Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1229)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1229)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1229) –
- (…) mais aussi pour pouvoir t’aider plus rapidement à regagner la confiance du Maître...
- Merci sincèrement, répond simplement Sophie.
- Donc ce n’est pas la femme du commandant qui te parle maintenant, mais la soumise MDE que je suis. Alors pour commencer, est-ce que tu peux m’expliquer un peu comment tu en es arrivée là ?
- Je ne sais pas, le manque d’occupations, le désœuvrement, la déprime, l’ennui à passer toute la journée devant la télé...
- Pourquoi parles-tu d’ennui, de déprime ?
- Je manque de motivations au quotidien en cas d’absence prolongée du Maître et je sombre alors très vite dans le désœuvrement, la déprime car je supporte très mal d’être seule sans le Maître. Alors je compense en mangeant n’importe quoi tout en me laissant aller… Tu ne peux pas comprendre, toi tu vis en couple, tu as quelqu’un lorsque tu rentres chez toi.
- J’ai vécu un long moment seule, et jamais ma maison n’a ressemblée à la tienne, souligne Vanessa. La motivation de contenter Le Maître ne te suffit-elle pas ?
- Si, tout du moins elle devrait, mais comme il était loin de moi, absent deux longs mois, alors je me permettais des choses pour soulager ma déprime, me disant qu’Il n’en saura rien, et je suis arrivée à un point de non-retour en prenant du poids, une maison non entretenue et tout ça, en réalité, je ne peux le cacher.
Vanessa ne parvient pas à comprendre comment elle peut délibérément faire des choses qui déplaisent au Maître sous prétexte qu’Il ne pourrait pas s’en apercevoir, ce n’est pas sa conception de la soumission.
- Tu souhaites toujours Lui appartenir ? Porter Sa marque ? demande-t-elle, peu certaine de la réponse.
- Evidemment, s’empresse d’affirmer Sophie. C’est Le Maître le plus merveilleux qui puisse exister au monde- Mais alors pourquoi déshonorer Son éducation en toute conscience ?
- Je ne déshonore pas son éducation… enfin … si en fait ! Je dois bien l’avouer …- Toute soumise se doit d’avoir un comportement exemplaire, de vivre dans le respect des règles établies par Le Maître qui la soumet, ce même en son absence.
- Tu as raison mais… je déprimais et …mais …- … mais ne cherche pas d’excuses, il n’y en a aucune de valable. Je ne veux pas te juger, je peux comprendre qu’il soit parfois très difficile de ne pas oublier sa place quand on est loin de Lui... Moi aussi parfois j’ai fait ce genre d’erreur, mais du peu que je viens de comprendre, tu ne te comportes pas en soumise MDE, tu vis en femme libre et lorsqu’Il te sollicite, là tu redeviens ce que tu penses être. Tu es peut-être une soumise MDE, mais tu n’en mérites pas le titre.
- Je…tu as raison…, sanglote-t-elle prenant conscience qu’elle a déshonoré la marque qu’elle porte.
- Je veux bien t’aider, mais j’ai besoin que tu ne me caches rien. Y es-tu disposée ?
- Oui, je te le promets.
- Quand as-tu transgressé une de Ses règles pour la dernière fois ?
- Je ne sais pas, avant-hier peut-être...
- Ne serait-ce pas plutôt il y a quelques minutes ?, accuse-t-elle. Je croyais que tu avais compris ce que voulais dire « ne rien me cacher », ponctue-t-elle sur un ton plus ferme et à la fois déçu.
Sophie sent soudain son cœur s’accélérer, elle comprend que Vanessa l’a vue et, qu’inévitablement elle va parler de son comportement au Commandant.
- Tu…tu… m’as vu ?
- Et que devrais-je avoir vu, répond Vanessa cherchant à lui faire verbaliser ses erreurs.
- Que je…Oui, je l’avoue, je … je me suis donnée du plaisir, tout à l’heure, répond-t-elle honteuse.
- Hum… tu penses réellement mériter de porter La Marque du Maître ?
- Je…- Je n’ai pas besoin de phrase, un oui ou un non suffisent, la coupe-t-elle.
- Non, répond la jeune femme tout en se mettant à pleurer...
Vanessa a pitié de sa sœur de soumission, mais elle n’arrive pas à comprendre son attitude. Au fond d’elle-même, elle pense que cette soumise est loin de ce qu’un Maître peut attendre d’une soumise, qu’elle ne mérite pas d’appartenir au Maître et, de plus est, de porter Ses nobles Initiales ‘MDE’. Vanessa a envie de la laisser tomber, mais Le Maître lui a exigé en personne de s’en occuper, aussi elle ne peut qu’obéir et donc de faire l’effort de l’aider malgré tout.
- J’avoue avoir du mal à te faire confiance alors que tu me mens juste après m’avoir donné ta parole... Toutefois Le Maître m’a ordonné de t’aider, alors je le ferai.
- Merci, s’empresse de répondre la jeune femme, heureuse que Vanessa ne la laisse pas tomber.
- Bien, alors combien de fois t’es-tu caressée sans autorisation, et je veux la vérité cette fois.
- Une seule fois.
- Aujourd’hui, mais les autres jours, livrée à tes propres pulsions, libre chez toi ? Ne me fais pas croire que c’est la première fois que tu te permets ce genre de liberté masturbatoire...
- Une… à deux fois…par … par semaine, dit-elle d’une faible voix.
- Ah oui, tout de même !
- Tu vas le Lui dire ? craint Sophie.
- Non, je vais te laisser décider si tu penses qu’Il doit en être informé, tente Vanessa pour tester sa détermination à mériter sa place aux pieds du Maître.
soumise Sophie ne répond rien, elle réalise soudain qu’en informer Le Maître est la seule chose à faire, mais elle craint tant sa réaction, qu’Il la rejette totalement, et Il aurait raison de le faire.
- J’ai … J’ai trop peur qu’Il me rende ma liberté.
- A Sa place, c’est ce que je ferais sur le champ, mais Il est bien plus généreux que la plupart des hommes. Il sait pardonner lorsque la repentance est vraiment sincère, honnête. A toi de Lui prouver que tu le mérites.
- Alors je veux bien que tu le Lui dises, s’il te plait, ose Sophie résignée.
- Ah certainement pas, tu vas prendre tes responsabilités, si tu tiens à ce qu’Il en soit informé, tu vas lui faire un mail toi-même et ainsi tout lui avouer.
Disant ceci, Vanessa tend la tablette à Sophie pour qu’elle se connecte sur son adresse mail. Elle s’en saisit, peu sure d’elle, la main tremblante.
- Voilà, je te laisse décider de ce que tu souhaites Lui dire, de mon côté je ne suis au courant de rien, seul ton geste d’aujourd’hui sera relaté à Monsieur Le Commandant. Je te laisse tranquille, lorsque tu auras terminé, tu me rejoins au bureau.
Vanessa remonte dans la maison et se connecte immédiatement à l’ordinateur du bureau, d’une part pour surveiller la jeune femme en vidéo en qui elle n’a plus aucune confiance, de l’autre pour informer par mail Monsieur Le Marquis de ce qui vient de se passer.
« Maître, je Vous remercie par avance de daigner me lire. Vous avez certainement suivi notre conversation sur la vidéosurveillance, mais dans le doute je préfère Vous en informer. Sophie m’a avoué transgresser régulièrement vos règles, se disant que ce n’était pas important tant que Vous ne pouviez pas être mis au courant. J’avoue ne pas parvenir à la cerner, car elle dit vouloir rester à Vos pieds, pourtant elle n’en a pas l’attitude. Et je dois également Vous avouer qu’un sentiment de mépris m’habite la concernant, je ne parviens pas à la comprendre, ni à pardonner son attitude inadmissible envers Vous. Toutefois je n’oublie pas ma place et je mettrai tout en œuvre pour Vous contenter dans l’accompagnement que Vous avez exigé de moi. Je voulais simplement ne pas Vous cacher mon état d’esprit à son égard. Votre dévouée soumise Keira MDE. »
Le Noble a effectivement suivi toute leur conversation, il réalise que ce n’est pas un simple problème de laisser-aller, mais les bases de son éducation, de l’essence même de sa soumission, à reprendre. Il hésite un instant à retirer ce poids à Laurent et Vanessa pour confier cette tâche à son majordome dans Son chenil, mais décide d’une toute autre stratégie. Il prend son téléphone pour informer rapidement Laurent de ce qu’Il a prévu d’entreprendre, puis écrit un court SMS à Vanessa pour l’encourager
« Chacune de ses fautes sera sanctionnées, d’autant plus sévèrement qu’elle les a faites délibérément, de ton côté continue de me contenter ».
La jeune femme lit ce message, alors qu’elle en reçoit un autre de Laurent
« Ce soir fait en sorte que notre invitée ait mangé avant 18h30. C’est l’heure à laquelle je rentrerai. Je compte également sur toi pour lui faire préparer un repas pour 4 personnes, qu’il soit prêt à servir pour 19h30. Je t’aime. »
Vanessa se demande qui vient dîner ce soir, mais se doute que s’il ne lui en a pas dit davantage c’est qu’elle n’a pas à le savoir. soumise Sophie la rejoint dans le bureau, elle attend dans l’encadrement de la porte, la tablette à la main. Vanessa l’observe un instant, toujours fâchée à son égard avec une terrible envie de lui faire regretter d’avoir déshonoré la marque ‘’MDE’’ qu’elle porte également, mais elle sait que ce n’est pas son rôle aussi, elle prend sur elle.
- A partir de maintenant, sans ordre contraire, tu restes à genoux et tu te déplaces à quatre pattes…
(A suivre…)
- (…) mais aussi pour pouvoir t’aider plus rapidement à regagner la confiance du Maître...
- Merci sincèrement, répond simplement Sophie.
- Donc ce n’est pas la femme du commandant qui te parle maintenant, mais la soumise MDE que je suis. Alors pour commencer, est-ce que tu peux m’expliquer un peu comment tu en es arrivée là ?
- Je ne sais pas, le manque d’occupations, le désœuvrement, la déprime, l’ennui à passer toute la journée devant la télé...
- Pourquoi parles-tu d’ennui, de déprime ?
- Je manque de motivations au quotidien en cas d’absence prolongée du Maître et je sombre alors très vite dans le désœuvrement, la déprime car je supporte très mal d’être seule sans le Maître. Alors je compense en mangeant n’importe quoi tout en me laissant aller… Tu ne peux pas comprendre, toi tu vis en couple, tu as quelqu’un lorsque tu rentres chez toi.
- J’ai vécu un long moment seule, et jamais ma maison n’a ressemblée à la tienne, souligne Vanessa. La motivation de contenter Le Maître ne te suffit-elle pas ?
- Si, tout du moins elle devrait, mais comme il était loin de moi, absent deux longs mois, alors je me permettais des choses pour soulager ma déprime, me disant qu’Il n’en saura rien, et je suis arrivée à un point de non-retour en prenant du poids, une maison non entretenue et tout ça, en réalité, je ne peux le cacher.
Vanessa ne parvient pas à comprendre comment elle peut délibérément faire des choses qui déplaisent au Maître sous prétexte qu’Il ne pourrait pas s’en apercevoir, ce n’est pas sa conception de la soumission.
- Tu souhaites toujours Lui appartenir ? Porter Sa marque ? demande-t-elle, peu certaine de la réponse.
- Evidemment, s’empresse d’affirmer Sophie. C’est Le Maître le plus merveilleux qui puisse exister au monde- Mais alors pourquoi déshonorer Son éducation en toute conscience ?
- Je ne déshonore pas son éducation… enfin … si en fait ! Je dois bien l’avouer …- Toute soumise se doit d’avoir un comportement exemplaire, de vivre dans le respect des règles établies par Le Maître qui la soumet, ce même en son absence.
- Tu as raison mais… je déprimais et …mais …- … mais ne cherche pas d’excuses, il n’y en a aucune de valable. Je ne veux pas te juger, je peux comprendre qu’il soit parfois très difficile de ne pas oublier sa place quand on est loin de Lui... Moi aussi parfois j’ai fait ce genre d’erreur, mais du peu que je viens de comprendre, tu ne te comportes pas en soumise MDE, tu vis en femme libre et lorsqu’Il te sollicite, là tu redeviens ce que tu penses être. Tu es peut-être une soumise MDE, mais tu n’en mérites pas le titre.
- Je…tu as raison…, sanglote-t-elle prenant conscience qu’elle a déshonoré la marque qu’elle porte.
- Je veux bien t’aider, mais j’ai besoin que tu ne me caches rien. Y es-tu disposée ?
- Oui, je te le promets.
- Quand as-tu transgressé une de Ses règles pour la dernière fois ?
- Je ne sais pas, avant-hier peut-être...
- Ne serait-ce pas plutôt il y a quelques minutes ?, accuse-t-elle. Je croyais que tu avais compris ce que voulais dire « ne rien me cacher », ponctue-t-elle sur un ton plus ferme et à la fois déçu.
Sophie sent soudain son cœur s’accélérer, elle comprend que Vanessa l’a vue et, qu’inévitablement elle va parler de son comportement au Commandant.
- Tu…tu… m’as vu ?
- Et que devrais-je avoir vu, répond Vanessa cherchant à lui faire verbaliser ses erreurs.
- Que je…Oui, je l’avoue, je … je me suis donnée du plaisir, tout à l’heure, répond-t-elle honteuse.
- Hum… tu penses réellement mériter de porter La Marque du Maître ?
- Je…- Je n’ai pas besoin de phrase, un oui ou un non suffisent, la coupe-t-elle.
- Non, répond la jeune femme tout en se mettant à pleurer...
Vanessa a pitié de sa sœur de soumission, mais elle n’arrive pas à comprendre son attitude. Au fond d’elle-même, elle pense que cette soumise est loin de ce qu’un Maître peut attendre d’une soumise, qu’elle ne mérite pas d’appartenir au Maître et, de plus est, de porter Ses nobles Initiales ‘MDE’. Vanessa a envie de la laisser tomber, mais Le Maître lui a exigé en personne de s’en occuper, aussi elle ne peut qu’obéir et donc de faire l’effort de l’aider malgré tout.
- J’avoue avoir du mal à te faire confiance alors que tu me mens juste après m’avoir donné ta parole... Toutefois Le Maître m’a ordonné de t’aider, alors je le ferai.
- Merci, s’empresse de répondre la jeune femme, heureuse que Vanessa ne la laisse pas tomber.
- Bien, alors combien de fois t’es-tu caressée sans autorisation, et je veux la vérité cette fois.
- Une seule fois.
- Aujourd’hui, mais les autres jours, livrée à tes propres pulsions, libre chez toi ? Ne me fais pas croire que c’est la première fois que tu te permets ce genre de liberté masturbatoire...
- Une… à deux fois…par … par semaine, dit-elle d’une faible voix.
- Ah oui, tout de même !
- Tu vas le Lui dire ? craint Sophie.
- Non, je vais te laisser décider si tu penses qu’Il doit en être informé, tente Vanessa pour tester sa détermination à mériter sa place aux pieds du Maître.
soumise Sophie ne répond rien, elle réalise soudain qu’en informer Le Maître est la seule chose à faire, mais elle craint tant sa réaction, qu’Il la rejette totalement, et Il aurait raison de le faire.
- J’ai … J’ai trop peur qu’Il me rende ma liberté.
- A Sa place, c’est ce que je ferais sur le champ, mais Il est bien plus généreux que la plupart des hommes. Il sait pardonner lorsque la repentance est vraiment sincère, honnête. A toi de Lui prouver que tu le mérites.
- Alors je veux bien que tu le Lui dises, s’il te plait, ose Sophie résignée.
- Ah certainement pas, tu vas prendre tes responsabilités, si tu tiens à ce qu’Il en soit informé, tu vas lui faire un mail toi-même et ainsi tout lui avouer.
Disant ceci, Vanessa tend la tablette à Sophie pour qu’elle se connecte sur son adresse mail. Elle s’en saisit, peu sure d’elle, la main tremblante.
- Voilà, je te laisse décider de ce que tu souhaites Lui dire, de mon côté je ne suis au courant de rien, seul ton geste d’aujourd’hui sera relaté à Monsieur Le Commandant. Je te laisse tranquille, lorsque tu auras terminé, tu me rejoins au bureau.
Vanessa remonte dans la maison et se connecte immédiatement à l’ordinateur du bureau, d’une part pour surveiller la jeune femme en vidéo en qui elle n’a plus aucune confiance, de l’autre pour informer par mail Monsieur Le Marquis de ce qui vient de se passer.
« Maître, je Vous remercie par avance de daigner me lire. Vous avez certainement suivi notre conversation sur la vidéosurveillance, mais dans le doute je préfère Vous en informer. Sophie m’a avoué transgresser régulièrement vos règles, se disant que ce n’était pas important tant que Vous ne pouviez pas être mis au courant. J’avoue ne pas parvenir à la cerner, car elle dit vouloir rester à Vos pieds, pourtant elle n’en a pas l’attitude. Et je dois également Vous avouer qu’un sentiment de mépris m’habite la concernant, je ne parviens pas à la comprendre, ni à pardonner son attitude inadmissible envers Vous. Toutefois je n’oublie pas ma place et je mettrai tout en œuvre pour Vous contenter dans l’accompagnement que Vous avez exigé de moi. Je voulais simplement ne pas Vous cacher mon état d’esprit à son égard. Votre dévouée soumise Keira MDE. »
Le Noble a effectivement suivi toute leur conversation, il réalise que ce n’est pas un simple problème de laisser-aller, mais les bases de son éducation, de l’essence même de sa soumission, à reprendre. Il hésite un instant à retirer ce poids à Laurent et Vanessa pour confier cette tâche à son majordome dans Son chenil, mais décide d’une toute autre stratégie. Il prend son téléphone pour informer rapidement Laurent de ce qu’Il a prévu d’entreprendre, puis écrit un court SMS à Vanessa pour l’encourager
« Chacune de ses fautes sera sanctionnées, d’autant plus sévèrement qu’elle les a faites délibérément, de ton côté continue de me contenter ».
La jeune femme lit ce message, alors qu’elle en reçoit un autre de Laurent
« Ce soir fait en sorte que notre invitée ait mangé avant 18h30. C’est l’heure à laquelle je rentrerai. Je compte également sur toi pour lui faire préparer un repas pour 4 personnes, qu’il soit prêt à servir pour 19h30. Je t’aime. »
Vanessa se demande qui vient dîner ce soir, mais se doute que s’il ne lui en a pas dit davantage c’est qu’elle n’a pas à le savoir. soumise Sophie la rejoint dans le bureau, elle attend dans l’encadrement de la porte, la tablette à la main. Vanessa l’observe un instant, toujours fâchée à son égard avec une terrible envie de lui faire regretter d’avoir déshonoré la marque ‘’MDE’’ qu’elle porte également, mais elle sait que ce n’est pas son rôle aussi, elle prend sur elle.
- A partir de maintenant, sans ordre contraire, tu restes à genoux et tu te déplaces à quatre pattes…
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