressant au Maître :
- Et vous Monsieur le Marquis, je suis étonné que vous laissiez votre chienne m’interpeler comme elle le fait ! La laisserez-vous, cette catin, poursuivre ses ragots ... ?
Je restais de marbre savourant à l’avance ma vengeance. Le Noble avait son sourire si particulier, sourire de carnassier dans une prestance enveloppant son fort charisme naturel et son sourire dont les crocs acérés allaient se repaître de sa proie… Le Châtelain semblait avoir compris ce qui allait se passer et ostensiblement passait sa main sur mon fessier, le caressant de façon très douce comme pour m’encourager. Avant que je ne reprenne la parole, Monsieur le Marquis dit au PDG avec une impressionnante assurance :
- Méfiez-vous de ce que peuvent dire ces petites grues effrontées. En effet, parfois, leurs calomnies, quoique mensongères naturellement, peuvent laisser des traces, croyez-moi. Mais je sais que vous allez la démonter en deux temps, trois mouvements. En revanche, je ne sais ce que ma pouliche de luxe veut vous dire mais je suis certain assurément d’une chose cependant, vous avez, semble-t-il entamé une joute avec elle et je tiens à vous prévenir qu’elle a du ressort la bougresse, d’ailleurs je la compare souvent à un Pur-Sang femelle, ça veut tout dire, mais rassurez-vous, je la tiens fermement comme vous le voyez. Si au terme de l’échange, je trouve qu’elle vous a sali, je vous promets de la corriger, ici devant l’ensemble de mes amis. Je vais faire mieux encore, mon cher ami, je vous la donnerai et vous la corrigerez vous-même. (Puis s’adressant à moi) - vas-y Petite chienne, dis ce que tu voulais dire à mon ami.
De toute ma hauteur, augmentée par mes quinze centimètres de talons, nue mais fière, seins dardant, tétons raidis et pointés vers l’auditoire, je fixai les yeux du Président et dis :
- Monsieur le Directeur, en effet vous voyez journellement des tas de femelles, oui des femelles (des ohhhh réprobateurs s’élevaient encore dans la salle), car pour vous, nous ne sommes que des femelles.
- Mais faites-la taire donc, cette catin dit n’importe quoi, voyons, éructa le PDG, rouge de colère (tandis que pour couvrir ma voix, certains Invités, se servant de leurs fourchettes, tapaient sur leurs assiettes. Puis se reprenant)… - Chère Mademoiselle, ma patience a des limites, savez-vous, et même si j’aime plaisanter, apprenez que les meilleures blagues sont les plus courtes.
- J’en prends note cher Monsieur, aussi je serai directe puisque vous me le demandez. La verrue que vous avez sur le rebord droit de votre gland est affreuse, sent mauvais, parce que purulente… tandis que vos trois testicules sont très petits, par ailleurs…
Bondissant de son siège, cramoisi de colère et de honte, me menaçant presque, le PDG se leva...vociféra comme pris soudainement d’une colère... Monsieur le Marquis intervint :
- Veuillez, vous calmer mon ami, ne vous mettez pas en de tels états, ne perdez pas de vue votre dernier infarctus, ma pouliche ment assurément. (S’adressant à moi) - Je te préviens petite chienne, toucher à un ami proche peut te coûter très cher, tu me connais, tu sais comment je traite les menteuses !
- Oui, Maître, je le sais et vous certifie que je ne mens pas.
Je ne pouvais porter d’accusation aussi grave, si je n’avais pas vu le sexe de Monsieur le Président, ni ses testicules, ce qui prouve le pourquoi de ma présence en son bureau quand il avait voulu me baiser. Regardant son ami le Président, le Noble lui dit :
- Il n’y a qu’une seule manière de savoir comment ma chienne connait ces particularités de votre anatomie. Les dévoiler ! Ou reconnaître la véracité des propos de Ma pouliche.
Le PDG bondit
- Monsieur le Marquis, mon ami, si ma parole ne vous suffit pas…
- Il ne s’agit pas de parole Monsieur, lui rétorqua le Noble, mais, les affirmations de la chienne sont si précises que pour éviter de vous importuner plus avant, on va mettre un terme à cet incident regrettable et je vais, de ce pas corriger ma jument.
- Je vous remercie Mon ami, Cher Monsieur le Marquis, reprit le PDG, dans quel monde vivons-nous de nos jours, (se reprenant) vous allez avoir du travail mon très cher ami, avec ces petites.....ordures, on passerait bientôt pour des obsédés. Mais que veulent-elles à la fin ? De l’argent ? Elles veulent nous faire chanter alors qu’elles viennent pleurer pour trouver du travail....
- C’est assez hurla et coupa l’épouse du PDG. J’en ai assez entendu pour ce soir. (S’adressant à son époux) : -- Que vous sautiez vos salariées mon ami ne me fait rien, je le sais depuis longtemps, mais que vous vous donniez ainsi en spectacle, ce soir, ici, en présence de nos amis proches, ne vous rendant absolument pas compte que la... (hésitant) chienne vous mène par le bout du nez depuis le début de votre intervention imbécile, je ne puis le supporter.
Me regardant, les yeux de l’épouse retrouvèrent leur calme, devenus même, amicaux.
- Mademoiselle, je ne vous en veux pas, vraiment, mon mari est un malotru et je vous présente mes excuses pour son comportement, indigne vis-à-vis des femmes dont je suis. Depuis que je vous ai vue entrer, Mademoiselle, je vous regarde et admire votre courage. (Regardant le Maître, elle ajouta) : - Vous êtes entre d’excellentes mains et tiens à nouveau mais en mon propre nom à vous présenter mes excuses pour le comportement inadmissible de mon mari. (S’adressant au Noble) : - Je confirme, Monsieur le Marquis, les dires de votre... (hésitant) chienne si agréable à regarder et si… courageuse. L’anatomie de mon époux est bien conforme aux dires de votre esclave…
Des ohhh ! des ahhhh ! fusèrent en tous sens comme si les « amis » du couple étaient surpris de ce qu’ils apprenaient. Je regardais ces hypocrites, puis le Maître sembla me dire par son regard doux, « ils sont ainsi ».
- Veuillez me pardonner mon ami, reprit l’épouse s’adressant au Maître, mais devant l’offense publique commise par mon époux, je ne puis poursuivre cette soirée, et souffrez que je rejoigne mon domicile.
Monsieur le Marquis se leva, se dirigea vers elle, et lui baisa poliment la main. Il la raccompagna jusqu’à sa voiture et revint. Elle quittait la salle laissant derrière elle son mari qui ne savait plus quoi faire. La soirée en avait pris un sacré coup et je craignais que le Maître ne m’en veuille... mais il semblait ne pas m’en tenir rigueur. Je n’en menais pas large… La soirée reprit son cours.... les questions portaient beaucoup sur mon parcours de femme :
- Avez-vous été mariée ? - Avez-vous des enfants ?...
Le PDG honteux quitta la salle rapidement. Le Noble reprit la situation en mains, et le repas se poursuivit sans anicroches. Parvenu au moment du dessert, le Châtelain prit la parole :
- Mes amis, je vous avais dit que je vous réservais une surprise, je vais vous la montrer…
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