Une Famille en Or (17)

- Par l'auteur HDS K-ro -
Récit érotique écrit par K-ro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Une Famille en Or (17) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Une Famille en Or (17)
Mardi 6 août 1991
J’ai une semaine de congés à prendre. Nous décidons de descendre à Marseille faire quelques achats et de faire une halte à Luynes histoire de souffler un peu avant le pont du 15 août qui est une période de boulot à bloc pour Ber.

Depuis la venue de Marie-Lou chez nous, j’ai un peu préparé le terrain avec elle. Je lui ai dit que ma mère et ma sœur étaient maintenant adeptes du naturisme, et j’ai dit la même chose à ma mère.
Comme chaque été, Marie-Lou, Valy et Ben profitent souvent de la piscine de mes parents.Et vu que c’est la pleine saison sur les marchés, mon père est absent de tôt le matin jusqu’au soir tard. Donc, tout le monde a fini par se retrouver à poil, y compris Bru.

Je sais par Valy que mon petit frère a eu du mal au début à réfréner ses érections, mais finalement, ça s’est tassé car tout le monde a fait comme si tout était normal. Sève a même fini par le convaincre d’éliminer totalement son léger duvet intime.

Donc, quand nous arrivons en fin de matinée, tout le monde est déjà nu dans la piscine ou autour. Nous les imitons et profitons de l’eau et du soleil.

Je constate que ma mère bien élagué sa touffe en petit triangle, sans toutefois atteindre des extrêmes comme Valy ou moi. Idem pour ma sœur qui a notablement rétréci son ticket de métro qui se résume à un minuscule rectangle ma tante qui a transformé sa flèche en un point rond.

Tout se passe à peu près bien, juste une petite alerte érection côté de mon frère et de mon cousin. Mais j’ai tout fait pour les allumer en douce, je dois dire…
Le soir, nous allons dormir à Bouc-Bel-Air, et c’est l’occasion, entre autres choses, de faire essayer le sandwich à ma tante entre Ber devant et Ben derrière, puis l’inverse. Et pour clore la séance, elle s’est retrouvée empalée sur le strapon de Valy avec le mien dans son cul pendant qu’elle pompait en alternance Ber et Ben.

Après que Marie-Lou ait pris son pied trois fois et ait dégluti le sperme de son fils, Ber qui n’a toujours pas éjaculé lui fait une grosse surprise. Il se relève et présente son gland turgescent devant la figure de Ben et lui rappelle qu’ils avaient fait un pari :- Dis donc, tu as encore perdu tout à l’heure, au bord de la piscine. Tu n’as pas pu t’empêcher de bander. Donc, tu connais ton gage.

Et au grand étonnement ma tante, Ben se met à sucer Ber sans hésitation. Et il avale tout quand il décharge sa livraison sur ses amygdales.


Mercredi 7 août 1991
Après nos emplettes du matin à Marseille, nous retournons à Luynes. Alors que nous sommes autour de la piscine, juste avec ma sœur, mon frère et ma mère, cette dernière nous demande si elle peut remonter avec nous le soir pour profiter un peu de l’air de la montagne. Sève propose de l’accompagner. Bruno ne peut pas venir, car il a une compétition de Bi-Cross prévue ce week-end.

J’accepte donc sans hésiter, avec une petite idée derrière la tête. Et je vois que Ber a eu la même, vu le début d’érection de sa queue qu’il a discrètement décalottée et qu’il caresse pour lui donner bonne consistance.

Une fois en belle érection, il se lève pour aller dans la piscine et histoire que ma mère ne loupe pas cette bite imposante qui passe bien à l’horizontale devant son nez.

C’est Sève qui en fait la remarque, alors que ma mère en reste muette :- Dis donc, tu tiens la forme, toi !

Loin de se cacher, Ber fait un clin d’œil à ma sœur avant de plonger :- Oui, olympique même !

Quand il ressort, sa queue ne pointe plus le ciel, mais le gland est toujours fièrement porté en avant au bout de sa bite qui dodeline à quarante-cinq degrés.


Dès que nous arrivons à la maison, je vais la première prendre une douche d’où je reviens à poil et vais directement comme ça à la cuisine préparer le dîner. Ma mère tique un peu, mais je lui rappelle que chez nous, c’est naturiste.

Ber laisse ma mère profiter de la salle de bains avant lui.
Elle ressort en ayant tout de même enfilé un de nos peignoir, mais tombe nez à nez avec Ber qui attendait son tour, tout nu dans le couloir, la bite au repos tout de même. Elle trouve ensuite ma sœur qui est déjà à poil dans le canapé en attendant son tour pour la douche.

Pendant qu’il se douche, je mets le gratin à cuire au four et je viens servir l’apéro. Sève m’aide à persuader ma mère de se laisser aller, comme l’après-midi dans le jardin. Elle finit par capituler quand Ber revient tout nu et ne la calcule même pas en s’installant à côté d’elle dans le canapé. Elle se laisse enfin convaincre d’enlever son peignoir et tout le monde est à poil quand Sève nous rejoint. Ber réussit à rester correct pour le moment. Ne brusquons pas les choses !

Le dîner est assez décontracté, puis nous nous remettons au salon pour un petit digestif. Quand nous nous décidons à aller nous coucher, Ber se permet encore un bon début d’érection qui ne passe pas inaperçu auprès de ma mère, vu qu’il était encore assis à côté d’elle et qu’en se levant, il lui met pile sous le nez.

Je ne garantis pas que nos ébats seront silencieux…

Jeudi 8 août 1991
Ce matin, je vais à la cuisine pour le petit-déjeuner.

Ma mère est déjà là avec ma sœur. Elle a fait l’effort de rester à poil comme Sève, mais elle ne sait pas quel comportement adopter lorsque Ber nous rejoint en arborant cette fois une belle érection totale et décalottée, sans gêne apparente.

Il fait tout de même semblant de s’excuser :- Euh, je vous demande pardon, mais ce matin, j’ai encore la forme olympique…
Je charrie un peu ma mère :- Allez, Mman, tu en as déjà vu d’autres, à commencer par papa, non ?
- Ouais, c’est vrai, mais c’était le seul jusqu’à présent. Et pas devant tout le monde. Ça te dérange pas, toi ?
- Non, je suis pas jalouse. Et ça dérange pas Sève non plus. Pas vrai, Sève ?
- C’est vrai, t’inquiète pas, j’ai déjà vu Ber en grande forme ! Et pas que lui, d’ailleurs.

Devant cette révélation de ma sœur, elle n’ose pas protester.

Quand Ber est parti travailler, elle revient sur le sujet :- Vous savez, j’avais même jamais vu un autre homme nu que votre père.
- Eh bien en peu de temps, tu as connu les anatomies de ton fils, de ton neveu, et même celle de Ber. Et en plus en érection, les trois à ce que je sais !
- Oui, ça aussi ! Et celle de Bernard est, euh…- Imposante ?
- Oui, vraiment. Déjà que j’avais trouvé que Bru et Ben étaient mieux montés que votre père, alors là…- C’était plus facile avec nous, les nanas ?
- Oui, évidemment, encore que c’était aussi nouveau pour moi, surtout de m’y mettre aussi. Même si c’était en famille. Et j’aurais jamais pensé le faire devant les gars.
- Eh bien voilà, tu es au top, plus de gêne entre nous tous !
- Mais je pense que si votre père l’apprend, il va faire une crise, il est si puritain sur ce point. Je suis déjà étonnée qu’il ait laissé s’installer les strings à la maison !

L’après-midi je les emmène au plan d’eau où nous retrouvons Flo et Sylvie. Nous avons convaincu ma mère de mettre un de mes strings pour ne pas déparer du lot. Comme elle l’a déjà porté à Luynes, elle accepte.


Ce soir, alors que ma mère va à la douche, elle a l’occasion de voir de l’inédit.

Sachant qu’elle va passer forcément devant la chambre, nous avons laissé la porte entr’ouverte et je m’applique à sucer Ber sous le bon angle de vue.

C’est d’abord Sève qui passe et s’arrête, ouvrant carrément la porte :- Je vois l’idée. Pas mal comme exhib “involontaire”…
Elle vient vite passer un coup de langue sur le gland de Ber et un doigt entre mes fesses, puis elle retire la porte dans la même position et va se doucher.

Puis Ber m’a raconté que quand ça a été au tour de ma mère, elle a jeté un regard machinal par l’ouverture en passant et est restée scotchée un moment devant le spectacle. Quand Ber lui fait un clin d’œil et lève le pouce pour montrer que c’est bon, ça l’a réveillée et elle s’est éclipsée.

Ça déclenche l’éjaculation de Ber, j’avale tout, et nous retournons au séjour.

Ma mère nous y rejoint après sa douche avec un petit air gêné, et remarque forcément la tige gonflée et le gland encore décalotté de Ber qui va prendre son tour à la salle de bains.

Elle profite d’un moment où Sève va à la cuisine préparer le dîner pour me dire :- Tu sais, tu devrais bien fermer la porte de la chambre quand tu fais des choses.
- Oui, Ber m’a dit que tu nous avais vus en action. C’est pas grave, j’assume tout…- Euh, quand même un peu, surtout que ta sœur vous a peut-être vus elle aussi…- Bien sûr qu’elle a vu, elle était entrée pour me demander quelque chose. C’est elle qui a dû mal refermer.
- Mais, qu’est-ce que tu me racontes ?
- Ben oui, et elle a dû en profiter pour se faire plaisir sous la douche. Pas toi ?
- Euh, non, enfin oui, un peu. Surtout que ton père ne me touche presque plus…
A ce moment, Sève revient et je lui annonce tout en servant l’apéro :- Eh, Mman aussi m’a vue en train de sucer Ber, et elle s’est branlée sous la douche !
- Bravo, exactement comme moi ! C’était bon pour toi aussi ?

Ma mère est toute gênée, et presque syncro, c’est Ber qui revient. Je l’interpelle :- Tu sais, quand ma mère nous a matés tout à l’heure ? Eh bien, ensuite elle s’est branlée sous la douche !

Bernard la félicite et lui montre sa bite qui remonte doucement :- T’as raison, Rose ! Tu vois, ça me fait plaisir aussi, quand tu te fais plaisir !

Après l’apéro bien chargé, nous mangeons en chargeant encore un peu sur le vin, puis ma mère se propose pour aller faire la vaisselle et nous la laissons faire.

Ber se lève de table avec un beau début d’érection et nous annonce avec un clin d’œil :- Tiens, je vais un peu voir si elle a besoin d’aide.

Il se décalotte et va à la cuisine en se tripotant doucement la bite.

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