Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°722)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°722)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°722) -
A la fin des entrées, Walter remonte sur l’estrade, et tous font silence, impatients de découvrir la nouvelle animation imaginée par le Majordome…
- Chers amis, il est temps maintenant de tester la première animation que nous vous avons préparée, j’espère que celle-ci sera à la hauteur de vos attentes. Pour ceci, nous allons tirer au sort deux d’entre vous qui choisiront leur champion parmi les esclaves de Monsieur Le Marquis. Chacun utilisera la même cravache sur le champion de l’autre, le premier champion qui bouge ou émet un cri fera perdre celui qui aura misé sur lui.
A cette annonce, tous les convives applaudissent à l’idée du spectacle qui va s’offrir à eux pendant que Walter descend de l’estrade pour tirer au sort les deux premières personnes. Il prend la boite en question et se dirige vers Monsieur Le Marquis pour le laisser tirer les deux noms qui seront les heureux élus.
- Laurent, si vous voulez bien le faire à ma place, propose Le Noble.
Le Commandant sourit et plonge sa main dans la boite pour en ressortir deux papiers qu’il tend au Majordome sans les lire. Ce dernier les saisit et remonte sur la scène pour annoncer les deux gagnants. Il s’agit d’un jeune Maître entré depuis peu dans le cercle privé de Monsieur Le Marquis que le Commandant accompagne encore parfois dans l’éducation de sa soumise, et d’une femme d’une trentaine d’année, Dominatrice depuis plus de dix ans, une bonne amie des deux hommes. Les deux élus sourient, se lèvent et se dirigent vers la scène, Walter leur désigne la salle pour qu’ils choisissent leur champion. Le jeune Maître se dirige vers un esclave à la peau d’ébène, un colosse à la musculature d’un champion de boxe en catégorie poids lourd. Il est surpris de voir sa concurrente se diriger vers le Commandant.
- Monsieur Le Commandant, si vous me le permettez, j’aimerais utiliser la soumise qui vous a été octroyée pour cette soirée, demande la femme avec courtoisie.
Laurent regarde son ami un sourire pervers dans les yeux, Le Noble acquiesce d’un signe de tête.
- Hum, c’est entendu très chère, prenez en soin, j’ai prévu d’en user une bonne partie de la nuit, sourit le Commandant.
- Soyez sans crainte, elle sera parfaite dans ce rôle et n’aura pas le temps de marquer trop profondément, répond la femme d’un ton pervers.
La jeune femme prend la laisse que lui tend le Commandant et traine donc Cypris MDE à sa suite jusqu’à la scène. En voyant la taille fine de la jeune esclave, le jeune Maître s’en amuse, persuadé d’avoir déjà gagné cette partie.
- Les femmes sont plus perspicaces pour déceler les forces et faiblesses des esclaves, ne trouvez-vous pas ? s’amuse le Commandant en s’adressant à son ami.
- Hum, disons qu’elles sont plus observatrices que la plupart des hommes, et surtout que contrairement à la plupart des hommes, elles savent qu’il ne faut pas sous-estimer la force d’une femelle… répond Le Noble.
- Pensez-vous que votre mâle va tenir longtemps avant de flancher ?
- Malheureusement pour lui, le combat est perdu d’avance, ces deux concurrents n’ont pas du tout le même niveau d’expertise…
Tous les convives ont les yeux rivés sur la scène où les deux esclaves sont debout, les jambes écartés, les mains derrière la nuque, immobile, à attendre. Walter tend une cravache à chacun des deux joueurs et se recule pour leur laisser le champ libre.
- Ah j’oubliais, afin qu’aucun esclave ne fasse perdre volontairement celui qui l’a choisi, l’esclave perdant sera châtié immédiatement devant vous tous par le fouet.
A cette annonce, les deux esclaves tremblent, connaissant la douleur du fouet bien maitrisé et savent que les coups de cravache seront une caresse à côté de ce châtiment. Le jeune Maître commence à frapper les fesses de Cypris MDE, avec une cadence digne d’un métronome, y mettant toutes ses forces pour tenter de la faire plier rapidement. Ses fesses rougissent très rapidement, mais elle est immobile, telles les statuts qui ornent les couloirs du Château. Elle supporte concentrée sur sa position, comme si la cravache n’était qu’un brin d’herbe venant l’effleurer. Le Maître accélère les coups, appuie plus fort, cherchant à obtenir rapidement l’abdication de cette jeune soumise, mais rien n’y fait… Pendant ce temps, la Maîtresse prend son temps, frappe avec force différentes parties du corps du colosse, observant ses réactions, variant, le rythme et le lieu de ses coups, cherchant dans son souffle des signes de faiblesse, pour le déstabiliser. Elle voit avec ravissement la transpiration s’emparer du corps musclé qui lui est offert, elle sait qu’il lutte mais qu’il ne pourra pas tenir très longtemps. Ses coups sont brefs, précis, appuyés, elle ne laisse aucune chance à l’esclave de s’en sortir. Elle est comme une veuve noire, jouant avec sa proie, avant de la dévorer.
Les deux esclaves savent encaisser les coups, les recevoir d’une même cadence, au même endroit, c’est assez simple pour eux de se préparer à y faire face. A l’inverse, l’alternance entre le rythme, les différentes parties du corps, c’est ça qui les déstabilise et qui les amène à la faute. Laurent voit sans difficulté que leur jeune ami inexpérimenté a encore besoin de conseils pour devenir un Maître digne de ce nom, restant sur le fessier de la femelle, persuadé qu’en insistant sur un point elle ressentira plus rapidement la douleur. Ce qu’il n’a pas compris c’est que la douleur à un certain seuil est transcendée, les esclaves y sont habitués, elle fait partie d’eux, ce n’est pas elle qui les fait vaciller. Et c’est sans surprise pour les grands Maîtres présents dans la salle, que le colosse sursaute avant la femelle Cypris MDE d’apparence si frêle. Il se remet rapidement en position, mais tous avaient les yeux rivés sur lui, et il lui est impossible de cacher cet instant de faiblesse. Immédiatement, il se met à genoux les mains dans le dos, tête baissée, et humblement, s’adressant d’une voix forte pour être entendu de tous, il annonce :
- Maître, je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses, j’ai déshonoré votre éducation, je mérite la juste sanction qui va suivre.
Les convives sont impressionnés de voir cet esclave dressé à la perfection, réagissant immédiatement comme il se doit, sans hésiter, sans se tromper. Le Marquis ne répond rien, il est satisfait de Ses esclaves, il sourit, faisant signe à son Majordome de bien vouloir continuer. Walter prend un fouet enroulé sur lui-même, le glisse entre les dents de Cypris MDE et lui fait signe de l’amener à son Maître. La jeune femelle traverse la salle, ondulant son corps, telle une panthère, observée par l’assemblée, donnant envie à plus d’un de la saillir sur le champ, puis elle s’arrête devant son Maître, s’agenouille les mains dans le dos et attend.
- Mesdames, Messieurs, le fouet demande une grande maîtrise, vous allez maintenant pouvoir observer votre hôte le manier à la perfection, annonce Walter.
Monsieur Le Marquis ne s’attendait pas à cette demande, il hésite un instant, pensant le proposer à un de ses amis, qui gèrent également à la perfection cet objet délicieux, puis il se dit qu’il est peut être amusant pour une fois de quitter sa place d’honneur pour démontrer sa Maîtrise de cet instrument. A son arrivée, l’esclave mâle est rassuré, non qu’il ne craigne pas le fouet donné de la main de son Maître, mais il sait qu’il ne pourra pas le blesser par un mauvais maniement. Il se lève sur un simple claquement de doigts de son Maître, et patiente les mains derrière la nuque. Le Noble fait signe à l’orchestre de lancer la musique, puis se recule, faisant virevolter la tresse de cuir au-dessus de sa tête, elle siffle avant de s’abattre dans un claquement sonore sur la peau noire de son esclave. Il recommence l’opération, à chaque fois le fouet s’enroule autour du corps de l’esclave, tel un serpent sur sa proie, il mord mais ne déchire pas, là est toute la nuance de l’utilisation de cet objet. L’esclave ne bouge pas, concentré à satisfaire son Maître, s’offrant largement à cet objet qui l’enlace, l’enserre, tout en le marquant avec précision sur l’ensemble de son corps.
Lorsque Le Noble considère que la peau de son esclave est suffisamment marquée, il claque le fouet dans l’air faisant comprendre à ce dernier que la sanction est terminée. Immédiatement le colosse s’agenouille et baise la main qui vient de le sanctionner. Les convives ne réagissent pas, tous sont subjugués par ce spectacle, ce savoir-faire dans le maniement du fouet, mais également ce mâle parfaitement dressé qui ne fait aucun faux pas. Le Noble satisfait de Son esclave souhaite le récompenser pour la soirée et fait signe à Walter de l’écarter pour la suite des festivités, tout en allant rejoindre sa place. Le poisson a été servi et tous les convives commencent à déguster ce nouveau plat succulent. Walter s’éclipse un instant suivi de l’esclave noir, ils traversent quelques couloirs jusqu’à arriver dans une aile réservée aux esclaves méritants, il le fait entrer dans une des chambres.
- C’est très bien, Le Maître est fier de toi, Il t’offre une nuit de repos et de détente, tu as le droit à l’eau chaude pour ton bain, et une femelle viendra te détendre dans quelques minutes, elle sera munie de la clé de ta ceinture de chasteté, tu es autorisé à la retirer, à te servir de cette femelle comme bon te semble, je reviendrai te chercher à 9h demain, annonce le Majordome d’une voix solennelle.
- Merci Monsieur, répond humblement l’esclave enchanté de ce traitement de faveur.
Le Majordome règle quelques détails pratiques, s’assure auprès des serviteurs chargés de cette aile que tout se passe bien, puis rejoint les cuisines pour voir où en est la cuisinière.
Il trouve Marie menant tel un chef d’orchestre une armée d’esclaves cuisinant et préparant les assiettes.
- Marie, les convives sont charmés par ta cuisine.
- Tu m’en vois ravie.
- Tout va bien de ton côté ? questionne-t-il en organisateur soucieux.
- Oui, je n’ai pas le temps de sanctionner toutes les fautes mais certains ne perdent rien pour attendre, dit-elle visant particulièrement un des esclaves de la plonge qui tente de se faire petit.
- Souhaites-tu que je le fasse remplacer afin qu’il soit sanctionner immédiatement ? interroge le Majordome en souriant.
- Non, j’ai envie de m’en charger moi-même, il attendra ce soir, mais tu peux déjà prendre en compte qu’il ne rejoindra pas le chenil cette nuit, dit-elle d’un ton pervers.
Walter sourit, connaissant sa collègue, il ne doute pas un seul instant qu’elle saura sanctionner avec la plus grande perversité ce mâle fautif.
- Bien, je te laisse, je dois préparer la prochaine animation le temps que tes serveurs amènent la viande.
- Entendu, à ce soir.
Walter se retire des cuisines, laissant la cuisinière travailler et retourne dans la salle de réception pour la suite des festivités…
(A suivre…)
A la fin des entrées, Walter remonte sur l’estrade, et tous font silence, impatients de découvrir la nouvelle animation imaginée par le Majordome…
- Chers amis, il est temps maintenant de tester la première animation que nous vous avons préparée, j’espère que celle-ci sera à la hauteur de vos attentes. Pour ceci, nous allons tirer au sort deux d’entre vous qui choisiront leur champion parmi les esclaves de Monsieur Le Marquis. Chacun utilisera la même cravache sur le champion de l’autre, le premier champion qui bouge ou émet un cri fera perdre celui qui aura misé sur lui.
A cette annonce, tous les convives applaudissent à l’idée du spectacle qui va s’offrir à eux pendant que Walter descend de l’estrade pour tirer au sort les deux premières personnes. Il prend la boite en question et se dirige vers Monsieur Le Marquis pour le laisser tirer les deux noms qui seront les heureux élus.
- Laurent, si vous voulez bien le faire à ma place, propose Le Noble.
Le Commandant sourit et plonge sa main dans la boite pour en ressortir deux papiers qu’il tend au Majordome sans les lire. Ce dernier les saisit et remonte sur la scène pour annoncer les deux gagnants. Il s’agit d’un jeune Maître entré depuis peu dans le cercle privé de Monsieur Le Marquis que le Commandant accompagne encore parfois dans l’éducation de sa soumise, et d’une femme d’une trentaine d’année, Dominatrice depuis plus de dix ans, une bonne amie des deux hommes. Les deux élus sourient, se lèvent et se dirigent vers la scène, Walter leur désigne la salle pour qu’ils choisissent leur champion. Le jeune Maître se dirige vers un esclave à la peau d’ébène, un colosse à la musculature d’un champion de boxe en catégorie poids lourd. Il est surpris de voir sa concurrente se diriger vers le Commandant.
- Monsieur Le Commandant, si vous me le permettez, j’aimerais utiliser la soumise qui vous a été octroyée pour cette soirée, demande la femme avec courtoisie.
Laurent regarde son ami un sourire pervers dans les yeux, Le Noble acquiesce d’un signe de tête.
- Hum, c’est entendu très chère, prenez en soin, j’ai prévu d’en user une bonne partie de la nuit, sourit le Commandant.
- Soyez sans crainte, elle sera parfaite dans ce rôle et n’aura pas le temps de marquer trop profondément, répond la femme d’un ton pervers.
La jeune femme prend la laisse que lui tend le Commandant et traine donc Cypris MDE à sa suite jusqu’à la scène. En voyant la taille fine de la jeune esclave, le jeune Maître s’en amuse, persuadé d’avoir déjà gagné cette partie.
- Les femmes sont plus perspicaces pour déceler les forces et faiblesses des esclaves, ne trouvez-vous pas ? s’amuse le Commandant en s’adressant à son ami.
- Hum, disons qu’elles sont plus observatrices que la plupart des hommes, et surtout que contrairement à la plupart des hommes, elles savent qu’il ne faut pas sous-estimer la force d’une femelle… répond Le Noble.
- Pensez-vous que votre mâle va tenir longtemps avant de flancher ?
- Malheureusement pour lui, le combat est perdu d’avance, ces deux concurrents n’ont pas du tout le même niveau d’expertise…
Tous les convives ont les yeux rivés sur la scène où les deux esclaves sont debout, les jambes écartés, les mains derrière la nuque, immobile, à attendre. Walter tend une cravache à chacun des deux joueurs et se recule pour leur laisser le champ libre.
- Ah j’oubliais, afin qu’aucun esclave ne fasse perdre volontairement celui qui l’a choisi, l’esclave perdant sera châtié immédiatement devant vous tous par le fouet.
A cette annonce, les deux esclaves tremblent, connaissant la douleur du fouet bien maitrisé et savent que les coups de cravache seront une caresse à côté de ce châtiment. Le jeune Maître commence à frapper les fesses de Cypris MDE, avec une cadence digne d’un métronome, y mettant toutes ses forces pour tenter de la faire plier rapidement. Ses fesses rougissent très rapidement, mais elle est immobile, telles les statuts qui ornent les couloirs du Château. Elle supporte concentrée sur sa position, comme si la cravache n’était qu’un brin d’herbe venant l’effleurer. Le Maître accélère les coups, appuie plus fort, cherchant à obtenir rapidement l’abdication de cette jeune soumise, mais rien n’y fait… Pendant ce temps, la Maîtresse prend son temps, frappe avec force différentes parties du corps du colosse, observant ses réactions, variant, le rythme et le lieu de ses coups, cherchant dans son souffle des signes de faiblesse, pour le déstabiliser. Elle voit avec ravissement la transpiration s’emparer du corps musclé qui lui est offert, elle sait qu’il lutte mais qu’il ne pourra pas tenir très longtemps. Ses coups sont brefs, précis, appuyés, elle ne laisse aucune chance à l’esclave de s’en sortir. Elle est comme une veuve noire, jouant avec sa proie, avant de la dévorer.
Les deux esclaves savent encaisser les coups, les recevoir d’une même cadence, au même endroit, c’est assez simple pour eux de se préparer à y faire face. A l’inverse, l’alternance entre le rythme, les différentes parties du corps, c’est ça qui les déstabilise et qui les amène à la faute. Laurent voit sans difficulté que leur jeune ami inexpérimenté a encore besoin de conseils pour devenir un Maître digne de ce nom, restant sur le fessier de la femelle, persuadé qu’en insistant sur un point elle ressentira plus rapidement la douleur. Ce qu’il n’a pas compris c’est que la douleur à un certain seuil est transcendée, les esclaves y sont habitués, elle fait partie d’eux, ce n’est pas elle qui les fait vaciller. Et c’est sans surprise pour les grands Maîtres présents dans la salle, que le colosse sursaute avant la femelle Cypris MDE d’apparence si frêle. Il se remet rapidement en position, mais tous avaient les yeux rivés sur lui, et il lui est impossible de cacher cet instant de faiblesse. Immédiatement, il se met à genoux les mains dans le dos, tête baissée, et humblement, s’adressant d’une voix forte pour être entendu de tous, il annonce :
- Maître, je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses, j’ai déshonoré votre éducation, je mérite la juste sanction qui va suivre.
Les convives sont impressionnés de voir cet esclave dressé à la perfection, réagissant immédiatement comme il se doit, sans hésiter, sans se tromper. Le Marquis ne répond rien, il est satisfait de Ses esclaves, il sourit, faisant signe à son Majordome de bien vouloir continuer. Walter prend un fouet enroulé sur lui-même, le glisse entre les dents de Cypris MDE et lui fait signe de l’amener à son Maître. La jeune femelle traverse la salle, ondulant son corps, telle une panthère, observée par l’assemblée, donnant envie à plus d’un de la saillir sur le champ, puis elle s’arrête devant son Maître, s’agenouille les mains dans le dos et attend.
- Mesdames, Messieurs, le fouet demande une grande maîtrise, vous allez maintenant pouvoir observer votre hôte le manier à la perfection, annonce Walter.
Monsieur Le Marquis ne s’attendait pas à cette demande, il hésite un instant, pensant le proposer à un de ses amis, qui gèrent également à la perfection cet objet délicieux, puis il se dit qu’il est peut être amusant pour une fois de quitter sa place d’honneur pour démontrer sa Maîtrise de cet instrument. A son arrivée, l’esclave mâle est rassuré, non qu’il ne craigne pas le fouet donné de la main de son Maître, mais il sait qu’il ne pourra pas le blesser par un mauvais maniement. Il se lève sur un simple claquement de doigts de son Maître, et patiente les mains derrière la nuque. Le Noble fait signe à l’orchestre de lancer la musique, puis se recule, faisant virevolter la tresse de cuir au-dessus de sa tête, elle siffle avant de s’abattre dans un claquement sonore sur la peau noire de son esclave. Il recommence l’opération, à chaque fois le fouet s’enroule autour du corps de l’esclave, tel un serpent sur sa proie, il mord mais ne déchire pas, là est toute la nuance de l’utilisation de cet objet. L’esclave ne bouge pas, concentré à satisfaire son Maître, s’offrant largement à cet objet qui l’enlace, l’enserre, tout en le marquant avec précision sur l’ensemble de son corps.
Lorsque Le Noble considère que la peau de son esclave est suffisamment marquée, il claque le fouet dans l’air faisant comprendre à ce dernier que la sanction est terminée. Immédiatement le colosse s’agenouille et baise la main qui vient de le sanctionner. Les convives ne réagissent pas, tous sont subjugués par ce spectacle, ce savoir-faire dans le maniement du fouet, mais également ce mâle parfaitement dressé qui ne fait aucun faux pas. Le Noble satisfait de Son esclave souhaite le récompenser pour la soirée et fait signe à Walter de l’écarter pour la suite des festivités, tout en allant rejoindre sa place. Le poisson a été servi et tous les convives commencent à déguster ce nouveau plat succulent. Walter s’éclipse un instant suivi de l’esclave noir, ils traversent quelques couloirs jusqu’à arriver dans une aile réservée aux esclaves méritants, il le fait entrer dans une des chambres.
- C’est très bien, Le Maître est fier de toi, Il t’offre une nuit de repos et de détente, tu as le droit à l’eau chaude pour ton bain, et une femelle viendra te détendre dans quelques minutes, elle sera munie de la clé de ta ceinture de chasteté, tu es autorisé à la retirer, à te servir de cette femelle comme bon te semble, je reviendrai te chercher à 9h demain, annonce le Majordome d’une voix solennelle.
- Merci Monsieur, répond humblement l’esclave enchanté de ce traitement de faveur.
Le Majordome règle quelques détails pratiques, s’assure auprès des serviteurs chargés de cette aile que tout se passe bien, puis rejoint les cuisines pour voir où en est la cuisinière.
Il trouve Marie menant tel un chef d’orchestre une armée d’esclaves cuisinant et préparant les assiettes.
- Marie, les convives sont charmés par ta cuisine.
- Tu m’en vois ravie.
- Tout va bien de ton côté ? questionne-t-il en organisateur soucieux.
- Oui, je n’ai pas le temps de sanctionner toutes les fautes mais certains ne perdent rien pour attendre, dit-elle visant particulièrement un des esclaves de la plonge qui tente de se faire petit.
- Souhaites-tu que je le fasse remplacer afin qu’il soit sanctionner immédiatement ? interroge le Majordome en souriant.
- Non, j’ai envie de m’en charger moi-même, il attendra ce soir, mais tu peux déjà prendre en compte qu’il ne rejoindra pas le chenil cette nuit, dit-elle d’un ton pervers.
Walter sourit, connaissant sa collègue, il ne doute pas un seul instant qu’elle saura sanctionner avec la plus grande perversité ce mâle fautif.
- Bien, je te laisse, je dois préparer la prochaine animation le temps que tes serveurs amènent la viande.
- Entendu, à ce soir.
Walter se retire des cuisines, laissant la cuisinière travailler et retourne dans la salle de réception pour la suite des festivités…
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