Tu vas avoir un beau service trois pièces, mon Chien !
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Tu vas avoir un beau service trois pièces, mon Chien !
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°523) -
soumis Endymion MDE au Château - Chapitre 35 – ‘’Tu vas avoir un beau service trois pièces, mon Chien !’’
Juste avant le repas du soir, les trois chiennes MDE purent, si l’on puit dire, prendre un peu de repos. Le chien soumis mâle et ses deux sœurs femelles de soumission, furent installés et sanglés sur trois tables gynécologiques. Celles-ci, sur roulettes, furent avancées près des tables dressées en « U » où le Maître et ses Hôtes allèrent prendre place pour dîner. Bras attachés, poitrines et abdomens contraints par de large ceinture de cuir, pieds dans des étriers, cuisses liées et maintenues largement écartées, les esclaves offraient par la force des choses, sexes et culs bien exhibés aux regards de tous les Invités. Cette offrande imposée était une belle manière de les humilier devant un public averti. Ils se donnaient et renvoyaient une image d’abandon et de parfaite soumission. Surtout que, pour les avilir un peu plus, Monsieur le Marquis d’Evans avait exigé que Ses trois salopes MDE se montrent plus encore « ouverts ». Son Majordome avait donc exhaussé illico presto, les souhaits et ordres du Maître en leur posant à tous trois, un spéculum dans les chattes des femelles et un dans le cul du mâle ainsi qu’un écarteur dans leur bouche. Ils se trouvaient ainsi exhibés de l’intérieur, ouverts, béants, réduits à l’état de trous que l’on dilatait et contraignait. Perturbés, humiliés, ils l’étaient ! De plus, les Invités du Maître les photographiaient ou les filmaient, sous tous les angles, pour immortaliser le bel instant ! Ce ressenti humiliant ne laissait aucun doute sur leur plaisir ; les sexes des femelles MDE dégoulinaient littéralement de cyprine, la bite tendue du chien soumis mâle MDE ruisselait, un filet de liquide pré séminal se répandait sur son abdomen.
Ces photographies décuplaient l’excitation et l’imagination du soumis mâle MDE. Peut-être un jour, ces photos seraient postées sur un site internet dédié au BDSM ? Et soumis Endymion MDE ne pouvait pas s’empêcher de penser à tous ceux qui les verraient et qui se branleraient devant elles… Alors l’esclave mâle savourait cet instant humiliant, il sentait le désir lui ravager le bas ventre. Il se voyait rabaissé, relégué et diminué au rang de trou à remplir, de suceuse et de vides couilles et il aimait ça ! Vraiment, Il se sentait possédé et cette recherche de dépassement de soi était un des fondements de l’éducation donnée par le Maître. En humiliant Ses esclaves MDE de la sorte, il cherchait à les pousser dans leur retranchement, à se dévoiler, à se révéler à eux-mêmes, à leur faire accepter leurs désirs les plus profonds, leurs plus bas instincts qu’ils avaient en eux. Il en obtenait un retour logique et évident : leur appartenance indéfectible et totale, une soumission absolue. Pendant tout le repas les trois esclaves MDE s’affichèrent ainsi, sans pouvoir bouger, sans pouvoir dire un mot. Ils étaient seulement disponibles pour écouter les infamies lancées à leur encontre, elles fusaient de part et d’autre de la table. Et plus ils étaient humiliés et bafoués et plus leurs sexes suintaient…
Cette présentation intime n’avait pas excité uniquement les trois soumis MDE, les convives se trouvaient également, dans une espèce de grande frénésie sexuelle, un appétit féroce de Domination, un besoin irrépressible de soulager leurs envies et leur libido dominante. Dès la fin du dîner, un grand nombre d’entre eux partirent dans un des salons du Château, poussant devant eux, les deux soumises chiennes femelles MDE, toujours installées sur les tables gynécologiques. Là, très vite, une gigantesque partouze fut organisée, presque improvisée. Tout le monde se retrouva rapidement et entièrement nu, Ils se mirent à se caresser les uns les autres, les femmes touchant les hommes, les hommes pelotant les femmes, des femmes se bécotant entre elles, des hommes se masturbant entre eux. Certaines ou certains se retrouvaient chevauchée, tête bêche, dans des 69 extravagants. On s’embrassait, se pelotait, on se prodiguait de longues caresses manuelles ou buccales, on s’enfilait joyeusement, le tout dans un méli-mélo érotique bien difficile à décrire. Les soumises Phryné MDE et Laïs MDE avaient été placées à genoux au centre du salon. Seules leurs bouches avaient une utilité. Celles-ci servaient à ragaillardir une queue fatiguée, à la nettoyer ou la lubrifier, à avaler quelques liqueurs ou sécrétions intimes sortant de ces vulves chaudes et humides venant d’être pénétrées… Les deux chiennes soumises MDE officiaient simplement et sur ordre ! Quant à soumis Endymion MDE, il avait été laissé là, dans cette grande salle de réception désertée. Seuls Monsieur le Marquis d’Evans discutait, semble-t-il sérieusement avec son neveu et la femme de celui-ci, ainsi qu’un autre homme. Les mots échangés ne parvenaient pas aux oreilles du chien soumis MDE. Ce n’est que lorsque le quatuor s’approcha de l’esclave offert qu’il put entendre, ce que disaient ces quatre Dominants dont le Maître. Bien sûr, on parlait de lui. Lui cet esclave toujours bien exposé, tous ses orifices béants, largement ouverts à toute pénétration pouvant survenir à n’importe quel moment. A disposition d’une saillie subite pour celui qui voudrait bien le pénétrer :
- Oui mon oncle, vous voyez juste, comme d’habitude allais-je dire, ce chien soumis a un extraordinaire potentiel, je l’ai vu vous subir avec une obéissance exemplaire. Il accepte le fouet, les brimades, les enculades, l’humiliation et bien d’autres choses encore, en montrant sa détermination à vous appartenir par une totale obéissance sans faille et une dévotion hors norme. Avec encore quelques mois de dressage et vous en ferez un bien bel esclave, mon Cher Oncle !
- Oui, je le crois sincère et honnête dans ses intentions, il a une vraie capacité à devenir ce que je souhaite qu’il devienne, mais il doit encore progresser et s’attendre à un dressage plus sévère encore pour plus d’efficacité.
- Certes mon Oncle, mais Vous, plus que personne, savez que l’on ne façonne pas un esclave en quelques jours seulement. Je suis sûr que Votre chien soumis saura accepter tous les traitements que vous lui imposerez, car je ne doute pas qu’il sache que votre enseignement et votre dressage, n’est que pour son bien être et son épanouissement personnel !
Le Maitre avant posé sa main sur l’entrecuisse de soumis Endymion MDE et lui caressait les couilles, puis les comprimait pour ensuite malaxer l’ensemble génital.
- Tiens, toi qui est médecin mon cher Charles Edouard, ne crois-tu pas qu’il serait bon de lui assouplir son sac à foutre, afin qu’il ait en permanence des couilles bien pendantes entre les cuisses.
- Ce n’est pas une grande difficulté pour y parvenir, il suffit d’un peu d’entrainement régulier, je connais quelques méthodes efficaces.
- Pourrais-tu te charger de ce travail ?
- Oui mon Oncle, avec grand plaisir, mais vous le savez, c’est un travail de longue haleine, et je ne suis là que pour 2 jours encore…- Oui mais tu sais ce que je t’ai dit tout à l’heure.
- Mais je pensais que vous plaisantiez !
- Non, Pas du tout.
Qu’est-ce qu’il se tramait ? Que réservait-on à cet esclave MDE ?
La queue de soumis Endymion MDE bandait et bavait de plus en plus, il était à la fois terriblement excité et inquiet… Etait-ce le contact de cette noble main sur ses couilles qui le maintenait érigé comme un cerf, ou tout simplement ces propos entendus ? A moins qu’il ne s’agisse de ce ressenti tout d’un coup obsédant. Un vrai sentiment d’abandon, de déchéance, une prise de pouvoir total sur tout son être, une chute vertigineuse vers la déliquescence, sans que lui, chien soumis MDE, puisse dire un seul mot, sans qu’il puisse émettre la moindre objection ou opposition, le moindre souhait. Le Maître décidait de tout, lui était sous son emprise totale. La perte de contrôle de tout son corps, dans ses fonctions les plus intimes lui faisait prendre conscience de la réalité de la possession. Il gisait plus que jamais dans les abîmes de la soumission. soumis Endymion MDE, ce soir-là, était possédé par ce sentiment de toute-puissance prométhéenne, le Maître le modelait en partant de tout son être à disposition. Il sculptait son œuvre à son goût mais pour mieux révéler à Son chien soumis MDE son réel potentiel. Et c’était ce renoncement qui était source de plaisir ! soumis Endymion MDE se dessaisissait de lui, s’oubliait, pour atteindre un état second vécu dans un total lâcher-prise. Cela lui permettait d’aller « hors de soi » et de goûter à une sensation d’extase quasi-mystique. Oui, une véritable extase de l’abandon s’opposant à la jouissance du contrôle….
Charles-Edouard, neveu de Monsieur le Marquis avait quitté la pièce précipitamment… Le Maître alors ôta le spéculum du cul de Son chien, ainsi que l’écarteur de bouche. Il actionna le dossier de la table pour que soumis Endymion MDE puisse se redresser un peu. Il se voyait ainsi maintenu écarté, avec toujours les pieds tenus dans les étriers. Sa mâchoire était plus que douloureuse, combien de temps était-il resté bouche écartée ? Il eut l’impression que son anus, complétement dilaté par le traitement subi eut du mal à se resserrer… Charled était revenu d’un pas rapide tenant en main une mallette. Il la posa sur le ventre du chien soumis et l’ouvrit sous ses yeux. Le contenu non seulement impressionna soumis Endymion MDE mais lui fit peur… Il y avait là, tout un arsenal médical. La première chose qu’il sortit, fut deux paires de gants en latex stérile. Il en donna une paire à sa femme, il enfila l’autre. Il sortit ensuite des compresses, elles aussi stériles, qu’il tendit à son épouse. Elle ouvrait délicatement la petite poche plastique, en prit un délicatement. Charled prit ensuite un flacon de désinfectant et versa une partie du contenu sur les couilles du chien MDE. Sa femme, avec grand soin s’appliqua à nettoyer le scrotum de l’esclave. Pendant cette soigneuse désinfection, Monsieur le Vicomte Charles Edouard d’Evans prépara un flacon de 250 ml de sérum physiologique, un perfuseur, une aiguille. Il décapsula le flacon, désinfecta la membrane qui allait recevoir le perfuseur, purgea le tuyau en ouvrant la molette en fit de même avec l’aiguille.
- Tu es prête ma chérie ? Demanda-t-il à sa femme.
- Oui, Je suis prête.
Elle tirait vers le haut la peau des couilles du chien. Charled annonça à soumis Endymion MDE :
- Je pique !
L’aiguille s’enfonça sous la peau du scrotum, soumis Endymion MDE sursauta, plus par appréhension que par la douleur. Il n’en menait pas large, avalait bruyamment sa salive. Très rapidement, le chien soumis MDE ressenti une fraicheur liée à la température du liquide injecté s’installer dans son sac, mais point de douleur particulière, au contraire même car aussi bizarrement que cela puisse paraître, c’est une sensation irradiante de bien-être qu’il ressenti, comme celle d’un liquide qui s’écoule pacifiquement, lentement, tout en douceur… Pourtant pour se rassurer, il cherchait le regard du Maître. Monsieur le Marquis était là, près de lui, une main sur son épaule comme pour le sécuriser.
- Tu vas avoir une belle paire de couilles, un beau service trois pièces Mon chien !
Le Maitre semblait heureux et satisfait. Son esclave avait accepté le traitement imposé, sans mot dire ! Ses couilles commençaient à gonfler et prendre un beau volume, comme sa bite d’ailleurs, la solution saline se diffusait également dans sa nouille...
(A suivre…)
soumis Endymion MDE au Château - Chapitre 35 – ‘’Tu vas avoir un beau service trois pièces, mon Chien !’’
Juste avant le repas du soir, les trois chiennes MDE purent, si l’on puit dire, prendre un peu de repos. Le chien soumis mâle et ses deux sœurs femelles de soumission, furent installés et sanglés sur trois tables gynécologiques. Celles-ci, sur roulettes, furent avancées près des tables dressées en « U » où le Maître et ses Hôtes allèrent prendre place pour dîner. Bras attachés, poitrines et abdomens contraints par de large ceinture de cuir, pieds dans des étriers, cuisses liées et maintenues largement écartées, les esclaves offraient par la force des choses, sexes et culs bien exhibés aux regards de tous les Invités. Cette offrande imposée était une belle manière de les humilier devant un public averti. Ils se donnaient et renvoyaient une image d’abandon et de parfaite soumission. Surtout que, pour les avilir un peu plus, Monsieur le Marquis d’Evans avait exigé que Ses trois salopes MDE se montrent plus encore « ouverts ». Son Majordome avait donc exhaussé illico presto, les souhaits et ordres du Maître en leur posant à tous trois, un spéculum dans les chattes des femelles et un dans le cul du mâle ainsi qu’un écarteur dans leur bouche. Ils se trouvaient ainsi exhibés de l’intérieur, ouverts, béants, réduits à l’état de trous que l’on dilatait et contraignait. Perturbés, humiliés, ils l’étaient ! De plus, les Invités du Maître les photographiaient ou les filmaient, sous tous les angles, pour immortaliser le bel instant ! Ce ressenti humiliant ne laissait aucun doute sur leur plaisir ; les sexes des femelles MDE dégoulinaient littéralement de cyprine, la bite tendue du chien soumis mâle MDE ruisselait, un filet de liquide pré séminal se répandait sur son abdomen.
Ces photographies décuplaient l’excitation et l’imagination du soumis mâle MDE. Peut-être un jour, ces photos seraient postées sur un site internet dédié au BDSM ? Et soumis Endymion MDE ne pouvait pas s’empêcher de penser à tous ceux qui les verraient et qui se branleraient devant elles… Alors l’esclave mâle savourait cet instant humiliant, il sentait le désir lui ravager le bas ventre. Il se voyait rabaissé, relégué et diminué au rang de trou à remplir, de suceuse et de vides couilles et il aimait ça ! Vraiment, Il se sentait possédé et cette recherche de dépassement de soi était un des fondements de l’éducation donnée par le Maître. En humiliant Ses esclaves MDE de la sorte, il cherchait à les pousser dans leur retranchement, à se dévoiler, à se révéler à eux-mêmes, à leur faire accepter leurs désirs les plus profonds, leurs plus bas instincts qu’ils avaient en eux. Il en obtenait un retour logique et évident : leur appartenance indéfectible et totale, une soumission absolue. Pendant tout le repas les trois esclaves MDE s’affichèrent ainsi, sans pouvoir bouger, sans pouvoir dire un mot. Ils étaient seulement disponibles pour écouter les infamies lancées à leur encontre, elles fusaient de part et d’autre de la table. Et plus ils étaient humiliés et bafoués et plus leurs sexes suintaient…
Cette présentation intime n’avait pas excité uniquement les trois soumis MDE, les convives se trouvaient également, dans une espèce de grande frénésie sexuelle, un appétit féroce de Domination, un besoin irrépressible de soulager leurs envies et leur libido dominante. Dès la fin du dîner, un grand nombre d’entre eux partirent dans un des salons du Château, poussant devant eux, les deux soumises chiennes femelles MDE, toujours installées sur les tables gynécologiques. Là, très vite, une gigantesque partouze fut organisée, presque improvisée. Tout le monde se retrouva rapidement et entièrement nu, Ils se mirent à se caresser les uns les autres, les femmes touchant les hommes, les hommes pelotant les femmes, des femmes se bécotant entre elles, des hommes se masturbant entre eux. Certaines ou certains se retrouvaient chevauchée, tête bêche, dans des 69 extravagants. On s’embrassait, se pelotait, on se prodiguait de longues caresses manuelles ou buccales, on s’enfilait joyeusement, le tout dans un méli-mélo érotique bien difficile à décrire. Les soumises Phryné MDE et Laïs MDE avaient été placées à genoux au centre du salon. Seules leurs bouches avaient une utilité. Celles-ci servaient à ragaillardir une queue fatiguée, à la nettoyer ou la lubrifier, à avaler quelques liqueurs ou sécrétions intimes sortant de ces vulves chaudes et humides venant d’être pénétrées… Les deux chiennes soumises MDE officiaient simplement et sur ordre ! Quant à soumis Endymion MDE, il avait été laissé là, dans cette grande salle de réception désertée. Seuls Monsieur le Marquis d’Evans discutait, semble-t-il sérieusement avec son neveu et la femme de celui-ci, ainsi qu’un autre homme. Les mots échangés ne parvenaient pas aux oreilles du chien soumis MDE. Ce n’est que lorsque le quatuor s’approcha de l’esclave offert qu’il put entendre, ce que disaient ces quatre Dominants dont le Maître. Bien sûr, on parlait de lui. Lui cet esclave toujours bien exposé, tous ses orifices béants, largement ouverts à toute pénétration pouvant survenir à n’importe quel moment. A disposition d’une saillie subite pour celui qui voudrait bien le pénétrer :
- Oui mon oncle, vous voyez juste, comme d’habitude allais-je dire, ce chien soumis a un extraordinaire potentiel, je l’ai vu vous subir avec une obéissance exemplaire. Il accepte le fouet, les brimades, les enculades, l’humiliation et bien d’autres choses encore, en montrant sa détermination à vous appartenir par une totale obéissance sans faille et une dévotion hors norme. Avec encore quelques mois de dressage et vous en ferez un bien bel esclave, mon Cher Oncle !
- Oui, je le crois sincère et honnête dans ses intentions, il a une vraie capacité à devenir ce que je souhaite qu’il devienne, mais il doit encore progresser et s’attendre à un dressage plus sévère encore pour plus d’efficacité.
- Certes mon Oncle, mais Vous, plus que personne, savez que l’on ne façonne pas un esclave en quelques jours seulement. Je suis sûr que Votre chien soumis saura accepter tous les traitements que vous lui imposerez, car je ne doute pas qu’il sache que votre enseignement et votre dressage, n’est que pour son bien être et son épanouissement personnel !
Le Maitre avant posé sa main sur l’entrecuisse de soumis Endymion MDE et lui caressait les couilles, puis les comprimait pour ensuite malaxer l’ensemble génital.
- Tiens, toi qui est médecin mon cher Charles Edouard, ne crois-tu pas qu’il serait bon de lui assouplir son sac à foutre, afin qu’il ait en permanence des couilles bien pendantes entre les cuisses.
- Ce n’est pas une grande difficulté pour y parvenir, il suffit d’un peu d’entrainement régulier, je connais quelques méthodes efficaces.
- Pourrais-tu te charger de ce travail ?
- Oui mon Oncle, avec grand plaisir, mais vous le savez, c’est un travail de longue haleine, et je ne suis là que pour 2 jours encore…- Oui mais tu sais ce que je t’ai dit tout à l’heure.
- Mais je pensais que vous plaisantiez !
- Non, Pas du tout.
Qu’est-ce qu’il se tramait ? Que réservait-on à cet esclave MDE ?
La queue de soumis Endymion MDE bandait et bavait de plus en plus, il était à la fois terriblement excité et inquiet… Etait-ce le contact de cette noble main sur ses couilles qui le maintenait érigé comme un cerf, ou tout simplement ces propos entendus ? A moins qu’il ne s’agisse de ce ressenti tout d’un coup obsédant. Un vrai sentiment d’abandon, de déchéance, une prise de pouvoir total sur tout son être, une chute vertigineuse vers la déliquescence, sans que lui, chien soumis MDE, puisse dire un seul mot, sans qu’il puisse émettre la moindre objection ou opposition, le moindre souhait. Le Maître décidait de tout, lui était sous son emprise totale. La perte de contrôle de tout son corps, dans ses fonctions les plus intimes lui faisait prendre conscience de la réalité de la possession. Il gisait plus que jamais dans les abîmes de la soumission. soumis Endymion MDE, ce soir-là, était possédé par ce sentiment de toute-puissance prométhéenne, le Maître le modelait en partant de tout son être à disposition. Il sculptait son œuvre à son goût mais pour mieux révéler à Son chien soumis MDE son réel potentiel. Et c’était ce renoncement qui était source de plaisir ! soumis Endymion MDE se dessaisissait de lui, s’oubliait, pour atteindre un état second vécu dans un total lâcher-prise. Cela lui permettait d’aller « hors de soi » et de goûter à une sensation d’extase quasi-mystique. Oui, une véritable extase de l’abandon s’opposant à la jouissance du contrôle….
Charles-Edouard, neveu de Monsieur le Marquis avait quitté la pièce précipitamment… Le Maître alors ôta le spéculum du cul de Son chien, ainsi que l’écarteur de bouche. Il actionna le dossier de la table pour que soumis Endymion MDE puisse se redresser un peu. Il se voyait ainsi maintenu écarté, avec toujours les pieds tenus dans les étriers. Sa mâchoire était plus que douloureuse, combien de temps était-il resté bouche écartée ? Il eut l’impression que son anus, complétement dilaté par le traitement subi eut du mal à se resserrer… Charled était revenu d’un pas rapide tenant en main une mallette. Il la posa sur le ventre du chien soumis et l’ouvrit sous ses yeux. Le contenu non seulement impressionna soumis Endymion MDE mais lui fit peur… Il y avait là, tout un arsenal médical. La première chose qu’il sortit, fut deux paires de gants en latex stérile. Il en donna une paire à sa femme, il enfila l’autre. Il sortit ensuite des compresses, elles aussi stériles, qu’il tendit à son épouse. Elle ouvrait délicatement la petite poche plastique, en prit un délicatement. Charled prit ensuite un flacon de désinfectant et versa une partie du contenu sur les couilles du chien MDE. Sa femme, avec grand soin s’appliqua à nettoyer le scrotum de l’esclave. Pendant cette soigneuse désinfection, Monsieur le Vicomte Charles Edouard d’Evans prépara un flacon de 250 ml de sérum physiologique, un perfuseur, une aiguille. Il décapsula le flacon, désinfecta la membrane qui allait recevoir le perfuseur, purgea le tuyau en ouvrant la molette en fit de même avec l’aiguille.
- Tu es prête ma chérie ? Demanda-t-il à sa femme.
- Oui, Je suis prête.
Elle tirait vers le haut la peau des couilles du chien. Charled annonça à soumis Endymion MDE :
- Je pique !
L’aiguille s’enfonça sous la peau du scrotum, soumis Endymion MDE sursauta, plus par appréhension que par la douleur. Il n’en menait pas large, avalait bruyamment sa salive. Très rapidement, le chien soumis MDE ressenti une fraicheur liée à la température du liquide injecté s’installer dans son sac, mais point de douleur particulière, au contraire même car aussi bizarrement que cela puisse paraître, c’est une sensation irradiante de bien-être qu’il ressenti, comme celle d’un liquide qui s’écoule pacifiquement, lentement, tout en douceur… Pourtant pour se rassurer, il cherchait le regard du Maître. Monsieur le Marquis était là, près de lui, une main sur son épaule comme pour le sécuriser.
- Tu vas avoir une belle paire de couilles, un beau service trois pièces Mon chien !
Le Maitre semblait heureux et satisfait. Son esclave avait accepté le traitement imposé, sans mot dire ! Ses couilles commençaient à gonfler et prendre un beau volume, comme sa bite d’ailleurs, la solution saline se diffusait également dans sa nouille...
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