Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°534) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°534) -
Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°534) -
Vanessa hésite un instant sur la conduite à tenir, mais Laurent qui entre derrière elle, la pousse au sol devant les pieds de son Maître, avant de s’installer dans la banquette lui faisant face, pendant que la luxueuse voiture reprend la route…
- Bonjour soumise.
- Bonjour Maître.
- Nous n’avons pas beaucoup de temps, alors change-toi vite, les vêtements sont dans le mini-bar, mets-y les tiens à la place.
La jeune femme se déshabille sans aucune pudeur et se saisit des vêtements pour s’habiller, elle n’est pas surprise de ne trouver aucun sous-vêtements, et se pare juste de la tenue de soirée que son Maître a choisi pour elle.
- Eh bien très cher, vous semblez contrarié, quelque chose ne va pas ? s’inquiète Le Noble voyant son ami le visage fermé.
- Disons que votre soumise a, à juste titre, souligné le fait que mes sentiments affaiblissent l’éducateur que je suis.
- Ma soumise ou votre compagne ?
- Ma compagne, vous avez raison la nuance est importante.
- Effectivement car soyez assuré que si Ma soumise se permet ce genre de réflexion à votre égard, Ma sanction serait exemplaire, affirme Le Noble tout en claquant la fesse droite de la jeune femme.
Vanessa comprend qu’elle doit faire attention lorsqu’elle parle de Domination à son amant, elle doit apprendre à faire la part des choses et à respecter le Maître qu’il est… Une fois habillée et ses vêtements rangés, Vanessa se tourne à genoux devant son Maître.
- Pour ce soir, sauf ordre contraire, tu es un des pompiers du commandant, ni sa compagne, ni Ma soumise, est-ce bien entendu ?
- Oui Maître.
- Mais comme tu sembles avoir des difficultés à te rappeler que tu M’appartiens, Je vais t’offrir un présent pour t’y aider. Un présent qui, s’il est bien ancré en toi, devrait te faire bien ancrer le fait à qui tu appartiens.
Il tend un coffret à la jeune femme qui le regarde avec crainte, certaine qu’il s’agit d’une nouvelle sanction, sans oser retirer les mains de son dos pour en découvrir le contenu.
- Allons prends-le et ouvre-le !
Elle prend avec délicatesse le coffret et l’ouvre pour y découvrir un rosebud en métal surmonté d’une pierre gravée d’un brillant aux éclats vifs. Elle peut lire dans la pierre les lettres majuscules MDE, elle comprend que son Maître veut lui faire porter un signe de son appartenance, c’est pour elle une preuve qu’elle se rapproche de Son cheptel. L’émotion est si forte qu’une larme perle au coin de son œil droit. Le Marquis la remarque et l’essuie délicatement de son pouce.
- Eh bien ça ne va pas ?
- Si Maître.
- Alors, pourquoi cette larme ?
- La joie de l’honneur que Vous me faites, Maître.
- Tu l’as amplement mérité, en avouant tes erreurs, en reconnaissant tes fautes, j’ai décidé de t’aider à te rappeler ton appartenance plutôt que de sévir, donc tu vas le porter tous les jours, sauf lorsque tu seras de garde pompier.
- Merci Maître pour ce présent.
- Allons tourne-toi, dit-Le Noble en se saisissant du coffret.
La jeune femme se met à quatre pattes pour relever et bien exhiber sa croupe dénudée et ainsi bien présenter son anus et son sexe à son Maître. Monsieur Le Marquis commence d’abord par caresser les deux fesses avec douceur, puis après quelques énergiques fessées, juste pour se faire plaisir à apprécier un cul rougi, il caresse les lèvres intimes de la belle et se met à fouiller le sexe de Vanessa pour y trouver une humidité fort avancée par l’excitation du moment. Ses doigts inquisiteurs s’insinue doucement dans le vagin de la soumise et ses petits vas-et-viens procurent une excitation encore plus grandissante à Vanessa qui se traduit par des gémissements de bien-être. Le Maître retire ses doigts et s’approche de l’anus et commence par y mettre son doigt qu’il fait glisser tout doucement dans le fondement de la jeune femme. Idem, il fait de nouveau des vas-et-viens afin de dilater sa rondelle puis retirant ses doigts, il y pose le bout froid du rosebud, puis doucement il le pousse dans les entrailles de la jeune femme jusqu’à ce qu’il soit parfaitement en place. Vanessa ne ressent pas de douleur mais une immense fierté de porter une marque de son Maître et son commandant peut voir au même moment son visage s’illuminer. Laurent comprend que Vanessa s’épanouie réellement dans sa condition de soumise, et que même si certaines épreuves la font et la feront encore souffrir, elle en sortira plus forte et plus heureuse. Il prend conscience qu’il n’a pas besoin de s’inquiéter autant pour elle, et qu’il peut garder sa place de Dominant sans risquer de la blesser.
- Eh bien Laurent vous semblez aller mieux, intervient Le Noble voyant son visage serein.
- Effectivement, c’est à cause d’elle.
- Décidemment, elle est l’eau et le feu, sourit Le Marquis.
- Je l’aime, et je sais que notre amour grandira en dehors et au sein de notre cercle, et ça je vous le dois Edouard, dit le commandant et relevant Vanessa et en l’embrassant avant de l’asseoir à côté de lui.
- Je ne puis que m’en réjouir cher ami, conclue Le Noble.
- Vanessa, il me semble que tu aies oublié comment tu dois t’asseoir, accuse le commandant voyant la robe de sa compagne sous ses fesses.
Sans dire un mot la jeune femme s’empresse de rectifier son erreur et place les pans de la robe de chaque côté de ses jambes pour poser directement ses fesses nues et rougies sur le cuir froid de la banquette. Elle ose un regard vers son Maître, le cœur battant, craignant de lire de la déception dans ses yeux, mais elle y voit un sourire satisfait. La voiture s’arrête devant la demeure du Préfet, Walter en sort et ouvre la porte à l’homme qui entre rejoindre ses 3 invités. Il s’arrête un instant, stupéfait de la beauté de la jeune femme dans la robe de soirée rouge au décolleté plongeant, avec des liserais argentés de la même couleur que ses chaussures à talons. Monsieur Le Marquis d’Evans sourit de voir son ami un instant figé, Il lui fait signe de la main de s’asseoir à ses côtés.
- Bonjour très cher, je vous en prie prenez place.
- Bonjour Messieurs, Mademoiselle, vous êtes ravissante dans cette tenue assortie aux couleurs de vos camions, pas que l’uniforme ne vous aille pas, mais l’effet n’est pas le même.
- Merci Monsieur Le Préfet, sourit la jeune femme gênée.
- Je vous remercie tous d’avoir accepté ce dîner, ponctue le Préfet pour changer de sujet tentant de détourner son regard de la jeune femme.
Ils engagent une discussion plus professionnelle sur la future inauguration des nouveaux locaux de la caserne. Vanessa apprend qu’elle va devoir organiser la visite des hauts dignitaires, elle se sent gênée d’autant d’honneur, et un peu stressée de ne pas pouvoir être à la hauteur, mais elle a du temps pour s’y préparer et compte bien s’y exercer avant le grand jour. La voiture se gare devant un grand restaurant, en sortant Vanessa reconnait le restaurant dans lequel elle avait pénétré en tant que soumise. Elle se sent un peu gênée d’y revenir, et craint d’être reconnue, mais se souvient soudain que son Maître l’avait masquée et qu’elle n’a donc rien à craindre de ce côté.
- Messieurs, Mademoiselle, bonjour, le petit salon est prêt, je vous y conduis, les accueille le responsable de la salle.
Le petit groupe suit le maître d’hôtel dans un étroit et discret escalier de bois pour arriver dans une pièce privée à l’épaisse moquette bouclée, gris foncé. Les murs de couleurs taupe, la table de bois massif, les chaises confortables et les lumières tamisées donnent une ambiance détendue à la salle. L’homme leur fait signe de la main pour les inviter à prendre place et tire la chaise de Vanessa pour lui permettre de s’asseoir. La jeune femme est gênée, elle n’a pas l’habitude à tant de manières, et surtout elle a peur que l’homme ne remarque sa façon particulière de s’asseoir. Elle ose un regard désespéré vers son Maître qui sourit lui faisant comprendre qu’Il ne lui permettra pas de s’asseoir comme une femme libre. Aussi, baissant les yeux, elle se résigne à relever les pans de sa robe rapidement avant de poser ses fesses nues sur le tissu de la chaise. Le serveur n’a rien remarqué, mais le Préfet au courant de la nature profonde de la jeune femme n’a rien perdu de sa gêne apparente et s’en amuse en envoyant un clin d’œil au Noble… Ils prennent l’apéritif en discutant de choses diverses et variées, l’actualité, la politique, leurs loisirs, leurs familles. Vanessa prend une part importante à la conversation avec un naturel déconcertant, elle pourrait faire illusion sans aucune difficulté dans le milieu mondain… Alors que Le Préfet parle de sa femme, il interpelle la jeune femme….
(A suivre …)
Vanessa hésite un instant sur la conduite à tenir, mais Laurent qui entre derrière elle, la pousse au sol devant les pieds de son Maître, avant de s’installer dans la banquette lui faisant face, pendant que la luxueuse voiture reprend la route…
- Bonjour soumise.
- Bonjour Maître.
- Nous n’avons pas beaucoup de temps, alors change-toi vite, les vêtements sont dans le mini-bar, mets-y les tiens à la place.
La jeune femme se déshabille sans aucune pudeur et se saisit des vêtements pour s’habiller, elle n’est pas surprise de ne trouver aucun sous-vêtements, et se pare juste de la tenue de soirée que son Maître a choisi pour elle.
- Eh bien très cher, vous semblez contrarié, quelque chose ne va pas ? s’inquiète Le Noble voyant son ami le visage fermé.
- Disons que votre soumise a, à juste titre, souligné le fait que mes sentiments affaiblissent l’éducateur que je suis.
- Ma soumise ou votre compagne ?
- Ma compagne, vous avez raison la nuance est importante.
- Effectivement car soyez assuré que si Ma soumise se permet ce genre de réflexion à votre égard, Ma sanction serait exemplaire, affirme Le Noble tout en claquant la fesse droite de la jeune femme.
Vanessa comprend qu’elle doit faire attention lorsqu’elle parle de Domination à son amant, elle doit apprendre à faire la part des choses et à respecter le Maître qu’il est… Une fois habillée et ses vêtements rangés, Vanessa se tourne à genoux devant son Maître.
- Pour ce soir, sauf ordre contraire, tu es un des pompiers du commandant, ni sa compagne, ni Ma soumise, est-ce bien entendu ?
- Oui Maître.
- Mais comme tu sembles avoir des difficultés à te rappeler que tu M’appartiens, Je vais t’offrir un présent pour t’y aider. Un présent qui, s’il est bien ancré en toi, devrait te faire bien ancrer le fait à qui tu appartiens.
Il tend un coffret à la jeune femme qui le regarde avec crainte, certaine qu’il s’agit d’une nouvelle sanction, sans oser retirer les mains de son dos pour en découvrir le contenu.
- Allons prends-le et ouvre-le !
Elle prend avec délicatesse le coffret et l’ouvre pour y découvrir un rosebud en métal surmonté d’une pierre gravée d’un brillant aux éclats vifs. Elle peut lire dans la pierre les lettres majuscules MDE, elle comprend que son Maître veut lui faire porter un signe de son appartenance, c’est pour elle une preuve qu’elle se rapproche de Son cheptel. L’émotion est si forte qu’une larme perle au coin de son œil droit. Le Marquis la remarque et l’essuie délicatement de son pouce.
- Eh bien ça ne va pas ?
- Si Maître.
- Alors, pourquoi cette larme ?
- La joie de l’honneur que Vous me faites, Maître.
- Tu l’as amplement mérité, en avouant tes erreurs, en reconnaissant tes fautes, j’ai décidé de t’aider à te rappeler ton appartenance plutôt que de sévir, donc tu vas le porter tous les jours, sauf lorsque tu seras de garde pompier.
- Merci Maître pour ce présent.
- Allons tourne-toi, dit-Le Noble en se saisissant du coffret.
La jeune femme se met à quatre pattes pour relever et bien exhiber sa croupe dénudée et ainsi bien présenter son anus et son sexe à son Maître. Monsieur Le Marquis commence d’abord par caresser les deux fesses avec douceur, puis après quelques énergiques fessées, juste pour se faire plaisir à apprécier un cul rougi, il caresse les lèvres intimes de la belle et se met à fouiller le sexe de Vanessa pour y trouver une humidité fort avancée par l’excitation du moment. Ses doigts inquisiteurs s’insinue doucement dans le vagin de la soumise et ses petits vas-et-viens procurent une excitation encore plus grandissante à Vanessa qui se traduit par des gémissements de bien-être. Le Maître retire ses doigts et s’approche de l’anus et commence par y mettre son doigt qu’il fait glisser tout doucement dans le fondement de la jeune femme. Idem, il fait de nouveau des vas-et-viens afin de dilater sa rondelle puis retirant ses doigts, il y pose le bout froid du rosebud, puis doucement il le pousse dans les entrailles de la jeune femme jusqu’à ce qu’il soit parfaitement en place. Vanessa ne ressent pas de douleur mais une immense fierté de porter une marque de son Maître et son commandant peut voir au même moment son visage s’illuminer. Laurent comprend que Vanessa s’épanouie réellement dans sa condition de soumise, et que même si certaines épreuves la font et la feront encore souffrir, elle en sortira plus forte et plus heureuse. Il prend conscience qu’il n’a pas besoin de s’inquiéter autant pour elle, et qu’il peut garder sa place de Dominant sans risquer de la blesser.
- Eh bien Laurent vous semblez aller mieux, intervient Le Noble voyant son visage serein.
- Effectivement, c’est à cause d’elle.
- Décidemment, elle est l’eau et le feu, sourit Le Marquis.
- Je l’aime, et je sais que notre amour grandira en dehors et au sein de notre cercle, et ça je vous le dois Edouard, dit le commandant et relevant Vanessa et en l’embrassant avant de l’asseoir à côté de lui.
- Je ne puis que m’en réjouir cher ami, conclue Le Noble.
- Vanessa, il me semble que tu aies oublié comment tu dois t’asseoir, accuse le commandant voyant la robe de sa compagne sous ses fesses.
Sans dire un mot la jeune femme s’empresse de rectifier son erreur et place les pans de la robe de chaque côté de ses jambes pour poser directement ses fesses nues et rougies sur le cuir froid de la banquette. Elle ose un regard vers son Maître, le cœur battant, craignant de lire de la déception dans ses yeux, mais elle y voit un sourire satisfait. La voiture s’arrête devant la demeure du Préfet, Walter en sort et ouvre la porte à l’homme qui entre rejoindre ses 3 invités. Il s’arrête un instant, stupéfait de la beauté de la jeune femme dans la robe de soirée rouge au décolleté plongeant, avec des liserais argentés de la même couleur que ses chaussures à talons. Monsieur Le Marquis d’Evans sourit de voir son ami un instant figé, Il lui fait signe de la main de s’asseoir à ses côtés.
- Bonjour très cher, je vous en prie prenez place.
- Bonjour Messieurs, Mademoiselle, vous êtes ravissante dans cette tenue assortie aux couleurs de vos camions, pas que l’uniforme ne vous aille pas, mais l’effet n’est pas le même.
- Merci Monsieur Le Préfet, sourit la jeune femme gênée.
- Je vous remercie tous d’avoir accepté ce dîner, ponctue le Préfet pour changer de sujet tentant de détourner son regard de la jeune femme.
Ils engagent une discussion plus professionnelle sur la future inauguration des nouveaux locaux de la caserne. Vanessa apprend qu’elle va devoir organiser la visite des hauts dignitaires, elle se sent gênée d’autant d’honneur, et un peu stressée de ne pas pouvoir être à la hauteur, mais elle a du temps pour s’y préparer et compte bien s’y exercer avant le grand jour. La voiture se gare devant un grand restaurant, en sortant Vanessa reconnait le restaurant dans lequel elle avait pénétré en tant que soumise. Elle se sent un peu gênée d’y revenir, et craint d’être reconnue, mais se souvient soudain que son Maître l’avait masquée et qu’elle n’a donc rien à craindre de ce côté.
- Messieurs, Mademoiselle, bonjour, le petit salon est prêt, je vous y conduis, les accueille le responsable de la salle.
Le petit groupe suit le maître d’hôtel dans un étroit et discret escalier de bois pour arriver dans une pièce privée à l’épaisse moquette bouclée, gris foncé. Les murs de couleurs taupe, la table de bois massif, les chaises confortables et les lumières tamisées donnent une ambiance détendue à la salle. L’homme leur fait signe de la main pour les inviter à prendre place et tire la chaise de Vanessa pour lui permettre de s’asseoir. La jeune femme est gênée, elle n’a pas l’habitude à tant de manières, et surtout elle a peur que l’homme ne remarque sa façon particulière de s’asseoir. Elle ose un regard désespéré vers son Maître qui sourit lui faisant comprendre qu’Il ne lui permettra pas de s’asseoir comme une femme libre. Aussi, baissant les yeux, elle se résigne à relever les pans de sa robe rapidement avant de poser ses fesses nues sur le tissu de la chaise. Le serveur n’a rien remarqué, mais le Préfet au courant de la nature profonde de la jeune femme n’a rien perdu de sa gêne apparente et s’en amuse en envoyant un clin d’œil au Noble… Ils prennent l’apéritif en discutant de choses diverses et variées, l’actualité, la politique, leurs loisirs, leurs familles. Vanessa prend une part importante à la conversation avec un naturel déconcertant, elle pourrait faire illusion sans aucune difficulté dans le milieu mondain… Alors que Le Préfet parle de sa femme, il interpelle la jeune femme….
(A suivre …)
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