Un bordel suisse (1/2) –
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un bordel suisse (1/2) –
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°760) - Un bordel suisse (1/2) –
Je crois que le temps s’est arrêté. Voilà maintenant plus d’une demi-heure que moi et ce jeune esclave blond nous nous roulons des pelles sous le regard attentif de Karl. Son sarcasme est sans limite, sans cesse Il nous humilie, nous ridiculise, ses railleries nous rabaissent toujours un peu plus.
- Deux chiennes, vous n’êtes rien d’autres que deux grosses salopes insatiables, que deux putes affamées de sexe.
Impossible de contredire celui qui nous accable, furieusement nos langues s’enroulent, nous bavons, gémissons de plaisir. Je bande terriblement, ma queue se frotte contre celle de mon compagnon d’infortune. Lui aussi est raide. Nous sommes tous deux pris d’une furieuse excitation, impossible même de nous contrôler. Paradoxalement, avec nos verges dressées au zénith, nous ressemblons à deux étalons près à pratiquer une saillie...
- Votre plaisir a assez duré les chiennes, prosternez-vous à mes pieds et remerciez-moi de vous avoir laissé vous baiser !
En levrette, nous nous plaçons et j’entends soudainement l’esclave blond déclamer :
- Daignez accepter toute ma gratitude Vénéré Maître, je vous remercie humblement pour tout ce que vous faites pour moi.
Je reçois une claque sur mon cul tendu, Karl m’en assène une seconde :
- Et toi la chienne, qu’attends-tu pour me remercier !
Je balbutie, tente de redire cette maudite phrase que je n’ai retenu que partiellement. Les coups tombent à chaque erreur de ma part, jusqu’à ce que je parvienne enfin à la prononcer impeccablement.
- Tu vois quand tu veux salope…
Un autre ordre tombe, sec, avec autorité
- Debout !
Nous sommes conduits dans une salle de bain pour une douche, mais pas n’importe quelle douche, au jet avec un tuyau d’arrosage. L’eau est froide sinon glaciale, la pression du jet nous cingle la peau. Nos parties intimes sont largement visées et nous fait débander grandement. Nous ne pouvons contenir nos plaintes, nous tentons d’esquiver ces projections claquant sur nos couilles. Nos nouilles se sont subitement ratatinées.
- Mains sur la tête les chiennes, cuisses écartées, interdiction de bouger.
Je résiste tant bien que mal, mieux que mon congénère qui lui relève l’une de ses jambes pour protéger ses burnes. Karl exige, ordonne, menace :
- Tu veux que je te dérouille ! lance-t-il.
Le jeune esclave se ressaisit et s’offre, par peur de représailles bien pénibles, un bien dur traitement que lui impose son Maître insistant.
- La nature t’a pourvu d’une paire de couilles, alors que tu ne le mérites pas. Tes burnes pendantes entres tes cuisses te sont parfaitement inutiles, tu le sais bien salope… Dois-je te rappeler qu’elles ne sont là que pour être maltraitées ?
Malgré ce jet puissant éclaboussant son bas ventre, le jeune esclave se remet à bander terriblement, ces mots humiliants, comme s’ils étaient vérité, l’ont de nouveau excité cruellement… La douche se termine, nous nous séchons rapidement et dès lors que nous avons replacés nos colliers autour du cou, tous deux, sommes entrainés, enchainés, debout, d’un pas rapide, dans un long couloir. Nous descendons quelques marches en ciment brut, et nous nous retrouvons dans un simple garage. Ludo est là, devant le coffre ouvert d’une voiture.
- Allez les chiennes, dans le coffre. Nous vous emmenons au boulot !
La voiture recule doucement puis démarre en trombe. Secoués dans ce coffre, nous nous cramponnons tant bien que mal pendant tout le long trajet, un très long voyage sur des routes sinueuses. Enfin, le véhicule s’arrête, le moteur se coupe, on nous laisse cogiter dans ce coffre encore un long moment. Parfois la main du jeune esclave me caresse les fesses, je sursaute à chaque fois ne sachant pas si je dois me laisser faire et lorsque celui-ci me pose de délicats petits baisers sur la nuque, je me mets à bander tel un cerf en rut. Une furieuse envie de me faire prendre m’envahit subitement. Le contact de cette queue raide et brulante sur mon fessier exacerbe mes désirs. Bien difficile pour moi de me raisonner, je me sens chienne, prêt à subir l’assaut, prêt à prendre cette bite en moi, prêt à la recevoir et la choyer dans ma cavité sombre et humide, prêt à prendre le risque d’être sévèrement puni pour avoir enfreint les règles élémentaires de ma totale soumission. Dieu merci, juste avant de passer à l’acte, je reconnais la voix s’approchant de Karl dialoguant avec une inconnue. Le coffre du véhicule s’ouvre.
- Voilà la marchandise, 2 belles putains ! Lance Karl
Aveuglé par la luminosité, je distingue mal celle qui se saisit de mes couilles. Je suis extirpé du véhicule ainsi. Karl lui fait sortir son esclave du coffre en l’attrapant par son collier. Nous voilà en pleine nature, dans un alpage suisse, avec devant nous un immense chalet de montagne. La main tenant mes burnes se desserre, sitôt après je reçois une injonction :
- Retourne-toi, penche-toi en avant, écarte tes fesses et montre-moi ton trou du cul, la salope !
Cette femme semble pour le moins déterminée. Sa voix autoritaire ne laisse place à aucune possibilité de désobéissance. J’exécute et à peine suis-je installé, qu’un doigt, puis deux me pénètre brutalement.
- Trou déjà bien dilaté, très souple, avec une bonne humidité ambiante ! constate la Dominante.
Ces doigts au fond de mon cul me fouillant allègrement et ces mots me font triquer à mort. C’est une immense sensation excitante de bonheur que de se sentir une simple marchandise, un simple objet, cela me procure une érection hors norme !
- Belle marchandise, je prends…, dicte toujours sévèrement la Domina
C’est au tour du jeune esclave appartenant à Karl, de subir l’affront, une fouille intime en règle, en pleine nature, telle que celle que je viens de subir. Son cul a lui aussi retenu l’attention de cette Dominante. Lui aussi bande comme un taureau. A-t-il les mêmes ressentis que moi ? Ne serions-nous rien d’autre que deux trous sur pattes ! Notre physique, notre membre érigé, notre mental et que sais-je encore, ne semblent n’avoir aucun intérêt aux yeux de celle qui nous a fourré. Mais pas le temps de réfléchir plus longtemps, une laisse nous est passée à chacun de nos colliers et nous sommes entrainés derrière le chalet, dans un enclos, une petite prairie, où se trouvent déjà une dizaine d’esclaves mâles et femelles, tous entièrement nus. Ils sont là, à attendre, certains debout, d’autres couchés dans l’herbe fraiche, tel un troupeau qui serait en train de paître. Moi et mon congénère sommes laissés au milieu de ce cheptel. Aucun des esclaves de tout âge, ne s’intéresse à nous, chacun reste dans son coin, sans bouger mais ils semblent tous épanouis. Savent-ils ce que l’on attend de nous ? Ils n’ont pas l’air malheureux, bien au contraire, une sérénité semble les combler d’un bien-être qui se dégage, heureux sans aucun doute d’être ce qu’ils sont, il ressort dans leurs expressions paisibles, sereines une certaine tranquillité… Il est clair qu’à mon instar, ils sont considérés comme des objets sexuels et cela leurs procurent, à l’évidence une plénitude totale dans leur état de soumission
Je constate que les mâles bandent tranquillement chacun dans leur coin mais aucun ne se masturbe, ce qui comme pour moi, doit leur être interdit. Les femelles quant à elle, ont pour la plupart leur cyprine qui dégouline sur leurs cuisses, alors que personne ne les touche et qu’elles ne se caressent pas, non plus. Tous, mâles comme femelles semblent en un état d’excitation tranquille qui est dû, je suppose, par le fait d’être considéré comme du bétail sexuel, ce qui est aussi leur raison de leur présence, ici. Je ne dépareille donc pas en arrivant dans cet enclos avec ma forte érection qui parait donc toute normale et naturelle… Une heure peut-être vient de passer, et nous voilà tous contraints de sortir de cet enclos, tous à quatre pattes, en file indienne, le nez dans le cul de celui ou celle qui nous précède. Nous regagnons l’immense chalet et particulièrement une vaste salle en sous-sol. Nous sommes triés, par deux dominantes assez âgées et bougonnes, les femelles d’un côté les mâles de l’autre. Je suis attrapé par l’une des deux Dominas. Elle se saisit de mes couilles et m’entraine dans un coin sombre de la vaste pièce :
- Couche-toi à plat dos ici ! la pute, m’ordonne-t-elle sévèrement…
Je m’exécute en bandant fort encore…
(A suivre…)
Je crois que le temps s’est arrêté. Voilà maintenant plus d’une demi-heure que moi et ce jeune esclave blond nous nous roulons des pelles sous le regard attentif de Karl. Son sarcasme est sans limite, sans cesse Il nous humilie, nous ridiculise, ses railleries nous rabaissent toujours un peu plus.
- Deux chiennes, vous n’êtes rien d’autres que deux grosses salopes insatiables, que deux putes affamées de sexe.
Impossible de contredire celui qui nous accable, furieusement nos langues s’enroulent, nous bavons, gémissons de plaisir. Je bande terriblement, ma queue se frotte contre celle de mon compagnon d’infortune. Lui aussi est raide. Nous sommes tous deux pris d’une furieuse excitation, impossible même de nous contrôler. Paradoxalement, avec nos verges dressées au zénith, nous ressemblons à deux étalons près à pratiquer une saillie...
- Votre plaisir a assez duré les chiennes, prosternez-vous à mes pieds et remerciez-moi de vous avoir laissé vous baiser !
En levrette, nous nous plaçons et j’entends soudainement l’esclave blond déclamer :
- Daignez accepter toute ma gratitude Vénéré Maître, je vous remercie humblement pour tout ce que vous faites pour moi.
Je reçois une claque sur mon cul tendu, Karl m’en assène une seconde :
- Et toi la chienne, qu’attends-tu pour me remercier !
Je balbutie, tente de redire cette maudite phrase que je n’ai retenu que partiellement. Les coups tombent à chaque erreur de ma part, jusqu’à ce que je parvienne enfin à la prononcer impeccablement.
- Tu vois quand tu veux salope…
Un autre ordre tombe, sec, avec autorité
- Debout !
Nous sommes conduits dans une salle de bain pour une douche, mais pas n’importe quelle douche, au jet avec un tuyau d’arrosage. L’eau est froide sinon glaciale, la pression du jet nous cingle la peau. Nos parties intimes sont largement visées et nous fait débander grandement. Nous ne pouvons contenir nos plaintes, nous tentons d’esquiver ces projections claquant sur nos couilles. Nos nouilles se sont subitement ratatinées.
- Mains sur la tête les chiennes, cuisses écartées, interdiction de bouger.
Je résiste tant bien que mal, mieux que mon congénère qui lui relève l’une de ses jambes pour protéger ses burnes. Karl exige, ordonne, menace :
- Tu veux que je te dérouille ! lance-t-il.
Le jeune esclave se ressaisit et s’offre, par peur de représailles bien pénibles, un bien dur traitement que lui impose son Maître insistant.
- La nature t’a pourvu d’une paire de couilles, alors que tu ne le mérites pas. Tes burnes pendantes entres tes cuisses te sont parfaitement inutiles, tu le sais bien salope… Dois-je te rappeler qu’elles ne sont là que pour être maltraitées ?
Malgré ce jet puissant éclaboussant son bas ventre, le jeune esclave se remet à bander terriblement, ces mots humiliants, comme s’ils étaient vérité, l’ont de nouveau excité cruellement… La douche se termine, nous nous séchons rapidement et dès lors que nous avons replacés nos colliers autour du cou, tous deux, sommes entrainés, enchainés, debout, d’un pas rapide, dans un long couloir. Nous descendons quelques marches en ciment brut, et nous nous retrouvons dans un simple garage. Ludo est là, devant le coffre ouvert d’une voiture.
- Allez les chiennes, dans le coffre. Nous vous emmenons au boulot !
La voiture recule doucement puis démarre en trombe. Secoués dans ce coffre, nous nous cramponnons tant bien que mal pendant tout le long trajet, un très long voyage sur des routes sinueuses. Enfin, le véhicule s’arrête, le moteur se coupe, on nous laisse cogiter dans ce coffre encore un long moment. Parfois la main du jeune esclave me caresse les fesses, je sursaute à chaque fois ne sachant pas si je dois me laisser faire et lorsque celui-ci me pose de délicats petits baisers sur la nuque, je me mets à bander tel un cerf en rut. Une furieuse envie de me faire prendre m’envahit subitement. Le contact de cette queue raide et brulante sur mon fessier exacerbe mes désirs. Bien difficile pour moi de me raisonner, je me sens chienne, prêt à subir l’assaut, prêt à prendre cette bite en moi, prêt à la recevoir et la choyer dans ma cavité sombre et humide, prêt à prendre le risque d’être sévèrement puni pour avoir enfreint les règles élémentaires de ma totale soumission. Dieu merci, juste avant de passer à l’acte, je reconnais la voix s’approchant de Karl dialoguant avec une inconnue. Le coffre du véhicule s’ouvre.
- Voilà la marchandise, 2 belles putains ! Lance Karl
Aveuglé par la luminosité, je distingue mal celle qui se saisit de mes couilles. Je suis extirpé du véhicule ainsi. Karl lui fait sortir son esclave du coffre en l’attrapant par son collier. Nous voilà en pleine nature, dans un alpage suisse, avec devant nous un immense chalet de montagne. La main tenant mes burnes se desserre, sitôt après je reçois une injonction :
- Retourne-toi, penche-toi en avant, écarte tes fesses et montre-moi ton trou du cul, la salope !
Cette femme semble pour le moins déterminée. Sa voix autoritaire ne laisse place à aucune possibilité de désobéissance. J’exécute et à peine suis-je installé, qu’un doigt, puis deux me pénètre brutalement.
- Trou déjà bien dilaté, très souple, avec une bonne humidité ambiante ! constate la Dominante.
Ces doigts au fond de mon cul me fouillant allègrement et ces mots me font triquer à mort. C’est une immense sensation excitante de bonheur que de se sentir une simple marchandise, un simple objet, cela me procure une érection hors norme !
- Belle marchandise, je prends…, dicte toujours sévèrement la Domina
C’est au tour du jeune esclave appartenant à Karl, de subir l’affront, une fouille intime en règle, en pleine nature, telle que celle que je viens de subir. Son cul a lui aussi retenu l’attention de cette Dominante. Lui aussi bande comme un taureau. A-t-il les mêmes ressentis que moi ? Ne serions-nous rien d’autre que deux trous sur pattes ! Notre physique, notre membre érigé, notre mental et que sais-je encore, ne semblent n’avoir aucun intérêt aux yeux de celle qui nous a fourré. Mais pas le temps de réfléchir plus longtemps, une laisse nous est passée à chacun de nos colliers et nous sommes entrainés derrière le chalet, dans un enclos, une petite prairie, où se trouvent déjà une dizaine d’esclaves mâles et femelles, tous entièrement nus. Ils sont là, à attendre, certains debout, d’autres couchés dans l’herbe fraiche, tel un troupeau qui serait en train de paître. Moi et mon congénère sommes laissés au milieu de ce cheptel. Aucun des esclaves de tout âge, ne s’intéresse à nous, chacun reste dans son coin, sans bouger mais ils semblent tous épanouis. Savent-ils ce que l’on attend de nous ? Ils n’ont pas l’air malheureux, bien au contraire, une sérénité semble les combler d’un bien-être qui se dégage, heureux sans aucun doute d’être ce qu’ils sont, il ressort dans leurs expressions paisibles, sereines une certaine tranquillité… Il est clair qu’à mon instar, ils sont considérés comme des objets sexuels et cela leurs procurent, à l’évidence une plénitude totale dans leur état de soumission
Je constate que les mâles bandent tranquillement chacun dans leur coin mais aucun ne se masturbe, ce qui comme pour moi, doit leur être interdit. Les femelles quant à elle, ont pour la plupart leur cyprine qui dégouline sur leurs cuisses, alors que personne ne les touche et qu’elles ne se caressent pas, non plus. Tous, mâles comme femelles semblent en un état d’excitation tranquille qui est dû, je suppose, par le fait d’être considéré comme du bétail sexuel, ce qui est aussi leur raison de leur présence, ici. Je ne dépareille donc pas en arrivant dans cet enclos avec ma forte érection qui parait donc toute normale et naturelle… Une heure peut-être vient de passer, et nous voilà tous contraints de sortir de cet enclos, tous à quatre pattes, en file indienne, le nez dans le cul de celui ou celle qui nous précède. Nous regagnons l’immense chalet et particulièrement une vaste salle en sous-sol. Nous sommes triés, par deux dominantes assez âgées et bougonnes, les femelles d’un côté les mâles de l’autre. Je suis attrapé par l’une des deux Dominas. Elle se saisit de mes couilles et m’entraine dans un coin sombre de la vaste pièce :
- Couche-toi à plat dos ici ! la pute, m’ordonne-t-elle sévèrement…
Je m’exécute en bandant fort encore…
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