Un amour vrai 1 - histoire érotique

Ce sont les vacances, Valériane, flâne dans les allées ombragées d'un parc. Par moment, une brise légère soulève sa jupe aérée, et caresse délicatement ses cuisses. C'est si doux, qu'elle n'a même pas le réflexe de la rabaisser. Sur son chemin, elle croise une femme qui promène son chien. L'animal s'arrête et se met à la renifler, en agitant sa queue. Valériane, pas très rassurée, regarde l'inconnue, qui lui sourit et lui dit :

-Il n'est pas méchant, je crois qu'il vous a adopté, il vous fait la fête !

Timidement, Valériane caresse le chien. Elle regarde l'inconnue, sans savoir pourquoi, son cœur se met à battre la chamade, elle tremble de tous ses membres, cela ressemble à un coup de foudre. Les deux se sourient, et se mettent à bavarder. Valériane cache comme elle peut son émoi. Elles s'assoient sur un banc, et font plus ample connaissance. La femme, beaucoup plus âgée que Valériane, se prénomme Isabelle, elle habite dans les parages. Longuement, les deux femmes discutent, Valériane, est fascinée par cette belle inconnue, elle qui d'habitude a la langue bien pendue, là, elle a du mal à trouver ses mots. L'heure inexorablement tourne. Il est temps de se séparer. Valériane a le cœur qui se serre, elle regarde avec regret, Isabelle s'éloigner.

Depuis cette rencontre, Valériane, n'est plus la même, elle veut revoir à tout prix Isabelle. Et pour cela chaque matin, elle arpente les allées du parc en vain. Mais un matin, la chance lui sourit. Elle voit, assise sur un banc avec son chien à ses pieds, Isabelle. Elle s'approche d'elle, les deux femmes se saluent en souriant. Quelques caresses au chien sont nécessaires pour calmer son excitation. Valériane s'assoit à côte D'Isabelle et échange avec elle, un long moment.

Isabelle et Valériane, sympathisent, Isabelle, a de nature une voix douce. Elle se lève et dit en souriant :

-Si vous le voulez, je vous invite à prendre un verre chez moi ?


Pour Valériane c'est inespéré, elle accepte sans hésitation. Les deux femmes sortent du parc et arrivent devant une grande maison. Isabelle fait entrer Valériane et la dirige vers le salon. Elle sert un verre et les deux nouvelles amies, trinquent en choquant leurs verres. Les paroles douces d'Isabelle, font fondre Valériane. Elles décident de se tutoyer. Isabelle s'assoit près de Valériane sur le canapé, les deux femmes, souriantes, ne cessent de se regarder. Elles trinquent plusieurs fois, deviennent euphoriques, et elles se livrent de plus en plus l'une à l'autre.

Depuis ce jour, les deux amies se retrouvent souvent, elles deviennent même inséparables. Très fusionnelles, elles font beaucoup de chose ensemble. Quelques fois, après de longues soirées à papoter, Valériane dort chez son amie, une chambre lui est réservée. Un soir qu'Isabelle était dans son lit, Valériane ouvre la porte de sa chambre et s'approche de son amie. Les deux se sourient, Valériane, d'une voix mielleuse, lui dit :

-Je n'arrive pas à dormir, je peux rester un peu avec toi ?

Isabelle, comme à l'accoutumée, est toujours souriante, elle ouvre les draps, et invite son amie à entrée dans le lit. Valériane, remarque que son amie est nue sous sa nuisette. Elle se blottit contre elle en ronronnant, elles parlent de vie affective. Valériane apprend que son amie, a un petit copain depuis de longues années, et qu'elle va lui présenter. Cela lui serre le cœur, mais elle ne peut qu'accepter cette situation. Toujours avec une voix tendre, Isabelle, lui demande :

-Et toi, tu as quelqu'un dans ta vie ?

En se blottissant encore plus contre Isabelle, Valériane lui répond :

-Oui, j'ai quelqu'un que j'aime de tout mon cœur, j'en suis dingue !

Isabelle répond :

-J'espère que tu me présenteras cet oiseau rare ?

En soupirant profondément, Valériane ose enfin avouer :

-Tu la connais très bien, elle est à côté de moi dans ce lit !

Isabelle sursaute, et se redresse dans le lit, elle regarde Valériane comme si c'était un extra-terrestre et lui dit :

-Mais, mais, ce n'est pas possible, tu divagues, tu me fais marcher ?

En s'accrochant à elle, Valériane réplique :

-Depuis le premier jour, je suis amoureuse de toi, je me décide enfin à te le dire ?

Isabelle, bouleversée par cet aveu, déglutie bruyamment, et en soupirant répond :

-Mais j'aime un homme, et je ne suis pas lesbienne. Moi aussi, je t'aime, mais entre nous, cela ne peut être que platonique, retire-toi cette idée de la tête, tu te fais beaucoup de mal !

Après une longue conversation sincère, Valériane, désappointée, rejoint sa chambre. Isabelle est toute retournée, elle s'en veut d'avoir meurtri sa meilleure amie. Prise de remords, elle se lève d'un bond, et entre dans ma chambre de Valériane qui sanglote sur son lit. Elle s'assoit à côte d'elle, lui caresse doucement sa longue chevelure, avant d'y enfoncer ses doigts pour la triturer. Les caresses sur son cuir chevelu semblent apaiser Valériane qui renifle souvent, en s'essuyant les yeux d'un revers de la main. Elle relève la tête vers son amie, qui la prend délicatement entre ses mains, et lui donne une multitude de baisers sur tout le visage. Au passage, elle lape les perles de rosée, qui coulent sur les joues de son amie, et termine en lui donnant un baiser bruyant sur ses lèvres. Elle ouvre les draps et s'allonge aux côtés de son amie. Rapidement, Valériane se blottit contre elle, pose sa main sur la cuisse de son amie et la caresse en faisant de petits cercles.

Lentement la main moite passe sous la nuisette et monte le long de la cuisse. Isabelle frisonne, serre les poings, elle se demande où elle s'est embarquée. L'intruse glisse sur son ventre, frôle, dangereusement, son bas-ventre.
La bouche de Valériane se pose avec douceur sur un mamelon, et le gobe au travers le tissu. Les aspirations répétées font serrer les dents à Isabelle qui ne sait pas comment réagir. Les succions deviennent plus violentes. Isabelle souffle comme un bœuf, mais ne les refuse pas. La main continue sa progression dangereuse, et s'enfonce sans brusquerie entre les cuisses d'Isabelle qui par instinct se raidit, Valériane frotte la vulve, la toison est déjà humide. Deux doigts volontaires s'insèrent dans le sillon que forment les grandes lèvres, montent progressivement vers la boule magique et la caresse délicatement. Valériane a l'art de faire gonfler les mamelons autant que le clito de son amour. Isabelle se surprend à gémir.

Avec ses dents, la coquine déchire le tissu et libère un mamelon qui se détend comme un ressort. Rapidement, elle aspire, et le suce comme une affamée. Isabelle en se cabrant dit faiblement :

-Mais qu'est-ce qui nous arrive Valériane, non, non, arrête, je t'en prie, non, non !

Isabelle se sent molle et ans force, elle veut que Valériane cesse de jouer avec son corps, mais ses sens ne sont pas du même avis. Les doigts habiles s'emparent de son clito et commencent un doux branlage qui prend de la vitesse. Isabelle grommelle :

-Valériane, tu es un monstre, je te hais, oh mon Dieu, tu me rends folle, arrête, arrête, je vais jouir !


Valériane, délaisse les mamelons et se concentre sur le clito, qu'elle agite furieusement. Dans un cri qu'elle tente d'étouffer en se mordant le poignet, Isabelle explose de jouissance. Son corps retombe lourdement sur le lit. Elle marmonne :

-Je deviens folle, oui, je suis folle, Val, tu es un monstre, mais pourquoi que je t'ai rencontré !


Valériane pose ses lèvres sur les siennes, et l'embrasse avec amour, Isabelle ne refuse pas le baiser, au contraire. Elle prend par le cou Valériane, et lui rend le baiser avec beaucoup de fougue. Les Langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler, un changement abondant de salive se fait. Les respirations sont rapides, les soufflent bruyants. Après le baiser, les deux femmes se regardent longuement sans se dire un mot, leurs yeux brillent de mille feux. Lentement, Valériane retire la nuisette de son amour, qui n'oppose aucune résistance, puis, sans la quitter des yeux, retire la sienne. Il est vrai que les seins de Valériane sont plus généreux que ceux d'Isabelle, qui, par contre, a un plus beau fessier. Profondément troublée par ce qui lui arrive, cette femme d'âge mûr rougit terriblement. Ses yeux parcourent le corps de son amie, s'attardant sur ses formes. Elle porte un intérêt particulier à sa poitrine, sans omettre les fines lèvres vaginales bien dessinées. Elle remarque aussi que la toison est humide, autant que la sienne.

Valériane commence à lui caresser la poitrine, elle ferme les yeux tellement elle a honte. Bien que pas très gros, les seins portent au centre d'aréoles brunes de gros mamelons bien épais. Qu'Isabelle saisit entre ses longs doigts fins, elle les étire, et les roule. Les étirements, entrecoupés de petites pressions, font gémir Isabelle qui se soumet à l'agression mammaire. Les mamelons, très sollicités, deviennent énormes. Valériane les gobe à tour de rôle, et les tète comme un enfant qui s'allaite. Isabelle gémit, serre les poings et faiblement se met à supplier son amante :

-Non Valériane, cesse, je t'en prie, ce n'est pas saint, tu me rends folle !

Mais elle ne l'entend pas et accentue les succions. Isabelle cède à l'appel des sens, elle appuie sur la tête de son amante en gémissant de plaisir. La bouche vorace descend sur le corps fébrile, donne sur chaque parcelle de peau un baiser humide. La langue agile s'attarde sur le nombril, en arrachant à la soumise d'innombrables soupirs. Valériane lui donne des baisers bruyants sur le haut de la vulve, qui rejette des effluves odorante. Automatiquement, sans s'en rendre compte, Isabelle ouvre les cuisses. la bouche affamée se pose sur sa fente dégoulinante de cyprine et la lèche, les coups de langues font couiner Isabelle, bien qu'elle ne soit pas lesbienne, pas plus que Valériane d'ailleurs, elle semble apprécier le traitement lingual que son amante lui inflige, les grognements qu'elle pousse le prouvent.

la langue agile de la jeunette, fouille profondément la vulve en surchauffe d'Isabelle qui ne retient plus ses gémissements, elle agite son bassin sa jouissance approche à grands pas. Elle se cambre fortement en appuyant très fort sur la tête de son amante. Un cri presque inhumain sort de sa gorge, une jouissance terrible secoue son corps. Elle retombe sur le lit en haletant comme une bête malade. Ses yeux pleins de larmes accrochent ceux de Valériane. honteuse, elle les baisse et dit faiblement
entre deux souffles :

-Mais qu'est-ce qui m'arrive, Valériane, tu m'as ensorcelée !

En souriant, valériane pose ses lèvres sur celles de son amour et l'embrasse fougueusement, Isabelle lui rend son baiser avec autant de fougue. Elle s'allonge à côté d'elle et lui prend la main, elle l'embrasse et la pose sur sa poitrine. Isabelle a un geste de recul, mais Valériane lui maintient la main sur son sein. Timidement, Isabelle commence à malaxer le lobe mammaire, Valériane, doucement, retire sa main et laisse ouvrer son amour. Isabelle s'enhardit, elle se redresse et pétrit les seins sans cesser de les regarder. Valériane soupire profondément, en fermant les yeux. Les doigts tremblants s'enfoncent dans les chairs souples, avant de s'emparer des mamelons, Isabelle veut reproduire sur sa jeune amante ce qu'elle lui a fait subir. Elle les roule, les écrase entre ses doigts, puis avec un temps d'hésitation les gobe à tour de rôle.

Isabelle prend de l'assurance, ses succions deviennent de plus en plus appuyées. Valériane est sur un nuage, elle gémit en s'agrippant aux draps. Ses mamelons, longuement travaillés, deviennent larges et épais. Isabelle se lâche totalement., elle mord les mâts dressés, en arrachant à son amante des gémissements de bête blessée. Enfin, sa bouche descend sur le torse, quelques coups de langue sont donnés sur la peau laiteuse de Valériane qui ne cesse de gémir faiblement. La langue râpeuse approche du temple des plaisirs, Isabelle le hume fortement, puis avec audace pose sa bouche dessus. Elle se permet, d'aspirer le jus que la chatte rejette, et de l'avaler en grognant comme un fauve en rut. Lorsque la langue s'enfonce profondément dans son vagin, Valériane se cabre en poussant un long râle. Elle grommelle :

-Oui, oui, vas-y mon amour, c'est trop bon !

Encourager, Isabelle s'attaque au clito qui est devenu méconnaissable. Elle le tète, le suce en grognant autant que son amante; Puis prise d'une rage, elle le mordille, l'aspire le plus fort possible, le serre entre ses dents. Valériane se tend comme un arc qui va décocher sa flèche. Un cri horrible sort de sa bouche. Sa jouissance est fantastique, son corps en suspension s'agite fortement avant de retomber sur le lit.

Instinctivement, elle s'accroche à Isabelle en la serrant très fort dans ses bras. Elle lui dit plusieurs fois :

-Oh comme je t'aime, mon amour, tu es tout pour moi !

Isabelle est surprise d'avoir donnée autant de plaisir à Valériane, la coquine c'est lancée presque contrainte dans le lesbianisme. Mais cela ne semble pas lui déplaire

Elle regarde la vulve lâcher sa cyprine, Valériane a tellement mouillée, que le lit en porte les traces. Les deux femmes font l'amour une grande partie de la nuit avant de se réveiller enlacées au petit matin.