Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°967)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°967)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°966) -
Quand ce fut l’heure de rejoindre les niches, ce fut Monsieur le Marquis qui annonça à Zao qu’elle prendrait l’avion le lendemain afin de se rendre en France pour un séjour à durée indéterminée au Château afin d’être éduquée par le fameux Marquis à la renommée internationale. La première réaction fut d’abord celle d’une soumise qui semblait souhaiter exprimer une simple protestation de façade mais elle se retint toute seule sans dire un seul mot et baissa les yeux sous le regard puissant et Dominant du Noble mais aussi sur celui du Maître qui la soumettait, Wangdak qui lui lançait un regard vraiment sévère. Alors elle blêmit, prit un visage impassible et resta ainsi immobile et les yeux baissés. Ce que venait de dire le Châtelain, sur un ton des plus directifs ne lui laissait pas le choix si elle souhaitait rester dans sa condition de soumise. Les propos du Noble, soutenus par l’attitude de Wangdak validant, ce qui venait d’être dit, par une mimique approbatrice, l’avait remis à sa place et elle ressentait sur l’instant ce besoin irrépressible d’être à cette place, surtout quand Wangdak rajouta que c’était sa punition pour avoir manqué de respect à leur Invité de marque, et que finalement, ce n’était pas tant que cela une sanction, si on considérait qu’elle devrait n’en revenir que meilleure soumise… Zao qui avait perdu toute son insolence en seulement quelques secondes ne put s’empêcher de s’agenouiller naturellement et toujours en silence. Elle mit ses mains jointes sur le devant levant ses bras comme pour prier, ce qui voulait dire une demande à s’exprimer oralement. Wangdak lui accorda cette faveur, devinant ce que sa soumise souhaitait dire dans un parfait français :
- Je vous prie d’accepter mes excuses, Monsieur le Marquis si j’ai fait preuve d’insolence, manquant irréfutablement de n’avoir pas eu le comportement de soumise auquel je dois montrer en toute circonstance. Je ferai ce que Maître Wangdak qui me soumet aura décidé et je comprends aisément qu’il a décrété que ma présence pour le temps que vous déciderez en votre Château en France est plus qu’une nécessité afin de devenir à ce que j’inspire le plus sous Votre éducation et ainsi revenir un jour ici, nourrie de Votre enseignement bienfaiteur…
- Tu seras excusée qu’une fois que tu auras Ma punition. Venir en France est la sanction du Maître qui te soumet, pas la mienne. Je ne brûle jamais les étapes. La soumise faute, ensuite elle est sanctionnée puis elle doit implorer d’être pardonné… Tu seras punie quand je l’aurai décidé pour l’insolence que tu avais fait preuve à Mon égard…
Les propos de Monsieur le Marquis conclurent la scène. Puis tout le monde se sépara pour se reposer avant de commencer de nouvelles aventures… Je passais la matinée du lendemain enchaînée à la niche. On ne vint me chercher que pour le déjeuner, que je pris dans la cuisine, servi par la nouvelle cuisinière soumise, que le Maître avait acheté mais qu'Il laissait à Wangdak en échange de Zao. Elle ne parlait pas, comme toute bonne soumise bien éduquée. Et elle avait l'air efficace. Après avoir fini de manger, n'ayant reçu aucune instruction, je décidais de l'aider à la vaisselle. Dès que leur repas fut terminé, Monsieur le Marquis vint me chercher et m'emmena dans Sa chambre. Là, je vis posés sur le lit les vêtements que j'avais en arrivant, à savoir le tailleur-jupe bleu roi, sans sous-vêtements.
- Nous retournons dans le monde vanille, tu vas donc devoir t'habiller. Mais avant, je veux profiter de mon bien une dernière fois. En position !
Suivit un claquement de doigts sec n’autorisant aucun doute sur ce que je devais faire promptement. Alors je me mis devant Lui, prosternée, Lui présentant ainsi mon cul et ma chatte à Sa disposition. Il se plaça derrière moi, et commença par me mettre une volée de fessée pour me faire rougir le postérieur. Sous la légère douleur et l'excitation de savoir que bientôt je sentirais Sa noble queue dans un de mes orifices, ma chatte s'humidifiait déjà. Puis Il s'enfonça profondément dans mon cul, jusqu'à la garde et resta quelques instants sans bouger. Puis Il commença à faire des vas et viens de plus en plus rapides, virils, sauvages, limite brutaux, mais j'aimais cette prise de possession, j'aimais qu'Il prenne Son plaisir sans se préoccuper du mien. Bien qu'en fait, à partir du moment où Il en avait, j'en avais également ! Mais mon plaisir était bien secondaire ! … Sa noble verge me pénètre ainsi toujours profondément par des vas et viens de plus en plus puissants, entre mes reins, profonds dans cette sodomie bestiale et sans préambule. Toujours la même allure, la même cadence rapide, je le sens me ramoner, me remplir, me saillir tel un étalon reproducteur sur une jument de haras, en me procurant des plaisirs de plus en plus forts, je mouille terriblement !
Plaisir physique, mais pas seulement, mon cerveau bouillonne. Je me fais enculer, tel un simple objet à disposition, c’est d’ailleurs ce que je suis et ce que je vis avec tant de bonheur, de n’être plus rien, juste un objet de plaisirs pour Le Maître. Cette sodomie, comme ça, pour rien si ce n’est pour soulager une érection du Noble, ou une prise de possession de mon corps qui Lui appartient et lequel il peut utiliser à tout moment quand bon lui semble. Cette profonde pénétration sans récompense que serait un droit à la jouissance est vécu avec tellement de bien-être de savoir qu’elle apporte au Maître un plaisir à m’utiliser … En position de levrette prosternée, je me cramponne silencieuse, me sentant possédée, empalée, profondément sodomisée en écoutant les râles de plus en plus pressants de Monsieur le Marquis. Sans doute va-t-il jouir… Oui effectivement Il ne tarda pas à se vider dans mes entrailles en de longs jets de spermes chauds que je sens couler en moi... Ensuite il resta un longs moment sans bouger en coït anal profond, jusqu’à qu’il débanda complétement avant de se retirer. Puis il exigea que je nettoie sa verge avec ma langue pour me dire, une fois mon consciencieux travail de nettoyage fini :
- Parfait Ma chienne, aller, habille-toi, maintenant et dépêche-toi ! Il y a de la route jusqu'à l'aéroport, il ne faut pas être en retard. Mais avant, pour agrémenter ton voyage, voici des accessoires. Debout, penche-toi en avant et tient tes chevilles !
Il m'introduisit sans difficulté un long et large plug dans mon cul bien dilaté par la sodomie et un œuf dans ma chatte encore bien trempée.
- Et fais attention ! Il ne faut en aucun cas que l'un d'eux tombe, si tu ne veux pas que quelqu'un puisse s'apercevoir de la chienne en chaleur que tu es, et si tu ne veux pas être sanctionnée !
Tout au long du trajet qui nous mena à l'aéroport, je pus me rendre compte un certain nombre de fois que garder mes accessoires en place ne serait pas forcément chose aisée. Les deux étaient vibrants et contrôlés par une télécommande détenue par le Maître, et plusieurs fois Il les mit en fonction sans bien évidemment me prévenir. J'étais installée à l'arrière de la voiture, par terre à Ses pieds. Et ma chatte était de plus en plus inondée par l’œuf qui vibrait à tous instants inopinés, et je devais faire attention à bien contracter mes muscles pour ne pas qu'ils sortent de leurs cachettes, que ce soit le plug comme l’oeuf. Malheureusement, lorsque je descendis de la voiture dans le parking sous-terrain, l'œuf vibrant glissa immédiatement au sol, accompagné d'une quantité non négligeable de cyprine, faisant une petite flaque. Le Maître ne dit rien mais Son regard devint glacial et réprobateur. D'un geste, Il exigea que je me mette à quatre pattes et que je lèche le sol pour le nettoyer. Puis Il attrapa mes cheveux et tira sèchement dessus pour me relever. Il me plaqua contre le capot de la voiture, releva ma jupe et m'appliqua une volée de fessées qui n'avait rien d'excitante, et qui était plus que cuisante, et qui rendrait la position assise douloureuse pendant un bon moment. Il me fit prendre l’œuf tombé en bouche pour le nettoyer et le remit en place. Aucun mot ne fut prononcé, mais je compris à Son sévère regard que si je le refaisais tomber, la sanction serait autrement plus douloureuse qu'une simple volée de fessées…
Nous prenions un avion d'une compagnie indienne. La société indienne n'affichait pas sa sexualité. Là-bas, pas question d'y trouver un club échangiste ou un sex-shop. Cela dit, ce n'était pas pour autant que le BDSM n'y existait pas en dehors d'un ménage. La liberté sexuelle existait à condition de rester bien cachée, et se passait surtout dans le cercle de la haute société. On ne pouvait y accéder que sur invitation. Donc le trajet fut pour moi relativement tranquille, ne servant, pour mon plus grand bonheur, qu'au Maître Vénéré lorsqu'Il avait besoin de soulager une érection. La correction que j'avais reçue avant d'entrer dans l'aéroport continua à me chauffer le derrière plusieurs heures après que nous ayons décollé. Mais à aucun moment durant le voyage je ne refis tomber ni l'œuf, ni le plug… Nous fîmes une escale de 9h40 de nuit à Abu Dhabi, autre ville où afficher sa sexualité était très mal vue. Cependant, Monsieur le Marquis y connaissait quelques Dominants, et j'avais dû faire les démarches nécessaires en amont pour obtenir deux visas et avoir le droit de quitter l'aéroport. J'avais réservé une suite dans un hôtel luxueux suite aux directives du Noble…
Arrivé à la chambre dudit hôtel, le Maître s'installa dans un fauteuil et exigea que je monte sur la table basse, et que je me prosterne de manière à Lui exposer mes orifices qui n'avaient d'intimes que le nom… Au bout d'une demi-heure, totalement immobile, où Monsieur le Marquis avait lu un journal, et parfois me caressait ou me donnait une tape en passant lorsqu'Il se levait, le téléphone de la suite sonna. Il répondit et quelques minutes après on frappa à la porte. Je ne bougeais pas d'un cil, patientant, sachant que si le Châtelain me laissait ainsi exposée aux yeux de qui entrerait, c'est que je ne craignais absolument rien. Sur son invitation, une dizaine d'Aboudabiens entra, tous vêtus de l'habit blanc traditionnel et du keffieh.
(Conversation en anglais) :
- Eh bien cher ami, nous attendions Votre venue depuis pas mal d'années ! Et encore, Vous n'êtes là que pour quelques heures ! Mais nous sommes si heureux de vous revoir, Ô Grand Maître de l’Occident…
- Très heureux de même mes amis, vraiment c’est un vrai plaisir que de vous revoir ! Mes affaires ne me laissent, hélas, que peu de temps pour voyager ! Cependant, Vous ne me verrez pas très longtemps cette nuit non plus, je suis fatigué et je vais me coucher car nous repartons tôt demain matin. Mais je ne suis pas venu seul, et je vous laisserai volontiers profiter toute la nuit de ce que j'ai amené…
Alors les émiratis s'approchèrent de moi…
(A suivre…)
Quand ce fut l’heure de rejoindre les niches, ce fut Monsieur le Marquis qui annonça à Zao qu’elle prendrait l’avion le lendemain afin de se rendre en France pour un séjour à durée indéterminée au Château afin d’être éduquée par le fameux Marquis à la renommée internationale. La première réaction fut d’abord celle d’une soumise qui semblait souhaiter exprimer une simple protestation de façade mais elle se retint toute seule sans dire un seul mot et baissa les yeux sous le regard puissant et Dominant du Noble mais aussi sur celui du Maître qui la soumettait, Wangdak qui lui lançait un regard vraiment sévère. Alors elle blêmit, prit un visage impassible et resta ainsi immobile et les yeux baissés. Ce que venait de dire le Châtelain, sur un ton des plus directifs ne lui laissait pas le choix si elle souhaitait rester dans sa condition de soumise. Les propos du Noble, soutenus par l’attitude de Wangdak validant, ce qui venait d’être dit, par une mimique approbatrice, l’avait remis à sa place et elle ressentait sur l’instant ce besoin irrépressible d’être à cette place, surtout quand Wangdak rajouta que c’était sa punition pour avoir manqué de respect à leur Invité de marque, et que finalement, ce n’était pas tant que cela une sanction, si on considérait qu’elle devrait n’en revenir que meilleure soumise… Zao qui avait perdu toute son insolence en seulement quelques secondes ne put s’empêcher de s’agenouiller naturellement et toujours en silence. Elle mit ses mains jointes sur le devant levant ses bras comme pour prier, ce qui voulait dire une demande à s’exprimer oralement. Wangdak lui accorda cette faveur, devinant ce que sa soumise souhaitait dire dans un parfait français :
- Je vous prie d’accepter mes excuses, Monsieur le Marquis si j’ai fait preuve d’insolence, manquant irréfutablement de n’avoir pas eu le comportement de soumise auquel je dois montrer en toute circonstance. Je ferai ce que Maître Wangdak qui me soumet aura décidé et je comprends aisément qu’il a décrété que ma présence pour le temps que vous déciderez en votre Château en France est plus qu’une nécessité afin de devenir à ce que j’inspire le plus sous Votre éducation et ainsi revenir un jour ici, nourrie de Votre enseignement bienfaiteur…
- Tu seras excusée qu’une fois que tu auras Ma punition. Venir en France est la sanction du Maître qui te soumet, pas la mienne. Je ne brûle jamais les étapes. La soumise faute, ensuite elle est sanctionnée puis elle doit implorer d’être pardonné… Tu seras punie quand je l’aurai décidé pour l’insolence que tu avais fait preuve à Mon égard…
Les propos de Monsieur le Marquis conclurent la scène. Puis tout le monde se sépara pour se reposer avant de commencer de nouvelles aventures… Je passais la matinée du lendemain enchaînée à la niche. On ne vint me chercher que pour le déjeuner, que je pris dans la cuisine, servi par la nouvelle cuisinière soumise, que le Maître avait acheté mais qu'Il laissait à Wangdak en échange de Zao. Elle ne parlait pas, comme toute bonne soumise bien éduquée. Et elle avait l'air efficace. Après avoir fini de manger, n'ayant reçu aucune instruction, je décidais de l'aider à la vaisselle. Dès que leur repas fut terminé, Monsieur le Marquis vint me chercher et m'emmena dans Sa chambre. Là, je vis posés sur le lit les vêtements que j'avais en arrivant, à savoir le tailleur-jupe bleu roi, sans sous-vêtements.
- Nous retournons dans le monde vanille, tu vas donc devoir t'habiller. Mais avant, je veux profiter de mon bien une dernière fois. En position !
Suivit un claquement de doigts sec n’autorisant aucun doute sur ce que je devais faire promptement. Alors je me mis devant Lui, prosternée, Lui présentant ainsi mon cul et ma chatte à Sa disposition. Il se plaça derrière moi, et commença par me mettre une volée de fessée pour me faire rougir le postérieur. Sous la légère douleur et l'excitation de savoir que bientôt je sentirais Sa noble queue dans un de mes orifices, ma chatte s'humidifiait déjà. Puis Il s'enfonça profondément dans mon cul, jusqu'à la garde et resta quelques instants sans bouger. Puis Il commença à faire des vas et viens de plus en plus rapides, virils, sauvages, limite brutaux, mais j'aimais cette prise de possession, j'aimais qu'Il prenne Son plaisir sans se préoccuper du mien. Bien qu'en fait, à partir du moment où Il en avait, j'en avais également ! Mais mon plaisir était bien secondaire ! … Sa noble verge me pénètre ainsi toujours profondément par des vas et viens de plus en plus puissants, entre mes reins, profonds dans cette sodomie bestiale et sans préambule. Toujours la même allure, la même cadence rapide, je le sens me ramoner, me remplir, me saillir tel un étalon reproducteur sur une jument de haras, en me procurant des plaisirs de plus en plus forts, je mouille terriblement !
Plaisir physique, mais pas seulement, mon cerveau bouillonne. Je me fais enculer, tel un simple objet à disposition, c’est d’ailleurs ce que je suis et ce que je vis avec tant de bonheur, de n’être plus rien, juste un objet de plaisirs pour Le Maître. Cette sodomie, comme ça, pour rien si ce n’est pour soulager une érection du Noble, ou une prise de possession de mon corps qui Lui appartient et lequel il peut utiliser à tout moment quand bon lui semble. Cette profonde pénétration sans récompense que serait un droit à la jouissance est vécu avec tellement de bien-être de savoir qu’elle apporte au Maître un plaisir à m’utiliser … En position de levrette prosternée, je me cramponne silencieuse, me sentant possédée, empalée, profondément sodomisée en écoutant les râles de plus en plus pressants de Monsieur le Marquis. Sans doute va-t-il jouir… Oui effectivement Il ne tarda pas à se vider dans mes entrailles en de longs jets de spermes chauds que je sens couler en moi... Ensuite il resta un longs moment sans bouger en coït anal profond, jusqu’à qu’il débanda complétement avant de se retirer. Puis il exigea que je nettoie sa verge avec ma langue pour me dire, une fois mon consciencieux travail de nettoyage fini :
- Parfait Ma chienne, aller, habille-toi, maintenant et dépêche-toi ! Il y a de la route jusqu'à l'aéroport, il ne faut pas être en retard. Mais avant, pour agrémenter ton voyage, voici des accessoires. Debout, penche-toi en avant et tient tes chevilles !
Il m'introduisit sans difficulté un long et large plug dans mon cul bien dilaté par la sodomie et un œuf dans ma chatte encore bien trempée.
- Et fais attention ! Il ne faut en aucun cas que l'un d'eux tombe, si tu ne veux pas que quelqu'un puisse s'apercevoir de la chienne en chaleur que tu es, et si tu ne veux pas être sanctionnée !
Tout au long du trajet qui nous mena à l'aéroport, je pus me rendre compte un certain nombre de fois que garder mes accessoires en place ne serait pas forcément chose aisée. Les deux étaient vibrants et contrôlés par une télécommande détenue par le Maître, et plusieurs fois Il les mit en fonction sans bien évidemment me prévenir. J'étais installée à l'arrière de la voiture, par terre à Ses pieds. Et ma chatte était de plus en plus inondée par l’œuf qui vibrait à tous instants inopinés, et je devais faire attention à bien contracter mes muscles pour ne pas qu'ils sortent de leurs cachettes, que ce soit le plug comme l’oeuf. Malheureusement, lorsque je descendis de la voiture dans le parking sous-terrain, l'œuf vibrant glissa immédiatement au sol, accompagné d'une quantité non négligeable de cyprine, faisant une petite flaque. Le Maître ne dit rien mais Son regard devint glacial et réprobateur. D'un geste, Il exigea que je me mette à quatre pattes et que je lèche le sol pour le nettoyer. Puis Il attrapa mes cheveux et tira sèchement dessus pour me relever. Il me plaqua contre le capot de la voiture, releva ma jupe et m'appliqua une volée de fessées qui n'avait rien d'excitante, et qui était plus que cuisante, et qui rendrait la position assise douloureuse pendant un bon moment. Il me fit prendre l’œuf tombé en bouche pour le nettoyer et le remit en place. Aucun mot ne fut prononcé, mais je compris à Son sévère regard que si je le refaisais tomber, la sanction serait autrement plus douloureuse qu'une simple volée de fessées…
Nous prenions un avion d'une compagnie indienne. La société indienne n'affichait pas sa sexualité. Là-bas, pas question d'y trouver un club échangiste ou un sex-shop. Cela dit, ce n'était pas pour autant que le BDSM n'y existait pas en dehors d'un ménage. La liberté sexuelle existait à condition de rester bien cachée, et se passait surtout dans le cercle de la haute société. On ne pouvait y accéder que sur invitation. Donc le trajet fut pour moi relativement tranquille, ne servant, pour mon plus grand bonheur, qu'au Maître Vénéré lorsqu'Il avait besoin de soulager une érection. La correction que j'avais reçue avant d'entrer dans l'aéroport continua à me chauffer le derrière plusieurs heures après que nous ayons décollé. Mais à aucun moment durant le voyage je ne refis tomber ni l'œuf, ni le plug… Nous fîmes une escale de 9h40 de nuit à Abu Dhabi, autre ville où afficher sa sexualité était très mal vue. Cependant, Monsieur le Marquis y connaissait quelques Dominants, et j'avais dû faire les démarches nécessaires en amont pour obtenir deux visas et avoir le droit de quitter l'aéroport. J'avais réservé une suite dans un hôtel luxueux suite aux directives du Noble…
Arrivé à la chambre dudit hôtel, le Maître s'installa dans un fauteuil et exigea que je monte sur la table basse, et que je me prosterne de manière à Lui exposer mes orifices qui n'avaient d'intimes que le nom… Au bout d'une demi-heure, totalement immobile, où Monsieur le Marquis avait lu un journal, et parfois me caressait ou me donnait une tape en passant lorsqu'Il se levait, le téléphone de la suite sonna. Il répondit et quelques minutes après on frappa à la porte. Je ne bougeais pas d'un cil, patientant, sachant que si le Châtelain me laissait ainsi exposée aux yeux de qui entrerait, c'est que je ne craignais absolument rien. Sur son invitation, une dizaine d'Aboudabiens entra, tous vêtus de l'habit blanc traditionnel et du keffieh.
(Conversation en anglais) :
- Eh bien cher ami, nous attendions Votre venue depuis pas mal d'années ! Et encore, Vous n'êtes là que pour quelques heures ! Mais nous sommes si heureux de vous revoir, Ô Grand Maître de l’Occident…
- Très heureux de même mes amis, vraiment c’est un vrai plaisir que de vous revoir ! Mes affaires ne me laissent, hélas, que peu de temps pour voyager ! Cependant, Vous ne me verrez pas très longtemps cette nuit non plus, je suis fatigué et je vais me coucher car nous repartons tôt demain matin. Mais je ne suis pas venu seul, et je vous laisserai volontiers profiter toute la nuit de ce que j'ai amené…
Alors les émiratis s'approchèrent de moi…
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