Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°514) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°514) -
Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°514) -
Le commandant, revenant dans la pièce, s’exclame d’une voix claire et emplie d’autorité :
- Bien, reprenons où nous en étions.
Il se dirige vers Vanessa, la détache, et sans un mot lui tend le préservatif. Elle ne dit rien, s’en saisit et se dirige vers le jeune homme.
- Tes mains sont interdites, tu ne les utilises que pour lui mettre cette capote, pour le reste tu te débrouilles. Tu as dix minutes, si tu parviens à le faire éjaculer il sera punit, si tu échoues c’est toi qui subira la sanction, annonce le commandant.
Le jeune homme sourit, presque avec arrogance, il est certain de résister sans aucun souci, c’est une femme, et lui plutôt homosexuel avéré n’est pas attiré par le sexe opposé, elle ne parviendra certainement jamais à l’exciter suffisamment. Vanessa quant à elle, a bien conscience de l’enjeu, si elle est capable de parvenir à ses fins avec un homme comme lui, elle n’aura aucun mal à contenter les hommes qui ne sont pas insensibles à ses charmes. La jeune femme s’apprête à démarrer mais réalise soudain qu’elle ne peut pas poser le préservatif sur le sexe mou du jeune homme, ne pouvant utiliser sa langue sans protection, et ayant interdiction d’utiliser ses mains, elle se retrouve un peu perdue et ose un regard désespéré vers son commandant, espérant qu’il ne lui tiendra pas rigueur d’avoir levé les yeux sur lui.
- Ah j’oubliais, pour le réveiller, tu as le droit à la parole, une fois la capote posée c’est silence, ajoute le commandant en souriant.
Vanessa ne maitrise pas la psychologie humaine au niveau de son Maître, mais elle s’est suffisamment exercée par son expérience professionnelle. En effet, lors de ses interventions de pompiers, sur des hommes peu coopératifs, elle sait toujours quels mots utiliser pour parvenir à ses fins. Elle doit à tout prix trouver les mots qui exciteront ce soumis, elle réfléchit un instant, elle a ressenti son orgueil démesuré, mais également sa soumission qu’il refoule avec tant d’ardeur, alors elle se penche à son oreille et lui murmure.
- Tu sais que tu vas gagner, c’est peine perdue pour moi, tu sais te contrôler, personne n’a vraiment le pouvoir sur toi, tu leur donnes simplement l’illusion qu’ils ont le pouvoir, mais en fait c’est toi qui le détient. C’était pour ça le pas vers l’escalier, faire croire à ton Maître que finalement tu changeais d’avis, que tu revenais vers lui, qu’il était plus fort que toi, en somme pour le manipuler. En fait, tu les utilises, simplement pour arriver à tes fins, pour qu’ils te prennent avec force, parce que tu aimes ça. Et tu sais quoi ? Je te plains, tu n’as pas la chance de connaitre le plaisir que procure le véritable abandon. Imagine appartenir à Monsieur Le Marquis d’Evans, mon Maître Vénéré, imagine ce que ce Grand Maître aurait fait de toi pour sanctionner ton insolence… Il n’aurait même pas daigné se déplacer jusqu’à ta minable personne pour te punir, même Ses sanctions il faut les mériter. Lui, Il t’aurait offert en pâture à Son personnel, et encore tu n’en es même pas digne, non tu n’aurais été qu’un vulgaire vide-couilles pour Ses chiens-soumis les plus méritants, attaché à quatre pattes pour que chaque esclave récompensé puisse user et abuser de toi, se vider dans ton cul et dans ta bouche…
La jeune femme a touché juste, le vit du soumis durcit à vue d’œil, jusqu’à qu’il soit rapidement et complètement dressé, elle décide donc de se redresser et de lui passer le préservatif avant de le prendre en bouche. Elle mise sur ce qu’elle a mis dans la tête du jeune homme pour parvenir à le faire jouir, ainsi que sur ce que le commandant lui a enseigné dans la technique de la fellation. Elle s’attache à faire courir sa langue le long de la verge du jeune homme, elle surveille sa respiration, enserre son vit entre ses lèvres, le prend au plus profond de sa gorge. Cela dure environ 5 à 6 minutes où Vanessa s’applique du mieux possible passant de la lenteur de sa langue en de rapides et énergiques vas et viens de sa bouche sensuelle. Mais aussi en enserrant fortement entre ses mâchoires, fermant entre ses lèvres, cette verge gorgée de sang et dure comme un bâton. Soudain, elle remarque que la respiration du jeune homme est plus pressante, plus rapide par saccades, alors elle accentue ses efforts encore et encore, ce qui la fait beaucoup saliver jusqu’à ce que cette salive coulent par les commissures de ses lèvres. Et enfin après multiples et énergiques efforts, il finit par se libérer dans un long râle de jouissance qu’il tente de camoufler par un stupide sursaut d’orgueil. Vanessa est haletante par sa respiration, épuisée sur le moment par cet effort buccal intense mais elle a réussi à relever le défi et c’est avec sa fierté intérieure ressentie qu’elle se redresse sans un mot et qu’elle s’agenouille à côté de la table sur laquelle est attaché le soumis. Puis elle prend la position d’attente, patientant les prochains ordres. Le commandant la regarde de son fauteuil, une lueur de fierté lui aussi dans les yeux, mais il se retient de le lui faire savoir.
- Bien détache-le, récupère le préservatif sans en perdre une goutte et reprends ta place à mes pieds, ordonne-t-il à Vanessa.
Celle-ci se redresse sans attendre, détache le jeune homme, puis de ses douces mains attrape la nouille ramollie du soumis et avec délicatesse retire le préservatif dont le réservoir est rempli du sperme du jeune homme. Laissant ensuite cette verge pendante et gluante, Vanessa revient à quatre pattes aux pieds des deux hommes. Elle tend le préservatif au commandant qui s’en saisit et d’un signe de la main lui fait comprendre qu’elle doit reprendre sa position d’attente à côté de son fauteuil.
- Bien, il est temps de venir quémander ta punition, aux pieds ! ordonne-t-il au jeune homme.
Le jeune homme ne répond pas, perdu dans la frustration de son échec. Le Maitre du jeune homme s’impatiente, il commence à se lever, mais le commandant l’arrête d’un signe de main.
- C’est déjà dangereux de faire patienter un Maître, alors deux…, ajoute le commandant d’une voix forte pleine de promesses.
Le jeune homme réagit et décide qu’il vaut mieux faire profil bas dans l’immédiat. Il descend de la table et rejoint les deux hommes à quatre pattes avant de se positionner à genoux, les mains dans le dos. Le commandant pose la palette de sa cravache sur ses lèvres entrouvertes pour lui faire ouvrir la bouche grandement. Sans un mot, d’abord il le fixe de son puissant regard Dominant, regard intense, où l’autorité s’exprime pleinement et cela durant une longue minute dans un silence parfait. Le soumis ne peut pas tenir ce regard, il baisse presque instinctivement et assez vite les yeux juste au bout de quelques secondes se sentant inférieur, rabaissé, simplement par ce visage sévère à l’extrême du Dominant. Ensuite le commandant déverse le contenu du préservatif dans cette bouche ouverte et lui la referme toujours sans aucun mot, lui faisant comprendre qu’il doit tout avaler. Le jeune soumis hésite un instant, avaler sa propre semence est très humiliant pour lui, mais il comprend rapidement qu’il vaut mieux obéir.
- Bien, décidemment tu ne sais pas te contrôler, ton Maître m’avait parlé du fait que tu te vidais un peu trop souvent à son goût et sans y être autorisé, il a donc apporté de quoi faire en sorte que dorénavant tu ne te libères plus sans son autorisation.
Le commandant fait signe au jeune Maître qui sort alors de sa poche une cage de chasteté entièrement en acier brillant et inoxydable. Il prend le sexe mou de son soumis passe les testicules dans l’anneau de la cage puis enferme la verge molle dans la partie annelée. Enfin après avoir vérifié que le serrage ne le blesse pas, il fixe et ferme le cadenas et tend la clé au commandant. Le jeune homme comprend qu’il vient de passer un cap dans cet univers, que son Maître est décidé à reprendre les rênes, et qu’il va devoir se plier ou renoncer.
- Bien, le reste de ta sanction ne se passera pas ici, tu vas vivre un véritable dressage devenu indispensable afin de faire de toi un véritable soumis où tout orgueil ne peut cohabiter avec ta condition. Cela va durer plusieurs jours, lorsque tu seras remis à ton Maître, tu seras changé en véritable chien obéissant, annonce solennellement le commandant.
Vanessa comprend que ce jeune soumis va partir dans le chenil de son Maître Vénéré, et intérieurement elle est ravie de savoir qu’il va devoir répondre de ses paroles qui l’ont véritablement blessée même si elle n’était pas visée personnellement. Le commandant se lève, prend le jeune homme au collier, lui accroche sa laisse et le mène jusqu’à l’anneau mural solidement scellé où il l’attache de nouveau.
- Tu restes à quatre pattes, tu réfléchis à ta condition, tandis que je vais raccompagner ton Maître.
Le commandant fait signe au jeune Maître de le suivre, et claque des doigts pour que Vanessa fasse de même. Ils rejoignent l’escalier, Vanessa suit derrière, doucement pour ne pas manquer de marches, ils rejoignent le salon. Les deux hommes s’installent dans les fauteuils tandis que la jeune femme reprend sa place aux pieds du commandant.
- Merci très cher, j’espère que vous parviendrez à le rendre plus docile. Mais en fait où souhaitez-vous le mener ?
- Chez un très Grand Maître, certainement le meilleur de tous, plus exactement chez le Maître de cette jeune soumise, Il me l’a proposé et je pense que c’est la meilleure chose à faire dans le cas de votre soumis. Monsieur le Marquis d’Evans est bien plus expérimenté que moi pour casser l’orgueil et la rébellion, si Lui n’y parvient pas, personne ne le pourra.
- Si Monsieur Le Marquis d’Evans, veut bien s’occuper de son cas, je ne sais comment je pourrai Le remercier, car sa réputation est si grande que je ne doute à aucun instant du résultat. Je dirai même que je n’osais même pas espérer meilleur endroit de dressage que son fameux et célèbre Château, répond surpris le jeune Maître avec une expression enthousiasme et honorée.
- Nul besoin de le remercier, toujours solidaire envers ses pairs et confrères, Il tend la main à un membre de notre communauté, Il considère comme un devoir d’aider les Dominants en difficulté. Mais vous n’avez pas seulement besoin d’aide à cause de la rébellion de votre soumis, vous avez besoin d’apprendre la fermeté, cher ami… N’est-ce pas soumise ?...
(A suivre…)
Le commandant, revenant dans la pièce, s’exclame d’une voix claire et emplie d’autorité :
- Bien, reprenons où nous en étions.
Il se dirige vers Vanessa, la détache, et sans un mot lui tend le préservatif. Elle ne dit rien, s’en saisit et se dirige vers le jeune homme.
- Tes mains sont interdites, tu ne les utilises que pour lui mettre cette capote, pour le reste tu te débrouilles. Tu as dix minutes, si tu parviens à le faire éjaculer il sera punit, si tu échoues c’est toi qui subira la sanction, annonce le commandant.
Le jeune homme sourit, presque avec arrogance, il est certain de résister sans aucun souci, c’est une femme, et lui plutôt homosexuel avéré n’est pas attiré par le sexe opposé, elle ne parviendra certainement jamais à l’exciter suffisamment. Vanessa quant à elle, a bien conscience de l’enjeu, si elle est capable de parvenir à ses fins avec un homme comme lui, elle n’aura aucun mal à contenter les hommes qui ne sont pas insensibles à ses charmes. La jeune femme s’apprête à démarrer mais réalise soudain qu’elle ne peut pas poser le préservatif sur le sexe mou du jeune homme, ne pouvant utiliser sa langue sans protection, et ayant interdiction d’utiliser ses mains, elle se retrouve un peu perdue et ose un regard désespéré vers son commandant, espérant qu’il ne lui tiendra pas rigueur d’avoir levé les yeux sur lui.
- Ah j’oubliais, pour le réveiller, tu as le droit à la parole, une fois la capote posée c’est silence, ajoute le commandant en souriant.
Vanessa ne maitrise pas la psychologie humaine au niveau de son Maître, mais elle s’est suffisamment exercée par son expérience professionnelle. En effet, lors de ses interventions de pompiers, sur des hommes peu coopératifs, elle sait toujours quels mots utiliser pour parvenir à ses fins. Elle doit à tout prix trouver les mots qui exciteront ce soumis, elle réfléchit un instant, elle a ressenti son orgueil démesuré, mais également sa soumission qu’il refoule avec tant d’ardeur, alors elle se penche à son oreille et lui murmure.
- Tu sais que tu vas gagner, c’est peine perdue pour moi, tu sais te contrôler, personne n’a vraiment le pouvoir sur toi, tu leur donnes simplement l’illusion qu’ils ont le pouvoir, mais en fait c’est toi qui le détient. C’était pour ça le pas vers l’escalier, faire croire à ton Maître que finalement tu changeais d’avis, que tu revenais vers lui, qu’il était plus fort que toi, en somme pour le manipuler. En fait, tu les utilises, simplement pour arriver à tes fins, pour qu’ils te prennent avec force, parce que tu aimes ça. Et tu sais quoi ? Je te plains, tu n’as pas la chance de connaitre le plaisir que procure le véritable abandon. Imagine appartenir à Monsieur Le Marquis d’Evans, mon Maître Vénéré, imagine ce que ce Grand Maître aurait fait de toi pour sanctionner ton insolence… Il n’aurait même pas daigné se déplacer jusqu’à ta minable personne pour te punir, même Ses sanctions il faut les mériter. Lui, Il t’aurait offert en pâture à Son personnel, et encore tu n’en es même pas digne, non tu n’aurais été qu’un vulgaire vide-couilles pour Ses chiens-soumis les plus méritants, attaché à quatre pattes pour que chaque esclave récompensé puisse user et abuser de toi, se vider dans ton cul et dans ta bouche…
La jeune femme a touché juste, le vit du soumis durcit à vue d’œil, jusqu’à qu’il soit rapidement et complètement dressé, elle décide donc de se redresser et de lui passer le préservatif avant de le prendre en bouche. Elle mise sur ce qu’elle a mis dans la tête du jeune homme pour parvenir à le faire jouir, ainsi que sur ce que le commandant lui a enseigné dans la technique de la fellation. Elle s’attache à faire courir sa langue le long de la verge du jeune homme, elle surveille sa respiration, enserre son vit entre ses lèvres, le prend au plus profond de sa gorge. Cela dure environ 5 à 6 minutes où Vanessa s’applique du mieux possible passant de la lenteur de sa langue en de rapides et énergiques vas et viens de sa bouche sensuelle. Mais aussi en enserrant fortement entre ses mâchoires, fermant entre ses lèvres, cette verge gorgée de sang et dure comme un bâton. Soudain, elle remarque que la respiration du jeune homme est plus pressante, plus rapide par saccades, alors elle accentue ses efforts encore et encore, ce qui la fait beaucoup saliver jusqu’à ce que cette salive coulent par les commissures de ses lèvres. Et enfin après multiples et énergiques efforts, il finit par se libérer dans un long râle de jouissance qu’il tente de camoufler par un stupide sursaut d’orgueil. Vanessa est haletante par sa respiration, épuisée sur le moment par cet effort buccal intense mais elle a réussi à relever le défi et c’est avec sa fierté intérieure ressentie qu’elle se redresse sans un mot et qu’elle s’agenouille à côté de la table sur laquelle est attaché le soumis. Puis elle prend la position d’attente, patientant les prochains ordres. Le commandant la regarde de son fauteuil, une lueur de fierté lui aussi dans les yeux, mais il se retient de le lui faire savoir.
- Bien détache-le, récupère le préservatif sans en perdre une goutte et reprends ta place à mes pieds, ordonne-t-il à Vanessa.
Celle-ci se redresse sans attendre, détache le jeune homme, puis de ses douces mains attrape la nouille ramollie du soumis et avec délicatesse retire le préservatif dont le réservoir est rempli du sperme du jeune homme. Laissant ensuite cette verge pendante et gluante, Vanessa revient à quatre pattes aux pieds des deux hommes. Elle tend le préservatif au commandant qui s’en saisit et d’un signe de la main lui fait comprendre qu’elle doit reprendre sa position d’attente à côté de son fauteuil.
- Bien, il est temps de venir quémander ta punition, aux pieds ! ordonne-t-il au jeune homme.
Le jeune homme ne répond pas, perdu dans la frustration de son échec. Le Maitre du jeune homme s’impatiente, il commence à se lever, mais le commandant l’arrête d’un signe de main.
- C’est déjà dangereux de faire patienter un Maître, alors deux…, ajoute le commandant d’une voix forte pleine de promesses.
Le jeune homme réagit et décide qu’il vaut mieux faire profil bas dans l’immédiat. Il descend de la table et rejoint les deux hommes à quatre pattes avant de se positionner à genoux, les mains dans le dos. Le commandant pose la palette de sa cravache sur ses lèvres entrouvertes pour lui faire ouvrir la bouche grandement. Sans un mot, d’abord il le fixe de son puissant regard Dominant, regard intense, où l’autorité s’exprime pleinement et cela durant une longue minute dans un silence parfait. Le soumis ne peut pas tenir ce regard, il baisse presque instinctivement et assez vite les yeux juste au bout de quelques secondes se sentant inférieur, rabaissé, simplement par ce visage sévère à l’extrême du Dominant. Ensuite le commandant déverse le contenu du préservatif dans cette bouche ouverte et lui la referme toujours sans aucun mot, lui faisant comprendre qu’il doit tout avaler. Le jeune soumis hésite un instant, avaler sa propre semence est très humiliant pour lui, mais il comprend rapidement qu’il vaut mieux obéir.
- Bien, décidemment tu ne sais pas te contrôler, ton Maître m’avait parlé du fait que tu te vidais un peu trop souvent à son goût et sans y être autorisé, il a donc apporté de quoi faire en sorte que dorénavant tu ne te libères plus sans son autorisation.
Le commandant fait signe au jeune Maître qui sort alors de sa poche une cage de chasteté entièrement en acier brillant et inoxydable. Il prend le sexe mou de son soumis passe les testicules dans l’anneau de la cage puis enferme la verge molle dans la partie annelée. Enfin après avoir vérifié que le serrage ne le blesse pas, il fixe et ferme le cadenas et tend la clé au commandant. Le jeune homme comprend qu’il vient de passer un cap dans cet univers, que son Maître est décidé à reprendre les rênes, et qu’il va devoir se plier ou renoncer.
- Bien, le reste de ta sanction ne se passera pas ici, tu vas vivre un véritable dressage devenu indispensable afin de faire de toi un véritable soumis où tout orgueil ne peut cohabiter avec ta condition. Cela va durer plusieurs jours, lorsque tu seras remis à ton Maître, tu seras changé en véritable chien obéissant, annonce solennellement le commandant.
Vanessa comprend que ce jeune soumis va partir dans le chenil de son Maître Vénéré, et intérieurement elle est ravie de savoir qu’il va devoir répondre de ses paroles qui l’ont véritablement blessée même si elle n’était pas visée personnellement. Le commandant se lève, prend le jeune homme au collier, lui accroche sa laisse et le mène jusqu’à l’anneau mural solidement scellé où il l’attache de nouveau.
- Tu restes à quatre pattes, tu réfléchis à ta condition, tandis que je vais raccompagner ton Maître.
Le commandant fait signe au jeune Maître de le suivre, et claque des doigts pour que Vanessa fasse de même. Ils rejoignent l’escalier, Vanessa suit derrière, doucement pour ne pas manquer de marches, ils rejoignent le salon. Les deux hommes s’installent dans les fauteuils tandis que la jeune femme reprend sa place aux pieds du commandant.
- Merci très cher, j’espère que vous parviendrez à le rendre plus docile. Mais en fait où souhaitez-vous le mener ?
- Chez un très Grand Maître, certainement le meilleur de tous, plus exactement chez le Maître de cette jeune soumise, Il me l’a proposé et je pense que c’est la meilleure chose à faire dans le cas de votre soumis. Monsieur le Marquis d’Evans est bien plus expérimenté que moi pour casser l’orgueil et la rébellion, si Lui n’y parvient pas, personne ne le pourra.
- Si Monsieur Le Marquis d’Evans, veut bien s’occuper de son cas, je ne sais comment je pourrai Le remercier, car sa réputation est si grande que je ne doute à aucun instant du résultat. Je dirai même que je n’osais même pas espérer meilleur endroit de dressage que son fameux et célèbre Château, répond surpris le jeune Maître avec une expression enthousiasme et honorée.
- Nul besoin de le remercier, toujours solidaire envers ses pairs et confrères, Il tend la main à un membre de notre communauté, Il considère comme un devoir d’aider les Dominants en difficulté. Mais vous n’avez pas seulement besoin d’aide à cause de la rébellion de votre soumis, vous avez besoin d’apprendre la fermeté, cher ami… N’est-ce pas soumise ?...
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