Une nouvelle lopette au Château – (suite)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une nouvelle lopette au Château – (suite)
Une nouvelle lopette au Château – (suite) –
Chiennasse fut reconduit hors du bureau du Châtelain par le Majordome. Bien entendu Chiennasse ex-Patrick était tenu en laisse et c’est ainsi qu’il gagna ses nouveaux quartiers. Le Chenil était composé de différentes grandes cages où se trouvaient les chiennes soumises et les mâles soumis de Monsieur le Marquis. Walter savait qu’une cage était vide ainsi Patrick en serait le nouvelle occupant. Mais tout d’abord, il convenait de respecter la Volonté du Maître, Chiennasse devait être équipé d’une cage de chasteté. Le Majordome pris à pleine main les couilles de Patrick et par expérience, il remarqua qu’un petit modèle serait suffisant, mais le Domestique décida quand même qu’une séance d’appareillage serait nécessaire. Dans un premier temps Patrick fut pousser sans ménagement dans la cage ou il allait passer la nuit.
C’est Marie, la perverse cuisinière, le lendemain qui le réveilla en lui apportant une consistante pitance. Le programme de la matinée prévu devait être celui de trouver une belle cage de chasteté pour que Patrick éprouve la Dominance du Seigneur sur ses épaules. Marie savait que chiennasse avait été enculé par Monsieur le Marquis, de plus le port d’une cage de chasteté montrait que le soumis avait signé le contrat de soumission et qu’il appartenait dorénavant au Noble. Mais la cuisinière se devait aussi de démontrer Son pouvoir alors elle décida que Patrick devait dès maintenant comprendre pourquoi Monsieur le Marquis lui avait confié ce poste. Elle dit alors :
- Chiennasse, à mes pieds.
Marie aimait se faire lécher le sexe après être allé aux toilettes et c’était le cas ce matin. Elle voulait tester Chiennasse. La cuisinière s’assit donc sur un siège et elle écarta les jambes et les cuisses largement. Et d’un signe de la main montra à Patrick ce qu’il devait faire. Le soumis s’approcha benoitement de l’entre jambes de Marie, il humait l’air comme un chien et c’est sans se faire prier qu’il se jeta sur les lèvres intimes de la cuisinière. Sa langue lécha tout d’abord les poils du pubis, le chien soumis comprit que les poils étaient collés par un mélange de sueur et d’urine. Il avait donc en bouche, ce délicieux fumet et appréciant cela, il s’appliqua à bien lécher et à bien nettoyer la chatte de Marie. La langue commença à explorer les recoins des grandes lèvres de haut en bas. Patrick passait sa langue et tout d’un coup sa bouche s’empara du sexe de Marie. Il lui bouffait littéralement la chatte provoquant chez Marie un mouvement du bassin. Sa chatte réclamait encore plus alors le chien soumis répondit à cette ordre explicite et il lécha de ses lèvres jusqu’au clitoris de la Gouvernante pour le titiller, le branler, le lécher. Son bouton d’amour était gorgé de sang et Patrick s’en empara car il souhaitait donner un plaisir maximum à la cuisinière. Il devait vraiment la satisfaire car il avait remarqué le martinet qui se trouvait à la ceinture de la Gouvernante. Hier, il avait pu gouter au fouet de Walter et il se doutait que Marie était aussi experte au maniement du martinet. Il léchait donc avec application le sexe croyant faire plaisir à Marie. Il leva les yeux pour chercher sone regard mais celle-ci se raidit alors :
- Espèce de chien ne me regarde pas, tu es là pour mon plaisir et pas pour un moment de complicité. Je vais te punir pour ce manque de considération. Sache que je jouis par le clitoris mais aussi quand je corrige au martinet une salope de ton espèce… Tu vas comprendre ta douleur, la putain !…
La cuisinière se leva et prit en main le martinet qu’elle portait tout le temps. C’est avec un sourire sadique qu’elle commença à frapper Patrick. Le premier coup tomba sur le haut des fesses, le martinet était un modèle anglais qui avait la particularité d’avoir servi jadis dans un collège de jeune fille. Monsieur le Marquis l’avait acheté à un de ses amis Dominant du côté d’Oxford et l’avait modifié. Un petit morceau de plomb recouvert de cuir gravé aux Armoiries de la noble Famille des Evans était rajouté à son extrémité donnant plus de nervosité et de flexion à l’objet. Quand cet embout touchait la peau, elle prenait tout de suite des couleurs et on pouvait deviner les Initiales MDE quelques temps comme si la peau avait été tatouée. Chiennasse se cabrait à chaque coup, mais cela ne l’empêchait pas de bander, visiblement la correction de Marie lui faisait de l’effet… Il fallait vraiment lui trouver une cage de chasteté aux vues de ses nombreuses érections déplacées. Il était inconvenant d’avoir un chien soumis qui bande tout le temps. Monsieur le Marquis aimait partager Son Cheptel mais il devait s’assurer la bonne tenue de Ses esclaves, un mâle soumis ne devait bander que sur une exigence.
Marie, perverse, redoubla de coups visant particulièrement l’entre jambes de Chiennasse, les testicules furent touchés à plusieurs reprises, et par réflexe Patrick serra les jambes. La cuisinière furieuse le saisit par la tête et lui dit avec autorité :
- Debout espèce de vermine, mains sur la tête, jambes écartées. (Patrick obéit) - Tourne-toi maintenant et met-toi face au mur et ne bouge plus. Reste dans cette position immobile, je vais chercher Walter, on va te mettre ta cage de chasteté maintenant. Tu as intérêt de débander d’ailleurs … Je vais te mettre un élastique pour enserrer tes couilles de chien, tu vas rapidement débander, tu vas voir. Marie se saisit d’une pince qui permettait d’écarter l’élastique tout en faisant introduire les testicules. Quand la pince se refermait, l’élastique reprenant sa forme initiale venait couper la circulation sanguine à la base des testicules. Rapidement Patrick constata que ses boules devenaient toutes dures et rouge du sang emprisonné. Marie satisfaite du résultat lui dit ironiquement :
- Reste comme cela, la lopette, le temps que j’aille chercher Walter. Tu devrais être moins présomptueux, tes testicules sont délicieuses à voir, regarde par toi-même et je t’autorise à les toucher aussi.
Patrick baissa les yeux et vue la coloration de ces deux boules comprimées, au touché, il remarqua qu’elles étaient dures comme de la pierre. De plus une douleur intense se fit sentir, de ce fait, il débanda rapidement. Marie savait qu’à son retour le chien mâle aurait deux petites noix et une verge toute petite permettant ainsi la pose de la cage de chasteté par le Majordome. Patrick attendit trois bonnes minutes, c’est en rigolant que le Majordome rentra dans la pièce et il remarqua l’appareillage posé sur Chiennasse, il prit la parole :
- Marie, il n’est pas bon de laisser l’élastique trop longtemps… Faudrait pas lui couper la circulation du sang, tout de même !
Patrick en entendant cette phrase comprit qu’il devait se montrer extrêmement conciliant. Walter s’approcha et coupa l’élastique et dit à la cuisinière :
- Je vais lui mettre la cage maintenant car il ne risque pas de bander avant un petit moment.
Le Majordome avait trouvé une cage métallique. La queue de Patrick fut glissée dedans et les testicules furent emprisonnés dans un anneau et un cadenas reliait les deux. La cage de chasteté empêchait toute possibilité de bander à l’évidence. Patrick était maintenant contraint de refreiner ses pulsions sexuelles. La cuisinière regarda avec plaisir Chiennasse. Ainsi pourvu le mâle avait fier allure, cela plairait au Châtelain, mais pour l’instant Marie devait poursuivre la correction, elle dit à haute voix :
- On en était à trois coups, il en reste donc sept, la pute ! Tu ne croyais pas t’en tirer à si bon compte ! Salope !
Et le martinet reprit sa course. Les fesses de Patrick se couvraient des initiales de Monsieur le Marquis. La modification du martinet avait été une belle trouvaille. Le dixième coup donna le signal de la fin de la punition, Patrick sentit la douleur des coups mais c’est grâce à ceux-ci que la circulation revenait dans ces testicules. En revanche, la cage empêchait sa queue de se gonfler de plaisir et le soumis sentait sa nouille comprimée, ne pouvant pas se dresser à la verticale...
Il était un jouet soumis à la Volonté du Noble Seigneur mais pour l’instant c’était le Majordome qui allait profiter de la situation afin d’inaugurer la pose de la cage par une saillie digne de ce nom. Il s’approcha de Patrick et lui fit mettre les mains en hauteur en appui sur le mur et de ses pieds, il écarta les jambes de Chiennasse. Marie savait ce qui allait arriver et sourit avec perversité. Walter sortait sa grosse queue gonflée de désirs et il commença à introduire son gland turgescent dans le cul du soumis par un bon coup de reins puissant ce qui permis l’introduction de la verge déjà fort dure et dressée. Ce cul était un vrai plaisir, il était encore bien serré, le Majordome besogna de bas en haut Chiennasse et bien entendu l’esclave prenait du plaisir à se faire prendre ainsi comme une bonne putain. Mais sa nouille de soumis encagé ne pouvait exprimer son excitation et celle-ci contrainte pas le tube de métal enserrant sa verge. En effet, sa nouille restait dans une position obligatoirement courbée, alors que le sang l’étirait en avant la cage. Mais le port en continue de la cage devrait dans quelque temps priver le chien soumis de toute envie de bander et ainsi calmer ses pulsions sexuelles.
C’était bien le bût que cherchait Monsieur le Marquis. Mais pour l’instant le Majordome rugissait de plaisir sa queue fouillant et labourant le cul de chiennasse dans des coups de boutoirs puissants et virils. Et une de ses mains alla se poser sur la cage métallique. Qu’il est bon de se faire un soumis dans ces conditions se pensait le Majordome, cela décuplait les sensations. Il ressentait chaque coup de reins dans ses mains et de plus il tirait la cage vers le bas. Walter sentit alors sa queue se gonfler encore plus et l’éjaculation allait se produire. Il décula alors rapidement et exigea à Patrick de se mettre à genoux face à lui. La verge s’approcha du visage de Chiennasse et Patrick ouvrit grand la bouche pour répondre à l’exigence du Majordome. Le premier jet de sperme explosa sur le visage du chien soumis. Le soumis en ouvrant la bouche montrait qu’il avait bien compris ce que l’on attendait de lui. Une obéissance totale, sa bouche et son trou était à la disposition, ce matin c’était le Majordome qui en profitait …. Chiennasse fut recouvert de sperme sur son visage, le Majordome avait une éjaculation importante surtout de bon matin… Le soumis dut ensuite nettoyer avec sa langue la verge de Walter …
(A suivre …)
Chiennasse fut reconduit hors du bureau du Châtelain par le Majordome. Bien entendu Chiennasse ex-Patrick était tenu en laisse et c’est ainsi qu’il gagna ses nouveaux quartiers. Le Chenil était composé de différentes grandes cages où se trouvaient les chiennes soumises et les mâles soumis de Monsieur le Marquis. Walter savait qu’une cage était vide ainsi Patrick en serait le nouvelle occupant. Mais tout d’abord, il convenait de respecter la Volonté du Maître, Chiennasse devait être équipé d’une cage de chasteté. Le Majordome pris à pleine main les couilles de Patrick et par expérience, il remarqua qu’un petit modèle serait suffisant, mais le Domestique décida quand même qu’une séance d’appareillage serait nécessaire. Dans un premier temps Patrick fut pousser sans ménagement dans la cage ou il allait passer la nuit.
C’est Marie, la perverse cuisinière, le lendemain qui le réveilla en lui apportant une consistante pitance. Le programme de la matinée prévu devait être celui de trouver une belle cage de chasteté pour que Patrick éprouve la Dominance du Seigneur sur ses épaules. Marie savait que chiennasse avait été enculé par Monsieur le Marquis, de plus le port d’une cage de chasteté montrait que le soumis avait signé le contrat de soumission et qu’il appartenait dorénavant au Noble. Mais la cuisinière se devait aussi de démontrer Son pouvoir alors elle décida que Patrick devait dès maintenant comprendre pourquoi Monsieur le Marquis lui avait confié ce poste. Elle dit alors :
- Chiennasse, à mes pieds.
Marie aimait se faire lécher le sexe après être allé aux toilettes et c’était le cas ce matin. Elle voulait tester Chiennasse. La cuisinière s’assit donc sur un siège et elle écarta les jambes et les cuisses largement. Et d’un signe de la main montra à Patrick ce qu’il devait faire. Le soumis s’approcha benoitement de l’entre jambes de Marie, il humait l’air comme un chien et c’est sans se faire prier qu’il se jeta sur les lèvres intimes de la cuisinière. Sa langue lécha tout d’abord les poils du pubis, le chien soumis comprit que les poils étaient collés par un mélange de sueur et d’urine. Il avait donc en bouche, ce délicieux fumet et appréciant cela, il s’appliqua à bien lécher et à bien nettoyer la chatte de Marie. La langue commença à explorer les recoins des grandes lèvres de haut en bas. Patrick passait sa langue et tout d’un coup sa bouche s’empara du sexe de Marie. Il lui bouffait littéralement la chatte provoquant chez Marie un mouvement du bassin. Sa chatte réclamait encore plus alors le chien soumis répondit à cette ordre explicite et il lécha de ses lèvres jusqu’au clitoris de la Gouvernante pour le titiller, le branler, le lécher. Son bouton d’amour était gorgé de sang et Patrick s’en empara car il souhaitait donner un plaisir maximum à la cuisinière. Il devait vraiment la satisfaire car il avait remarqué le martinet qui se trouvait à la ceinture de la Gouvernante. Hier, il avait pu gouter au fouet de Walter et il se doutait que Marie était aussi experte au maniement du martinet. Il léchait donc avec application le sexe croyant faire plaisir à Marie. Il leva les yeux pour chercher sone regard mais celle-ci se raidit alors :
- Espèce de chien ne me regarde pas, tu es là pour mon plaisir et pas pour un moment de complicité. Je vais te punir pour ce manque de considération. Sache que je jouis par le clitoris mais aussi quand je corrige au martinet une salope de ton espèce… Tu vas comprendre ta douleur, la putain !…
La cuisinière se leva et prit en main le martinet qu’elle portait tout le temps. C’est avec un sourire sadique qu’elle commença à frapper Patrick. Le premier coup tomba sur le haut des fesses, le martinet était un modèle anglais qui avait la particularité d’avoir servi jadis dans un collège de jeune fille. Monsieur le Marquis l’avait acheté à un de ses amis Dominant du côté d’Oxford et l’avait modifié. Un petit morceau de plomb recouvert de cuir gravé aux Armoiries de la noble Famille des Evans était rajouté à son extrémité donnant plus de nervosité et de flexion à l’objet. Quand cet embout touchait la peau, elle prenait tout de suite des couleurs et on pouvait deviner les Initiales MDE quelques temps comme si la peau avait été tatouée. Chiennasse se cabrait à chaque coup, mais cela ne l’empêchait pas de bander, visiblement la correction de Marie lui faisait de l’effet… Il fallait vraiment lui trouver une cage de chasteté aux vues de ses nombreuses érections déplacées. Il était inconvenant d’avoir un chien soumis qui bande tout le temps. Monsieur le Marquis aimait partager Son Cheptel mais il devait s’assurer la bonne tenue de Ses esclaves, un mâle soumis ne devait bander que sur une exigence.
Marie, perverse, redoubla de coups visant particulièrement l’entre jambes de Chiennasse, les testicules furent touchés à plusieurs reprises, et par réflexe Patrick serra les jambes. La cuisinière furieuse le saisit par la tête et lui dit avec autorité :
- Debout espèce de vermine, mains sur la tête, jambes écartées. (Patrick obéit) - Tourne-toi maintenant et met-toi face au mur et ne bouge plus. Reste dans cette position immobile, je vais chercher Walter, on va te mettre ta cage de chasteté maintenant. Tu as intérêt de débander d’ailleurs … Je vais te mettre un élastique pour enserrer tes couilles de chien, tu vas rapidement débander, tu vas voir. Marie se saisit d’une pince qui permettait d’écarter l’élastique tout en faisant introduire les testicules. Quand la pince se refermait, l’élastique reprenant sa forme initiale venait couper la circulation sanguine à la base des testicules. Rapidement Patrick constata que ses boules devenaient toutes dures et rouge du sang emprisonné. Marie satisfaite du résultat lui dit ironiquement :
- Reste comme cela, la lopette, le temps que j’aille chercher Walter. Tu devrais être moins présomptueux, tes testicules sont délicieuses à voir, regarde par toi-même et je t’autorise à les toucher aussi.
Patrick baissa les yeux et vue la coloration de ces deux boules comprimées, au touché, il remarqua qu’elles étaient dures comme de la pierre. De plus une douleur intense se fit sentir, de ce fait, il débanda rapidement. Marie savait qu’à son retour le chien mâle aurait deux petites noix et une verge toute petite permettant ainsi la pose de la cage de chasteté par le Majordome. Patrick attendit trois bonnes minutes, c’est en rigolant que le Majordome rentra dans la pièce et il remarqua l’appareillage posé sur Chiennasse, il prit la parole :
- Marie, il n’est pas bon de laisser l’élastique trop longtemps… Faudrait pas lui couper la circulation du sang, tout de même !
Patrick en entendant cette phrase comprit qu’il devait se montrer extrêmement conciliant. Walter s’approcha et coupa l’élastique et dit à la cuisinière :
- Je vais lui mettre la cage maintenant car il ne risque pas de bander avant un petit moment.
Le Majordome avait trouvé une cage métallique. La queue de Patrick fut glissée dedans et les testicules furent emprisonnés dans un anneau et un cadenas reliait les deux. La cage de chasteté empêchait toute possibilité de bander à l’évidence. Patrick était maintenant contraint de refreiner ses pulsions sexuelles. La cuisinière regarda avec plaisir Chiennasse. Ainsi pourvu le mâle avait fier allure, cela plairait au Châtelain, mais pour l’instant Marie devait poursuivre la correction, elle dit à haute voix :
- On en était à trois coups, il en reste donc sept, la pute ! Tu ne croyais pas t’en tirer à si bon compte ! Salope !
Et le martinet reprit sa course. Les fesses de Patrick se couvraient des initiales de Monsieur le Marquis. La modification du martinet avait été une belle trouvaille. Le dixième coup donna le signal de la fin de la punition, Patrick sentit la douleur des coups mais c’est grâce à ceux-ci que la circulation revenait dans ces testicules. En revanche, la cage empêchait sa queue de se gonfler de plaisir et le soumis sentait sa nouille comprimée, ne pouvant pas se dresser à la verticale...
Il était un jouet soumis à la Volonté du Noble Seigneur mais pour l’instant c’était le Majordome qui allait profiter de la situation afin d’inaugurer la pose de la cage par une saillie digne de ce nom. Il s’approcha de Patrick et lui fit mettre les mains en hauteur en appui sur le mur et de ses pieds, il écarta les jambes de Chiennasse. Marie savait ce qui allait arriver et sourit avec perversité. Walter sortait sa grosse queue gonflée de désirs et il commença à introduire son gland turgescent dans le cul du soumis par un bon coup de reins puissant ce qui permis l’introduction de la verge déjà fort dure et dressée. Ce cul était un vrai plaisir, il était encore bien serré, le Majordome besogna de bas en haut Chiennasse et bien entendu l’esclave prenait du plaisir à se faire prendre ainsi comme une bonne putain. Mais sa nouille de soumis encagé ne pouvait exprimer son excitation et celle-ci contrainte pas le tube de métal enserrant sa verge. En effet, sa nouille restait dans une position obligatoirement courbée, alors que le sang l’étirait en avant la cage. Mais le port en continue de la cage devrait dans quelque temps priver le chien soumis de toute envie de bander et ainsi calmer ses pulsions sexuelles.
C’était bien le bût que cherchait Monsieur le Marquis. Mais pour l’instant le Majordome rugissait de plaisir sa queue fouillant et labourant le cul de chiennasse dans des coups de boutoirs puissants et virils. Et une de ses mains alla se poser sur la cage métallique. Qu’il est bon de se faire un soumis dans ces conditions se pensait le Majordome, cela décuplait les sensations. Il ressentait chaque coup de reins dans ses mains et de plus il tirait la cage vers le bas. Walter sentit alors sa queue se gonfler encore plus et l’éjaculation allait se produire. Il décula alors rapidement et exigea à Patrick de se mettre à genoux face à lui. La verge s’approcha du visage de Chiennasse et Patrick ouvrit grand la bouche pour répondre à l’exigence du Majordome. Le premier jet de sperme explosa sur le visage du chien soumis. Le soumis en ouvrant la bouche montrait qu’il avait bien compris ce que l’on attendait de lui. Une obéissance totale, sa bouche et son trou était à la disposition, ce matin c’était le Majordome qui en profitait …. Chiennasse fut recouvert de sperme sur son visage, le Majordome avait une éjaculation importante surtout de bon matin… Le soumis dut ensuite nettoyer avec sa langue la verge de Walter …
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