Un anniversaire fantastique
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Un anniversaire fantastique
Aurore frise la soixantaine, cette femme pleine de charme est mariée avec Paul, un homme qui ne veut que son bonheur. Un jour, au cours d'une discussion entre Aurore et une de ses amies Lucile, il surprend qu'Aurore a un fantasme, c'est qu'elle aimerait mettre du piment dans ses ébats sexuels. Depuis, il l'imagine soumise à une gouine féroce qui la fait gémir comme une bête, et à un homme puissant qui la défonce comme un soudard. Cela le met dans un état d'excitation terrible, ses érections sont monstrueuses, souvent lorsqu'il est seul, il se masturbe pour calmer ses pulsions. Maintenant, il regarde sa femme d'un autre œil, en pensant à des trucs salaces que sa femme ferait.
Mais le bougre n'ose lui avouer qu'il connait son fantasme, de peur de la troubler. Mais de plus en plus il y pense, il décide pour son anniversaire de lui offrir un couple plus que stripteaseur.
Il invite pour ce jour-là quelques amis très intimes. Aurore est heureuse de fêter son anniversaire avec des amis. Son mari met les petits plats dans les grands, il s'occupe de tout. Aurore passe sa matinée dans la salle de bain pour se faire belle pour son mari et ses amis. Enfin c'est l'heure, la sonnette retentit, les invités sont là. Après des embrassades interminables, ils sont invités à prendre l'apéro au salon. L'alcool coule à flot, Aurore, elle qui ne boit jamais, est euphorique autant que sa Lucile. Rapidement la discussion dérape sur le sexe, lorsque l'on parle d'orgie, les yeux d'Aurore se mettent à pétiller. Elle pose beaucoup de questions à ses amis, dont certains sont adeptes d'échanges et vantent les plaisirs immoraux, et les jouissances que cela produit.
Aurore est toute ouïe, elle ne perd pas un mot des détails que donnent les habitués d'échanges. Elle salive, déglutit bruyamment. Paul la regarde en souriant, il attend la fin du repas pour voir comment elle va réagir avec les stripteaseurs. Le diner se passe dans une bonne ambiance. Enfin le gâteau servit et le champagne coule à flot. À l'heure indiquée, la sonnette résonne, Paul se précipite et reçoit les artistes, et les fait rentrer. Tous tournent la tête vers les nouveaux arrivants. La femme dans la trentaine est magnifique, l'homme à peu près du même âge est bien sculpté. Paul dit en souriant :
— Ma chérie, c'est ton cadeau !
Tous passent au salon, la table est poussée, une chaise est mise au centre de la pièce, et on demande à Aurore de s'y assoir. Pas rassurée, elle prend place, elle dévisage longuement les deux acteurs, avant qu'ils ne commencent à danser. Les corps ondulent, se frottent outrageusement. Lentement avec des gestes bien calculés, le coule s'effeuille. Aurore a les yeux écarquillés, les deux se retrouvent nus face à elle, et entament une danse très sensuelle. Les bassins se frottent, les mains caressent les peaux, délicatement comme un rituel. L'homme enlace la femme, elle se penche en arrière un maximum. Il s'agrippe à ses hanches et donne de petits coups de reins en stimulant l'acte sexuel. Aurore sursaute, elle devient fébrile. Petit à petit la verge de l'homme prend du volume. Sa complice s'accroche à son cou, lève une jambe jusqu'à la taille de l'homme qui la saisit et la maintient contre lui. La femme saisit la verge dure comme du béton et la dirige vers sa chatte.
L'homme donne un coup de reins, la femme pousse un gémissement en prenant dans le ventre la verge entièrement. Aurore n'en croit pas ses yeux, l'homme assène à sa partenaire des coups de reins de plus en plus violents. Tous les invités muets ont les yeux rivés sur le couple en action. Aurore serre les cuisses, sa chatte suinte affreusement, sa culotte est trempée. La femme pousse un hurlement de jouissance. L'homme se retire du ventre de sa complice et avance vers Aurore. Prise de panique, elle regarde son mari, qui en souriant lui dit :
-C'est ton anniversaire ma chérie, tu es la reine, profites-en !
Aurore regarde la verge recouverte de cyprine. Elle est si prêt de son visage que son amie Lucile lui dit :
— Suce-la ma chérie, fais-toi plaisir, ton mari le permet, vas-y, vas-y, réalise ton fantasme !
Elle regarde son mari qui l'encourage en opinant de la tête. En tremblant, elle saisit le membre, le décalotte et observe un long moment le gland, avant de lui donner quelques coups de langue bien ajustés dessus. La femme s'approche et pendant qu'Aurore taquine le gland, lui ouvre le corsage, et lui fait sauter le soutien-gorge. Ses seins jaillissent comme deux obus, les aréoles brunes fortement grenelées sont garnies de mamelons très épais. Dans la pièce, des couples excités se forment, se caressent et rapidement ils se retrouvent nus. Paul ne quitte pas des yeux sa femme, son pantalon est déformé par une énorme bosse.
De son côté, Aurore, gobe le gland, le suce le tète avec délectation, elle savoure le chapeau de chair, en poussant de petits gémissements étouffés. La femme lui malaxe les seins, les pétrit, joue avec ses mamelons, elle les roule entre ses doigts agiles, les étire, et les presse pour faire gémir la reine de la fête. L'homme regarde Paul, il est au bord de l'éjaculation, il dit :
-Je vais jouir !
Paul lui dit en ravalant sa salive :
— Vas-y, ne te retiens pas envoie ta semence !
Pour l'homme, c'est comme un soulagement. En grognant comme un animal, il remplit la bouche d'Aurore, qui, surprise par la puissance de la décharge, repousse l'homme. Elle regarde son mari, ses yeux sont embués :
— Paul l'encourage :
— Avaler ma chérie, avale !
Sans quitter des yeux son mari, Aurore déglutit, puis par petites gorgées avale le sperme épais que l'inconnu lui offre. La femme passe ses mains sous la jupe d'Aurore et, avec adresse, lui retire la culotte. Elle lui retrousse la jupe sur la taille et lui ouvre doucement les cuisses. L'actrice passe sa tête entre les cuisses ouvertes et aspire le jus que la chatte ne peut retenir. Lorsqu'elle enfonce profondément sa langue dans le vagin, Aurore pousse un long râle. La langue agile fouille chaque recoin, en arrachant à la soumise des gémissements qui font saliver son mari.
Aurore se cabre, gémit comme une bête blessée. Mais dès que la femme lui aspire le clito, l'effet est presque immédiat, elle explose de jouissance en hurlant. La femme se redresse rapidement, c'est son comparse qui se place entre les cuisses de la jouisseuse. Et lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre. Un râle d'agonisante sort de la gorge d'Aurore, elle se cramponne à la chaise comme elle peut, en serrant les dents, et en soufflant comme un dragon. La verge voyage dans son ventre en prenant de la vitesse. Malgré que ses yeux sont vitreux, Aurore regarde comme pour implorer son mari. C'est en souriant qu'il lui dit :
— Prends ton pied, explose ma chérie, c'est ce que tu désirais, alors ne te retiens pas, donne-toi à fond !
L'homme lui travaille la chatte comme un forcené, les gémissements d'Aurore sont terribles. L'amant d'un jour se bloque et envoie dans le ventre de sa proie son sperme brûlant. Aurore s'agite comme une hystérique sur la queue plantée en elle. Elle se cabre et jouit à son tour, en hurlant comme une bête blessée. L'homme continue de la défoncer, il obtient d'Aurore une seconde jouissance. Il se retire du ventre accueillant et reste entre les cuisses de sa proie.
Quant à Paul n'en peut plus, il bande comme un poney. La femme fait un l'extra, elle baisse le pantalon et le slip de Paul, elle le bascule sur le sol et s'empale sur sa queue dressée. Elle s'agite férocement, Paul donne des coups de reins terribles et trouve enfin sa jouissance, il lui remplit le ventre de semence en râlant. Sur les fauteuils et le canapé, des couples se défoncent, des gémissements bruyants résonnent dans la pièce surchauffée.
Lucile regarde son amie qui halète terriblement, assise sur le bord de la chaise. Il lui passe par la tête une idée folle. Elle s'avance, replie les jambes d'Aurore sur son ventre, qui se demande ce qu'il lui arrive. Lucile saisit la verge gluante de l'acteur et la place contre l'anus de son amie. L'homme prend ça pour une invitation, saisit les hanches d'Aurore et pousse. Lentement la queue s'enfonce dans le rectum de plus en plus loin. La soumise grimace, serre les dents mais ne refuse pas la sodomie. Une fois qu'il l'a empalée jusqu'à la garde, l'homme commence à s'agiter. Aurore s'accroche à la chaise pour ne pas chuter. Elle gémit de plus en plus de fois, croise le regard de son mari et dit :
— Regarde Paul, il me prend le cul, ta surprise est merveilleuse mon chéri, depuis le temps que j'imaginais me faire détruire les orifices par des inconnus, mon fantasme se réalise enfin grâce à toi, merci mon chéri, regarde comme il m'ouvre, oh comme c'est bon, mon Dieu je vais jouir !
En serrant les dents, Lucie lui branle le clito avec rage en marmonnant :
— Jouis salope, jouis, c'est bon de te voir jouir !
La femme qui chevauche Paul cherche maintenant son propre plaisir. Son corps monte et descend sur la verge puissante qui l'embroche. Elle grince des dents, s'agite comme une dingue en couinant de plaisir. Soudain un hurlement presque inhumain se fait entendre. Aurore vient de jouir du cul comme jamais elle ne l'a fait. Elle est cambrée comme un pont en pleine tempête en gémissant comme une bête malade. Lucile lui écrase le clito, ce qui provoque une seconde jouissance aussi fabuleuse que la précédente. L'homme donne des coups de reins puissants, il est en sueur. En grimaçant, il lui envoie dans les intestins un flot de sperme épais. Paul se redresse pour regarder sa femme jouir, jamais il ne l'a vue dans un état d'excitation aussi intense.
La femme qui le chevauche explose en lui enfonçant ses ongles dans la peau. Paul grimace mais cela déclenche en lui une seconde jouissance, il lui remplit le ventre de sperme en rugissant comme un fauve. Plus les heures tournent, plus l'orgie devient plus intense. De nombreux échanges de partenaires se font. Lucile subit une double pénétration monstrueuse, ses râles bruyants font tourner la tête à Paul, qui écarquille les yeux, il se pince les lèvres et regarde sa femme qui halète sans force sur sa chaise, il lui dit :
— Ma chérie, lorsque tu jouis tu es encore plus belle, jouis encore ma chérie, fais-toi éclater, explose comme jamais tu ne l'as fait, vas-y, vas-y, c'est ton anniversaire fais-toi ouvrir les deux trous par de bonnes bites, ce n'est pas ce qui manque aujourd'hui !
Aurore dans un état second, regarde Lucile sur le sol, qui embrochée par deux bites gémit affreusement. Elle croise le regard de son amie, qui entre deux gémissements lui dit :
-C'est trop bon ma chérie, mon Dieu comme ils me prennent, c'est fantastique je meurs de plaisir, ouah je vais jouir, oh putain oh putain oui, oui !
Une jouissance hors norme fait cabrer Lucile, qui retombe lourdement sur le sol. Ses deux amants la défoncent jusqu'à ce qu'ils lui remplissent les entrailles de sperme. Les yeux vitreux d'Aurore ne quittent pas son amie qui halète sur le sol, une seconde jouissance la fait hurler. Les corps épuisés et en manque de souffle se libèrent. Sous les conseils de Paul, le stripteaseur s'allonge sur le sol. Deux volontaires saisissent Aurore, sa jupe est retirée. Les deux hommes empalent brutalement Aurore sur la queue dressée de l'homme au sol, plusieurs fois ils la relèvent pour la réempaler fortement. Aurore gémit comme un animal que l'on maltraite, sa chatte est béante, de la cyprine en abondance s'échappe. Les hommes font faire à son corps un ascenseur. Les montées sont lentes, mais par contre, les descentes sont violentes.
Un attroupement se forme autour du quatuor, Paul salive fortement, sa femme à chaque pénétration pousse un long râle. Les deux hommes la désaccouplent, une invitée dirige le membre de l'acteur vers l'anus bien ouvert d'Aurore. Un empalement brutal la fait gémir et grimacer, les deux hommes reprennent les montées et les descentes. Aurore prise par le cul couine comme une bête, elle s'accroche aux deux hommes en gémissant. Enfin la verge revient dans sa chatte, les deux invités pèsent sur ses épaules pour que la pénétration soit totale. Paul s'avance, Aurore se plaque contre le torse de son amant, en gémissant faiblement. Son mari lui enfonce sa queue dans le rectum jusqu'aux couilles en soufflant comme un taureau, il dit :
— C'est ta fête ma chérie, profite bien des plaisirs du sexe, oh comme ton cul est brûlant, je me régale !
Prise en double la première fois de sa vie, Aurore agite doucement son bassin, avant que ses deux amants n'entrent en action. C'est dans un état presque comateux qu'elle marmonne :
— Merci mon chéri, de me permettre autant de plaisirs, et de merveilleuses jouissances, oh merci mon chéri, c'est trop bon deux queues en même temps dans son corps !
Les deux hommes cherchent une bonne synchronisation, puis lâchent les chevaux. Aurore est défoncée sauvagement, par ses deux amants violents. Les coups de queue puissants claquent lors des pénétrations. Les yeux des invités sont rivés sur le trio. Les deux hommes en furie ne ménagent pas Aurore, qui pâme de bonheur. Elle grogne comme un animal qui va se jeter sur sa proie. Une violente puissance la fait hurler :
— Encore, encore, oh mon Dieu comme j'aime ça, Paul, Paul, mon chéri, oh je vais encore jouir, oui, oui, ça vient, ça vient !
Une seconde jouissance lui traverse les entrailles, elle se laisse tomber sur le corps de l'acteur, qui ne cesse comme son mari de la pilonner. Ils déversent dans son corps tout ce qui leur reste dans les couilles.
Ivre de jouissance, Aurore demande grâce.
Mais le bougre n'ose lui avouer qu'il connait son fantasme, de peur de la troubler. Mais de plus en plus il y pense, il décide pour son anniversaire de lui offrir un couple plus que stripteaseur.
Il invite pour ce jour-là quelques amis très intimes. Aurore est heureuse de fêter son anniversaire avec des amis. Son mari met les petits plats dans les grands, il s'occupe de tout. Aurore passe sa matinée dans la salle de bain pour se faire belle pour son mari et ses amis. Enfin c'est l'heure, la sonnette retentit, les invités sont là. Après des embrassades interminables, ils sont invités à prendre l'apéro au salon. L'alcool coule à flot, Aurore, elle qui ne boit jamais, est euphorique autant que sa Lucile. Rapidement la discussion dérape sur le sexe, lorsque l'on parle d'orgie, les yeux d'Aurore se mettent à pétiller. Elle pose beaucoup de questions à ses amis, dont certains sont adeptes d'échanges et vantent les plaisirs immoraux, et les jouissances que cela produit.
Aurore est toute ouïe, elle ne perd pas un mot des détails que donnent les habitués d'échanges. Elle salive, déglutit bruyamment. Paul la regarde en souriant, il attend la fin du repas pour voir comment elle va réagir avec les stripteaseurs. Le diner se passe dans une bonne ambiance. Enfin le gâteau servit et le champagne coule à flot. À l'heure indiquée, la sonnette résonne, Paul se précipite et reçoit les artistes, et les fait rentrer. Tous tournent la tête vers les nouveaux arrivants. La femme dans la trentaine est magnifique, l'homme à peu près du même âge est bien sculpté. Paul dit en souriant :
— Ma chérie, c'est ton cadeau !
Tous passent au salon, la table est poussée, une chaise est mise au centre de la pièce, et on demande à Aurore de s'y assoir. Pas rassurée, elle prend place, elle dévisage longuement les deux acteurs, avant qu'ils ne commencent à danser. Les corps ondulent, se frottent outrageusement. Lentement avec des gestes bien calculés, le coule s'effeuille. Aurore a les yeux écarquillés, les deux se retrouvent nus face à elle, et entament une danse très sensuelle. Les bassins se frottent, les mains caressent les peaux, délicatement comme un rituel. L'homme enlace la femme, elle se penche en arrière un maximum. Il s'agrippe à ses hanches et donne de petits coups de reins en stimulant l'acte sexuel. Aurore sursaute, elle devient fébrile. Petit à petit la verge de l'homme prend du volume. Sa complice s'accroche à son cou, lève une jambe jusqu'à la taille de l'homme qui la saisit et la maintient contre lui. La femme saisit la verge dure comme du béton et la dirige vers sa chatte.
L'homme donne un coup de reins, la femme pousse un gémissement en prenant dans le ventre la verge entièrement. Aurore n'en croit pas ses yeux, l'homme assène à sa partenaire des coups de reins de plus en plus violents. Tous les invités muets ont les yeux rivés sur le couple en action. Aurore serre les cuisses, sa chatte suinte affreusement, sa culotte est trempée. La femme pousse un hurlement de jouissance. L'homme se retire du ventre de sa complice et avance vers Aurore. Prise de panique, elle regarde son mari, qui en souriant lui dit :
-C'est ton anniversaire ma chérie, tu es la reine, profites-en !
Aurore regarde la verge recouverte de cyprine. Elle est si prêt de son visage que son amie Lucile lui dit :
— Suce-la ma chérie, fais-toi plaisir, ton mari le permet, vas-y, vas-y, réalise ton fantasme !
Elle regarde son mari qui l'encourage en opinant de la tête. En tremblant, elle saisit le membre, le décalotte et observe un long moment le gland, avant de lui donner quelques coups de langue bien ajustés dessus. La femme s'approche et pendant qu'Aurore taquine le gland, lui ouvre le corsage, et lui fait sauter le soutien-gorge. Ses seins jaillissent comme deux obus, les aréoles brunes fortement grenelées sont garnies de mamelons très épais. Dans la pièce, des couples excités se forment, se caressent et rapidement ils se retrouvent nus. Paul ne quitte pas des yeux sa femme, son pantalon est déformé par une énorme bosse.
De son côté, Aurore, gobe le gland, le suce le tète avec délectation, elle savoure le chapeau de chair, en poussant de petits gémissements étouffés. La femme lui malaxe les seins, les pétrit, joue avec ses mamelons, elle les roule entre ses doigts agiles, les étire, et les presse pour faire gémir la reine de la fête. L'homme regarde Paul, il est au bord de l'éjaculation, il dit :
-Je vais jouir !
Paul lui dit en ravalant sa salive :
— Vas-y, ne te retiens pas envoie ta semence !
Pour l'homme, c'est comme un soulagement. En grognant comme un animal, il remplit la bouche d'Aurore, qui, surprise par la puissance de la décharge, repousse l'homme. Elle regarde son mari, ses yeux sont embués :
— Paul l'encourage :
— Avaler ma chérie, avale !
Sans quitter des yeux son mari, Aurore déglutit, puis par petites gorgées avale le sperme épais que l'inconnu lui offre. La femme passe ses mains sous la jupe d'Aurore et, avec adresse, lui retire la culotte. Elle lui retrousse la jupe sur la taille et lui ouvre doucement les cuisses. L'actrice passe sa tête entre les cuisses ouvertes et aspire le jus que la chatte ne peut retenir. Lorsqu'elle enfonce profondément sa langue dans le vagin, Aurore pousse un long râle. La langue agile fouille chaque recoin, en arrachant à la soumise des gémissements qui font saliver son mari.
Aurore se cabre, gémit comme une bête blessée. Mais dès que la femme lui aspire le clito, l'effet est presque immédiat, elle explose de jouissance en hurlant. La femme se redresse rapidement, c'est son comparse qui se place entre les cuisses de la jouisseuse. Et lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans le ventre. Un râle d'agonisante sort de la gorge d'Aurore, elle se cramponne à la chaise comme elle peut, en serrant les dents, et en soufflant comme un dragon. La verge voyage dans son ventre en prenant de la vitesse. Malgré que ses yeux sont vitreux, Aurore regarde comme pour implorer son mari. C'est en souriant qu'il lui dit :
— Prends ton pied, explose ma chérie, c'est ce que tu désirais, alors ne te retiens pas, donne-toi à fond !
L'homme lui travaille la chatte comme un forcené, les gémissements d'Aurore sont terribles. L'amant d'un jour se bloque et envoie dans le ventre de sa proie son sperme brûlant. Aurore s'agite comme une hystérique sur la queue plantée en elle. Elle se cabre et jouit à son tour, en hurlant comme une bête blessée. L'homme continue de la défoncer, il obtient d'Aurore une seconde jouissance. Il se retire du ventre accueillant et reste entre les cuisses de sa proie.
Quant à Paul n'en peut plus, il bande comme un poney. La femme fait un l'extra, elle baisse le pantalon et le slip de Paul, elle le bascule sur le sol et s'empale sur sa queue dressée. Elle s'agite férocement, Paul donne des coups de reins terribles et trouve enfin sa jouissance, il lui remplit le ventre de semence en râlant. Sur les fauteuils et le canapé, des couples se défoncent, des gémissements bruyants résonnent dans la pièce surchauffée.
Lucile regarde son amie qui halète terriblement, assise sur le bord de la chaise. Il lui passe par la tête une idée folle. Elle s'avance, replie les jambes d'Aurore sur son ventre, qui se demande ce qu'il lui arrive. Lucile saisit la verge gluante de l'acteur et la place contre l'anus de son amie. L'homme prend ça pour une invitation, saisit les hanches d'Aurore et pousse. Lentement la queue s'enfonce dans le rectum de plus en plus loin. La soumise grimace, serre les dents mais ne refuse pas la sodomie. Une fois qu'il l'a empalée jusqu'à la garde, l'homme commence à s'agiter. Aurore s'accroche à la chaise pour ne pas chuter. Elle gémit de plus en plus de fois, croise le regard de son mari et dit :
— Regarde Paul, il me prend le cul, ta surprise est merveilleuse mon chéri, depuis le temps que j'imaginais me faire détruire les orifices par des inconnus, mon fantasme se réalise enfin grâce à toi, merci mon chéri, regarde comme il m'ouvre, oh comme c'est bon, mon Dieu je vais jouir !
En serrant les dents, Lucie lui branle le clito avec rage en marmonnant :
— Jouis salope, jouis, c'est bon de te voir jouir !
La femme qui chevauche Paul cherche maintenant son propre plaisir. Son corps monte et descend sur la verge puissante qui l'embroche. Elle grince des dents, s'agite comme une dingue en couinant de plaisir. Soudain un hurlement presque inhumain se fait entendre. Aurore vient de jouir du cul comme jamais elle ne l'a fait. Elle est cambrée comme un pont en pleine tempête en gémissant comme une bête malade. Lucile lui écrase le clito, ce qui provoque une seconde jouissance aussi fabuleuse que la précédente. L'homme donne des coups de reins puissants, il est en sueur. En grimaçant, il lui envoie dans les intestins un flot de sperme épais. Paul se redresse pour regarder sa femme jouir, jamais il ne l'a vue dans un état d'excitation aussi intense.
La femme qui le chevauche explose en lui enfonçant ses ongles dans la peau. Paul grimace mais cela déclenche en lui une seconde jouissance, il lui remplit le ventre de sperme en rugissant comme un fauve. Plus les heures tournent, plus l'orgie devient plus intense. De nombreux échanges de partenaires se font. Lucile subit une double pénétration monstrueuse, ses râles bruyants font tourner la tête à Paul, qui écarquille les yeux, il se pince les lèvres et regarde sa femme qui halète sans force sur sa chaise, il lui dit :
— Ma chérie, lorsque tu jouis tu es encore plus belle, jouis encore ma chérie, fais-toi éclater, explose comme jamais tu ne l'as fait, vas-y, vas-y, c'est ton anniversaire fais-toi ouvrir les deux trous par de bonnes bites, ce n'est pas ce qui manque aujourd'hui !
Aurore dans un état second, regarde Lucile sur le sol, qui embrochée par deux bites gémit affreusement. Elle croise le regard de son amie, qui entre deux gémissements lui dit :
-C'est trop bon ma chérie, mon Dieu comme ils me prennent, c'est fantastique je meurs de plaisir, ouah je vais jouir, oh putain oh putain oui, oui !
Une jouissance hors norme fait cabrer Lucile, qui retombe lourdement sur le sol. Ses deux amants la défoncent jusqu'à ce qu'ils lui remplissent les entrailles de sperme. Les yeux vitreux d'Aurore ne quittent pas son amie qui halète sur le sol, une seconde jouissance la fait hurler. Les corps épuisés et en manque de souffle se libèrent. Sous les conseils de Paul, le stripteaseur s'allonge sur le sol. Deux volontaires saisissent Aurore, sa jupe est retirée. Les deux hommes empalent brutalement Aurore sur la queue dressée de l'homme au sol, plusieurs fois ils la relèvent pour la réempaler fortement. Aurore gémit comme un animal que l'on maltraite, sa chatte est béante, de la cyprine en abondance s'échappe. Les hommes font faire à son corps un ascenseur. Les montées sont lentes, mais par contre, les descentes sont violentes.
Un attroupement se forme autour du quatuor, Paul salive fortement, sa femme à chaque pénétration pousse un long râle. Les deux hommes la désaccouplent, une invitée dirige le membre de l'acteur vers l'anus bien ouvert d'Aurore. Un empalement brutal la fait gémir et grimacer, les deux hommes reprennent les montées et les descentes. Aurore prise par le cul couine comme une bête, elle s'accroche aux deux hommes en gémissant. Enfin la verge revient dans sa chatte, les deux invités pèsent sur ses épaules pour que la pénétration soit totale. Paul s'avance, Aurore se plaque contre le torse de son amant, en gémissant faiblement. Son mari lui enfonce sa queue dans le rectum jusqu'aux couilles en soufflant comme un taureau, il dit :
— C'est ta fête ma chérie, profite bien des plaisirs du sexe, oh comme ton cul est brûlant, je me régale !
Prise en double la première fois de sa vie, Aurore agite doucement son bassin, avant que ses deux amants n'entrent en action. C'est dans un état presque comateux qu'elle marmonne :
— Merci mon chéri, de me permettre autant de plaisirs, et de merveilleuses jouissances, oh merci mon chéri, c'est trop bon deux queues en même temps dans son corps !
Les deux hommes cherchent une bonne synchronisation, puis lâchent les chevaux. Aurore est défoncée sauvagement, par ses deux amants violents. Les coups de queue puissants claquent lors des pénétrations. Les yeux des invités sont rivés sur le trio. Les deux hommes en furie ne ménagent pas Aurore, qui pâme de bonheur. Elle grogne comme un animal qui va se jeter sur sa proie. Une violente puissance la fait hurler :
— Encore, encore, oh mon Dieu comme j'aime ça, Paul, Paul, mon chéri, oh je vais encore jouir, oui, oui, ça vient, ça vient !
Une seconde jouissance lui traverse les entrailles, elle se laisse tomber sur le corps de l'acteur, qui ne cesse comme son mari de la pilonner. Ils déversent dans son corps tout ce qui leur reste dans les couilles.
Ivre de jouissance, Aurore demande grâce.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Voilà un anniversaire dont Aurore se souviendra!
J’adore
