Une dernière nuit avant le départ
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une dernière nuit avant le départ
Le Marquis d’Evans dominant l’O – (suite de l'épisode précédent N°839) - Episode N°2 - (3/3) – Une dernière nuit avant le départ -
Ayant terminé son installation avec les deux premiers esclaves, le Châtelain revint s’occuper des deux derniers. IL était très excité par ces préparatifs et IL n’avait plus en tête qu’une envie d’homme viril, très sexuelle autant qu’intellectuelle, celle de profiter des trous de sa femelle. Mais IL voulait jouer le « jeu » jusqu’au bout et s’en remettre au sort quant à l’attribution qui avait été faite des deux cartes rouge de carreau et de cœur. Il s’approcha des deux têtes toujours prosternées et tapa dans Ses mains.
- Debout vous deux ! En position d’attente, tête baissée, les mains derrière la nuque ! Que celui ou celle qui est venu déposer le Roi de carreau à Mes Nobles pieds recule d’un pas.
Sans perdre une seule seconde, le chien et la chienne MDE s’exécutèrent, ne sachant pas du tout le sort qui leur serait réservé, mais cela leur importait peu, car ils avaient tous les deux le bonheur de se trouver en présence du Maître Vénéré, et il n’y avait rien qui pouvait leur faire plus plaisir, si ce n’est de pouvoir apprécier encore plus concrètement la satisfaction et le plaisir de Celui à qui ils avaient voué leurs modestes vies de dominé(e)s. Le Noble repris son explication en redressant le menton de la soumise qui n’avait pas bougé de place et qui de par la position exigée arborait une ferme poitrine en avant des plus alléchantes.
- Il me semble que je n’aurais pas à m’étendre longtemps sur le symbolisme du cœur que ce soit dans la vie de tous les jours comme dans un jeu de cartes. Il parle de sentiments affectueux de toutes sortes, mais sa couleur rouge sur les cartes évoque aussi la chaleur et la passion. J’espère que tu sauras m’offrir des lèvres rouges gonflées de désir et de passion, que cela soient tes plus intimes, celles de ta chatte bien chaude et humide mais aussi celles tout aussi accueillantes qui se serreront sur ma hampe lorsque je te pénétrerai en gorge profonde. Va vite t’allonger dans le lit, de face, bras et jambes écartés comme si tu voulais ressembler à une étoile de mer à quatre bras. Tu ne bougeras sous aucun prétexte avant que ce ne soit Moi qui t’en donne un ordre express. Ne m’oblige pas à te renvoyer dans l’instant dans ton chenil si tu avais le malheur de me désobéir.
La soumise esquissa un large sourire et ne se fit pas prier avant d’aller s’allonger, posant son dos sur le grand couvre-lit en soie naturelle qui lui parut si agréable au toucher. Elle n’avait rien de plus à faire que d’attendre patiemment le bon vouloir du Maître, tandis qu’au pied du lit, les halètements de la petite chienne en chaleur savamment léchée avec application devenaient de plus en plus rapides et forts. Son excitation aussi était à son comble et elle craignait que son humidité naturelle ne vienne tâcher le superbe couvre-lit, mais les ordres du Maître était impératifs et elle devait s’efforcer de garder les cuisses ouvertes, laissant couler sa mouille à laquelle s’était mélangée un peu plus tôt la salive de sa sœur de soumission avec laquelle elle avait partagé un long 69 saphique des plus agréables. Mais que pouvait-elle faire de plus pour aller à l’encontre de ce que la nature lui avait mis entre les jambes, cette caverne onctueuse de femelle qui était devenue bien humide à la simple idée de ce que le Maître venait de lui annoncer. Le Châtelain s’adressa alors à celui qui avait tiré une carte montrant un Roi de carreau.
- Et toi, Mon chien, Je suppose que tu ne sais pas plus ce que représente le Roi de carreau dans les jeux de cartes.
- Non, Maître Vénéré….. (ayant retenu la leçon de ce qui venait de se passer avec son frère de soumission, l’esclave n’en dit pas plus à ce stade)- Je ne retiendrai pour ce soir que cette idée, il s’agit d’un Homme puissant, autoritaire et de pouvoir. Les cartes avec du carreau en général représentant le changement, c’est aussi le symbole d’un Homme qui voyage. Cela me correspond bien, pour ce soir tout du moins. De toute manière, ici entre ces murs, il ne peut y avoir d’autre Roi que Moi. N’es-tu pas d’accord avec cette affirmation ?
- Oh oui, Vous êtes Le Maître et Seigneur de tous Vos esclaves MDE, répondit le soumis avec un ton admiratif.
- Donc, tu seras celui qui va devoir bouger et t’adapter à Ma position. Tu me lécheras les couilles et le cul pendant que je baiserai Ma chienne. Débrouille-toi comme tu peux pour te trouver une petite place entre nos corps, surtout sans me gêner, car tu es là au contraire pour m’apporter du plaisir. Et pour commencer, tu vas aller ranger tous mes vêtements sur le porte-habits.
Monsieur Le Marquis d’Evans dégrafa Sa ceinture en cuir noir et la laissa tomber au sol ainsi que Son pantalon. Sans même qu’il ait eu besoin de parler, l’esclave se jeta à Ses pieds pour ramasser les effets du Noble, non sans avoir pris le temps au préalable de lui défaire les lacets de Ses chaussures, et de lui enlever Ses mocassins de cuir noir de haute facture et Ses chaussettes. Ce fut ensuite le tour de la veste et de la chemise que le Noble retira, laissant apparaître un corps masculin musclé de toute beauté et aux dimensions parfaites. Le boxer présentait, comme il aurait été facile de s’en douter, une géante bosse dans laquelle le vit n’avait guère assez de place pour laisser toute la bandaison s’exprimer. C’est ainsi presque dénudé que Le Châtelain s’approcha du lit pour enjamber le corps de Sa femelle semblant lui faire comprendre d’un regard souriant porté sur son membre encore coincé dans le boxer qu’il attendait que ce dernier rempart de tissu soit ôté pour qu’IL puisse passer aux choses sérieuses, mais ne disant mot sur Ses attentes. Le Marquis d’Evans souriait de la voir dubitative n’osant prendre aucune initiative puisque les ordres la concernant avait été précis, elle ne devait pas bouger et rester bras et jambes écartées tant que le Maître en personne ne lui ordonne expressément autre chose.
- Mon chien ! As-tu fini de déposer mes vêtements à leur place ? Alors approche sans tarder, tes mains sont requises, puisque ta sœur n’est pas tombée dans le piège que Je lui avais tendu et n’a pas été à l’encontre de Mes ordres, même si Je me doute que l’envie ne lui manquait pas de prendre Mon Joyau entre ses mains.
Le chien-mâle ne se fit pas prier et c’est avec délicatesse qu’il extirpa la Noble verge du Maître qui se redressa aussi sec. Il descendit le boxer de quelques centimètres, mais dans la position dans laquelle se trouvait le Noble, à genoux de part et d’autre du corps allongé en étoile de la soumise, il fut bien dans l’embarras pour aller plus loin.
- Allons, dépêchons ! Tu crois que je n’ai que cela à faire d’attendre que tu veuilles bien prendre le temps de descendre centimètre après centimètre mon boxer avant de le retirer complètement. Demain, je pars en voyage sur Mon paquebot, sur Mon Odyssée, et je pense que quelques heures de sommeil après la soirée et ces derniers ébats sexuels ne seront pas de refus. Donc, tu te débrouilles comme tu veux, mais je t’accorde quatre secondes pas plus ! Ne vois-tu pas que j’ai déjà les mains occupées à malaxer la poitrine de Ma belle chienne dont les tétons gonflent et durcissent dès que Je les lui titille ? …. 1 …. 2 ….
L’esclave sans réfléchir plus longtemps, au risque de laisser les quatre secondes s’écouler, se décida à attraper délicatement la jambe gauche du Dominant pour la soulever afin de pouvoir tirer le boxer sur les mollets. Il fit de même avec l’autre jambe après s’être carrément affalé sur le corps de sa sœur de soumission couchée sur le lit. Au moment où le Maître annonçait le « 4 » fatidique, il était en train de prendre en mains le boxer, laissant le Châtelain en tenue d’Adam, mais si excité avec un membre gonflé de désir qu’il aurait été bien difficile de lui faire porter une feuille de vigne si un peintre avait dû l’immortaliser pour en faire une peinture pudique comme sur les représentations faites dans les siècles passés.
Monsieur Le Marquis enfila son gland gonflé de sang dans la chatte soyeuse de Sa chienne, sans la moindre difficulté et d’un seul coup de reins, il fit pénétrer son phallus en entier. La soumise contractait ses muscles vaginaux pour accentuer la pression sur la Noble verge qui allait et venait avec des coups de butoir qui la faisaient chavirer de plaisirs. Le Noble mettait toute son énergie à la pénétrer profondément, allant jusqu’à venir en butée sur le fond du vagin, tandis que ces deux couilles pleines venaient taper sur le scrotum et l’anus.
- Que c’est bon, mes fidèles chiennes et chiens, que vous Me faites bander de votre docilité, de vos gestes ou de vos soupirs d’extase...
L’esclave mâle se demandait bien comment il allait pouvoir exécuter au mieux l’ordre qu’il avait reçu. C’était un ballet infernal de vas-et-viens et sitôt qu’il s’approchait des fesses du Dominant, celles-ci partaient vers l’avant et revenaient aussitôt en arrière sans lui laisser même le temps de s’adapter dans une position instable et inconfortable, puisqu’il devait tenter de se glisser entre les corps des deux soumises étendues sur le lit. Il avait essayé de grimper sur le lit, se tenant arcbouté pour venir par en haut lécher les fesses du Châtelain qui besognait de plus en plus rapidement sa femelle qui planait dans l’extase, mais cela était encore pire, si bien qu’il finit par se décider à se mettre presqu’en « face-sitting » au-dessus de la première soumise et se penchant vers l’avant en prenant appui sur ces jambes, il « arrima » son museau sur l’arrière-train du Noble, la langue sortie, se laissant presque happé et repoussé alternativement par les mouvements de pénétration du Maître.
Au pied du lit, les râles jouissifs et les cris d’un orgasme à répétition avaient pris le relais des premiers soupirs que le plaisir fait naître. En tête du lit, le Maître avait attrapé les jambes de sa soumise pour les placer sur ces épaules afin de pouvoir la pénétrer analement. Les râles du Maître allaient crescendo tout comme Ses à-coups dans le conduit sombre de Sa femelle, qui s’était dilaté pour laisser entrer le Noble Vit vigoureux. Le Marquis d’Evans poussa de grands cris gutturaux, tel un cerf dominant en rut qui entonne son brame dans la forêt. Il éjacula dans le fondement de la belle chienne en chaleur et resta un long moment sans bouger à l’intérieur dans un coït immobile, le temps de reprendre ses esprits et le contrôle de la situation qui ne lui avait cependant jamais échappé. Il attrapa le menton de la soumise qui lui adressa un sourire radieux à la hauteur du plaisir qu’elle venait de recevoir. Ses lèvres bougeaient sans qu’aucun son n’en sorte, elle répétait sans cesse le mot « Merci » articulé en silence. Le Châtelain pris Ses dispositions pour faire détacher les deux premiers esclaves qui, bien qu’exténués, continuaient encore pour l’un de lécher et pour l’autre de se faire lécher. IL renvoya les quatre esclaves après les avoir remercié de ce bon moment de plaisirs jouissifs passé dans cette chambre qu’il affectionnait particulièrement puisqu’elle avait été celle de Son père, et avant lui celle de Son grand-père. Son domaine en plein cœur du Beaujolais allait peut-être lui manquer dans les jours à venir, mais IL savait que d’autres opportunités tout aussi alléchantes s’ouvraient à Lui, qui désirait aussi plus fort que tout de se retrouver rapidement à bord de Son luxueux paquebot L’Odyssée…
(A suivre…)
Ayant terminé son installation avec les deux premiers esclaves, le Châtelain revint s’occuper des deux derniers. IL était très excité par ces préparatifs et IL n’avait plus en tête qu’une envie d’homme viril, très sexuelle autant qu’intellectuelle, celle de profiter des trous de sa femelle. Mais IL voulait jouer le « jeu » jusqu’au bout et s’en remettre au sort quant à l’attribution qui avait été faite des deux cartes rouge de carreau et de cœur. Il s’approcha des deux têtes toujours prosternées et tapa dans Ses mains.
- Debout vous deux ! En position d’attente, tête baissée, les mains derrière la nuque ! Que celui ou celle qui est venu déposer le Roi de carreau à Mes Nobles pieds recule d’un pas.
Sans perdre une seule seconde, le chien et la chienne MDE s’exécutèrent, ne sachant pas du tout le sort qui leur serait réservé, mais cela leur importait peu, car ils avaient tous les deux le bonheur de se trouver en présence du Maître Vénéré, et il n’y avait rien qui pouvait leur faire plus plaisir, si ce n’est de pouvoir apprécier encore plus concrètement la satisfaction et le plaisir de Celui à qui ils avaient voué leurs modestes vies de dominé(e)s. Le Noble repris son explication en redressant le menton de la soumise qui n’avait pas bougé de place et qui de par la position exigée arborait une ferme poitrine en avant des plus alléchantes.
- Il me semble que je n’aurais pas à m’étendre longtemps sur le symbolisme du cœur que ce soit dans la vie de tous les jours comme dans un jeu de cartes. Il parle de sentiments affectueux de toutes sortes, mais sa couleur rouge sur les cartes évoque aussi la chaleur et la passion. J’espère que tu sauras m’offrir des lèvres rouges gonflées de désir et de passion, que cela soient tes plus intimes, celles de ta chatte bien chaude et humide mais aussi celles tout aussi accueillantes qui se serreront sur ma hampe lorsque je te pénétrerai en gorge profonde. Va vite t’allonger dans le lit, de face, bras et jambes écartés comme si tu voulais ressembler à une étoile de mer à quatre bras. Tu ne bougeras sous aucun prétexte avant que ce ne soit Moi qui t’en donne un ordre express. Ne m’oblige pas à te renvoyer dans l’instant dans ton chenil si tu avais le malheur de me désobéir.
La soumise esquissa un large sourire et ne se fit pas prier avant d’aller s’allonger, posant son dos sur le grand couvre-lit en soie naturelle qui lui parut si agréable au toucher. Elle n’avait rien de plus à faire que d’attendre patiemment le bon vouloir du Maître, tandis qu’au pied du lit, les halètements de la petite chienne en chaleur savamment léchée avec application devenaient de plus en plus rapides et forts. Son excitation aussi était à son comble et elle craignait que son humidité naturelle ne vienne tâcher le superbe couvre-lit, mais les ordres du Maître était impératifs et elle devait s’efforcer de garder les cuisses ouvertes, laissant couler sa mouille à laquelle s’était mélangée un peu plus tôt la salive de sa sœur de soumission avec laquelle elle avait partagé un long 69 saphique des plus agréables. Mais que pouvait-elle faire de plus pour aller à l’encontre de ce que la nature lui avait mis entre les jambes, cette caverne onctueuse de femelle qui était devenue bien humide à la simple idée de ce que le Maître venait de lui annoncer. Le Châtelain s’adressa alors à celui qui avait tiré une carte montrant un Roi de carreau.
- Et toi, Mon chien, Je suppose que tu ne sais pas plus ce que représente le Roi de carreau dans les jeux de cartes.
- Non, Maître Vénéré….. (ayant retenu la leçon de ce qui venait de se passer avec son frère de soumission, l’esclave n’en dit pas plus à ce stade)- Je ne retiendrai pour ce soir que cette idée, il s’agit d’un Homme puissant, autoritaire et de pouvoir. Les cartes avec du carreau en général représentant le changement, c’est aussi le symbole d’un Homme qui voyage. Cela me correspond bien, pour ce soir tout du moins. De toute manière, ici entre ces murs, il ne peut y avoir d’autre Roi que Moi. N’es-tu pas d’accord avec cette affirmation ?
- Oh oui, Vous êtes Le Maître et Seigneur de tous Vos esclaves MDE, répondit le soumis avec un ton admiratif.
- Donc, tu seras celui qui va devoir bouger et t’adapter à Ma position. Tu me lécheras les couilles et le cul pendant que je baiserai Ma chienne. Débrouille-toi comme tu peux pour te trouver une petite place entre nos corps, surtout sans me gêner, car tu es là au contraire pour m’apporter du plaisir. Et pour commencer, tu vas aller ranger tous mes vêtements sur le porte-habits.
Monsieur Le Marquis d’Evans dégrafa Sa ceinture en cuir noir et la laissa tomber au sol ainsi que Son pantalon. Sans même qu’il ait eu besoin de parler, l’esclave se jeta à Ses pieds pour ramasser les effets du Noble, non sans avoir pris le temps au préalable de lui défaire les lacets de Ses chaussures, et de lui enlever Ses mocassins de cuir noir de haute facture et Ses chaussettes. Ce fut ensuite le tour de la veste et de la chemise que le Noble retira, laissant apparaître un corps masculin musclé de toute beauté et aux dimensions parfaites. Le boxer présentait, comme il aurait été facile de s’en douter, une géante bosse dans laquelle le vit n’avait guère assez de place pour laisser toute la bandaison s’exprimer. C’est ainsi presque dénudé que Le Châtelain s’approcha du lit pour enjamber le corps de Sa femelle semblant lui faire comprendre d’un regard souriant porté sur son membre encore coincé dans le boxer qu’il attendait que ce dernier rempart de tissu soit ôté pour qu’IL puisse passer aux choses sérieuses, mais ne disant mot sur Ses attentes. Le Marquis d’Evans souriait de la voir dubitative n’osant prendre aucune initiative puisque les ordres la concernant avait été précis, elle ne devait pas bouger et rester bras et jambes écartées tant que le Maître en personne ne lui ordonne expressément autre chose.
- Mon chien ! As-tu fini de déposer mes vêtements à leur place ? Alors approche sans tarder, tes mains sont requises, puisque ta sœur n’est pas tombée dans le piège que Je lui avais tendu et n’a pas été à l’encontre de Mes ordres, même si Je me doute que l’envie ne lui manquait pas de prendre Mon Joyau entre ses mains.
Le chien-mâle ne se fit pas prier et c’est avec délicatesse qu’il extirpa la Noble verge du Maître qui se redressa aussi sec. Il descendit le boxer de quelques centimètres, mais dans la position dans laquelle se trouvait le Noble, à genoux de part et d’autre du corps allongé en étoile de la soumise, il fut bien dans l’embarras pour aller plus loin.
- Allons, dépêchons ! Tu crois que je n’ai que cela à faire d’attendre que tu veuilles bien prendre le temps de descendre centimètre après centimètre mon boxer avant de le retirer complètement. Demain, je pars en voyage sur Mon paquebot, sur Mon Odyssée, et je pense que quelques heures de sommeil après la soirée et ces derniers ébats sexuels ne seront pas de refus. Donc, tu te débrouilles comme tu veux, mais je t’accorde quatre secondes pas plus ! Ne vois-tu pas que j’ai déjà les mains occupées à malaxer la poitrine de Ma belle chienne dont les tétons gonflent et durcissent dès que Je les lui titille ? …. 1 …. 2 ….
L’esclave sans réfléchir plus longtemps, au risque de laisser les quatre secondes s’écouler, se décida à attraper délicatement la jambe gauche du Dominant pour la soulever afin de pouvoir tirer le boxer sur les mollets. Il fit de même avec l’autre jambe après s’être carrément affalé sur le corps de sa sœur de soumission couchée sur le lit. Au moment où le Maître annonçait le « 4 » fatidique, il était en train de prendre en mains le boxer, laissant le Châtelain en tenue d’Adam, mais si excité avec un membre gonflé de désir qu’il aurait été bien difficile de lui faire porter une feuille de vigne si un peintre avait dû l’immortaliser pour en faire une peinture pudique comme sur les représentations faites dans les siècles passés.
Monsieur Le Marquis enfila son gland gonflé de sang dans la chatte soyeuse de Sa chienne, sans la moindre difficulté et d’un seul coup de reins, il fit pénétrer son phallus en entier. La soumise contractait ses muscles vaginaux pour accentuer la pression sur la Noble verge qui allait et venait avec des coups de butoir qui la faisaient chavirer de plaisirs. Le Noble mettait toute son énergie à la pénétrer profondément, allant jusqu’à venir en butée sur le fond du vagin, tandis que ces deux couilles pleines venaient taper sur le scrotum et l’anus.
- Que c’est bon, mes fidèles chiennes et chiens, que vous Me faites bander de votre docilité, de vos gestes ou de vos soupirs d’extase...
L’esclave mâle se demandait bien comment il allait pouvoir exécuter au mieux l’ordre qu’il avait reçu. C’était un ballet infernal de vas-et-viens et sitôt qu’il s’approchait des fesses du Dominant, celles-ci partaient vers l’avant et revenaient aussitôt en arrière sans lui laisser même le temps de s’adapter dans une position instable et inconfortable, puisqu’il devait tenter de se glisser entre les corps des deux soumises étendues sur le lit. Il avait essayé de grimper sur le lit, se tenant arcbouté pour venir par en haut lécher les fesses du Châtelain qui besognait de plus en plus rapidement sa femelle qui planait dans l’extase, mais cela était encore pire, si bien qu’il finit par se décider à se mettre presqu’en « face-sitting » au-dessus de la première soumise et se penchant vers l’avant en prenant appui sur ces jambes, il « arrima » son museau sur l’arrière-train du Noble, la langue sortie, se laissant presque happé et repoussé alternativement par les mouvements de pénétration du Maître.
Au pied du lit, les râles jouissifs et les cris d’un orgasme à répétition avaient pris le relais des premiers soupirs que le plaisir fait naître. En tête du lit, le Maître avait attrapé les jambes de sa soumise pour les placer sur ces épaules afin de pouvoir la pénétrer analement. Les râles du Maître allaient crescendo tout comme Ses à-coups dans le conduit sombre de Sa femelle, qui s’était dilaté pour laisser entrer le Noble Vit vigoureux. Le Marquis d’Evans poussa de grands cris gutturaux, tel un cerf dominant en rut qui entonne son brame dans la forêt. Il éjacula dans le fondement de la belle chienne en chaleur et resta un long moment sans bouger à l’intérieur dans un coït immobile, le temps de reprendre ses esprits et le contrôle de la situation qui ne lui avait cependant jamais échappé. Il attrapa le menton de la soumise qui lui adressa un sourire radieux à la hauteur du plaisir qu’elle venait de recevoir. Ses lèvres bougeaient sans qu’aucun son n’en sorte, elle répétait sans cesse le mot « Merci » articulé en silence. Le Châtelain pris Ses dispositions pour faire détacher les deux premiers esclaves qui, bien qu’exténués, continuaient encore pour l’un de lécher et pour l’autre de se faire lécher. IL renvoya les quatre esclaves après les avoir remercié de ce bon moment de plaisirs jouissifs passé dans cette chambre qu’il affectionnait particulièrement puisqu’elle avait été celle de Son père, et avant lui celle de Son grand-père. Son domaine en plein cœur du Beaujolais allait peut-être lui manquer dans les jours à venir, mais IL savait que d’autres opportunités tout aussi alléchantes s’ouvraient à Lui, qui désirait aussi plus fort que tout de se retrouver rapidement à bord de Son luxueux paquebot L’Odyssée…
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