Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°727)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°727)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°727) -
Le Majordome rejoint la salle de réception, retrouvant les convives attablés à déguster l’excellent poisson préparé par Marie. Certains usent déjà des esclaves du Maître des lieux qu’ils ont fait passer sous la table pour profiter de leur bouche afin de lier le plaisir charnel au plaisir gustatif. Après quelques minutes, Walter lance un regard à son patron qui lui fait signe de la tête qu’il peut lancer la prochaine animation, Il remonte donc sur la scène et obtient immédiatement le silence de toute l’assemblée pressée de vivre la suite des festivités.
- Mesdames, Messieurs, je vous propose une pratique bien connue de nous tous et qui ravit toujours autant Maîtres et soumis. Toutefois afin de mettre un peu de piquant à cette nouvelle activité, nous allons rester sous la forme du concours.
Le Majordome tape des mains, et un esclave apporte un immense plat de verre contenant une multitude de pinces à linge.
- Evidemment, là encore les deux tirés au sort choisiront leurs modèles, et ils seront départagés par Monsieur Le Marquis sur l’aspect esthétique du résultat.
Walter se saisit de la boite contenant les candidats pour cette animation, et demande au vainqueur de la première activité de monter sur scène pour en sortir deux noms. La jeune femme le rejoint et plonge sa main dans la boite pour tendre les deux papiers au Majordome. Les deux heureux élus sont deux Maîtres expérimentés d'une cinquantaine d'année. Ils quittent leur place pour aller choisir leur modèle parmi les esclaves du Maître des lieux. L’un choisit une femelle brune, très longiligne, l’autre une deuxième femelle, rousse, un peu plus enrobée, mais aux formes sensuelles, toutes les deux sont donc très belles. Les deux hommes rejoignent Walter sur la scène, suivit par les deux femelles qu’ils viennent de choisir. Walter place les deux esclaves de la même manière, debout, jambes écartées, les mains derrière la nuque, puis il s’écarte et laisse les deux hommes débuter leur travail. Le Maître qui s’occupe de la femelle rousse, prend son temps, il commence par le sexe, déposant plusieurs pinces sur les lèvres intimes de son modèle. Puis il s’attaque à la poitrine, posant les pinces en couronne autour des tétons, avant de pincer ces derniers. Enfin, il part des flancs de la jeune femme jusqu’à ses coudes en conservant toujours la même distance entre chaque. L’autre Maître débute par la langue de l’esclave brune, l’obligeant à la garder sortie. Puis il s’attarde sur ses flancs, posant les pinces de manières aléatoires. Il descend ensuite sur ses cuisses couvrant les intérieurs et extérieurs, avant de pincer le clitoris de son modèle. Ils se reculent tous deux, observant leur œuvre. Walter les rejoins et tout en désignant les deux jeunes femmes ornées de pinces, fait une révérence à son patron pour qu’il désigne la plus belle œuvre.
- Qu’en pensez-vous chers amis, demande Le Noble à ses proches.
- Les deux sont magnifiques, ainsi parées, difficile de les départager, répond Monsieur Le Préfet.
- Hum, je ne suis pas d’accord avec vous Charles, les pinces posées sur la femelle rousse le sont avec beaucoup plus de précision. Regardez comme l’écart reste le même, comme la ligne partant des flancs est droite…Alors évidemment, il est dommage qu’il n’est pas continué sur les cuisses, mais je trouve la précision de la pose plus jolie sur ce modèle.
- Je suis d’accord avec Le Commandant, intervient Lee-Po.
- Ah, deux contre un, s’amuse Le Noble. Je pense effectivement qu’il faut récompenser la précision, même s’il aurait été intéressant que le corps entier soit exploité.
Le Noble se lève solennellement, et s’adresse à l’assemblée, d’une voix calme et posée lui développant une force tranquille et que tous lui connaissent si bien.
- Mes amis, ces deux travaux sont magnifiques, toutefois j’ai décidé de mettre en avant la précision de la pose réalisée sur cette femelle, dit-il en désignant l’esclave rousse.
Les deux Maîtres s’inclinent respectueusement et quittent la scène pour rejoindre leur place, sous les applaudissements des convives. Le Maître perdant se montre d’un grand fair-play en allant féliciter le vainqueur… La viande a été servie et tous dégustent ce nouveau plat, ne faisant plus attention aux deux esclaves parées de leurs pinces, restées sur la scène. Le plat se termine, et en attendant que les serveurs-esclaves débarrassent les assiettes et apportent le dessert, Walter organise la suite des festivités en remontant une fois de plus sur la scène.
- Il est temps de débarrasser ces femelles de toutes ces pinces. Pour cette fois, pas de concours, chacun va être convié à venir prendre la cravache et frapper un coup pour décrocher les pinces, annonce le Majordome tout en glissant une cravache entre les dents de chaque femelle.
Walter fait signe au commandant de venir débuter, mais ce dernier refuse poliment, même s’il apprécie grandement cette soirée, il n’a pas la tête à tenir la cravache ce soir. C’est donc son voisin qui se lève et va prendre la cravache d’entre les dents de la brune pour frapper les pinces placées sur son flanc. Chacun continue ainsi, jusqu’à ce que le tour de table soit terminé et que le tour de Maître Lee-Po arrive alors qu’il ne reste que les pinces posées sur la poitrine de l’esclave rousse. En seulement deux coups, il les fait toutes tomber, puis il repose la cravache entre les dents de l’esclave avant d’aller détacher Carole, toujours suspendue dans les airs. Il aide la secrétaire à reprendre pied, et la maintient pour marcher jusqu’à Monsieur Le Marquis, là il l’agenouille toujours en l’aidant et la laisse ainsi.
- Félicitation, je suis fier de toi, tu as été un très beau modèle, lui dit Le Noble tout en flattant son crâne d’un douce caresse protectrice. Je suis certain que mon ami a apprécié de travailler avec toi.
- En effet, elle a été parfaitement docile, elle pourrait être récompensée, si vous me permettez cette proposition.
- Entendu, Lee-Po, il en sera fait selon ta volonté, Walter va la conduire dans les appartements de repos, conclue Monsieur Le Marquis en faisant signe au Majordome d’emmener la jeune femme.
Walter sort une laisse de sa poche et l’attache au cou de Carole pour la mener dans les appartements où il a déposé quelques heures plus tôt l’esclave noir. Lorsqu’il revient le dessert est terminé et sur autorisation du Maître des lieux, une véritable orgie a démarré. Les Maîtres et Maitresses usent et abusent sans limites des esclaves du Château, laissant aller leurs plus perverses envies. Les esclaves ont l’air d’apprécier cet épisode orgiaque par de nombreux gémissements de plaisirs. Le Noble a rejoint son salon privé accompagné de Lee-Po, du commandant et du préfet. Ils dégustent tranquillement un thé servi sur le dos d’un esclave mâle totalement immobile et qui fait office de table basse. Ils discutent de leurs affaires respectives jusqu’à une heure très avancée dans la nuit.
- Mes amis, je vous propose d’aller vous reposer, il est tard et demain est un autre jour, annonce Le Noble, voyant depuis déjà quelques minutes les yeux de Laurent se fermer de temps en temps, à cause de la fatigue. - J’ai fait préparer vos chambres dans le couloir VIP, je vous souhaite une agréable nuit.
Tous se saluent avec respect et se lèvent pour rejoindre leur chambre. Le préfet laisse sa soumise entre les mains de Maître Lee-Po, préférant dormir seul et savoir sa femme-soumise être abusée par un grand Maître. Laurent file dans la chambre d’ami qu’il occupe chaque fois qu’il dort au Château, celle mitoyenne avec celle du Marquis d’Evans, il y entraîne Cypris MDE, qui le suit à quatre pattes dans une parfaite démarche féline. Il a l’habitude d’abuser d’elle, mais il est tellement fatigué par toutes ses émotions, qu’il se contente de lui désigner le tapis au pied du lit sur lequel elle se couche en boule, avant de se coucher lui-même dans les draps de soie du grand lit à baldaquin de la chambre. Monsieur Le Marquis rejoint son bureau, appréciant de veiller tard. Il s’assoit dans le fauteuil faisant face à la cheminée, prenant un livre et ordonnant d’un claquement de doigt à Phryné MDE de s’occuper de son sexe. Son esclave s’approche de lui, dégrafe son pantalon, en sort délicatement son sexe pour le prendre en bouche. Elle s’applique avec douceur, prenant son temps, passant sa langue sur toute la longueur de sa hampe avant de le prendre profondément à pleine bouche. Le Noble se détend entre les lèvres de sa soumise, tout en lisant l’ouvrage qu’il a commencé la veille. Soudain son téléphone sonne, il décroche :
- Edouard, c’est Martin, je savais que vous ne seriez pas encore couché à cette heure, désolé de rappeler si tard mais je suis resté en salle d’opération toute la journée et je viens de prendre connaissance de votre message.
- Ah Martin, je suis heureux de vous entendre. Oui, j’ai besoin de vos services pour une de mes soumises.
- Et vous disiez que c’était urgent ? demande le chirurgien sur un ton inquiet.
- Oui, elle a eu un accident, j’ai besoin que vous puissiez évaluer les blessures pour réduire au maximum les séquelles.
- Une séance qui a mal tournée ? … Non pas possible, pas avec votre parfaite maîtrise …- En effet, je fais toujours très attention à la sécurité de mes esclaves, ce genre d’accident ne peut pas arriver aux esclaves sous mon joug… Non, là il s’agit d’un accident de travail, des brûlures au troisième degré, elle est pompier et une intervention sur un incendie a mal tourné.
- Edouard, vous ne pouvez pas prendre des secrétaires comme tous les Maîtres, s’amuse le chirurgien.
- Que voulez-vous, j’aime la diversité, sourit Monsieur Le Marquis.
- Ce qui rend vos soirées, aussi exceptionnelles et délicieuses. Bon, je passerai demain dans la matinée voir ses blessures pour me rendre compte, et je vous tiendrai au courant.
- Merci très cher, j’ai hâte d’avoir de vos nouvelles. Bonne nuit.
- Egalement.
Monsieur Le Marquis raccroche son téléphone, pose son livre et pose sa main sur la nuque de Phryné MDE pour imprimer lui-même le rythme de la fellation qu’elle a commencé depuis plusieurs longues minutes. Elle ferme les yeux, le laissant la guider, heureuse de sentir la main ferme de son Maître posée sur sa nuque. Après quelques instants, Le Noble se déverse entre les douces lèvres de sa soumise, elle présente sa bouche emplie de la semence de son Maître, et avale sur Son ordre. Le Noble se lève alors, et quitte son bureau suivit de sa soumise, pour rejoindre sa chambre. Là il se couche faisant monter Phryné MDE à ses côtés, la prenant contre lui, et c’est comblée par cet honneur qu’elle s’endort contre son Maître…
(A suivre …)
Le Majordome rejoint la salle de réception, retrouvant les convives attablés à déguster l’excellent poisson préparé par Marie. Certains usent déjà des esclaves du Maître des lieux qu’ils ont fait passer sous la table pour profiter de leur bouche afin de lier le plaisir charnel au plaisir gustatif. Après quelques minutes, Walter lance un regard à son patron qui lui fait signe de la tête qu’il peut lancer la prochaine animation, Il remonte donc sur la scène et obtient immédiatement le silence de toute l’assemblée pressée de vivre la suite des festivités.
- Mesdames, Messieurs, je vous propose une pratique bien connue de nous tous et qui ravit toujours autant Maîtres et soumis. Toutefois afin de mettre un peu de piquant à cette nouvelle activité, nous allons rester sous la forme du concours.
Le Majordome tape des mains, et un esclave apporte un immense plat de verre contenant une multitude de pinces à linge.
- Evidemment, là encore les deux tirés au sort choisiront leurs modèles, et ils seront départagés par Monsieur Le Marquis sur l’aspect esthétique du résultat.
Walter se saisit de la boite contenant les candidats pour cette animation, et demande au vainqueur de la première activité de monter sur scène pour en sortir deux noms. La jeune femme le rejoint et plonge sa main dans la boite pour tendre les deux papiers au Majordome. Les deux heureux élus sont deux Maîtres expérimentés d'une cinquantaine d'année. Ils quittent leur place pour aller choisir leur modèle parmi les esclaves du Maître des lieux. L’un choisit une femelle brune, très longiligne, l’autre une deuxième femelle, rousse, un peu plus enrobée, mais aux formes sensuelles, toutes les deux sont donc très belles. Les deux hommes rejoignent Walter sur la scène, suivit par les deux femelles qu’ils viennent de choisir. Walter place les deux esclaves de la même manière, debout, jambes écartées, les mains derrière la nuque, puis il s’écarte et laisse les deux hommes débuter leur travail. Le Maître qui s’occupe de la femelle rousse, prend son temps, il commence par le sexe, déposant plusieurs pinces sur les lèvres intimes de son modèle. Puis il s’attaque à la poitrine, posant les pinces en couronne autour des tétons, avant de pincer ces derniers. Enfin, il part des flancs de la jeune femme jusqu’à ses coudes en conservant toujours la même distance entre chaque. L’autre Maître débute par la langue de l’esclave brune, l’obligeant à la garder sortie. Puis il s’attarde sur ses flancs, posant les pinces de manières aléatoires. Il descend ensuite sur ses cuisses couvrant les intérieurs et extérieurs, avant de pincer le clitoris de son modèle. Ils se reculent tous deux, observant leur œuvre. Walter les rejoins et tout en désignant les deux jeunes femmes ornées de pinces, fait une révérence à son patron pour qu’il désigne la plus belle œuvre.
- Qu’en pensez-vous chers amis, demande Le Noble à ses proches.
- Les deux sont magnifiques, ainsi parées, difficile de les départager, répond Monsieur Le Préfet.
- Hum, je ne suis pas d’accord avec vous Charles, les pinces posées sur la femelle rousse le sont avec beaucoup plus de précision. Regardez comme l’écart reste le même, comme la ligne partant des flancs est droite…Alors évidemment, il est dommage qu’il n’est pas continué sur les cuisses, mais je trouve la précision de la pose plus jolie sur ce modèle.
- Je suis d’accord avec Le Commandant, intervient Lee-Po.
- Ah, deux contre un, s’amuse Le Noble. Je pense effectivement qu’il faut récompenser la précision, même s’il aurait été intéressant que le corps entier soit exploité.
Le Noble se lève solennellement, et s’adresse à l’assemblée, d’une voix calme et posée lui développant une force tranquille et que tous lui connaissent si bien.
- Mes amis, ces deux travaux sont magnifiques, toutefois j’ai décidé de mettre en avant la précision de la pose réalisée sur cette femelle, dit-il en désignant l’esclave rousse.
Les deux Maîtres s’inclinent respectueusement et quittent la scène pour rejoindre leur place, sous les applaudissements des convives. Le Maître perdant se montre d’un grand fair-play en allant féliciter le vainqueur… La viande a été servie et tous dégustent ce nouveau plat, ne faisant plus attention aux deux esclaves parées de leurs pinces, restées sur la scène. Le plat se termine, et en attendant que les serveurs-esclaves débarrassent les assiettes et apportent le dessert, Walter organise la suite des festivités en remontant une fois de plus sur la scène.
- Il est temps de débarrasser ces femelles de toutes ces pinces. Pour cette fois, pas de concours, chacun va être convié à venir prendre la cravache et frapper un coup pour décrocher les pinces, annonce le Majordome tout en glissant une cravache entre les dents de chaque femelle.
Walter fait signe au commandant de venir débuter, mais ce dernier refuse poliment, même s’il apprécie grandement cette soirée, il n’a pas la tête à tenir la cravache ce soir. C’est donc son voisin qui se lève et va prendre la cravache d’entre les dents de la brune pour frapper les pinces placées sur son flanc. Chacun continue ainsi, jusqu’à ce que le tour de table soit terminé et que le tour de Maître Lee-Po arrive alors qu’il ne reste que les pinces posées sur la poitrine de l’esclave rousse. En seulement deux coups, il les fait toutes tomber, puis il repose la cravache entre les dents de l’esclave avant d’aller détacher Carole, toujours suspendue dans les airs. Il aide la secrétaire à reprendre pied, et la maintient pour marcher jusqu’à Monsieur Le Marquis, là il l’agenouille toujours en l’aidant et la laisse ainsi.
- Félicitation, je suis fier de toi, tu as été un très beau modèle, lui dit Le Noble tout en flattant son crâne d’un douce caresse protectrice. Je suis certain que mon ami a apprécié de travailler avec toi.
- En effet, elle a été parfaitement docile, elle pourrait être récompensée, si vous me permettez cette proposition.
- Entendu, Lee-Po, il en sera fait selon ta volonté, Walter va la conduire dans les appartements de repos, conclue Monsieur Le Marquis en faisant signe au Majordome d’emmener la jeune femme.
Walter sort une laisse de sa poche et l’attache au cou de Carole pour la mener dans les appartements où il a déposé quelques heures plus tôt l’esclave noir. Lorsqu’il revient le dessert est terminé et sur autorisation du Maître des lieux, une véritable orgie a démarré. Les Maîtres et Maitresses usent et abusent sans limites des esclaves du Château, laissant aller leurs plus perverses envies. Les esclaves ont l’air d’apprécier cet épisode orgiaque par de nombreux gémissements de plaisirs. Le Noble a rejoint son salon privé accompagné de Lee-Po, du commandant et du préfet. Ils dégustent tranquillement un thé servi sur le dos d’un esclave mâle totalement immobile et qui fait office de table basse. Ils discutent de leurs affaires respectives jusqu’à une heure très avancée dans la nuit.
- Mes amis, je vous propose d’aller vous reposer, il est tard et demain est un autre jour, annonce Le Noble, voyant depuis déjà quelques minutes les yeux de Laurent se fermer de temps en temps, à cause de la fatigue. - J’ai fait préparer vos chambres dans le couloir VIP, je vous souhaite une agréable nuit.
Tous se saluent avec respect et se lèvent pour rejoindre leur chambre. Le préfet laisse sa soumise entre les mains de Maître Lee-Po, préférant dormir seul et savoir sa femme-soumise être abusée par un grand Maître. Laurent file dans la chambre d’ami qu’il occupe chaque fois qu’il dort au Château, celle mitoyenne avec celle du Marquis d’Evans, il y entraîne Cypris MDE, qui le suit à quatre pattes dans une parfaite démarche féline. Il a l’habitude d’abuser d’elle, mais il est tellement fatigué par toutes ses émotions, qu’il se contente de lui désigner le tapis au pied du lit sur lequel elle se couche en boule, avant de se coucher lui-même dans les draps de soie du grand lit à baldaquin de la chambre. Monsieur Le Marquis rejoint son bureau, appréciant de veiller tard. Il s’assoit dans le fauteuil faisant face à la cheminée, prenant un livre et ordonnant d’un claquement de doigt à Phryné MDE de s’occuper de son sexe. Son esclave s’approche de lui, dégrafe son pantalon, en sort délicatement son sexe pour le prendre en bouche. Elle s’applique avec douceur, prenant son temps, passant sa langue sur toute la longueur de sa hampe avant de le prendre profondément à pleine bouche. Le Noble se détend entre les lèvres de sa soumise, tout en lisant l’ouvrage qu’il a commencé la veille. Soudain son téléphone sonne, il décroche :
- Edouard, c’est Martin, je savais que vous ne seriez pas encore couché à cette heure, désolé de rappeler si tard mais je suis resté en salle d’opération toute la journée et je viens de prendre connaissance de votre message.
- Ah Martin, je suis heureux de vous entendre. Oui, j’ai besoin de vos services pour une de mes soumises.
- Et vous disiez que c’était urgent ? demande le chirurgien sur un ton inquiet.
- Oui, elle a eu un accident, j’ai besoin que vous puissiez évaluer les blessures pour réduire au maximum les séquelles.
- Une séance qui a mal tournée ? … Non pas possible, pas avec votre parfaite maîtrise …- En effet, je fais toujours très attention à la sécurité de mes esclaves, ce genre d’accident ne peut pas arriver aux esclaves sous mon joug… Non, là il s’agit d’un accident de travail, des brûlures au troisième degré, elle est pompier et une intervention sur un incendie a mal tourné.
- Edouard, vous ne pouvez pas prendre des secrétaires comme tous les Maîtres, s’amuse le chirurgien.
- Que voulez-vous, j’aime la diversité, sourit Monsieur Le Marquis.
- Ce qui rend vos soirées, aussi exceptionnelles et délicieuses. Bon, je passerai demain dans la matinée voir ses blessures pour me rendre compte, et je vous tiendrai au courant.
- Merci très cher, j’ai hâte d’avoir de vos nouvelles. Bonne nuit.
- Egalement.
Monsieur Le Marquis raccroche son téléphone, pose son livre et pose sa main sur la nuque de Phryné MDE pour imprimer lui-même le rythme de la fellation qu’elle a commencé depuis plusieurs longues minutes. Elle ferme les yeux, le laissant la guider, heureuse de sentir la main ferme de son Maître posée sur sa nuque. Après quelques instants, Le Noble se déverse entre les douces lèvres de sa soumise, elle présente sa bouche emplie de la semence de son Maître, et avale sur Son ordre. Le Noble se lève alors, et quitte son bureau suivit de sa soumise, pour rejoindre sa chambre. Là il se couche faisant monter Phryné MDE à ses côtés, la prenant contre lui, et c’est comblée par cet honneur qu’elle s’endort contre son Maître…
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