Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°972)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°972) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°972)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°971)

On passait en gros deux heure et demie par "atelier". La soirée avait commencé à 18h30 et finit un peu plus tard que 7h… Sur la deuxième zone, je fus mise sur la sexe-machine qui comportait trois sexes factices, un pour chacun des orifices féminins. Mon éducation était vraiment bien ancrée en moi, et j'eus du mal à me lâcher et à me laisser aller à crier et à jouir, sans que cela soit fait sous ordre. Comme cela était paradoxal ! Si j'étais contrainte de me taire et de me contenir, j'avais envie de me lâcher. Et là que j'avais toute latitude pour laisser mon corps s'exprimer librement, j'en éprouvais de la difficulté. Cependant, la machine infernale qui me labourait mes trois trous me mit rapidement en émoi, me projetant dans un autre monde. Lorsque je réussis à intégrer la liberté sexuelle dont j'avais l'autorisation pour l'occasion, je finis par me laisser aller et j'eus un nombre incalculable d'orgasmes sur ce qui restait de la demi-heure où le nouveau dominant qui s'occupait de Kutiya et moi, qui se nommait Maître Choosa, me laissa ainsi appareillée en augmentant souvent les intensités de mouvements de ses sexes d'une épaisseur limite hors norme. Kutiya, elle, passa sa demi-heure à sucer et baver sur la queue du Dominant qui lui baisait la bouche sans relâche, même lorsque son sexe se ramollissait. Dans ces moments là, lorsque cela arrivait à n'importe lequel des hommes présents, il claquait des doigts et un domestique lui apportait une tisane d'un mélange typique de ce pays et qui leur donnait une nouvelle vitalité, ce qui leur permit sans difficulté de tenir les 10h30 d'orgie.

Sur le troisième espace de la soirée, un des Dominant décida de nous faire nous allonger l'une sur l'autre, toutes les deux sur le dos. J'étais la plus grande donc je fus celle qui fut placé sur la table. Il nous attacha de telle manière que nos deux culs et nos deux chattes lui étaient accessibles. Avant que Kutiya puisse s'allonger sur moi, il nous plaça des pinces aux tétons. Et quand elle fut en place, les pinces qui me mordaient déjà cruellement la chaire, me les tordaient également et je me forçais pour ne pas retenir ni larmes ni gémissements, et ainsi satisfaire la virilité de celui qui s'acharna sans ménagement sur nos quatre orifices. Pendant tout le temps que dura la séance, je sentais la mouille de la chienne au-dessus de moi couler sur ma chatte et se mélangeait à la mienne. À la fin de la demi-heure, il nous fit mettre en 69, pour que nous nous léchions mutuellement jusqu'à avoir à nouveau chacune un orgasme… Quand nous fumes mises dans la boîte où nous ne pouvions nous tenir qu'en position de levrette, nos culs seuls dépassaient. Nous fûmes rarement pénétrées, par contre je crois pourvoir affirmer que tous les instruments qui servaient à frapper furent utilisés. En particulier un pad recouvert de petite pointe dont je n'aurai su déterminer la matière. C'était extrêmement douloureux mais pas pour autant dangereux. Ce fut un concert de cris, de larmes et de jouissances mêlés, et donc une inondation de cyprines mélangées dans la caisse. Que nous dûmes ensuite nettoyer ensuite de nos langues pendant que nous étions pénétrées à tour de rôles.

Et enfin, le tapis, où suivant les Dominants, nous étions prises dans de multiples positions, à deux ou à trois, sexes mélangés ou du même sexe. Tous les orifices étant les uns après les autres occupés par une chatte ou une queue. Cinq fois dans la soirée je pus me dévouer au Maître que je vénérais. Mais je n'avais aucune préséance par rapport à Kutiya, Il nous utilisait également à chaque fois. J'eus du mal à me laisser aller à crier et à jouir la première fois avec Lui. Il s'en aperçut et eut la bonté de me l'ordonner à chaque fois. Je Lui en fus reconnaissante car je n'aurai pas pu renier mon éducation avec et devant Lui. La soirée se termina après que les domestiques soient allés chercher une sorte de grande pataugeoire, où toutes les chiennes furent regroupées à genoux, mains dans le dos, yeux fermés, la tête levée vers le ciel, et la bouche ouverte. Tous les Dominants firent cercle autour nous, ils dégainèrent leurs sexes et ils urinèrent sur nous en essayant, ou pas, de viser nos bouches. Et nous dûmes ensuite nous rouler dans cette piscine dorée puis nous lécher mutuellement pour nous nettoyer. Toutes les autres femelles furent à nouveau parquées, sans que je sache ce qui allait suivre pour elle. Quant à moi, le Maître me banda à nouveau les yeux et nous retournâmes dans notre suite.

Deux jours plus tard, le Maître revint le soir dans la suite avec une housse de vêtements. Il l’ouvrit et j’y découvris un mini top en cuir, une mini-jupe dans le même tissu et des bas-résilles auto-fixants. Et il apportait également des bottes à haut talon.

- Je t’avais dit que tu aurais le droit de sortir une fois en dehors de ce palais. Ce sera ce soir ! Tu vas mettre les vêtements que je t’ai apportés. Je vais à nouveau te bander les yeux. Tu ne dis rien, tu te laisses guider. Le Maharadjah m’a conseillé de te conduire dans un des quartiers de Jaipur. Même si le sexe n’a pas à être exhibé, il est néanmoins présent, comme partout dans le monde.

Il ne me dit rien de plus. Je passais donc ces vêtements, et le suivais, debout suivant Son ordre pour ne pas risquer d’abîmer ou de salir la tenue, hautement provocante pour ne pas dire plus. Il me conduisit à Chandpole, un quartier chaud, pour ne pas dire très chaud, une zone où se situaient des maisons ayant des barreaux aux fenêtres, et dans lesquelles on trouvait derrière les fenêtres de l’étage des prostituées bon marché. Les clients aux modestes moyens venaient passer de chaudes soirées avec la fille qu’ils repéraient de la rue et qu’ils réclamaient en entrant. Ils devaient régler avant d’être conduit dans une des chambres, sales, glauques, avec un unique matelas posé au sol, celui-ci étant bien souvent tâché, et mal odorant. Les gens plus aisés préféraient s’éloigner un peu pour aller jusqu’à Teelawal ou encore Jai Singhpura, payant un peu plus mais pouvant baiser dans des lieux un peu plus reluisants. Le Maître ne m’enleva le bandeau qu’après m’avoir installé derrière une des fenêtres de l’étage. Il m’expliqua que je devais me rendre un peu utile au palais et donc le Maharadjah avait décidé que je devais ramener une certaine somme, dont je ne connaîtrais pas le montant. Tout ce que je savais, c’est que je ne quitterais cet endroit que lorsque ladite somme serait atteinte. Je devais donc faire la pute, la véritable putain et donc tout mon possible pour aguicher les hommes passant dans la rue, par des poses et des attitudes suggestives. Et j’avoue que cela m’excitait grandement, malgré les conditions déplorables d’hygiène… Lorsque le premier homme passa la porte de la chambre où je me trouvais, je me dis que la nuit risquait d’être longue...

Il avait l’air rustre, sentait l’alcool, ses vêtements étaient vieux et sales, en mauvais état avec une odeur nauséabonde, et visiblement pouvoir baiser une européenne l’excitait grandement ! Une seule contrainte pour la clientèle était imposée, le port du préservatif et cela me rassura grandement car au vue des conditions d’hygiène, une MST aurait vite été attrapée. Et effectivement le tenancier du bordel avait du lui donné une capote car il l’enfilait devant moi avec excitation arborant une queue en forte érection. La situation était dégradante et humiliante, mais je ne voulais pas décevoir le Maître, alors je me laissais totalement faire, aillant bien retenu que crier et jouir souvent était gratifiant pour l’homme. Par une étrange coïncidence, je tombais visiblement à chaque fois sur des mâles à tendance plus ou moins forte dominante. Je fus baisée de nombreuses heures, par tous mes trous de chienne en chaleur, dans de nombreuses positions de leur culture du kamasoutra que je n’aurai jamais pensé pouvoir tenir. Cela dit, il n’y avait aucun hasard. Monsieur le Marquis d’Evans n’allait pas laisser Sa propriété aux mains de n’importe qui, et tous les clients qui me passèrent dessus cette nuit-là étaient de véritables Dominants de la petite société, effectivement avec peu de moyens, mais tous respectueux d’un certain code d’honneur. Mais cela je n’avais aucun moyen de le savoir. Et malgré, ou peut-être bien à cause de ces humiliations que je subissais, je mouillais comme la petite pute, la salope que le Châtelain avait pris le temps d’éduquer.

Ce fût le Maître Lui-même qui vint me chercher au petit matin, voulant Lui aussi profiter de Son bien. Et malgré la nuit épuisante que j’avais passé, j’étais plus qu’heureuse de recevoir en moi Sa noble queue que je vénérais autant que Lui, ainsi que Son précieux nectar que je reçus au fond de ma gorge. Nous étions seuls, je redevins alors la chienne européenne bien éduquée, et ne fis pas le moindre bruit, ne laissant pas échapper le plus petit gémissement, ni le moindre orgasme, car je n’eus pas l’autorisation de jouir. Et ainsi utilisée par Celui à qui j’appartenais, je me retrouvais à ma vraie place…

Le lendemain après-midi, nous quittâmes l’Inde après une grande soirée orgiaque organisée par le Maharadjah en honneur du Maître afin d’honorer sa présence et le remercier de sa venue… Je suis donc baisée et rebaissée à outrance de nouveau, utilisée avec tant de perversité et luxure pour mon plus grand bonheur… Durant un mois, nous voyageâmes à travers le monde. A chaque fois, j’avais mon travail de secrétaire particulière à remplir, ajustant dès qu’il le fallait le budget des travaux exigés par le Châtelain. Et à chaque fois, j’étais prêtée, découvrant que le monde du sexe et du bdsm était finalement universel et qu’il n’y avait pas besoin de parler la même langue pour Dominer ou se soumettre...

Nous rentrâmes en France, peu de temps avant la fête des mères. Et tout ce temps de voyage, tellement enrichissant pour moi, qui à part Nouméa, n’avais jamais quitté mon pays d’origine, j’eus la chance de passer des moments privilégiés avec le Maître. Je pensais ne pas pouvoir être plus soumise, plus dévouée. Mais je revins avec un sentiment difficilement descriptible… Je ne me voyais plus faire la moindre chose dans ma vie qui n’ait un rapport de près ou de loin avec Monsieur le Marquis d’Evans, la moindre de mes pensées Lui était liée. Tout mon corps ne vibrait que pour Sa satisfaction. C’était quelque chose que je ressentais déjà avant, mais c’était encore plus fort maintenant, mais je Lui appartenais encore plus complètement, je donnerai ma vie pour Lui, ma dévotion était tellement profonde et sincère. Je ressentais et vivais sincèrement et plus que jamais la phrase que j’avais du apprendre au début de mon éducation. C’était ce que j’étais, et j’en étais heureuse et fière ! Et je répétais avec tant de dévotion et si souvent ces mots dans ma tête d’esclave

« Je suis la soumise du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans. J’obéirai à tout ce qu’Il exigera de moi sans me poser de question. Je Lui appartiens corps et âme et je Le remercie de s’occuper de mon éducation de soumise.» …

(A suivre…)

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