Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1087)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1087)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1076) -
Il rappela Walter pour qu’il la mène au Chenil, où elle ne tarda pas à s’endormir sur la couverture d’une des nombreuses niches qui la composaient… Le lendemain midi, Monsieur le Marquis d'Evans retrouvait Son ami Wangdak dans le petit salon, où un apéritif avait été préparé sur un petit guéridon. Les deux amis arrivèrent au même moment, un sourire radieux sur les lèvres. Alors qu'ils s'installaient tous deux confortablement dans des fauteuils bleu roi, Wangdak regardait attentivement la pièce dans laquelle ils se trouvaient.
- Eh bien mon ami? Pas de soumis ou d'esclaves en vue ce soir ? demanda-t-il
- Pas encore… mais si vous le voulez je peux en faire venir.
- Eh bien, j’aimerai beaucoup revoir Votre soumise, qui Vous avait accompagné lors de Votre dernière visite au Tibet. J’avais énormément pris de plaisir à la soumettre…
- Qu’à cela ne tienne, cher ami ! Je vais la faire appeler. Mais elle n’est plus une simple soumise, elle a mérité, après plusieurs épreuves, et par son dévouement totale, son entière dévotion et son comportement parfait, et bien sûr avec son plein consentement, de devenir Mon esclave attitré.
- Avec son plein consentement ? Il Vous arrive donc de leur demander leur avis ? (Wangdak avait un sourire taquin sur les lèvres)
- Eh oui, que voulez-vous, il m’arrive d’être « faible », répondit le Marquis en riant. Non, plus sérieusement, l’engagement d’un esclave envers Moi est bien plus important que celui d’un soumis, et je ne peux pas prendre une décision si importante à leur place. Une fois engagés en tant qu’esclaves, soit ils y restent, soit ils rentrent chez eux mais dans ce cas il n’y a aucun retour possible ! Et je m’engage à leur restituer l’ensemble de leurs biens qu’ils m’auraient confié, ainsi qu’un compte en banque plus fourni car je leur fais fructifier leur argent. Ainsi s’ils me quittent, ou si une personne de leur famille avait un souci, ils seraient en mesure d’assumer. Mais force est de constater qu’aucun de Mes esclaves ayant obtenu ce privilège d’être à Mes pieds ne m’a quitté à ce jour !
Dans chaque pièce du Château, se trouvait un bouton-interphone qui permettait au Châtelain de faire venir Walter dès qu’Il avait besoin de ses services. Comme à son habitude, le Majordome se présenta rapidement dans le petit salon. Il reçut l’ordre de venir me venir me chercher. J’étais justement en train de faire ma séance d’entraînement de future chienne de concours sur l’équipement que le Maître avait acheté au Tibet lors du grand marché BDSM. Il avait dû se renseigner avant d’acheter quoique ce soit, car le parcours était au plus proche du vrai parcours d’agility canin. Pour le moment, je m’entrainais sur un parcours de 12 obstacles, niveau « débutant ». Peu nombreux étaient ceux du Cheptel qui avaient des prédispositions pour ce type d’exercice. Mais le Châtelain s’était découvert un certain attrait pour ce sport. Et il pensait chercher un certain nombre de soumis sportif qui pourrait soutenir un concours. J’étais en quelque sorte un prototype, un test avant qu’Il ne se lance dans le dressage de ‘‘bêtes’’ de concours. Ma séance commençait par une demi-heure de tapis de marche pour chien, sur lequel j’évoluais à quatre pattes, en « courant » aussi vite que la vitesse qui augmentait régulièrement me l’imposait. Puis je travaillais sur le parcours en lui-même.
J’attendais accroupie sur une table, attendant le coup de sifflet me donnant l’ordre du départ. Je sautais de la table et partais en quadrupédie. Je devais sautais une première haie avec des barres en croix, puis je devais monter sur une palissade (pas aussi pentue que celle des chiens de concours, n’ayant pas la même agilité qu’eux), passais dans un tunnel rigide se trouvant sous elle, puis je sautais une nouvelle haie, passais sur une passerelle, sautais un mur, pour revenir sur la table de départ, où je devais faire la belle pendant trente secondes, avant d’en descendre pour passer entre une dizaine de piquets de slalom. Venait ensuite une balançoire d’agility, un pneu suspendu à la verticale que je devais traverser, un tunnel souple, un saut en longueur (fait avec des petites planches de bois couvertes de petites pointes. Au fur et à mesure des jours, on m’en rajoutait pour que je saute plus loin). Et pour finir je devais remonter sur la table, faire la belle une trentaine de seconde, puis me mettre à genoux, bien droite, cuisses écartées, mains sur la nuque, tête baissée, attendant le jugement sur mon temps de parcours, le comparatif par rapport à mon entrainement précédent.
Si je m’étais améliorée, j’avais le droit de m’allonger sur la table, sur le dos, cuisses écartées, et on venait me branler jusqu’à la jouissance, si j’avais mérité celle-ci par une ‘‘récompense-autorisation’’ à l’orgasme. Si je n’avais pas été performante lors du parcours, l’orgasme m’était interdit et je devais donc contenir mon plaisir à être branlée longuement. De plus s’il n’y avait pas d’amélioration, ou si j’avais été plus longue, je recevais le fouet pendant cinq minutes minimum, temps qui se rallongeait d’autant de minutes que celles qui avaient dépassé mon précédent chrono… Lorsque Walter vint me chercher, je venais de finir mon parcours et j’attendais le verdict, que je ne connus pas. Mais il m’assura que la sentence, positive ou négative, tomberait dans tous les cas avant ma prochaine séance d’entrainement. Je le suivais donc jusqu’au petit salon, trempée de sueur. Je me prosternais devant le Maître et attendis.
- Eh bien, chienne, tu pourrais te laver avant de te présenter devant moi, tu pues la transpiration à plein nez !
Il disait cela, sachant très bien qu’Il n’avait donné aucune indication en ce sens à Walter lorsqu’Il m’avait fait envoyer chercher. Il rappela alors le Majordome pour qu’il ramène une jeune soumise arrivée depuis peu au Château, et Il lui ordonna de me nettoyer de sa langue, et m’ordonnant de lui faciliter l’accès à mon corps au fur et à mesure qu’elle le léchait… Les deux amis continuèrent un moment leur discussion sans faire attention à nous. La jeune chienne se fit rappeler à l’ordre une ou deux fois à l’aide d’une cravache, le Maître lui précisant que chaque parcelle de mon corps devant être propre, sexe, anus et aisselles compris. Le cunnilingus qu’elle me fit, bien que léger et court, vu que ce n’était pas le but premier de ce léchage, m’excita énormément… Quand elle eut finit, nous nous prosternâmes devant le Maître et nous attendîmes. Moi j’étais bien dans cette position, je pouvais prendre ainsi le temps de reprendre mon souffle et me reposer un peu, ne doutant pas que j’allais certainement devoir servir les deux Dominants d’ici peu. Il ne tarda pas à renvoyer la jeune chienne-soumise. Peu de temps après, alors que Wangdak se plaignait de la fatigue de ses jambes et demandait avec un petit sourire un tabouret à Monsieur le Marquis, ce dernier claqua des doigts et je me déplaçais de manière à présenter mon postérieur au Tibétain pour qu’il puisse y reposer ses pieds, lui présentant au passage mes orifices…
La conversation tourna beaucoup autour du futur mariage, et de la première journée de Sangmo au Château. En effet, le Châtelain raconta au Tibétain suivant ce que Walter Lui en avait conté et ce qu’Il avait pu voir sur une des nombreuses caméras du Château, qui Lui permettait de savoir absolument tout ce qui se passait entre les murs de Sa noble demeure. Tandis que les langues allaient bon train, Wangdak, après avoir demandé au Noble si cela ne le dérangeait pas, s’était déchaussé, et, après avoir ôté ses chaussettes, s’amusait à caresser mon dos, puis mes fesses. Ses pieds découvraient mon corps, l’un commença à se faufiler entre mes cuisses, son gros orteil parvenant à mon clitoris et le branlant doucement, partant parfois à la découverte du reste de mon sexe en se glissant entre mes lèvres vaginales. Un « Hummm ! » approbateur apprit au Maître Vénéré, qui n’en doutait pas, que ma caverne était déjà bien humide. Pendant ce temps, le second pied ne s’ennuyait pas non plus. Toujours avec le gros orteil, il appuyait régulièrement sur ma petite entrée, allant récupérer un peu de mouille à l’avant, et il le pénétrait peu à peu, avant de s’agiter à l’intérieur. Le Maître approcha Son fauteuil, pour ne pas que Wangdak eut à bouger et claqua des doigts.
Je me remis en quadrupédie, en faisant attention de ne pas perdre le contact avec les doigts de pieds qui s’occupaient de moi, et j’ouvris la bouche pour recevoir Son noble sexe bien bandé, bien épais. Et alors que deux de mes orifices étaient occupés par des petits membres nerveux qui me faisaient grand effet, Il me baisa le troisième qui était jusque-là inoccupé. Le Tibétain se lassa vite de jouer avec ses orteils. Il se leva, dégaina sa queue, de belle taille également et me fourra sauvagement, alternant des coups de reins dans ma chatte et dans mon cul. J’étais ainsi bien remplie de partout. Et comme s’ils étaient liés l’un à l’autre, ils jouirent de concert, me remplissant, l’Un dans la bouche, l’autre dans le cul me donnant des claques aussi forts sur mes globes charnus que ses cris bestiaux au moment de la jouissance furent puissants. Le Maître, Lui, m’avait bloqué la tête de ses mains, en coït buccal profond, pour se libérer en violents jets de perme épais, que j’avalais avec délice ! Après que j’eus nettoyé les deux verges avec ma langue, leur conversation recommença sur un sujet qui n’avait pas encore été abordé, c’est Wangdak qui lança ce sujet :
- Et au fait, Votre musée ? L’avez-Vous ouvert finalement ? Vous aviez acheté de belles pièces au marché au Tibet !
- Oui je l’ai ouvert, il y a quelques mois. Et d’ailleurs, Mon esclave qui Vous sert de repose-pieds, en a été une pièce maîtresse le jour de son inauguration, comme cadeau pour être devenue Mon esclave.
- Je serais ravi que Vous me racontiez cela !
Le Châtelain prit un moment, replongeant dans Ses souvenirs récents, un sourire aux lèvres car ce moment avait été une belle réussite ! Et l’inauguration du musée BDSM avait attiré énormément de monde de leur milieu ! Il avait organisé cette inauguration juste après que Sa chienne Aphrodite MDE soit devenue Son esclave. Une sorte de cadeau qu’Il lui faisait, car seuls les meilleurs, les plus obéissants, à l’attitude la plus parfaite avaient eu le droit d’être utilisés pour les diverses « présentations » et tous l’avaient ressenti comme un grand honneur. Il revoyait la foule qui avait envahi les extérieurs en attendant de pouvoir entrer dans ce premier Musée Mondial de la D/s, où se mêlait objets et êtres vivants en vitrine. La vive admiration de Ses pairs. Il n’avait reçu que compliments et félicitations pour Son œuvre. Il fut particulièrement ému que des personnes d’un certain âge, ayant connu Son père, grand Dominant reconnu également parmi toute la Dynastie des Evans, le félicitent en Lui disant combien il aurait été fier de Lui, s’il avait pu être encore présent. Son père mais aussi à ne pas oublier tous les précédents Marquis d’Evans qui se sont succédés depuis des générations au Château et tous Maîtres de renom en leur temps … Bel héritage auquel le Noble était si fier et qu’il s’efforçait de perpétuer au quotidien…
- Mieux que vous le raconter, je vais vous faire visiter ! Mais après le repas. Le musée n’est pas ouvert en permanence, car il n’est pas fait que d’objets inanimés ou animés mécaniquement. Plusieurs membres de mon Cheptel y sont nécessaires. Il faut donc un petit moment pour tout mettre en place, et j’exige qu’ils aient correctement mangé auparavant pour avoir l’énergie nécessaire à toute la visite.
Il fit un signe à son ami qui retira ses pieds de mon postérieur, et claqua des doigts. Je revins alors me prosterner devant Lui.
- Ma chienne, trouve Walter et préviens-le d’envoyer au premier service tous ceux qui ont un poste à tenir au Musée, et dis-lui de le tenir prêt à ouvrir en début d’après-midi. Ensuite rends-toi immédiatement aux cuisines où tu diras la même chose à Marie. Bien sûr, tu y reprends également ta place ! Exécution !
Je me remis alors prestement en quadrupédie et je partis exécuter Ses ordres. Que ce soit le Majordome ou la cuisinière, tous deux réagir rapidement et avec efficacité à la nouvelle. Et très vite, tous les soumis concernaient étaient rassemblés dans la cuisine et mangeaient, dans des gamelles, une pâtée particulièrement nutritive et équilibrée. Puis chacun fut amené au poste qu’il devait occuper…
(A suivre…)
Il rappela Walter pour qu’il la mène au Chenil, où elle ne tarda pas à s’endormir sur la couverture d’une des nombreuses niches qui la composaient… Le lendemain midi, Monsieur le Marquis d'Evans retrouvait Son ami Wangdak dans le petit salon, où un apéritif avait été préparé sur un petit guéridon. Les deux amis arrivèrent au même moment, un sourire radieux sur les lèvres. Alors qu'ils s'installaient tous deux confortablement dans des fauteuils bleu roi, Wangdak regardait attentivement la pièce dans laquelle ils se trouvaient.
- Eh bien mon ami? Pas de soumis ou d'esclaves en vue ce soir ? demanda-t-il
- Pas encore… mais si vous le voulez je peux en faire venir.
- Eh bien, j’aimerai beaucoup revoir Votre soumise, qui Vous avait accompagné lors de Votre dernière visite au Tibet. J’avais énormément pris de plaisir à la soumettre…
- Qu’à cela ne tienne, cher ami ! Je vais la faire appeler. Mais elle n’est plus une simple soumise, elle a mérité, après plusieurs épreuves, et par son dévouement totale, son entière dévotion et son comportement parfait, et bien sûr avec son plein consentement, de devenir Mon esclave attitré.
- Avec son plein consentement ? Il Vous arrive donc de leur demander leur avis ? (Wangdak avait un sourire taquin sur les lèvres)
- Eh oui, que voulez-vous, il m’arrive d’être « faible », répondit le Marquis en riant. Non, plus sérieusement, l’engagement d’un esclave envers Moi est bien plus important que celui d’un soumis, et je ne peux pas prendre une décision si importante à leur place. Une fois engagés en tant qu’esclaves, soit ils y restent, soit ils rentrent chez eux mais dans ce cas il n’y a aucun retour possible ! Et je m’engage à leur restituer l’ensemble de leurs biens qu’ils m’auraient confié, ainsi qu’un compte en banque plus fourni car je leur fais fructifier leur argent. Ainsi s’ils me quittent, ou si une personne de leur famille avait un souci, ils seraient en mesure d’assumer. Mais force est de constater qu’aucun de Mes esclaves ayant obtenu ce privilège d’être à Mes pieds ne m’a quitté à ce jour !
Dans chaque pièce du Château, se trouvait un bouton-interphone qui permettait au Châtelain de faire venir Walter dès qu’Il avait besoin de ses services. Comme à son habitude, le Majordome se présenta rapidement dans le petit salon. Il reçut l’ordre de venir me venir me chercher. J’étais justement en train de faire ma séance d’entraînement de future chienne de concours sur l’équipement que le Maître avait acheté au Tibet lors du grand marché BDSM. Il avait dû se renseigner avant d’acheter quoique ce soit, car le parcours était au plus proche du vrai parcours d’agility canin. Pour le moment, je m’entrainais sur un parcours de 12 obstacles, niveau « débutant ». Peu nombreux étaient ceux du Cheptel qui avaient des prédispositions pour ce type d’exercice. Mais le Châtelain s’était découvert un certain attrait pour ce sport. Et il pensait chercher un certain nombre de soumis sportif qui pourrait soutenir un concours. J’étais en quelque sorte un prototype, un test avant qu’Il ne se lance dans le dressage de ‘‘bêtes’’ de concours. Ma séance commençait par une demi-heure de tapis de marche pour chien, sur lequel j’évoluais à quatre pattes, en « courant » aussi vite que la vitesse qui augmentait régulièrement me l’imposait. Puis je travaillais sur le parcours en lui-même.
J’attendais accroupie sur une table, attendant le coup de sifflet me donnant l’ordre du départ. Je sautais de la table et partais en quadrupédie. Je devais sautais une première haie avec des barres en croix, puis je devais monter sur une palissade (pas aussi pentue que celle des chiens de concours, n’ayant pas la même agilité qu’eux), passais dans un tunnel rigide se trouvant sous elle, puis je sautais une nouvelle haie, passais sur une passerelle, sautais un mur, pour revenir sur la table de départ, où je devais faire la belle pendant trente secondes, avant d’en descendre pour passer entre une dizaine de piquets de slalom. Venait ensuite une balançoire d’agility, un pneu suspendu à la verticale que je devais traverser, un tunnel souple, un saut en longueur (fait avec des petites planches de bois couvertes de petites pointes. Au fur et à mesure des jours, on m’en rajoutait pour que je saute plus loin). Et pour finir je devais remonter sur la table, faire la belle une trentaine de seconde, puis me mettre à genoux, bien droite, cuisses écartées, mains sur la nuque, tête baissée, attendant le jugement sur mon temps de parcours, le comparatif par rapport à mon entrainement précédent.
Si je m’étais améliorée, j’avais le droit de m’allonger sur la table, sur le dos, cuisses écartées, et on venait me branler jusqu’à la jouissance, si j’avais mérité celle-ci par une ‘‘récompense-autorisation’’ à l’orgasme. Si je n’avais pas été performante lors du parcours, l’orgasme m’était interdit et je devais donc contenir mon plaisir à être branlée longuement. De plus s’il n’y avait pas d’amélioration, ou si j’avais été plus longue, je recevais le fouet pendant cinq minutes minimum, temps qui se rallongeait d’autant de minutes que celles qui avaient dépassé mon précédent chrono… Lorsque Walter vint me chercher, je venais de finir mon parcours et j’attendais le verdict, que je ne connus pas. Mais il m’assura que la sentence, positive ou négative, tomberait dans tous les cas avant ma prochaine séance d’entrainement. Je le suivais donc jusqu’au petit salon, trempée de sueur. Je me prosternais devant le Maître et attendis.
- Eh bien, chienne, tu pourrais te laver avant de te présenter devant moi, tu pues la transpiration à plein nez !
Il disait cela, sachant très bien qu’Il n’avait donné aucune indication en ce sens à Walter lorsqu’Il m’avait fait envoyer chercher. Il rappela alors le Majordome pour qu’il ramène une jeune soumise arrivée depuis peu au Château, et Il lui ordonna de me nettoyer de sa langue, et m’ordonnant de lui faciliter l’accès à mon corps au fur et à mesure qu’elle le léchait… Les deux amis continuèrent un moment leur discussion sans faire attention à nous. La jeune chienne se fit rappeler à l’ordre une ou deux fois à l’aide d’une cravache, le Maître lui précisant que chaque parcelle de mon corps devant être propre, sexe, anus et aisselles compris. Le cunnilingus qu’elle me fit, bien que léger et court, vu que ce n’était pas le but premier de ce léchage, m’excita énormément… Quand elle eut finit, nous nous prosternâmes devant le Maître et nous attendîmes. Moi j’étais bien dans cette position, je pouvais prendre ainsi le temps de reprendre mon souffle et me reposer un peu, ne doutant pas que j’allais certainement devoir servir les deux Dominants d’ici peu. Il ne tarda pas à renvoyer la jeune chienne-soumise. Peu de temps après, alors que Wangdak se plaignait de la fatigue de ses jambes et demandait avec un petit sourire un tabouret à Monsieur le Marquis, ce dernier claqua des doigts et je me déplaçais de manière à présenter mon postérieur au Tibétain pour qu’il puisse y reposer ses pieds, lui présentant au passage mes orifices…
La conversation tourna beaucoup autour du futur mariage, et de la première journée de Sangmo au Château. En effet, le Châtelain raconta au Tibétain suivant ce que Walter Lui en avait conté et ce qu’Il avait pu voir sur une des nombreuses caméras du Château, qui Lui permettait de savoir absolument tout ce qui se passait entre les murs de Sa noble demeure. Tandis que les langues allaient bon train, Wangdak, après avoir demandé au Noble si cela ne le dérangeait pas, s’était déchaussé, et, après avoir ôté ses chaussettes, s’amusait à caresser mon dos, puis mes fesses. Ses pieds découvraient mon corps, l’un commença à se faufiler entre mes cuisses, son gros orteil parvenant à mon clitoris et le branlant doucement, partant parfois à la découverte du reste de mon sexe en se glissant entre mes lèvres vaginales. Un « Hummm ! » approbateur apprit au Maître Vénéré, qui n’en doutait pas, que ma caverne était déjà bien humide. Pendant ce temps, le second pied ne s’ennuyait pas non plus. Toujours avec le gros orteil, il appuyait régulièrement sur ma petite entrée, allant récupérer un peu de mouille à l’avant, et il le pénétrait peu à peu, avant de s’agiter à l’intérieur. Le Maître approcha Son fauteuil, pour ne pas que Wangdak eut à bouger et claqua des doigts.
Je me remis en quadrupédie, en faisant attention de ne pas perdre le contact avec les doigts de pieds qui s’occupaient de moi, et j’ouvris la bouche pour recevoir Son noble sexe bien bandé, bien épais. Et alors que deux de mes orifices étaient occupés par des petits membres nerveux qui me faisaient grand effet, Il me baisa le troisième qui était jusque-là inoccupé. Le Tibétain se lassa vite de jouer avec ses orteils. Il se leva, dégaina sa queue, de belle taille également et me fourra sauvagement, alternant des coups de reins dans ma chatte et dans mon cul. J’étais ainsi bien remplie de partout. Et comme s’ils étaient liés l’un à l’autre, ils jouirent de concert, me remplissant, l’Un dans la bouche, l’autre dans le cul me donnant des claques aussi forts sur mes globes charnus que ses cris bestiaux au moment de la jouissance furent puissants. Le Maître, Lui, m’avait bloqué la tête de ses mains, en coït buccal profond, pour se libérer en violents jets de perme épais, que j’avalais avec délice ! Après que j’eus nettoyé les deux verges avec ma langue, leur conversation recommença sur un sujet qui n’avait pas encore été abordé, c’est Wangdak qui lança ce sujet :
- Et au fait, Votre musée ? L’avez-Vous ouvert finalement ? Vous aviez acheté de belles pièces au marché au Tibet !
- Oui je l’ai ouvert, il y a quelques mois. Et d’ailleurs, Mon esclave qui Vous sert de repose-pieds, en a été une pièce maîtresse le jour de son inauguration, comme cadeau pour être devenue Mon esclave.
- Je serais ravi que Vous me racontiez cela !
Le Châtelain prit un moment, replongeant dans Ses souvenirs récents, un sourire aux lèvres car ce moment avait été une belle réussite ! Et l’inauguration du musée BDSM avait attiré énormément de monde de leur milieu ! Il avait organisé cette inauguration juste après que Sa chienne Aphrodite MDE soit devenue Son esclave. Une sorte de cadeau qu’Il lui faisait, car seuls les meilleurs, les plus obéissants, à l’attitude la plus parfaite avaient eu le droit d’être utilisés pour les diverses « présentations » et tous l’avaient ressenti comme un grand honneur. Il revoyait la foule qui avait envahi les extérieurs en attendant de pouvoir entrer dans ce premier Musée Mondial de la D/s, où se mêlait objets et êtres vivants en vitrine. La vive admiration de Ses pairs. Il n’avait reçu que compliments et félicitations pour Son œuvre. Il fut particulièrement ému que des personnes d’un certain âge, ayant connu Son père, grand Dominant reconnu également parmi toute la Dynastie des Evans, le félicitent en Lui disant combien il aurait été fier de Lui, s’il avait pu être encore présent. Son père mais aussi à ne pas oublier tous les précédents Marquis d’Evans qui se sont succédés depuis des générations au Château et tous Maîtres de renom en leur temps … Bel héritage auquel le Noble était si fier et qu’il s’efforçait de perpétuer au quotidien…
- Mieux que vous le raconter, je vais vous faire visiter ! Mais après le repas. Le musée n’est pas ouvert en permanence, car il n’est pas fait que d’objets inanimés ou animés mécaniquement. Plusieurs membres de mon Cheptel y sont nécessaires. Il faut donc un petit moment pour tout mettre en place, et j’exige qu’ils aient correctement mangé auparavant pour avoir l’énergie nécessaire à toute la visite.
Il fit un signe à son ami qui retira ses pieds de mon postérieur, et claqua des doigts. Je revins alors me prosterner devant Lui.
- Ma chienne, trouve Walter et préviens-le d’envoyer au premier service tous ceux qui ont un poste à tenir au Musée, et dis-lui de le tenir prêt à ouvrir en début d’après-midi. Ensuite rends-toi immédiatement aux cuisines où tu diras la même chose à Marie. Bien sûr, tu y reprends également ta place ! Exécution !
Je me remis alors prestement en quadrupédie et je partis exécuter Ses ordres. Que ce soit le Majordome ou la cuisinière, tous deux réagir rapidement et avec efficacité à la nouvelle. Et très vite, tous les soumis concernaient étaient rassemblés dans la cuisine et mangeaient, dans des gamelles, une pâtée particulièrement nutritive et équilibrée. Puis chacun fut amené au poste qu’il devait occuper…
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