Une horloge diabolique !
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une horloge diabolique !
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°546) - Une horloge diabolique ! -
Les explications données par Monsieur le Marquis d’Evans avaient été, comme d’habitude, précises et concises. Elles avaient à la fois rassuré et effrayé soumis Endymion MDE. Il n’en menait vraiment pas large mais la confiance et la pleine dévotion qu’il vouait au Maître, étaient bien au-delà de ses peurs et craintes. Il était arrivé à un stade de soumission totale, d’une résignation complète et désirée, d’un asservissement et d’un avilissement poussés à l’extrême qui le comblaient totalement et le rendaient si épanoui. Grace à cette divine soumission, il était enfin lui-même, ce que la nature avait décidé qu’il soit. Monsieur Le Marquis d’Evans, lui aussi jubilait. En un temps record, il avait su conduire Son chien soumis là où il le voulait, pour en faire un esclave MDE à sa totale disposition et parfaitement dressé, initié. Il avait compris le fort potentiel de ce mâle assoiffé de soumissions perverses, de son engouement aux plaisirs masochistes. Son marquage ne serait certainement pas un aboutissement, mais au contraire une forme de renaissance, juste un nouveau départ dans une nouvelle vie, bien au-delà d’une soumission classique !... Le marquage ne serait pas non plus une torture mais un acte physique puissant dans sa chair d’une appartenance totale, absolue… Tous les deux avaient pleinement conscience de ces évidentes réalités… Le Maître toujours campé devant soumis Endymion MDE, baissa tranquillement, voire sereinement son pantalon et boxer à mi-cuisses. Son sexe dru, dur et dressé à la verticale pointa sous le nez de l’esclave.
- Lèche moi les couilles salope, et remonte ta langue frémissante sur Ma Noble Verge jusqu’à venir titiller mon gland turgescent.
Quel bonheur pour soumis Endymion MDE de voir le Maître ainsi excité, une belle preuve de Son plaisir qu’il affichait ostensiblement devant Son chien soumis MDE. Sa langue glissa à plusieurs reprises sur le génitaux de Monsieur le Marquis d’Evans, avec une envie irrépressible d’avaler ce sexe gonflé, de le gober entièrement, de le sentir au plus profond de sa gorge. N’y tenant plus, le chien soumis colla ses lèvres sur le gland violacé et tenta une intromission. Mais aussitôt, le Maître attrapa l’esclave MDE par les cheveux, le dégagea de Sa queue et lui claqua par deux fois le visage d’une volée de deux gifles retentissantes.
- T-ai-je dis de me sucer chien ? (d’un ton très sévère)- Pardon Maître !
- Contente-toi d’obéir, strictement obéir, ainsi est ta vie désormais… Tu n’as plus à prendre la moindre initiative. Laisse-toi conduire et dresser comme Je l’entends, suis-Je bien clair ?
- Oui Maître Vénéré.
Le Maître fit un demi-tour, s’écarta les fesses à deux mains et présenta Son anus exhibé à l’esclave MDE.
- Apprends déjà à bouffer un cul, avant de vouloir téter ma Noble Queue !
A quatre pattes, le nez enfoui dans ce sillon étroit, soumis Endymion MDE se contenta d’humer ces parfums intimes et de glisser sa langue sur cet orifice écartelé. Le Maître se laissait aller à quelques gémissements, doucement, agréablement. Au bout d’une dizaine de minutes, il se redressa enfin, se retourna de nouveau, et se masturba énergiquement face à soumis Endymion MDE…
- Oh Dieu que c’est bon de se branler ainsi devant un esclave encagé, ne pouvant disposer de sa nouille !
Le Maître, au bord de l’orgasme s’approcha un peu plus du visage de soumis Endymion MDE, il éjacula par trois saccades successives et envoya puissamment Son foutre, épais et abondant, sur le front et les joues du chien soumis. Tranquillement, il essuya Sa queue sur le menton de Son chien MDE, puis il fit nettoyer Sa verge par la langue de l’esclave MDE qui mit tout son savoir-faire à ce travail de nettoyage buccal tout en avalant la divine semence. Une fois la Noble bite propre, Monsieur le Marquis remonta son pantalon et tourna les talons. Juste avant de quitter la pièce, il s’exclama avec une autorité naturelle dans la voix :
- Tu recevras dix coups de fouet supplémentaires pour n’avoir pas respecté strictement Mes consignes !
Le Maître s’en alla, laissant Son chien soumis à genoux, le visage couvert de Son sperme qui glissait doucement sur le rebord de ses lèvres, car s’il avait parfaitement nettoyé la queue du Maître, il n’en était rien de son visage toujours souillé du Noble sperme. soumis Endymion MDE resta ainsi un long moment, sans bouger, sans même laper cette divine semence ! Ce fut Monsieur Walter qui vint récupérer le chien soumis, toujours immobile. Il eut un sourire vicieux, lorsqu’il vit son visage souillé par la semence de Monsieur le Marquis d’Evans. Pour l’humilier un peu plus encore, d’un revers de main, le Majordome étala le foutre sur les joues et le front de l’esclave MDE et lui fit lécher le surplus resté sur le dos de sa main…. Peu après, il attrapa l’esclave par son collier, le fit redresser et l’entraina en direction à l’extérieur du Château d’abord par un long couloir. Ensuite, ils descendirent par un escalier en colimaçon, aux marches abruptes et étroites et toutes en pierre de taille et que soumis Endymion MDE n’avait jamais encore emprunté. La descente était dangereuse car glissante, on aurait cru qu’elle menait aux profondeurs des oubliettes du Château !
Mais une fois arrivé en bas, Monsieur Walter déverrouilla une lourde porte en bois massif, aux gonds grinçants, donnant sur un majestueux et très ancien cloître carré de grande dimension. Sur les quatre côtés de cette cour carrée et sous les bâtiments qui la ceignaient, étaient installées de massives arcades maintenues tantôt par des statues colossales, sans doute des représentations de Divinités Grecques, avec des corps aux proportions idéales, tantôt par de puissantes colonnes avec des chapiteaux richement ornés, le tout formant une architecture classique, inspirée par l’antiquité Gréco-latine, romane et gothique à la fois. L’ensemble était simplement somptueux. Il devait s’agir de la partie la plus ancienne du Château. Il y avait aussi là, au centre de la cour, une immense statue de bronze de plus de 4 mètres de hauteur scellée sur un haut piédestal carré. Cette statue représentait un homme à la posture debout, la tête et le bras levés pointant le ciel du bout du doigt et l’autre bras replié sur la poitrine qui maintenait un manuscrit. Une plaque en laiton était apposée sur le socle, il y était inscrit : ‘’Monsieur Le Marquis Charles-Edouard d’Evans – 1788 – ‘’. Mais que faisait cette magnifique statue ici dans cette cour un peu cachée du visiteur ?!
Au pied de cette statue sur le devant, se trouvait une machine à la mécanique originale telle une horloge d’une parfaite précision, en effet trois immenses roues, deux horizontales fixées sur un essieu à cinquante centimètres du sol, une verticale, elle aussi accrochée à un essieu sortant d’un immense bloc de granite érigé tout juste derrière. Les trois roues étaient installées sur une crémaillère, de sorte que lorsque la roue verticale était en mouvement, les deux autres tournaient, elles aussi, en sens inverse. A l’intérieur de ces roues, des croix de St André étaient arrimées à l’armature métallique, avec sur ces croix, une multitude de sangles, de larges bandes de cuir avec boucles et passants. L’emplacement de l’ensemble paru insolite aux yeux du soumis comme pour celui de la statue… Monsieur Walter poussa soumis Endymion MDE tout contre la roue verticale. Il lui donna l’ordre de mettre les mains sur la tête, lui ôta sa cage de chasteté puis le poussa face à lui, contre cette croix.
Il l’attacha aux diverses sangles, membres largement écartelés. Deux bandes de cuir plus larges passèrent, l’une au-dessus de sa poitrine, l’autre juste au-dessus de son pubis. Elles furent attachées serrées, tant serrées qu’elles empêchèrent une respiration normale au soumis Endymion MDE. A peine fut-il installé et sanglé, solidement attaché, qu’il vit arriver soumise Phryné MDE et soumise Laïs MDE à quatre pattes, toutes deux tenues en laisse, l’une part Monsieur le Marquis d’Evans, l’autre par son neveu. Les deux femelles MDE de Monsieur le Marquis d’Evans furent attachées en croix sur les deux autres roues horizontales. Monsieur Charled aidé de Monsieur Walter ajustèrent un gode au bout d’une barre métallique placée juste entre les cuisses des deux femelles, barre fixée à un point d’ancrage sur la roue. Les godes ainsi positionnés, effleuraient leurs vulves respectives, les pénétrant un tant soit peu. Une fois le travail terminé, Monsieur Charled s’intéressa aux couilles du mâle soumis MDE ; il les noua avec un solide cordage au bout duquel, il accrocha deux poids de cinq cents grammes chacun.
- Je t’ai promis une bonne élongation de tes burnes, n’est-ce pas chien ?
- Oui Monsieur.
Les tétons de soumis Endymion MDE furent eux aussi mis à l’épreuve. Ils eurent droit à des pinces mordantes, agrémentées de petits poids… l’esclave mâle MDE ne put s’empêcher de grimacer et geindre tant la douleur lui fut violente, mais en même temps, il ne put contenir une puissante érection.
- Tu es vraiment une belle salope ! Lui confirma Monsieur CharlEd.
Il l’était, c’était une évidence ! Ses bandaisons devenaient tonitruantes uniquement lorsqu’il était humilié, exhibé, ou encore lorsqu’on lui faisait subir quelques sévices douloureux. Son masochisme n’était plus à démontrer... Le Maître campé sur une petite estrade contemplait avec délectation Ses deux chiennes femelles et Son chien mâle soumis MDE, il les complimenta :
- Que vous êtes belles et beau, ainsi écartelés, offerts et à Ma totale disposition… Vous voilà tous les trois installés sur une horloge, comment dire… diabolique ! Cette horloge perverse, et totalement modernisée à notre époque par un système électrique, a été inventée en 1788 par notre aïeul, Monsieur Le Marquis Charles-Edouard d’Evans… (il dit cela en regardant fièrement son neveu puis en levant la tête en admirant la majestueuse statue)… Vous comprenez maintenant pourquoi cette horloge se trouve ici au pied de Sa statue… Dans une précision parfaite, à chaque minute écoulée, la roue verticale va tourner lentement, très lentement, passant d’un cran à l’autre, dans le sens des aiguilles d’une montre, si bien qu’au bout de quinze minutes, le corps de soumis Endymion MDE sera à l’horizontale, tête à l’est, à la demi-heure, il aura la tête en bas, au bout de trois quart d’heure, il sera de nouveau à l’horizontale la tête cette fois-ci tournée vers l’ouest, et au bout d’une heure, il sera revenu comme il se présente maintenant…
Le Noble repris son souffle, regarda de nouveau la statue avec un immense respect visible par son regard envers son ancêtre et continua son propos en se tournant vers les deux chiennes soumises :
- Et vous Mes chiennes, chaque quart d’heure, pendant les huit premières minutes et à chaque minute passée, le gode effleurant vos vulves va progresser inexorablement dans vos chattes respectives puis se retirera lentement pendant les sept minutes restantes, et ainsi de suite pour chaque quart d’heure passé. Vous allez rester ainsi pendant une heure, juste le temps nécessaire pour que Mon chien se prépare sereinement à la flagellation qui suivra, puis à son marquage… N’oubliez pas que des esclaves du temps pré-révolutionnaire étaient là, à votre place et dans ce lieu historique du Château et d’après les manuscrits retrouvés de l’époque, cette horloge fut largement utilisée de 1788 à 1789 … Alors soyez fiers tous les trois, d’être à la merci de cette perverse horloge historique… Walter, tu peux maintenant déclencher le mécanisme.
Un tic-tac lancinant démarra, indiquant chaque seconde et au bout d’une minute, soumis Endymion MDE sentit la roue s’incliner légèrement sur sa gauche. Ses deux sœurs de soumission poussèrent ensemble un petit gémissement, le gode placé entre leurs cuisses avançait en elles de deux centimètres tout en vibrant. Au bout de cinq minutes seulement, les deux femelles empalées semblaient jouir toutes les deux, un flot de cyprine coulait de leurs entrejambes, le gode les pénétrait maintenant de dix centimètres et semblait vibrer de plus en plus rapidement. Le corps de soumis Endymion MDE s’inclinait de plus en plus, et comme on le lui avait prédit, au bout d’une demi-heure, il était à la renverse, tête en bas, les couilles rabattues maintenant sur son pubis toujours étirées vers le sol. L’heure passa ainsi, les deux femelles MDE de Monsieur le Marquis d’Evans s’étaient abandonnées à quatre reprises à la jouissance, en poussant des cris et des gémissements de plaisir résonnant dans toute cette cour carrée, ce somptueux cloître … Elles furent détachées en premier, elles se tinrent debout, tête basse, cuisses écartées, de part et d’autre de soumis Endymion MDE détaché aussi. Monsieur le Marquis d’Evans les caressa longuement et l’une et l’autre, puis il ordonna qu’on libère Son chien soumis des poids et des pinces et qu’on l’amène à genoux devant soumise Phryné MDE.
- Lèche-lui bien sa chatte, regarde elle est trempée et dès que tu auras fini tu iras nettoyer celle de Laïs MDE. Puis Walter par vos laisses vous mènera au pied de la statue où vous aurez l’incroyable privilège d’aller embrasser le pied de bronze, en guise de remerciements sincères, l’inventeur de cette horloge mon cher ancêtre, Monsieur Le Marquis Charles-Edouard d’Evans…
(A suivre…)
Les explications données par Monsieur le Marquis d’Evans avaient été, comme d’habitude, précises et concises. Elles avaient à la fois rassuré et effrayé soumis Endymion MDE. Il n’en menait vraiment pas large mais la confiance et la pleine dévotion qu’il vouait au Maître, étaient bien au-delà de ses peurs et craintes. Il était arrivé à un stade de soumission totale, d’une résignation complète et désirée, d’un asservissement et d’un avilissement poussés à l’extrême qui le comblaient totalement et le rendaient si épanoui. Grace à cette divine soumission, il était enfin lui-même, ce que la nature avait décidé qu’il soit. Monsieur Le Marquis d’Evans, lui aussi jubilait. En un temps record, il avait su conduire Son chien soumis là où il le voulait, pour en faire un esclave MDE à sa totale disposition et parfaitement dressé, initié. Il avait compris le fort potentiel de ce mâle assoiffé de soumissions perverses, de son engouement aux plaisirs masochistes. Son marquage ne serait certainement pas un aboutissement, mais au contraire une forme de renaissance, juste un nouveau départ dans une nouvelle vie, bien au-delà d’une soumission classique !... Le marquage ne serait pas non plus une torture mais un acte physique puissant dans sa chair d’une appartenance totale, absolue… Tous les deux avaient pleinement conscience de ces évidentes réalités… Le Maître toujours campé devant soumis Endymion MDE, baissa tranquillement, voire sereinement son pantalon et boxer à mi-cuisses. Son sexe dru, dur et dressé à la verticale pointa sous le nez de l’esclave.
- Lèche moi les couilles salope, et remonte ta langue frémissante sur Ma Noble Verge jusqu’à venir titiller mon gland turgescent.
Quel bonheur pour soumis Endymion MDE de voir le Maître ainsi excité, une belle preuve de Son plaisir qu’il affichait ostensiblement devant Son chien soumis MDE. Sa langue glissa à plusieurs reprises sur le génitaux de Monsieur le Marquis d’Evans, avec une envie irrépressible d’avaler ce sexe gonflé, de le gober entièrement, de le sentir au plus profond de sa gorge. N’y tenant plus, le chien soumis colla ses lèvres sur le gland violacé et tenta une intromission. Mais aussitôt, le Maître attrapa l’esclave MDE par les cheveux, le dégagea de Sa queue et lui claqua par deux fois le visage d’une volée de deux gifles retentissantes.
- T-ai-je dis de me sucer chien ? (d’un ton très sévère)- Pardon Maître !
- Contente-toi d’obéir, strictement obéir, ainsi est ta vie désormais… Tu n’as plus à prendre la moindre initiative. Laisse-toi conduire et dresser comme Je l’entends, suis-Je bien clair ?
- Oui Maître Vénéré.
Le Maître fit un demi-tour, s’écarta les fesses à deux mains et présenta Son anus exhibé à l’esclave MDE.
- Apprends déjà à bouffer un cul, avant de vouloir téter ma Noble Queue !
A quatre pattes, le nez enfoui dans ce sillon étroit, soumis Endymion MDE se contenta d’humer ces parfums intimes et de glisser sa langue sur cet orifice écartelé. Le Maître se laissait aller à quelques gémissements, doucement, agréablement. Au bout d’une dizaine de minutes, il se redressa enfin, se retourna de nouveau, et se masturba énergiquement face à soumis Endymion MDE…
- Oh Dieu que c’est bon de se branler ainsi devant un esclave encagé, ne pouvant disposer de sa nouille !
Le Maître, au bord de l’orgasme s’approcha un peu plus du visage de soumis Endymion MDE, il éjacula par trois saccades successives et envoya puissamment Son foutre, épais et abondant, sur le front et les joues du chien soumis. Tranquillement, il essuya Sa queue sur le menton de Son chien MDE, puis il fit nettoyer Sa verge par la langue de l’esclave MDE qui mit tout son savoir-faire à ce travail de nettoyage buccal tout en avalant la divine semence. Une fois la Noble bite propre, Monsieur le Marquis remonta son pantalon et tourna les talons. Juste avant de quitter la pièce, il s’exclama avec une autorité naturelle dans la voix :
- Tu recevras dix coups de fouet supplémentaires pour n’avoir pas respecté strictement Mes consignes !
Le Maître s’en alla, laissant Son chien soumis à genoux, le visage couvert de Son sperme qui glissait doucement sur le rebord de ses lèvres, car s’il avait parfaitement nettoyé la queue du Maître, il n’en était rien de son visage toujours souillé du Noble sperme. soumis Endymion MDE resta ainsi un long moment, sans bouger, sans même laper cette divine semence ! Ce fut Monsieur Walter qui vint récupérer le chien soumis, toujours immobile. Il eut un sourire vicieux, lorsqu’il vit son visage souillé par la semence de Monsieur le Marquis d’Evans. Pour l’humilier un peu plus encore, d’un revers de main, le Majordome étala le foutre sur les joues et le front de l’esclave MDE et lui fit lécher le surplus resté sur le dos de sa main…. Peu après, il attrapa l’esclave par son collier, le fit redresser et l’entraina en direction à l’extérieur du Château d’abord par un long couloir. Ensuite, ils descendirent par un escalier en colimaçon, aux marches abruptes et étroites et toutes en pierre de taille et que soumis Endymion MDE n’avait jamais encore emprunté. La descente était dangereuse car glissante, on aurait cru qu’elle menait aux profondeurs des oubliettes du Château !
Mais une fois arrivé en bas, Monsieur Walter déverrouilla une lourde porte en bois massif, aux gonds grinçants, donnant sur un majestueux et très ancien cloître carré de grande dimension. Sur les quatre côtés de cette cour carrée et sous les bâtiments qui la ceignaient, étaient installées de massives arcades maintenues tantôt par des statues colossales, sans doute des représentations de Divinités Grecques, avec des corps aux proportions idéales, tantôt par de puissantes colonnes avec des chapiteaux richement ornés, le tout formant une architecture classique, inspirée par l’antiquité Gréco-latine, romane et gothique à la fois. L’ensemble était simplement somptueux. Il devait s’agir de la partie la plus ancienne du Château. Il y avait aussi là, au centre de la cour, une immense statue de bronze de plus de 4 mètres de hauteur scellée sur un haut piédestal carré. Cette statue représentait un homme à la posture debout, la tête et le bras levés pointant le ciel du bout du doigt et l’autre bras replié sur la poitrine qui maintenait un manuscrit. Une plaque en laiton était apposée sur le socle, il y était inscrit : ‘’Monsieur Le Marquis Charles-Edouard d’Evans – 1788 – ‘’. Mais que faisait cette magnifique statue ici dans cette cour un peu cachée du visiteur ?!
Au pied de cette statue sur le devant, se trouvait une machine à la mécanique originale telle une horloge d’une parfaite précision, en effet trois immenses roues, deux horizontales fixées sur un essieu à cinquante centimètres du sol, une verticale, elle aussi accrochée à un essieu sortant d’un immense bloc de granite érigé tout juste derrière. Les trois roues étaient installées sur une crémaillère, de sorte que lorsque la roue verticale était en mouvement, les deux autres tournaient, elles aussi, en sens inverse. A l’intérieur de ces roues, des croix de St André étaient arrimées à l’armature métallique, avec sur ces croix, une multitude de sangles, de larges bandes de cuir avec boucles et passants. L’emplacement de l’ensemble paru insolite aux yeux du soumis comme pour celui de la statue… Monsieur Walter poussa soumis Endymion MDE tout contre la roue verticale. Il lui donna l’ordre de mettre les mains sur la tête, lui ôta sa cage de chasteté puis le poussa face à lui, contre cette croix.
Il l’attacha aux diverses sangles, membres largement écartelés. Deux bandes de cuir plus larges passèrent, l’une au-dessus de sa poitrine, l’autre juste au-dessus de son pubis. Elles furent attachées serrées, tant serrées qu’elles empêchèrent une respiration normale au soumis Endymion MDE. A peine fut-il installé et sanglé, solidement attaché, qu’il vit arriver soumise Phryné MDE et soumise Laïs MDE à quatre pattes, toutes deux tenues en laisse, l’une part Monsieur le Marquis d’Evans, l’autre par son neveu. Les deux femelles MDE de Monsieur le Marquis d’Evans furent attachées en croix sur les deux autres roues horizontales. Monsieur Charled aidé de Monsieur Walter ajustèrent un gode au bout d’une barre métallique placée juste entre les cuisses des deux femelles, barre fixée à un point d’ancrage sur la roue. Les godes ainsi positionnés, effleuraient leurs vulves respectives, les pénétrant un tant soit peu. Une fois le travail terminé, Monsieur Charled s’intéressa aux couilles du mâle soumis MDE ; il les noua avec un solide cordage au bout duquel, il accrocha deux poids de cinq cents grammes chacun.
- Je t’ai promis une bonne élongation de tes burnes, n’est-ce pas chien ?
- Oui Monsieur.
Les tétons de soumis Endymion MDE furent eux aussi mis à l’épreuve. Ils eurent droit à des pinces mordantes, agrémentées de petits poids… l’esclave mâle MDE ne put s’empêcher de grimacer et geindre tant la douleur lui fut violente, mais en même temps, il ne put contenir une puissante érection.
- Tu es vraiment une belle salope ! Lui confirma Monsieur CharlEd.
Il l’était, c’était une évidence ! Ses bandaisons devenaient tonitruantes uniquement lorsqu’il était humilié, exhibé, ou encore lorsqu’on lui faisait subir quelques sévices douloureux. Son masochisme n’était plus à démontrer... Le Maître campé sur une petite estrade contemplait avec délectation Ses deux chiennes femelles et Son chien mâle soumis MDE, il les complimenta :
- Que vous êtes belles et beau, ainsi écartelés, offerts et à Ma totale disposition… Vous voilà tous les trois installés sur une horloge, comment dire… diabolique ! Cette horloge perverse, et totalement modernisée à notre époque par un système électrique, a été inventée en 1788 par notre aïeul, Monsieur Le Marquis Charles-Edouard d’Evans… (il dit cela en regardant fièrement son neveu puis en levant la tête en admirant la majestueuse statue)… Vous comprenez maintenant pourquoi cette horloge se trouve ici au pied de Sa statue… Dans une précision parfaite, à chaque minute écoulée, la roue verticale va tourner lentement, très lentement, passant d’un cran à l’autre, dans le sens des aiguilles d’une montre, si bien qu’au bout de quinze minutes, le corps de soumis Endymion MDE sera à l’horizontale, tête à l’est, à la demi-heure, il aura la tête en bas, au bout de trois quart d’heure, il sera de nouveau à l’horizontale la tête cette fois-ci tournée vers l’ouest, et au bout d’une heure, il sera revenu comme il se présente maintenant…
Le Noble repris son souffle, regarda de nouveau la statue avec un immense respect visible par son regard envers son ancêtre et continua son propos en se tournant vers les deux chiennes soumises :
- Et vous Mes chiennes, chaque quart d’heure, pendant les huit premières minutes et à chaque minute passée, le gode effleurant vos vulves va progresser inexorablement dans vos chattes respectives puis se retirera lentement pendant les sept minutes restantes, et ainsi de suite pour chaque quart d’heure passé. Vous allez rester ainsi pendant une heure, juste le temps nécessaire pour que Mon chien se prépare sereinement à la flagellation qui suivra, puis à son marquage… N’oubliez pas que des esclaves du temps pré-révolutionnaire étaient là, à votre place et dans ce lieu historique du Château et d’après les manuscrits retrouvés de l’époque, cette horloge fut largement utilisée de 1788 à 1789 … Alors soyez fiers tous les trois, d’être à la merci de cette perverse horloge historique… Walter, tu peux maintenant déclencher le mécanisme.
Un tic-tac lancinant démarra, indiquant chaque seconde et au bout d’une minute, soumis Endymion MDE sentit la roue s’incliner légèrement sur sa gauche. Ses deux sœurs de soumission poussèrent ensemble un petit gémissement, le gode placé entre leurs cuisses avançait en elles de deux centimètres tout en vibrant. Au bout de cinq minutes seulement, les deux femelles empalées semblaient jouir toutes les deux, un flot de cyprine coulait de leurs entrejambes, le gode les pénétrait maintenant de dix centimètres et semblait vibrer de plus en plus rapidement. Le corps de soumis Endymion MDE s’inclinait de plus en plus, et comme on le lui avait prédit, au bout d’une demi-heure, il était à la renverse, tête en bas, les couilles rabattues maintenant sur son pubis toujours étirées vers le sol. L’heure passa ainsi, les deux femelles MDE de Monsieur le Marquis d’Evans s’étaient abandonnées à quatre reprises à la jouissance, en poussant des cris et des gémissements de plaisir résonnant dans toute cette cour carrée, ce somptueux cloître … Elles furent détachées en premier, elles se tinrent debout, tête basse, cuisses écartées, de part et d’autre de soumis Endymion MDE détaché aussi. Monsieur le Marquis d’Evans les caressa longuement et l’une et l’autre, puis il ordonna qu’on libère Son chien soumis des poids et des pinces et qu’on l’amène à genoux devant soumise Phryné MDE.
- Lèche-lui bien sa chatte, regarde elle est trempée et dès que tu auras fini tu iras nettoyer celle de Laïs MDE. Puis Walter par vos laisses vous mènera au pied de la statue où vous aurez l’incroyable privilège d’aller embrasser le pied de bronze, en guise de remerciements sincères, l’inventeur de cette horloge mon cher ancêtre, Monsieur Le Marquis Charles-Edouard d’Evans…
(A suivre…)
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