Un après-midi d’automne bien chaud

Récit érotique écrit par Jay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Un après-midi d’automne bien chaud
Merci de me lire. Vos commentaires et messages sont toujours appréciés.
*
C’était une de ces belles journées d’automne, un peu fraîches. Juste assez pour sortir la veste en cuir, un pull léger et des bottillons. La lumière douce et diaphane n’éblouissait plus autant, reléguant les verres solaires à un simple accessoire de mode à cette heure avancée de l’après-midi. D’ailleurs, les miens reposaient fièrement sur ma tête.
Je flânais en direction du quartier des spectacles, sans l’intention d’assister à un concert ou à une pièce de théâtre. Mon but était de me mêler à la foule, profitant des derniers rayons de soleil avant d’entrer chez moi.
N'ayant rien planifié pour la soirée, j'avais tout mon temps devant moi. Je m'adonnais à mon passe-temps préféré : observer les gens. Leur tenue, leurs actions, leurs façons de marcher. J'essayais de rester dans l’ombre, mais avec le crépuscule naissant, mes regards devenaient plus difficiles à cacher, et surtout plus évidents.
Je croisai un mec que je trouvais particulièrement séduisant, exactement le genre qui me fait perdre pied. Alors qu’il arrivait à ma hauteur, je lançai un regard discret dans sa direction. Je sentis qu’il s’en rendait compte, ce qui m’a terriblement excité.
Que faire ? me demandai-je. Me retourner pour voir où il se dirigeait. S'il me remarquait, quelle serait sa réaction ? Sans réfléchir davantage, le temps me semblait compté. Je jetai un coup d’œil à gauche et aperçus une boutique pour hommes. Alors, je fis volte-face et décidai d’y entrer, tout en glissant un regard furtif vers cet homme intriguant.
Il s’était arrêté et semblait chercher quelque chose. J’ouvris lentement la porte de la boutique, toujours sans cesser de l’observer discrètement. Puis, je pénétrai à l’intérieur, incapable de me résoudre à aller directement vers lui pour provoquer une rencontre fortuite.
Je m’en accommodai, me disant qu’un de perdu, dix de retrouvés, comme veut le dicton.
Dans ce qui semblait être un coup du sort, je me retrouvai dans une magnifique boutique proposant des fringues stylées et sexy, confectionnées dans du denim et du cuir d’une qualité remarquable. Je commençai ma visite en explorant le rayon des vestes, quand soudain, la porte s’ouvrit, laissant apparaître l’homme que j’avais remarqué plus tôt.
Mon cœur s’emballa, et pendant un instant, je fus complètement déstabilisé. Que faire, maintenant qu’il se trouvait dans la boutique ? Je devais me ressaisir, sauf que je ressentais une pulsion intense qui embrouillait mes pensées. Je choisis alors de feindre l’indifférence, le temps de laisser les choses se dérouler naturellement.
Je regardai des vêtements sans grand intérêt, mon esprit étant toujours attiré par ce gars qui respirait la virilité et avec qui j’aurais volontiers passé des moments intimes, faisant glisser les cintres sur la barre. Je relevai la tête pour voir où il se trouvait. Il me faisait dos et semblait regarder des slips accrochés à une tringle qu’il déplaçait un à un, les examinant minutieusement, comme s’il cherchait à tuer le temps.
Je me déplaçai furtivement pour mieux l'observer, tout en continuant de regarder les vestes suspendues à la tringle, m’attardant sur une en particulier. Après quelques instants, je levai les yeux. Il s'était retourné et se tenait maintenant face à moi. Nos regards se croisèrent, et il m'adressa un sourire si troublant que je sentis mon équilibre vaciller, comme si j'étais sur le point de me dissoudre.
Je lui rendis son sourire, remarquant son visage séduisant, rehaussé par une barbe de trois jours et un teint hâlé, qui lui conférait une allure irrésistiblement attirante.
— Tu cherches une nouvelle veste ? Pourtant celle que tu portes te va à merveille, m’a-t-il dit.
— Heu…Merci… Euh…ai-je répondu, complétement pris au dépourvu, cherchant mes mots sans réussir à formuler une réponse.
— Désolé ! Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise.
— Pas de soucis, c’est juste que je ne m’attendais pas à …
— Pourtant j’ai bien vu que tu me matais, non ? a-t-il ajouté avec un sourire espiègle.
— Désolé, je suis surpris. Je ne sais pas quoi te répondre... Euh…Oui, oui, je te regardais.
— C’est plutôt sympa... euh, a-t-il dit en fronçant légèrement les sourcils, comme pour demander mon nom.
— Xavier.
— Xavier, ça te tenterait de prendre un verre ? Bien sûr, une fois que tu auras fini ton shopping, m’a-t-il dit, tout en me lançant à nouveau ce sourire espiègle.
— Avec plaisir. Tu sais, je ne cherchais pas vraiment une nouvelle veste, lui ai-je répondit, avec assurance cette fois.
Puis, je lui souris et le suivis vers la sortie.
Léo m’invita dans une buvette située à quelques pas de la boutique. Il retira sa veste en cuir qu’il posa soigneusement sur le dossier de sa chaise avant de s’installer au bar. Il portait un pull ajusté, mettant en valeur sa musculature harmonieuse, ainsi qu’un jean super skinny qui épousait ses formes, soulignant ses cuisses et ses mollets. Son bracelet en cuir et l’anneau noir en métal qu’il portait au pouce étaient parfaitement assortis à sa tenue, ajoutant une touche d’élégance subtile.
Volubile et charmant, il captiva mon attention dès les premiers échanges. Au fil de la discussion, j’appris qu’il vivait et travaillait dans le quartier et qu’il était célibataire. Il fuyait les bars, mais pas les restaurants.
Plus nous parlions, plus il m’envoûtait. Assis face à face, il ponctuait parfois ses propos en posant sa main sur mon genou ou ma cuisse, ce qui me troublait profondément. Mon esprit s’égarait, imaginant la suite de la soirée. Tandis que je l’écoutais, mes yeux étaient rivés sur ses belles lèvres en mouvement, et une excitation grandissante s’emparait de moi. J’avais une envie irrésistible de l’embrasser sur-le-champ. Et il s’en aperçut.
— Et toi ? demanda-t-il
— Euh…moi…?
Il me sourit et comprit ce qu’il cherchait à confirmer : j’avais l’esprit ailleurs. Il planta son regard dans mes yeux brillants, me toucha le bras, et dit :
— Et si on allait chez moi ?
Un frisson parcourut mon corps, provocant un instant d'hésitation avant que j’accepter sa proposition.
Il se leva, attrapa sa veste et, en se dirigeant vers la sortie, effleura légèrement mes fesses, intensifiant mon excitation. Je croisai son regard et lui adressai un sourire. La soirée s'annonçait prometteuse.
Après m’avoir embrassé fougueusement dès que je refermai la porte de son appartement, il me souleva et m’amena dans sa chambre. Il se débarrassa de son pull, son jean et ses chaussettes rapidement, tout comme moi, avant de m’attraper par la taille et de se laisser choir sur le lit, m’entraînant avec lui.
Il m’attrapa la nuque, et de sa bouche dévora la mienne, tout en cherchant à me doigter. Je me cambrai, lui laissant tout l’espace désiré pour m’enfoncer un doigt pendant qu’il me suçait la langue. Son assaut me grisa de plaisir.
Sa bouche descendit explorer mon cou. Son majeur, toujours plus enfoncé, labourait mon fion. Je couinais grave. Mon corps tout entier était en transe.
Telle une ventouse, sa bouche poursuivit son chemin, tétant et léchant mamelons, abdos, aisselles sur son passage, avant d’assaillir ma verge. Il l’avala et la ressortit à plusieurs reprises, s’attardant à sucer mon gland suintant de nectar ou mes couilles qu’il prenait plaisir à gober. J’étais au point de bascule.
Il releva mes cuisses, afin de poursuivre sa descente, exposant mon anus. Il glissa sa langue entre mes fesses, toucha mon sphincter une première fois, me poussant encore plus près du précipice. Il lécha le pourtour de ma rondelle de sa chaude langue et testa sa souplesse en forçant l’entrée. Ses lèvres humides et sa barbe me labouraient sans relâche. Je haletais et couinais encore plus fort, dans un état d’abandon total.
J’aurais voulu que cet anulingus dure pour toujours. Léo avait rapidement trouvé le code pour me faire vivre un grand moment de pure jouissance. Mais mon cerveau reptilien me commandait d’accueillir sa grosse queue bien ronde et juteuse, qu’elle me porterait bien plus loin, aux portes de l’extase. Peu importe, au final, je savais qu’après cet assaut labial merveilleusement exécuté, le meilleur était à venir.
Léo se releva. Mes jambes glissèrent de chaque côté de lui. Il me fixa dans les yeux, remplis de lascivité, prêt à me faire vivre le moment ultime, l’atteinte du nirvana. Pendant que je le regardais délicieusement, il empoigna son sexe de sa main, le dirigea vers mon derrière et son gland pressa contre mon anus. Et, me regardant toujours bouche moite et mi-ouverte, me tenant en haleine un instant, il m’empala d’un seul trait. Je sentis une énorme décharge secouer tout mon corps.
Je sentis ses couilles bien serrées frapper mon pelvis. Léo attrapa mes bras et les déposa de chaque côté de ma tête pour affirmer sa domination, restreignant mes mouvements. Visiblement excité, il entreprit de me limer vigoureusement et sensuellement, en alternance. Mon esprit se perdit dans un épais brouillard de pulsions incontrôlables.
Il me sodomisa pendant de longues minutes. Puis, sa respiration s’accéléra. Je sentis son urètre se gonfler dans mon anus, il émit un long et guttural gémissement et m’insémina de multiples jets de sa semence. Il relâcha mes bras et m’embrassa en souriant, heureux de m’avoir croisé dans la rue.
*
C’était une de ces belles journées d’automne, un peu fraîches. Juste assez pour sortir la veste en cuir, un pull léger et des bottillons. La lumière douce et diaphane n’éblouissait plus autant, reléguant les verres solaires à un simple accessoire de mode à cette heure avancée de l’après-midi. D’ailleurs, les miens reposaient fièrement sur ma tête.
Je flânais en direction du quartier des spectacles, sans l’intention d’assister à un concert ou à une pièce de théâtre. Mon but était de me mêler à la foule, profitant des derniers rayons de soleil avant d’entrer chez moi.
N'ayant rien planifié pour la soirée, j'avais tout mon temps devant moi. Je m'adonnais à mon passe-temps préféré : observer les gens. Leur tenue, leurs actions, leurs façons de marcher. J'essayais de rester dans l’ombre, mais avec le crépuscule naissant, mes regards devenaient plus difficiles à cacher, et surtout plus évidents.
Je croisai un mec que je trouvais particulièrement séduisant, exactement le genre qui me fait perdre pied. Alors qu’il arrivait à ma hauteur, je lançai un regard discret dans sa direction. Je sentis qu’il s’en rendait compte, ce qui m’a terriblement excité.
Que faire ? me demandai-je. Me retourner pour voir où il se dirigeait. S'il me remarquait, quelle serait sa réaction ? Sans réfléchir davantage, le temps me semblait compté. Je jetai un coup d’œil à gauche et aperçus une boutique pour hommes. Alors, je fis volte-face et décidai d’y entrer, tout en glissant un regard furtif vers cet homme intriguant.
Il s’était arrêté et semblait chercher quelque chose. J’ouvris lentement la porte de la boutique, toujours sans cesser de l’observer discrètement. Puis, je pénétrai à l’intérieur, incapable de me résoudre à aller directement vers lui pour provoquer une rencontre fortuite.
Je m’en accommodai, me disant qu’un de perdu, dix de retrouvés, comme veut le dicton.
Dans ce qui semblait être un coup du sort, je me retrouvai dans une magnifique boutique proposant des fringues stylées et sexy, confectionnées dans du denim et du cuir d’une qualité remarquable. Je commençai ma visite en explorant le rayon des vestes, quand soudain, la porte s’ouvrit, laissant apparaître l’homme que j’avais remarqué plus tôt.
Mon cœur s’emballa, et pendant un instant, je fus complètement déstabilisé. Que faire, maintenant qu’il se trouvait dans la boutique ? Je devais me ressaisir, sauf que je ressentais une pulsion intense qui embrouillait mes pensées. Je choisis alors de feindre l’indifférence, le temps de laisser les choses se dérouler naturellement.
Je regardai des vêtements sans grand intérêt, mon esprit étant toujours attiré par ce gars qui respirait la virilité et avec qui j’aurais volontiers passé des moments intimes, faisant glisser les cintres sur la barre. Je relevai la tête pour voir où il se trouvait. Il me faisait dos et semblait regarder des slips accrochés à une tringle qu’il déplaçait un à un, les examinant minutieusement, comme s’il cherchait à tuer le temps.
Je me déplaçai furtivement pour mieux l'observer, tout en continuant de regarder les vestes suspendues à la tringle, m’attardant sur une en particulier. Après quelques instants, je levai les yeux. Il s'était retourné et se tenait maintenant face à moi. Nos regards se croisèrent, et il m'adressa un sourire si troublant que je sentis mon équilibre vaciller, comme si j'étais sur le point de me dissoudre.
Je lui rendis son sourire, remarquant son visage séduisant, rehaussé par une barbe de trois jours et un teint hâlé, qui lui conférait une allure irrésistiblement attirante.
— Tu cherches une nouvelle veste ? Pourtant celle que tu portes te va à merveille, m’a-t-il dit.
— Heu…Merci… Euh…ai-je répondu, complétement pris au dépourvu, cherchant mes mots sans réussir à formuler une réponse.
— Désolé ! Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise.
— Pas de soucis, c’est juste que je ne m’attendais pas à …
— Pourtant j’ai bien vu que tu me matais, non ? a-t-il ajouté avec un sourire espiègle.
— Désolé, je suis surpris. Je ne sais pas quoi te répondre... Euh…Oui, oui, je te regardais.
— C’est plutôt sympa... euh, a-t-il dit en fronçant légèrement les sourcils, comme pour demander mon nom.
— Xavier.
— Xavier, ça te tenterait de prendre un verre ? Bien sûr, une fois que tu auras fini ton shopping, m’a-t-il dit, tout en me lançant à nouveau ce sourire espiègle.
— Avec plaisir. Tu sais, je ne cherchais pas vraiment une nouvelle veste, lui ai-je répondit, avec assurance cette fois.
Puis, je lui souris et le suivis vers la sortie.
Léo m’invita dans une buvette située à quelques pas de la boutique. Il retira sa veste en cuir qu’il posa soigneusement sur le dossier de sa chaise avant de s’installer au bar. Il portait un pull ajusté, mettant en valeur sa musculature harmonieuse, ainsi qu’un jean super skinny qui épousait ses formes, soulignant ses cuisses et ses mollets. Son bracelet en cuir et l’anneau noir en métal qu’il portait au pouce étaient parfaitement assortis à sa tenue, ajoutant une touche d’élégance subtile.
Volubile et charmant, il captiva mon attention dès les premiers échanges. Au fil de la discussion, j’appris qu’il vivait et travaillait dans le quartier et qu’il était célibataire. Il fuyait les bars, mais pas les restaurants.
Plus nous parlions, plus il m’envoûtait. Assis face à face, il ponctuait parfois ses propos en posant sa main sur mon genou ou ma cuisse, ce qui me troublait profondément. Mon esprit s’égarait, imaginant la suite de la soirée. Tandis que je l’écoutais, mes yeux étaient rivés sur ses belles lèvres en mouvement, et une excitation grandissante s’emparait de moi. J’avais une envie irrésistible de l’embrasser sur-le-champ. Et il s’en aperçut.
— Et toi ? demanda-t-il
— Euh…moi…?
Il me sourit et comprit ce qu’il cherchait à confirmer : j’avais l’esprit ailleurs. Il planta son regard dans mes yeux brillants, me toucha le bras, et dit :
— Et si on allait chez moi ?
Un frisson parcourut mon corps, provocant un instant d'hésitation avant que j’accepter sa proposition.
Il se leva, attrapa sa veste et, en se dirigeant vers la sortie, effleura légèrement mes fesses, intensifiant mon excitation. Je croisai son regard et lui adressai un sourire. La soirée s'annonçait prometteuse.
Après m’avoir embrassé fougueusement dès que je refermai la porte de son appartement, il me souleva et m’amena dans sa chambre. Il se débarrassa de son pull, son jean et ses chaussettes rapidement, tout comme moi, avant de m’attraper par la taille et de se laisser choir sur le lit, m’entraînant avec lui.
Il m’attrapa la nuque, et de sa bouche dévora la mienne, tout en cherchant à me doigter. Je me cambrai, lui laissant tout l’espace désiré pour m’enfoncer un doigt pendant qu’il me suçait la langue. Son assaut me grisa de plaisir.
Sa bouche descendit explorer mon cou. Son majeur, toujours plus enfoncé, labourait mon fion. Je couinais grave. Mon corps tout entier était en transe.
Telle une ventouse, sa bouche poursuivit son chemin, tétant et léchant mamelons, abdos, aisselles sur son passage, avant d’assaillir ma verge. Il l’avala et la ressortit à plusieurs reprises, s’attardant à sucer mon gland suintant de nectar ou mes couilles qu’il prenait plaisir à gober. J’étais au point de bascule.
Il releva mes cuisses, afin de poursuivre sa descente, exposant mon anus. Il glissa sa langue entre mes fesses, toucha mon sphincter une première fois, me poussant encore plus près du précipice. Il lécha le pourtour de ma rondelle de sa chaude langue et testa sa souplesse en forçant l’entrée. Ses lèvres humides et sa barbe me labouraient sans relâche. Je haletais et couinais encore plus fort, dans un état d’abandon total.
J’aurais voulu que cet anulingus dure pour toujours. Léo avait rapidement trouvé le code pour me faire vivre un grand moment de pure jouissance. Mais mon cerveau reptilien me commandait d’accueillir sa grosse queue bien ronde et juteuse, qu’elle me porterait bien plus loin, aux portes de l’extase. Peu importe, au final, je savais qu’après cet assaut labial merveilleusement exécuté, le meilleur était à venir.
Léo se releva. Mes jambes glissèrent de chaque côté de lui. Il me fixa dans les yeux, remplis de lascivité, prêt à me faire vivre le moment ultime, l’atteinte du nirvana. Pendant que je le regardais délicieusement, il empoigna son sexe de sa main, le dirigea vers mon derrière et son gland pressa contre mon anus. Et, me regardant toujours bouche moite et mi-ouverte, me tenant en haleine un instant, il m’empala d’un seul trait. Je sentis une énorme décharge secouer tout mon corps.
Je sentis ses couilles bien serrées frapper mon pelvis. Léo attrapa mes bras et les déposa de chaque côté de ma tête pour affirmer sa domination, restreignant mes mouvements. Visiblement excité, il entreprit de me limer vigoureusement et sensuellement, en alternance. Mon esprit se perdit dans un épais brouillard de pulsions incontrôlables.
Il me sodomisa pendant de longues minutes. Puis, sa respiration s’accéléra. Je sentis son urètre se gonfler dans mon anus, il émit un long et guttural gémissement et m’insémina de multiples jets de sa semence. Il relâcha mes bras et m’embrassa en souriant, heureux de m’avoir croisé dans la rue.
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