Un honneur suprême
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un honneur suprême
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode N°744) - Chapitre 15 - Un honneur suprême -
Ce sont les boules 48 et 29 qui sont sortis des deux sphères et les deux esclaves élus se tiennent désormais debout, tête basse, près de Monsieur Armand. Je trouve la soumise très belle, une métisse aux cheveux courts mais crépus. Sa poitrine est ferme, tonique, avec des seins doux et galbés, ses mamelons redressés, un corps parfait, sur mesure, aux formes exquises, à la silhouette faisant ressortir sa féminité avec délice, un corps musclé avec proportion, parfaitement épilé, des hanches arrondies, de longues jambes, une vraie gazelle. Le mâle à côté d’elle, parait insignifiant, râblais, court sur patte, un estomac quelque peu proéminent, une petite bite même pas érigée… Alors que je suis en train de détaillé chacun d’eux, un Dominant s’approche de nous, tenant un carton sous l’un de ses bras. A chacun de nous, restés en offrande, nous est distribué deux accessoires : un gode, et des pinces à seins. Nous recevons l’ordre de nous poser les pinces nous-mêmes sur nos mamelons, et de nous enfiler le gode dans le cul.
- Je suis certain qu’ainsi affublés, vos sens seront exacerbés et vous pourrez mieux encore profiter du spectacle que vont vous offrir vos deux congénères.
Chacun y va de ses soupirs et gémissements. Nous nous pénétrons de ces plugs en faisant quelques acrobaties pour parvenir à nous les introduire correctement, puis nos tétons se parent de ces pinces terriblement mordantes. Il ne m’en faut pas plus, le cul rempli, les tétons malmenés et me voilà de nouveau érigé. Je bande sec et ne suis pas le seul…Certains près de moi affiche leur membre tendu, je m’aperçois que certaines chattes ruissellent…
- Monsieur le Marquis, auriez-vous la bonté de bien vouloir venir près de Moi ? Interroge Monsieur Armand.
Le Maître se lève sans hésiter.
- Puisque vous aussi vous êtes l’heureux Elu de cette journée, puisque désormais nous savons que les Olympiades se dérouleront, cet été, en France dans Votre Noble Demeure, (des applaudissements nourris retentissent) pourriez-vous conduire cette femelle à la jouissance ?
- Je vais m’y employer, répond le Maître avec un sourire pervers sur les lèvres.
- Nous avons discuté des conditions de cette jouissance, cet après-midi, dois-je vous les rappeler.
- Non, c’est inutile ! répond sobrement Monsieur le Marquis.
- Très bien à vous de jouer, nous nous occuperons du mâle après que cette petite garce ait joui.
Monsieur le Marquis est calme et détendu comme à son habitude, il a cette force tranquille symbolisée par son fort et naturel charisme. D’un regard Dominant, il dévisage celle qui est tête basse avec les mains derrière le dos. Le Noble la fait languir en ne lui faisant rien, en ne lui disant rien, il se contente juste de la jauger de la tête aux pieds en silence. Après un bon moment ainsi, le Maître prend une cravache et avec cet instrument, il commence à caresser le corps de la soumise, la faisant ainsi frémir. Elle se met à frémir de plaisir lorsque la cravache passe sur ses fesses. Elle gémit même lorsque celle-ci la frappe une première fois sur sa croupe arrondie, un petit coup, très léger, juste pour la mettre en appétit. Un deuxième coup tombe, la femelle gémit encore, non pas par la douleur de cet instrument de frappe mais par le pincement de son téton droit. Monsieur le Marquis, la tient ainsi, tire sur son mamelon, et le pince. Elle se laisse faire tout en se contorsionnant et en gémissant de temps à autre. Laissant tomber la cravache, le Maître lui caresse son visage à deux mains, presque tendrement, puis lui propose ses doigts qu’elle se met immédiatement à lécher, mimant à la perfection le geste de la fellation. Elle gémit encore toujours sous l’action de ses mains malmenant sa belle poitrine.
- Ecarte les cuisses salope !
Ce sont les premiers mots du Maître, ils viennent de tomber durement. L’ordre est sans appel, la femelle s’écarte plus largement.
- Tu sais qu’on regarde tous ta chatte que tu nous ouvres en grand !
- Oui Monsieur le Marquis, répond-t-elle.
- Tu aimes que l’on t’observe de la sorte ! continue le Maître.
- Non Monsieur le Marquis- Et pourtant tu obéis, réplique le Maître d’un ton laissant clairement entendre que ce n’était pas du tout une question.
- Oui Monsieur le Marquis.
- Bien parfait.
Le Maître avance vers la soumise et lui donne quelque chose que je ne parviens pas à voir.
- Tu vas nous montrer comment tu te donnes du plaisir toute seule, maintenant, petite chienne
La soumise se crispe à ces mots. Visiblement elle n’apprécie pas, mais pas du tout.
- J’attends ! ordonne le Maître d’une voix autoritaire.
La femelle semble vraiment gênée, elle n’ose se rebeller verbalement mais ne parvient pas à bouger. Le Maître s’impatiente et lance :
- Et bien !
- Je… s’il vous plait, Monsieur le Marquis, non, je… je ne peux pas.
- Tu ne peux pas ou tu ne veux pas ? réplique-t-il.
Cette phrase parvient à faire plier la soumise, et place l’objet, qui s’avère être un gode vibrant, sur sa chatte luisante et commence à se donner du plaisir. Elle gémit doucement en faisant passer le gode sur son clitoris, elle pousse des petits râles de contentement en se caressant ses petites lèvres intimes et son bouton dressé.
- Je sais que tu adores être remplie, alors montre-nous ! ordonne encore le Maître.
La soumise sursaute, probablement essayait-elle d’oublier la présence de ses voyeurs pour se donner plus de cœur à l’ouvrage et cette intrusion l’a dérangée. Elle obéit cependant, faisant coulisser dans son antre humide le gode d’une taille respectable avec un plaisir évident. De sa main libre, elle se titille le clitoris, son plaisir est en train de monter significativement.
- Tu continues petite chienne, mais étant donné que tu as été lente à obéir, je t’interdis de jouir, est-ce clair, salope !
- Oui Monsieur le Marquis ! répond-elle d’une voix à la fois suppliante, chargée de remords et de plaisir.
Elle continue donc à se caresser avec un doigté expert et ses gémissements sont de plus en plus présents.
- Hummmmmm ! J’ai envie de jouir Monsieur le Marquis, s’il vous plait ! Gémit-elle.
- Non, tu n’avais qu’à obéir. Tu penses ne pas mériter cette punition ?
- Si Monsieur le Marquis ! répond la soumise que ces réprimandes semblent exciter plus encore.
Les gémissements deviennent complexes. On y décerne du plaisir bien sûr mais également un forme de souffrance à ne pas pouvoir lâcher son orgasme, à se retenir lui coûte visiblement beaucoup.
- Arrête maintenant ! dit le Maître.
Elle cesse immédiatement, semblant sur le point de pleurer. Plus excitée que jamais, Monsieur le Marquis lui refuse l’orgasme libérateur, Il lui pelote les seins, les empoigne fermement et commence à s’amuser avec. Il pince, tord, étire les mamelons. Intense souffrance, intense désir, elle hurle se tord, geint à tout va. Mais le Maître ne se laisse pas influencer, il s’empare du gode enduit de cyprine et l’insère presque en une fois dans le cul de la soumise. Embrumée par son plaisir, la femelle tremble et gémit de plus en plus d’autant que Monsieur le Marquis s’amuse à faire sortir et rentrer l’objet dans l’anus largement exposé.
- Branle toi, chienne ! ordonne encore le Maître toujours tirant sur ses mamelons.
La femelle porte ses mains sur son sexe ruisselant et commence à se masturber énergiquement jusqu’au moment ou un nouvel ordre la stoppe dans son élan.
- Arrête-toi !
Elle s’interrompt.
- Recommence chienne !
Et ainsi de suite une bonne dizaine de fois, jusqu’au moment où le Maître approche un objet noir ou bout arrondi et vibrant, le posant sur ce clitoris tendu.
- Offre nous ton plus bel orgasme petite chienne, jouis ! Je le veux… Maintenant !
Un long cri libérateur et continu sort immédiatement de sa bouche prouvant un plaisir explosif. Elle titube, perd l’équilibre. Le Maître la retient prestement. Elle semble perdue au septième ciel, ne sachant plus ou elle est, tant l’orgasme fut puissant. Des applaudissements retentissent… Sont-ils pour cette chienne ou pour le Maître ?
- Nous connaissions votre savoir-faire Cher Ami, cette petite garce peut s’estimer heureuse d’avoir vécu une telle jouissance entre Vos mains ! lance Monsieur Armand…
La femelle est prosternée devant le Maître et ne cesse de le remercier humblement, respectueusement. Elle embrasse encore une fois la pointe de ses chaussures puis se place, selon l’ordre qui vient de lui être donné, à genoux sur l’estrade mains sur la tête.
- Maintenant, nous allons faire jouir ce mâle ! dicte encore Monsieur Armand.
C’est alors que je vois arriver le Maître droit vers moi. Il se saisit de la chainette reliant les deux pinces que j’ai toujours sur les seins et tire à lui. Je retiens mes cris mais pas ma subite et soudaine érection qui me fait dresser ma nouille d’un seul coup.
- Viens mon chien, nous décampons, je suis crevé, nous nous retirons discrètement.
Le Maître m’ôte les pinces, retire le plug que j’ai dans le cul et m’ordonne de reprendre ma chasuble. Nous regagnons la chambre. Je suis autorisé à prendre une bonne douche. Depuis le temps que j’en rêvais… Lorsque je regagne la chambre, le Maître est déjà couché, il feuillette un magazine. Alors que je vais me prosterner en levrette devant lui, il intervient.
- Non reste debout, mains sur la tête tout près de moi. Je veux m’endormir en te regardant ainsi !
Je m’inquiète. Est-ce à dire que je vais rester ainsi toute la nuit… Les minutes s’égrainent, je reste immobile, le Maître éteint la lumière se tourne dans le lit en me souhaitant une bonne nuit.
- Bonne nuit Maître.
Cinq minutes passent, le Maître se retourne encore. Je sens sa main me saisir les couilles et me tirer violemment vers Lui. J’étouffe un cri. La traction exercée sur mes burnes m’oblige à bouger. Je m’en veux… Le Maître tire encore avec insistance, me contraignant à poser un genou sur le matelas. Je crie cette fois-ci, Lui marmonne :
- Qu’attends-tu pour venir te coucher, je t’offre mon lit ce soir ma petite salope…. Prépare ton cul ! Je vais t’enculer profondément, j’en meurs envie…
(A suivre…)
Ce sont les boules 48 et 29 qui sont sortis des deux sphères et les deux esclaves élus se tiennent désormais debout, tête basse, près de Monsieur Armand. Je trouve la soumise très belle, une métisse aux cheveux courts mais crépus. Sa poitrine est ferme, tonique, avec des seins doux et galbés, ses mamelons redressés, un corps parfait, sur mesure, aux formes exquises, à la silhouette faisant ressortir sa féminité avec délice, un corps musclé avec proportion, parfaitement épilé, des hanches arrondies, de longues jambes, une vraie gazelle. Le mâle à côté d’elle, parait insignifiant, râblais, court sur patte, un estomac quelque peu proéminent, une petite bite même pas érigée… Alors que je suis en train de détaillé chacun d’eux, un Dominant s’approche de nous, tenant un carton sous l’un de ses bras. A chacun de nous, restés en offrande, nous est distribué deux accessoires : un gode, et des pinces à seins. Nous recevons l’ordre de nous poser les pinces nous-mêmes sur nos mamelons, et de nous enfiler le gode dans le cul.
- Je suis certain qu’ainsi affublés, vos sens seront exacerbés et vous pourrez mieux encore profiter du spectacle que vont vous offrir vos deux congénères.
Chacun y va de ses soupirs et gémissements. Nous nous pénétrons de ces plugs en faisant quelques acrobaties pour parvenir à nous les introduire correctement, puis nos tétons se parent de ces pinces terriblement mordantes. Il ne m’en faut pas plus, le cul rempli, les tétons malmenés et me voilà de nouveau érigé. Je bande sec et ne suis pas le seul…Certains près de moi affiche leur membre tendu, je m’aperçois que certaines chattes ruissellent…
- Monsieur le Marquis, auriez-vous la bonté de bien vouloir venir près de Moi ? Interroge Monsieur Armand.
Le Maître se lève sans hésiter.
- Puisque vous aussi vous êtes l’heureux Elu de cette journée, puisque désormais nous savons que les Olympiades se dérouleront, cet été, en France dans Votre Noble Demeure, (des applaudissements nourris retentissent) pourriez-vous conduire cette femelle à la jouissance ?
- Je vais m’y employer, répond le Maître avec un sourire pervers sur les lèvres.
- Nous avons discuté des conditions de cette jouissance, cet après-midi, dois-je vous les rappeler.
- Non, c’est inutile ! répond sobrement Monsieur le Marquis.
- Très bien à vous de jouer, nous nous occuperons du mâle après que cette petite garce ait joui.
Monsieur le Marquis est calme et détendu comme à son habitude, il a cette force tranquille symbolisée par son fort et naturel charisme. D’un regard Dominant, il dévisage celle qui est tête basse avec les mains derrière le dos. Le Noble la fait languir en ne lui faisant rien, en ne lui disant rien, il se contente juste de la jauger de la tête aux pieds en silence. Après un bon moment ainsi, le Maître prend une cravache et avec cet instrument, il commence à caresser le corps de la soumise, la faisant ainsi frémir. Elle se met à frémir de plaisir lorsque la cravache passe sur ses fesses. Elle gémit même lorsque celle-ci la frappe une première fois sur sa croupe arrondie, un petit coup, très léger, juste pour la mettre en appétit. Un deuxième coup tombe, la femelle gémit encore, non pas par la douleur de cet instrument de frappe mais par le pincement de son téton droit. Monsieur le Marquis, la tient ainsi, tire sur son mamelon, et le pince. Elle se laisse faire tout en se contorsionnant et en gémissant de temps à autre. Laissant tomber la cravache, le Maître lui caresse son visage à deux mains, presque tendrement, puis lui propose ses doigts qu’elle se met immédiatement à lécher, mimant à la perfection le geste de la fellation. Elle gémit encore toujours sous l’action de ses mains malmenant sa belle poitrine.
- Ecarte les cuisses salope !
Ce sont les premiers mots du Maître, ils viennent de tomber durement. L’ordre est sans appel, la femelle s’écarte plus largement.
- Tu sais qu’on regarde tous ta chatte que tu nous ouvres en grand !
- Oui Monsieur le Marquis, répond-t-elle.
- Tu aimes que l’on t’observe de la sorte ! continue le Maître.
- Non Monsieur le Marquis- Et pourtant tu obéis, réplique le Maître d’un ton laissant clairement entendre que ce n’était pas du tout une question.
- Oui Monsieur le Marquis.
- Bien parfait.
Le Maître avance vers la soumise et lui donne quelque chose que je ne parviens pas à voir.
- Tu vas nous montrer comment tu te donnes du plaisir toute seule, maintenant, petite chienne
La soumise se crispe à ces mots. Visiblement elle n’apprécie pas, mais pas du tout.
- J’attends ! ordonne le Maître d’une voix autoritaire.
La femelle semble vraiment gênée, elle n’ose se rebeller verbalement mais ne parvient pas à bouger. Le Maître s’impatiente et lance :
- Et bien !
- Je… s’il vous plait, Monsieur le Marquis, non, je… je ne peux pas.
- Tu ne peux pas ou tu ne veux pas ? réplique-t-il.
Cette phrase parvient à faire plier la soumise, et place l’objet, qui s’avère être un gode vibrant, sur sa chatte luisante et commence à se donner du plaisir. Elle gémit doucement en faisant passer le gode sur son clitoris, elle pousse des petits râles de contentement en se caressant ses petites lèvres intimes et son bouton dressé.
- Je sais que tu adores être remplie, alors montre-nous ! ordonne encore le Maître.
La soumise sursaute, probablement essayait-elle d’oublier la présence de ses voyeurs pour se donner plus de cœur à l’ouvrage et cette intrusion l’a dérangée. Elle obéit cependant, faisant coulisser dans son antre humide le gode d’une taille respectable avec un plaisir évident. De sa main libre, elle se titille le clitoris, son plaisir est en train de monter significativement.
- Tu continues petite chienne, mais étant donné que tu as été lente à obéir, je t’interdis de jouir, est-ce clair, salope !
- Oui Monsieur le Marquis ! répond-elle d’une voix à la fois suppliante, chargée de remords et de plaisir.
Elle continue donc à se caresser avec un doigté expert et ses gémissements sont de plus en plus présents.
- Hummmmmm ! J’ai envie de jouir Monsieur le Marquis, s’il vous plait ! Gémit-elle.
- Non, tu n’avais qu’à obéir. Tu penses ne pas mériter cette punition ?
- Si Monsieur le Marquis ! répond la soumise que ces réprimandes semblent exciter plus encore.
Les gémissements deviennent complexes. On y décerne du plaisir bien sûr mais également un forme de souffrance à ne pas pouvoir lâcher son orgasme, à se retenir lui coûte visiblement beaucoup.
- Arrête maintenant ! dit le Maître.
Elle cesse immédiatement, semblant sur le point de pleurer. Plus excitée que jamais, Monsieur le Marquis lui refuse l’orgasme libérateur, Il lui pelote les seins, les empoigne fermement et commence à s’amuser avec. Il pince, tord, étire les mamelons. Intense souffrance, intense désir, elle hurle se tord, geint à tout va. Mais le Maître ne se laisse pas influencer, il s’empare du gode enduit de cyprine et l’insère presque en une fois dans le cul de la soumise. Embrumée par son plaisir, la femelle tremble et gémit de plus en plus d’autant que Monsieur le Marquis s’amuse à faire sortir et rentrer l’objet dans l’anus largement exposé.
- Branle toi, chienne ! ordonne encore le Maître toujours tirant sur ses mamelons.
La femelle porte ses mains sur son sexe ruisselant et commence à se masturber énergiquement jusqu’au moment ou un nouvel ordre la stoppe dans son élan.
- Arrête-toi !
Elle s’interrompt.
- Recommence chienne !
Et ainsi de suite une bonne dizaine de fois, jusqu’au moment où le Maître approche un objet noir ou bout arrondi et vibrant, le posant sur ce clitoris tendu.
- Offre nous ton plus bel orgasme petite chienne, jouis ! Je le veux… Maintenant !
Un long cri libérateur et continu sort immédiatement de sa bouche prouvant un plaisir explosif. Elle titube, perd l’équilibre. Le Maître la retient prestement. Elle semble perdue au septième ciel, ne sachant plus ou elle est, tant l’orgasme fut puissant. Des applaudissements retentissent… Sont-ils pour cette chienne ou pour le Maître ?
- Nous connaissions votre savoir-faire Cher Ami, cette petite garce peut s’estimer heureuse d’avoir vécu une telle jouissance entre Vos mains ! lance Monsieur Armand…
La femelle est prosternée devant le Maître et ne cesse de le remercier humblement, respectueusement. Elle embrasse encore une fois la pointe de ses chaussures puis se place, selon l’ordre qui vient de lui être donné, à genoux sur l’estrade mains sur la tête.
- Maintenant, nous allons faire jouir ce mâle ! dicte encore Monsieur Armand.
C’est alors que je vois arriver le Maître droit vers moi. Il se saisit de la chainette reliant les deux pinces que j’ai toujours sur les seins et tire à lui. Je retiens mes cris mais pas ma subite et soudaine érection qui me fait dresser ma nouille d’un seul coup.
- Viens mon chien, nous décampons, je suis crevé, nous nous retirons discrètement.
Le Maître m’ôte les pinces, retire le plug que j’ai dans le cul et m’ordonne de reprendre ma chasuble. Nous regagnons la chambre. Je suis autorisé à prendre une bonne douche. Depuis le temps que j’en rêvais… Lorsque je regagne la chambre, le Maître est déjà couché, il feuillette un magazine. Alors que je vais me prosterner en levrette devant lui, il intervient.
- Non reste debout, mains sur la tête tout près de moi. Je veux m’endormir en te regardant ainsi !
Je m’inquiète. Est-ce à dire que je vais rester ainsi toute la nuit… Les minutes s’égrainent, je reste immobile, le Maître éteint la lumière se tourne dans le lit en me souhaitant une bonne nuit.
- Bonne nuit Maître.
Cinq minutes passent, le Maître se retourne encore. Je sens sa main me saisir les couilles et me tirer violemment vers Lui. J’étouffe un cri. La traction exercée sur mes burnes m’oblige à bouger. Je m’en veux… Le Maître tire encore avec insistance, me contraignant à poser un genou sur le matelas. Je crie cette fois-ci, Lui marmonne :
- Qu’attends-tu pour venir te coucher, je t’offre mon lit ce soir ma petite salope…. Prépare ton cul ! Je vais t’enculer profondément, j’en meurs envie…
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