Trouver chaussure à son pied
Récit érotique écrit par Laetitia sapho [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Trouver chaussure à son pied
Souvent mes histoires sortent de mon imagination fertile, même si à la base, il y a toujours quelque chose de réel, quelque chose qui m’est vraiment arrivé, une situation, un détail autour duquel je brode ensuite.
Même si chez Laetitia Marsac, il y a beaucoup de moi, même si chez mes autres héroïnes, il y a souvent un peu de moi, eh bien non, toutes les femmes que je croise dans ma vie ne me sautent pas dessus et ne finissent pas toutes dans mon lit (hélas !).
Donc, voilà, j’extrapole, j’invente, j’imagine, je conçois, enfin bref, j’en rajoute un maximum.
Pourtant l’histoire que je vais vous raconter maintenant est vraie.
Je ne vais pas vous dire où se situe cette histoire. Sachez juste que c’est dans une petite ville du centre de la France. Je vais rester évasive, afin de préserver l’anonymat de ma protagoniste dans cette histoire. Si je suis trop précise, en faisant quelques recoupements, il est possible de la reconnaitre.
Donc une histoire vraie de bout en bout. Enfin peut-être ….
Je revenais en voiture de Valence, où j’avais passé la semaine pour un motif professionnel. Nous étions samedi, Bison Futé avait hissé son drapeau noir sur le pays et annonçait une circulation plus que difficile, dans tous les sens possibles et imaginables. En cette fin février, on allait vivre le grand chassé-croisé des vacances scolaires vers les stations alpines. Zone A et zone B (peut-être était-ce la zone C, que sais-je), allaient occuper les grandes routes et surcharger les autoroutes de la vallée du Rhône. Lyon et ses alentours allait devenir une zone sinistrée.
En général, pour mes déplacements professionnels, je privilégie le train. Là plus une place de libre dans les TGV en cette période de vacances au ski. J’avais donc pris ma voiture, moi qui ai horreur de conduire sur de longs trajets. Et je m’en mordais les doigts.
Plutôt que de me taper les embouteillages sans fin sur l’A7 et sur l’A6, qui étaient pourtant l’itinéraire le plus direct pour rentrer en Ile de France, j’avais pris le chemin des écoliers et traversé le Massif Central par des routes beaucoup moins importantes, mais aussi beaucoup moins encombrées. Au moins j’avançais.
Les paysages étaient plus bucoliques et jolis que les bords de l’autoroute. On avait même le droit à un petit soleil encore hivernal, après plusieurs jours de pluie. Je prenais mon temps et j’appréciais le calme de mon itinéraire. De toute façon, je n’étais pas pressée. Maelenn était en déplacement aussi. Pilepoil le chat chez des voisins qui le gardait.
J’avais prévu de passer la nuit dans une bourgade de l’Ailier, avant de rentrer le dimanche. J’avais trouvé et réservé sur internet un petit hôtel sympathique en centre-ville.
C’est vers 15 heures, alors que j’étais presque arrivée, que les premiers bruits suspects dans le moteur ont commencés à m’alerter, un genre de claquements sous le capot. S’ensuivi rapidement, une odeur de caoutchouc chaud. Je me suis garée sur le côté près d’un bosquet, pour constater qu’un peu de fumée sortait du capot.
- Manque plus que ça, tiens ! La poisse … En pleine cambrousse en plus !
J’ai appelé aussitôt le numéro d’assistance de mon assurance :
- Laure de MTT Assurances Dépannage, à votre service !
- Oui bonjour, je suis en panne en pleine campagne, qu’est ce qu’on peut faire ?
- Vous me donnez votre numéro d’assurée s’il vous plait
- Oui, euh, voilà
- Mademoiselle Laetitia Marsac, c’est bien ça ?
- Oui c’est ça …
- Bien vous savez où vous êtes ?
- Euh, oui, attendez, je regarde sur mon GPS … Je suis sur la départementale 6, à 16 kilomètres de Saint P……., dans l’Allier !
- Bien, je vous envoie un dépanneur, Mademoiselle Marsac. Si la voiture doit être immobilisée, nous vous fournirons un véhicule de prêt, où nous prendrons en charge les frais de train pour rentrer chez vous.
- J’ai réservé dans un hôtel à Saint P….. pour la nuit, je préfère un véhicule de prêt. De toute façon, il faudra bien que je revienne chercher ma voiture chez le garagiste après.
- Donc, la voiture de prêt sera livrée à votre hôtel. Par contre, pas avant demain.
- Un dimanche ?
- Oui, oui, pas de problème. En attendant, j’enverrai un taxi au garage qui va vous prendre en charge qui vous amènera à votre hôtel
- C’est formidable. Vous êtes formidable Laure !
- Non, ce n’est pas moi, c’est ce que prévoit votre contrat d’assistance !
- Je vous assure que vous êtes formidable Laure, en plus d’être sympathique !
« Et tu as une voix enjôleuse, voire même cajoleuse, comme ce n’est pas permis, me dis-je intérieurement, si ton plumage se rapporte à ton ramage, ma belle … ».
Le dépanneur est arrivé une demi-heure plus tard. Un type descendit du camion et s’approcha nonchalamment de ma voiture.
- Bonjour ma petite dame, c’est vous qui êtes en panne ?
- Oui c’est bien moi !
Quelle question idiote ! Y’a personne d’autre à cinq kilomètres à la ronde !
Il soulève le capot et se penche vers le moteur :
- C’est grave ?
- J’peux pas dire ma p’tite dame …
- Oui, mais vous avez une idée de où ça vient ?
- Comme ça, non ! C’est p’tete une courroie ma p’tite dame
- Ah, une courroie ? Et vous allez la garder longtemps ? Il va y en avoir pour cher ?
- J’peux pas dire ma p’tite dame … P’tete, p’tete pas. Faut voir, ça dépend des pièces … En tout cas, je la charge et je l’emmène vot’carosse. J’vous dépose quèque part ?
- Mon assurance envoie un taxi me prendre à votre garage.
Le type a chargé ma voiture sur sa dépanneuse. Ce fut toute une histoire pour que je monte à la place du passager dans la cabine du camion. Il a fallu que j’escalade le marchepied. Quelle idée de mettre les marchepieds aussi haut. Avec ma jupe courte qui remontait et l’autre zigue qui reluquait mes cuisses, ce ne fut pas une mince affaire.
Enfin, me voilà avec mes bagages dans la cabine. Je tirais ma jupe au maximum vers mes genoux et nous voilà parti, direction le garage.
Le taxi est bien venu me chercher et m’a déposé à mon hôtel dans le centre de Saint P…… J’étais plutôt soulagée de quitter le garage, d’autant plus que le patron et le mécano n’avaient pas l’air plus fufutes que le dépanneur. Comme je n’avais pas envie de faire un remake de « Gangbang au garage » avec eux, ce fut un vrai soulagement.
L’hôtel était situé sur la place principale de la petite ville. Un endroit charmant, fidèle aux photos du site internet. Avec une belle terrasse, surement très agréable au printemps et en été. Bon là, c’était l’hiver …
Il était 17 heures, j’avais le temps de faire un petit tour dans la ville. J’ai pris une rue piétonne et commerçante. Bon, ce n’est pas dans les magasins de Saint P……. que je vais faire des folies. De toute façon, j’allais devoir payer aussi la réparation de la voiture. Et avec les garagistes, ce n’est jamais gratuit.
Je me suis arrêté devant la devanture d’une boutique de chaussures pour dames. Les trois quarts de la vitrine étaient occupés par des chaussures qui devaient plaire aux dames du coin. Je supposais une moyenne d’âge assez élevée chez les clientes du magasin.
Par contre, le dernier quart était réservé à des modèles beaucoup plus modernes et seyants ! Je repérais de magnifiques escarpins rouges. Le prix était prohibitif.
- Non, renonce Laetitia, trop cher …
- Oui, mais je peux au moins entrer pour les essayer !
Mes lectrices et lecteurs habituels connaissent la petite angelote en robe blanche avec son auréole au-dessus de la tête et ses petites ailes dans le dos ,ainsi que la petite diablesse toute rouge avec son trident et ses cornes qui se partage mon crâne quand je suis devant un magasin :
- Et le prix de la réparation de la voiture ! tu y pense ?
- Essayer, ce n’est pas acheter ! C’est juste pour voir, si ça te fais un joli pied !
Et j’ai poussé la porte de la boutique.
Un bruit de sonnette a retentit lorsque je suis entrée. Une femme est sortie de ce qui devait être une remise avec des cartons de chaussures plein les bras.
C’était une grande blonde d’environ 50 ans, peut-être un peu moins, mais proche de la cinquantaine quoi qu’il en soit. Encore très belle, élancée, les cheveux mi- longs. Mes habituées et habitués connaissent mon goût prononcé pour les femmes un peu plus âgées que moi, grosso-modo, la quarantaine. Elle était un peu au-delà de mes critères, mais ça restait une femme magnifique.
Je la dévorais des yeux lorsqu’elle s’est approchée de moi et a déposé ses boites à chaussure sur le comptoir. Elle avait une démarche altière, se tenait droite et cambrée. Elle portait une jupe noire et ample qui lui arrivait au-dessus du genou, un pull assez échancré et décolleté qui laissait deviner une poitrine opulente. On va oublier le politiquement correct, à la place de poitrine opulente, on va dire qu’elle a des gros seins !
Elle s’est adressée à moi avec un grand sourire :
- Bonjour Madame, que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour, j’ai vu dans votre vitrine des escarpins rouges, là-bas …
- Ah oui, les escarpins rouges ! Vous voulez les essayer ?
- Euh oui !
- Quelle est votre pointure ?
- 37
- Je les ai en 37
Elle disparut dans la remise et revint avec une boite à chaussure.
- Je vous en prie, asseyez-vous, me dit-elle en me désignant une banquette.
Elle s’accroupi devant moi, retira ma chaussure gauche, posa mon pied sur son genou et me passa un escarpin rouge à la place, elle l’inséra avec un chausse-pied. Elle fit la même chose avec le pied droit.
Ah d’accord, service à l’ancienne. Ça change des magasins de chaussures, où la vendeuse ne bouge pas son cul de derrière son comptoir et où les clientes se débrouillent et fouillent dans des piles de cartons pour trouver la bonne pointure.
Comme elle était accroupie devant moi, je découvrais le bas de ses cuisses gainées de voile noir, et surtout j’avais une vue plongeante dans son décolleté. Elle avait vraiment deux gros seins, de fort jolie forme. Une grosse poitrine encore ferme assurément. Je m’imaginais de gros tétons bien érectiles et surement très sensibles à titiller du bout de la langue, puis à sucer et mordre sans modération. Bon, les chaussures ! On est là pour ça …
- Vous voulez faire quelques pas avec ? Vous avez un miroir là. Ils vous font un pied magnifique
- Oui, c’est pas mal ! J’avais l’impression que le talon était moins haut. Ils me vont bien !
- Si vous voulez, j’ai d’autres modèles dans ce genre-là.
- Ah oui ?
- Mais passez donc, dans mon arrière-boutique, vous serez plus à l’aise pour essayer …
Elle m’emmena derrière une mince paroi, où se trouvait un fauteuil ancien revêtu d’un velours vieux rose et m’invita à m’assoir.
Elle regagna sa remise et revint avec quatre cartons à chaussures.
- J’ai les même en bleu …
- Euh, non, j’en ai déjà de cette couleur, je préfère les rouges …
- C’est vrai que les rouges vous vont bien, avec vos collants noirs, ça ressort parfaitement ! Et puis j’ai ce modèle là aussi, me dit-elle en sortant d’un carton, un escarpin noir avec des talons immenses, au moins quinze centimètres, tout fins. De vrais talons-aiguilles. La semelle quant à elle était dotée d’une plate-forme épaisse.
Avant que je ne dise quoi que ce soit, elle s’accroupie à nouveau devant moi, prit à nouveau mon pied dans ses mains, le posa à nouveau sur ses genoux et me passa les chaussures.
- Vous voulez faire quelques pas ? Les talons sont un peu hauts, voyez comment vous pouvez marcher …
Je me suis levée pour faire quelques pas. Ainsi juchée, j’étais mal assurée. Je manquais même de me tordre la cheville. Je me suis dirigée vers un miroir. J’avais l’impression d’avoir grandi d’un seul coup, de voir les choses de plus haut.
- Ça vous affine la jambe, me dit-elle
C’est vrai que je semblais plus grande, mais pas seulement, ça me faisait une silhouette plus fine. J’avais m’impression d’avoir des jambes toutes en longueur comme un mannequin.
Je me suis tournée pour voir de derrière. Ça me rehaussait les fesses, qui paraissaient ainsi plus proéminentes. Ça me faisait vraiment un cul superbe, mis encore plus en valeur par ma petite jupette serrée.
- Voulez-vous essayer ceux-ci, me dit-elle en sortant de leur boite, une paire de chaussures violines aux talons aussi hauts que les précédents.
- Euh oui, pourquoi pas, dis-je en me rasseyant dans le fauteuil.
La voilà à nouveau accroupie devant moi. Elle ôte la chaussure et au lieu de poser mon pied sur son genou, comme les fois précédentes, elle leva d’abord ma jambe en faisant plier mon genou.
J’en étais sure, elle avait levé ma jambe pour regarder sous ma jupe. Je la laissais faire, d’autant plus que sous mes collants, j’avais mis un string blanc. Malgré l’ombre sous ma jupe, on ne devait voir que ça. Elle marqua un temps d’arrêt ma jambe légèrement relevée. Plus de doute, son regard portait sur mes cuisses et sous ma jupe.
« Si tu veux reluquer, reluques ma grande, aucun problème pour ma part », me dis-je en écartant légèrement ma jambe, pour qu’elle puisse mieux voir.
Elle reposa enfin mon pied qu’elle n’avait pas lâché sur son genou. Mon regard était dans le sien, dans le genre, je ne suis pas dupe, tu matte sous ma jupe (ça rime en plus, me voilà poétesse !).
Je lâche enfin ses yeux (bleus pour la petite histoire), et les baisse vers mon pied, posé sur son genou, pour m’apercevoir que sa jupe ample était remontée jusqu’à mi-cuisses, alors que les fois précédentes, elle s’arrêtait au-dessus du genou.
Elle se penche sur le côté pour prendre la chaussure. A-t-elle écarté les jambes ? Mais le fait est que j’ai pu distinguer une tache rose, tout au fond. Moi aussi, j’ai vu ta culotte ! Et elle est rose !
Elle passe à mon pied l’escarpin violine, et je ne rêve pas, elle me caresse la cheville une fois la chaussure à mon pied. Sa main remonte même sur mon mollet, dont elle caresse le galbe.
Cette fois, j’écarte franchement les cuisses, pour l’inviter à poursuive et à me caresser au-dessus du genou.
Au lieu de ça, elle repose son pied sur son genou et remonte encore sa jupe plus haut. M’apparait la dentelle de deux bas tenus par des jarretelles. Elle glisse mon pied et l’escarpin sous sa jupe et le frotte contre sa cuisse. Puis elle écarte les jambes et le pose sur son pubis, sa jupe complétement remontée maintenant. J’avais bien vu, elle a une culotte rose pâle avec de la dentelle noire autour. Je distingue nettement une auréole de mouille dessus. Moi-même je me sens me liquéfier vers l’entre-jambes. Pour couronner le tout elle porte un porte-jarretelles assorti (rose avec dentelle noire).
Apparemment, elle veut que je la branle avec mon pied et l’escarpin.
Je ne me fais pas prier et je frotte mon pied gauche entre ses cuisses (ça porte bonheur du pied gauche !).
Sa bouche s’entrouvre au moment où je touche son pubis du bout du pied. Elle pousse un léger soupir.
Alors que je m’attendais à ce qu’elle se mette à fouiller sous ma jupe, la voilà qui se saisit de mon pied droit, resté sans chaussure. Elle le lève, passe sa langue pour lécher mon mollet, descend vers la cheville, qu’elle embrasse, et englouti mes cinq orteils, qu’elle suce à travers mon collant.
La situation est d’un érotisme plus que torride. Cette belle femme accroupie devant moi, me mange et me lèche le pied, pendant que je la branle du bout d’un escarpin au talon démesuré. Toutes les recettes du fétichisme du pied étaient rassemblées. Et on peut dire que la mayonnaise montait et montait bien même.
L’auréole sur sa culotte s’est agrandit, c’est manifeste. Elle pousse de petits râlements étouffés par mes orteils dans sa bouche, qu’elle continue de sucer allégrement.
Moi j’ai surtout envie de mettre ma langue à la place du bout de mon pied, mais à priori, elle fantasme sur les pieds. Normal pour une marchande de chaussures, me direz-vous !
Je reste sur ma faim quand même. Même si c’est excitant, moi je n’ai que dalle. Me lécher les pieds, c’est bien, mais j’ai aussi un sexe ! Et là, il dégouline. Je remonte donc ma jupe et glisse ma main entre mes jambes pour me soulager. De l’autre main, j’agrippe un de mes seins que je malaxe à travers mon pull en laine.
Je m’active en cadence, mon pied entre ses jambes, ma main entre les miennes. L’orgasme, je le sens monter très rapidement. Faut dire, j’étais tellement excitée par la situation, qu’il a juste fallut que je me touche deux minutes. J’étais mure. Elle aussi était à point. Dans ma tête, la petite angelote et son auréole, après un combat acharné, s’est retrouvée immobilisée au sol par la petite diablesse, qui a soulevé sa robe blanche. La diablesse rouge fait un cuni à l’angelote. L’angelote a perdu la partie une fois de plus, et c’est laissée aller au stupre, les jambes écartées.
On est venues quasiment en même temps et quasiment silencieuse, elle et moi (et l’angelote aussi d’ailleurs). Juste le temps de reprendre nos esprits :
- Bon, je vais prendre les rouges finalement, dis-je en me redressant (l’angelote ne s’étant pas encore remise de son orgasme).
- Je vous les emballe, dit-elle en se redressant et en se réajustant.
Nous nous sommes levées et dirigées vers le comptoir. Je lui tends ma carte bancaire :
- Merci, euh, Laetitia, me dit-elle en regardant mon nom dessus.
- De rien. Ah au fait … Vous c’est comment ?
- Patricia,
- D’accord Patricia … eh bien …
- Oui ?
- Je suis à l’hôtel sur la place juste derrière pour la nuit. Si vous pouvez me rejoindre dans ma chambre … nous pourrions …
- Ça va être un peu compliqué. Voyez-vous Laetitia, nous sommes dans une petite ville et je suis connue ici. Imaginez, si je me pointe à l’hôtel, que je demande la chambre d’une jeune femme, que j’y passe la nuit … Ça ferait le tour de la ville en moins de 24 heures ! Ma réputation en prendrait un sacré coup. Je suis une sorte de … Comment dire ? Notable ici ! Même si je suis veuve depuis une dizaine d’année, j’étais l’épouse de l’ancien maire de la ville, une figure emblématique ici, que personne n’a oublié.
- Je comprends …
- Par contre, je ferme à 19 heures, si vous pouvez me retrouver près de ma voiture qui est garée dans la cour derrière le magasin vers 19h30, le temps que je range tout. Nous pourrions diner chez moi et ensuite, reprendre où nous nous sommes arrêtées !
- Pourquoi pas, avec plaisir !
Le reste de la soirée, ce fut, diner fin, bons vins, puis sexe (de manière plus conventionnelle qu’à la boutique) … Mais ça c’est une autre histoire !
Elle me ramena ensuite devant mon hôtel vers 1 heure du matin. Le lendemain, mon véhicule de prêt me fut amené et je suis rentrée chez moi. Je ne suis revenue dans la région que pour récupérer ma voiture, quand elle a été réparée, chez mes amis les garagistes.
Je n’ai pas revu Patricia.
Même si chez Laetitia Marsac, il y a beaucoup de moi, même si chez mes autres héroïnes, il y a souvent un peu de moi, eh bien non, toutes les femmes que je croise dans ma vie ne me sautent pas dessus et ne finissent pas toutes dans mon lit (hélas !).
Donc, voilà, j’extrapole, j’invente, j’imagine, je conçois, enfin bref, j’en rajoute un maximum.
Pourtant l’histoire que je vais vous raconter maintenant est vraie.
Je ne vais pas vous dire où se situe cette histoire. Sachez juste que c’est dans une petite ville du centre de la France. Je vais rester évasive, afin de préserver l’anonymat de ma protagoniste dans cette histoire. Si je suis trop précise, en faisant quelques recoupements, il est possible de la reconnaitre.
Donc une histoire vraie de bout en bout. Enfin peut-être ….
Je revenais en voiture de Valence, où j’avais passé la semaine pour un motif professionnel. Nous étions samedi, Bison Futé avait hissé son drapeau noir sur le pays et annonçait une circulation plus que difficile, dans tous les sens possibles et imaginables. En cette fin février, on allait vivre le grand chassé-croisé des vacances scolaires vers les stations alpines. Zone A et zone B (peut-être était-ce la zone C, que sais-je), allaient occuper les grandes routes et surcharger les autoroutes de la vallée du Rhône. Lyon et ses alentours allait devenir une zone sinistrée.
En général, pour mes déplacements professionnels, je privilégie le train. Là plus une place de libre dans les TGV en cette période de vacances au ski. J’avais donc pris ma voiture, moi qui ai horreur de conduire sur de longs trajets. Et je m’en mordais les doigts.
Plutôt que de me taper les embouteillages sans fin sur l’A7 et sur l’A6, qui étaient pourtant l’itinéraire le plus direct pour rentrer en Ile de France, j’avais pris le chemin des écoliers et traversé le Massif Central par des routes beaucoup moins importantes, mais aussi beaucoup moins encombrées. Au moins j’avançais.
Les paysages étaient plus bucoliques et jolis que les bords de l’autoroute. On avait même le droit à un petit soleil encore hivernal, après plusieurs jours de pluie. Je prenais mon temps et j’appréciais le calme de mon itinéraire. De toute façon, je n’étais pas pressée. Maelenn était en déplacement aussi. Pilepoil le chat chez des voisins qui le gardait.
J’avais prévu de passer la nuit dans une bourgade de l’Ailier, avant de rentrer le dimanche. J’avais trouvé et réservé sur internet un petit hôtel sympathique en centre-ville.
C’est vers 15 heures, alors que j’étais presque arrivée, que les premiers bruits suspects dans le moteur ont commencés à m’alerter, un genre de claquements sous le capot. S’ensuivi rapidement, une odeur de caoutchouc chaud. Je me suis garée sur le côté près d’un bosquet, pour constater qu’un peu de fumée sortait du capot.
- Manque plus que ça, tiens ! La poisse … En pleine cambrousse en plus !
J’ai appelé aussitôt le numéro d’assistance de mon assurance :
- Laure de MTT Assurances Dépannage, à votre service !
- Oui bonjour, je suis en panne en pleine campagne, qu’est ce qu’on peut faire ?
- Vous me donnez votre numéro d’assurée s’il vous plait
- Oui, euh, voilà
- Mademoiselle Laetitia Marsac, c’est bien ça ?
- Oui c’est ça …
- Bien vous savez où vous êtes ?
- Euh, oui, attendez, je regarde sur mon GPS … Je suis sur la départementale 6, à 16 kilomètres de Saint P……., dans l’Allier !
- Bien, je vous envoie un dépanneur, Mademoiselle Marsac. Si la voiture doit être immobilisée, nous vous fournirons un véhicule de prêt, où nous prendrons en charge les frais de train pour rentrer chez vous.
- J’ai réservé dans un hôtel à Saint P….. pour la nuit, je préfère un véhicule de prêt. De toute façon, il faudra bien que je revienne chercher ma voiture chez le garagiste après.
- Donc, la voiture de prêt sera livrée à votre hôtel. Par contre, pas avant demain.
- Un dimanche ?
- Oui, oui, pas de problème. En attendant, j’enverrai un taxi au garage qui va vous prendre en charge qui vous amènera à votre hôtel
- C’est formidable. Vous êtes formidable Laure !
- Non, ce n’est pas moi, c’est ce que prévoit votre contrat d’assistance !
- Je vous assure que vous êtes formidable Laure, en plus d’être sympathique !
« Et tu as une voix enjôleuse, voire même cajoleuse, comme ce n’est pas permis, me dis-je intérieurement, si ton plumage se rapporte à ton ramage, ma belle … ».
Le dépanneur est arrivé une demi-heure plus tard. Un type descendit du camion et s’approcha nonchalamment de ma voiture.
- Bonjour ma petite dame, c’est vous qui êtes en panne ?
- Oui c’est bien moi !
Quelle question idiote ! Y’a personne d’autre à cinq kilomètres à la ronde !
Il soulève le capot et se penche vers le moteur :
- C’est grave ?
- J’peux pas dire ma p’tite dame …
- Oui, mais vous avez une idée de où ça vient ?
- Comme ça, non ! C’est p’tete une courroie ma p’tite dame
- Ah, une courroie ? Et vous allez la garder longtemps ? Il va y en avoir pour cher ?
- J’peux pas dire ma p’tite dame … P’tete, p’tete pas. Faut voir, ça dépend des pièces … En tout cas, je la charge et je l’emmène vot’carosse. J’vous dépose quèque part ?
- Mon assurance envoie un taxi me prendre à votre garage.
Le type a chargé ma voiture sur sa dépanneuse. Ce fut toute une histoire pour que je monte à la place du passager dans la cabine du camion. Il a fallu que j’escalade le marchepied. Quelle idée de mettre les marchepieds aussi haut. Avec ma jupe courte qui remontait et l’autre zigue qui reluquait mes cuisses, ce ne fut pas une mince affaire.
Enfin, me voilà avec mes bagages dans la cabine. Je tirais ma jupe au maximum vers mes genoux et nous voilà parti, direction le garage.
Le taxi est bien venu me chercher et m’a déposé à mon hôtel dans le centre de Saint P…… J’étais plutôt soulagée de quitter le garage, d’autant plus que le patron et le mécano n’avaient pas l’air plus fufutes que le dépanneur. Comme je n’avais pas envie de faire un remake de « Gangbang au garage » avec eux, ce fut un vrai soulagement.
L’hôtel était situé sur la place principale de la petite ville. Un endroit charmant, fidèle aux photos du site internet. Avec une belle terrasse, surement très agréable au printemps et en été. Bon là, c’était l’hiver …
Il était 17 heures, j’avais le temps de faire un petit tour dans la ville. J’ai pris une rue piétonne et commerçante. Bon, ce n’est pas dans les magasins de Saint P……. que je vais faire des folies. De toute façon, j’allais devoir payer aussi la réparation de la voiture. Et avec les garagistes, ce n’est jamais gratuit.
Je me suis arrêté devant la devanture d’une boutique de chaussures pour dames. Les trois quarts de la vitrine étaient occupés par des chaussures qui devaient plaire aux dames du coin. Je supposais une moyenne d’âge assez élevée chez les clientes du magasin.
Par contre, le dernier quart était réservé à des modèles beaucoup plus modernes et seyants ! Je repérais de magnifiques escarpins rouges. Le prix était prohibitif.
- Non, renonce Laetitia, trop cher …
- Oui, mais je peux au moins entrer pour les essayer !
Mes lectrices et lecteurs habituels connaissent la petite angelote en robe blanche avec son auréole au-dessus de la tête et ses petites ailes dans le dos ,ainsi que la petite diablesse toute rouge avec son trident et ses cornes qui se partage mon crâne quand je suis devant un magasin :
- Et le prix de la réparation de la voiture ! tu y pense ?
- Essayer, ce n’est pas acheter ! C’est juste pour voir, si ça te fais un joli pied !
Et j’ai poussé la porte de la boutique.
Un bruit de sonnette a retentit lorsque je suis entrée. Une femme est sortie de ce qui devait être une remise avec des cartons de chaussures plein les bras.
C’était une grande blonde d’environ 50 ans, peut-être un peu moins, mais proche de la cinquantaine quoi qu’il en soit. Encore très belle, élancée, les cheveux mi- longs. Mes habituées et habitués connaissent mon goût prononcé pour les femmes un peu plus âgées que moi, grosso-modo, la quarantaine. Elle était un peu au-delà de mes critères, mais ça restait une femme magnifique.
Je la dévorais des yeux lorsqu’elle s’est approchée de moi et a déposé ses boites à chaussure sur le comptoir. Elle avait une démarche altière, se tenait droite et cambrée. Elle portait une jupe noire et ample qui lui arrivait au-dessus du genou, un pull assez échancré et décolleté qui laissait deviner une poitrine opulente. On va oublier le politiquement correct, à la place de poitrine opulente, on va dire qu’elle a des gros seins !
Elle s’est adressée à moi avec un grand sourire :
- Bonjour Madame, que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour, j’ai vu dans votre vitrine des escarpins rouges, là-bas …
- Ah oui, les escarpins rouges ! Vous voulez les essayer ?
- Euh oui !
- Quelle est votre pointure ?
- 37
- Je les ai en 37
Elle disparut dans la remise et revint avec une boite à chaussure.
- Je vous en prie, asseyez-vous, me dit-elle en me désignant une banquette.
Elle s’accroupi devant moi, retira ma chaussure gauche, posa mon pied sur son genou et me passa un escarpin rouge à la place, elle l’inséra avec un chausse-pied. Elle fit la même chose avec le pied droit.
Ah d’accord, service à l’ancienne. Ça change des magasins de chaussures, où la vendeuse ne bouge pas son cul de derrière son comptoir et où les clientes se débrouillent et fouillent dans des piles de cartons pour trouver la bonne pointure.
Comme elle était accroupie devant moi, je découvrais le bas de ses cuisses gainées de voile noir, et surtout j’avais une vue plongeante dans son décolleté. Elle avait vraiment deux gros seins, de fort jolie forme. Une grosse poitrine encore ferme assurément. Je m’imaginais de gros tétons bien érectiles et surement très sensibles à titiller du bout de la langue, puis à sucer et mordre sans modération. Bon, les chaussures ! On est là pour ça …
- Vous voulez faire quelques pas avec ? Vous avez un miroir là. Ils vous font un pied magnifique
- Oui, c’est pas mal ! J’avais l’impression que le talon était moins haut. Ils me vont bien !
- Si vous voulez, j’ai d’autres modèles dans ce genre-là.
- Ah oui ?
- Mais passez donc, dans mon arrière-boutique, vous serez plus à l’aise pour essayer …
Elle m’emmena derrière une mince paroi, où se trouvait un fauteuil ancien revêtu d’un velours vieux rose et m’invita à m’assoir.
Elle regagna sa remise et revint avec quatre cartons à chaussures.
- J’ai les même en bleu …
- Euh, non, j’en ai déjà de cette couleur, je préfère les rouges …
- C’est vrai que les rouges vous vont bien, avec vos collants noirs, ça ressort parfaitement ! Et puis j’ai ce modèle là aussi, me dit-elle en sortant d’un carton, un escarpin noir avec des talons immenses, au moins quinze centimètres, tout fins. De vrais talons-aiguilles. La semelle quant à elle était dotée d’une plate-forme épaisse.
Avant que je ne dise quoi que ce soit, elle s’accroupie à nouveau devant moi, prit à nouveau mon pied dans ses mains, le posa à nouveau sur ses genoux et me passa les chaussures.
- Vous voulez faire quelques pas ? Les talons sont un peu hauts, voyez comment vous pouvez marcher …
Je me suis levée pour faire quelques pas. Ainsi juchée, j’étais mal assurée. Je manquais même de me tordre la cheville. Je me suis dirigée vers un miroir. J’avais l’impression d’avoir grandi d’un seul coup, de voir les choses de plus haut.
- Ça vous affine la jambe, me dit-elle
C’est vrai que je semblais plus grande, mais pas seulement, ça me faisait une silhouette plus fine. J’avais m’impression d’avoir des jambes toutes en longueur comme un mannequin.
Je me suis tournée pour voir de derrière. Ça me rehaussait les fesses, qui paraissaient ainsi plus proéminentes. Ça me faisait vraiment un cul superbe, mis encore plus en valeur par ma petite jupette serrée.
- Voulez-vous essayer ceux-ci, me dit-elle en sortant de leur boite, une paire de chaussures violines aux talons aussi hauts que les précédents.
- Euh oui, pourquoi pas, dis-je en me rasseyant dans le fauteuil.
La voilà à nouveau accroupie devant moi. Elle ôte la chaussure et au lieu de poser mon pied sur son genou, comme les fois précédentes, elle leva d’abord ma jambe en faisant plier mon genou.
J’en étais sure, elle avait levé ma jambe pour regarder sous ma jupe. Je la laissais faire, d’autant plus que sous mes collants, j’avais mis un string blanc. Malgré l’ombre sous ma jupe, on ne devait voir que ça. Elle marqua un temps d’arrêt ma jambe légèrement relevée. Plus de doute, son regard portait sur mes cuisses et sous ma jupe.
« Si tu veux reluquer, reluques ma grande, aucun problème pour ma part », me dis-je en écartant légèrement ma jambe, pour qu’elle puisse mieux voir.
Elle reposa enfin mon pied qu’elle n’avait pas lâché sur son genou. Mon regard était dans le sien, dans le genre, je ne suis pas dupe, tu matte sous ma jupe (ça rime en plus, me voilà poétesse !).
Je lâche enfin ses yeux (bleus pour la petite histoire), et les baisse vers mon pied, posé sur son genou, pour m’apercevoir que sa jupe ample était remontée jusqu’à mi-cuisses, alors que les fois précédentes, elle s’arrêtait au-dessus du genou.
Elle se penche sur le côté pour prendre la chaussure. A-t-elle écarté les jambes ? Mais le fait est que j’ai pu distinguer une tache rose, tout au fond. Moi aussi, j’ai vu ta culotte ! Et elle est rose !
Elle passe à mon pied l’escarpin violine, et je ne rêve pas, elle me caresse la cheville une fois la chaussure à mon pied. Sa main remonte même sur mon mollet, dont elle caresse le galbe.
Cette fois, j’écarte franchement les cuisses, pour l’inviter à poursuive et à me caresser au-dessus du genou.
Au lieu de ça, elle repose son pied sur son genou et remonte encore sa jupe plus haut. M’apparait la dentelle de deux bas tenus par des jarretelles. Elle glisse mon pied et l’escarpin sous sa jupe et le frotte contre sa cuisse. Puis elle écarte les jambes et le pose sur son pubis, sa jupe complétement remontée maintenant. J’avais bien vu, elle a une culotte rose pâle avec de la dentelle noire autour. Je distingue nettement une auréole de mouille dessus. Moi-même je me sens me liquéfier vers l’entre-jambes. Pour couronner le tout elle porte un porte-jarretelles assorti (rose avec dentelle noire).
Apparemment, elle veut que je la branle avec mon pied et l’escarpin.
Je ne me fais pas prier et je frotte mon pied gauche entre ses cuisses (ça porte bonheur du pied gauche !).
Sa bouche s’entrouvre au moment où je touche son pubis du bout du pied. Elle pousse un léger soupir.
Alors que je m’attendais à ce qu’elle se mette à fouiller sous ma jupe, la voilà qui se saisit de mon pied droit, resté sans chaussure. Elle le lève, passe sa langue pour lécher mon mollet, descend vers la cheville, qu’elle embrasse, et englouti mes cinq orteils, qu’elle suce à travers mon collant.
La situation est d’un érotisme plus que torride. Cette belle femme accroupie devant moi, me mange et me lèche le pied, pendant que je la branle du bout d’un escarpin au talon démesuré. Toutes les recettes du fétichisme du pied étaient rassemblées. Et on peut dire que la mayonnaise montait et montait bien même.
L’auréole sur sa culotte s’est agrandit, c’est manifeste. Elle pousse de petits râlements étouffés par mes orteils dans sa bouche, qu’elle continue de sucer allégrement.
Moi j’ai surtout envie de mettre ma langue à la place du bout de mon pied, mais à priori, elle fantasme sur les pieds. Normal pour une marchande de chaussures, me direz-vous !
Je reste sur ma faim quand même. Même si c’est excitant, moi je n’ai que dalle. Me lécher les pieds, c’est bien, mais j’ai aussi un sexe ! Et là, il dégouline. Je remonte donc ma jupe et glisse ma main entre mes jambes pour me soulager. De l’autre main, j’agrippe un de mes seins que je malaxe à travers mon pull en laine.
Je m’active en cadence, mon pied entre ses jambes, ma main entre les miennes. L’orgasme, je le sens monter très rapidement. Faut dire, j’étais tellement excitée par la situation, qu’il a juste fallut que je me touche deux minutes. J’étais mure. Elle aussi était à point. Dans ma tête, la petite angelote et son auréole, après un combat acharné, s’est retrouvée immobilisée au sol par la petite diablesse, qui a soulevé sa robe blanche. La diablesse rouge fait un cuni à l’angelote. L’angelote a perdu la partie une fois de plus, et c’est laissée aller au stupre, les jambes écartées.
On est venues quasiment en même temps et quasiment silencieuse, elle et moi (et l’angelote aussi d’ailleurs). Juste le temps de reprendre nos esprits :
- Bon, je vais prendre les rouges finalement, dis-je en me redressant (l’angelote ne s’étant pas encore remise de son orgasme).
- Je vous les emballe, dit-elle en se redressant et en se réajustant.
Nous nous sommes levées et dirigées vers le comptoir. Je lui tends ma carte bancaire :
- Merci, euh, Laetitia, me dit-elle en regardant mon nom dessus.
- De rien. Ah au fait … Vous c’est comment ?
- Patricia,
- D’accord Patricia … eh bien …
- Oui ?
- Je suis à l’hôtel sur la place juste derrière pour la nuit. Si vous pouvez me rejoindre dans ma chambre … nous pourrions …
- Ça va être un peu compliqué. Voyez-vous Laetitia, nous sommes dans une petite ville et je suis connue ici. Imaginez, si je me pointe à l’hôtel, que je demande la chambre d’une jeune femme, que j’y passe la nuit … Ça ferait le tour de la ville en moins de 24 heures ! Ma réputation en prendrait un sacré coup. Je suis une sorte de … Comment dire ? Notable ici ! Même si je suis veuve depuis une dizaine d’année, j’étais l’épouse de l’ancien maire de la ville, une figure emblématique ici, que personne n’a oublié.
- Je comprends …
- Par contre, je ferme à 19 heures, si vous pouvez me retrouver près de ma voiture qui est garée dans la cour derrière le magasin vers 19h30, le temps que je range tout. Nous pourrions diner chez moi et ensuite, reprendre où nous nous sommes arrêtées !
- Pourquoi pas, avec plaisir !
Le reste de la soirée, ce fut, diner fin, bons vins, puis sexe (de manière plus conventionnelle qu’à la boutique) … Mais ça c’est une autre histoire !
Elle me ramena ensuite devant mon hôtel vers 1 heure du matin. Le lendemain, mon véhicule de prêt me fut amené et je suis rentrée chez moi. Je ne suis revenue dans la région que pour récupérer ma voiture, quand elle a été réparée, chez mes amis les garagistes.
Je n’ai pas revu Patricia.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mon dieu comme c'était chaud, cette histoire d'auréole sue le string.....
Le concept de l'escarpin branleur, tout de même: il fallait oser!!!
Bien vu!!
P.
Le concept de l'escarpin branleur, tout de même: il fallait oser!!!
Bien vu!!
P.
Belle histoire. On aurait aimé une suite avec la nuit d'amour avec Patricia.
Oct. 29, 2017. Très jolie histoire, qui n'a pas manqué d'émouvoir John La Semelle, et qui aurait aimé quelwues détails du repas et de la soirée avec Patricia. A bientôt.