Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 573)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 573)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 573) -
Le jour n’est pas encore levé, Vanessa se réveille doucement, mais Laurent dort encore, elle patiente donc toujours recroquevillée sur la couverture, au sol. Elle aimerait sentir son corps contre le sien, sa main sur sa peau, une caresse de sa part. Elle se met à espérer qu’il se réveille, qu’il lui pardonne et qu’il la traite en femme. Après plusieurs longues minutes, la jeune femme l’entend bouger, le commandant se lève, se tourne vers la descente de lit, mais au lieu de sa main, c’est un léger coup de pied sur sa croupe qui la sort de ses songes.
- Redresse-toi chienne, dit-il d’un ton détaché.
Immédiatement, Vanessa se redresse sur ses genoux et patiente, les mains toujours liées devant elle, la tête baissée. Le commandant la regarde confus, désirant la délivrer, mais il maîtrise l’art d’éduquer les soumises et il sait que s’il veut marquer suffisamment son esprit, il ne doit pas faire preuve de faiblesse. Sans dire un mot, il sort son sexe de son caleçon et l’enfonce dans la bouche de la jeune femme. Il lui empoigne aussi les cheveux et il se sert d’elle sans lui laisser le temps de réagir ni de reprendre son souffle, sa verge va buter profondément contre le fond de sa gorge, Vanessa supporte tant bien que mal ce coït buccale, reprenant sa respiration les rares fois où il se retire partiellement. Après de longues minutes à lui baiser la bouche, il éjacule en de longs jets une semence épaisse et chaude, tout en laissant échapper des râles de plaisirs. Satisfait, le commandant se retire sans la regarder, sans lui adresser la parole, sans même lui ordonner d’avaler et quitte la pièce, ne faisant plus aucun cas de Vanessa. Elle est malheureuse de cette situation, elle est persuadée qu’il ne veut plus d’elle. Dans un sanglot, elle avale le sperme emplissant sa bouche et patiente, des larmes coulant sur ses genoux. La jeune femme ne se rend pas compte du temps qui passe, mais il lui semble être une éternité, deux heures, peut-être trois sont passées et il ne revient pas, il l’a laissé enchaînée au pied du lit comme un chien à sa niche. Le commandant revient enfin après seulement trente minutes d’absence, la détache sans lui adresser la parole, sans même la regarder, puis lui retire ses bracelets et son collier.
- Vas te doucher et reviens habillée, ordonne-t-il d’un ton détaché.
Vanessa n’ose rien répondre, habituellement, le commandant la cajole après lui avoir retiré son collier, il l’a traite en femme, en amante, mais aujourd’hui il ne la regarde même pas, il s’en débarrasse, comme d’un poids dont il voudrait se libérer. La jeune femme se relève, le regarde, mais il tourne déjà les talons, elle va jusqu’à la salle de bain et prend une douche rapidement, sans parvenir à sécher ses larmes qui coulent sans discontinuer. Une fois habillée, elle sèche ses larmes avec l’aide de la serviette et passe de l’eau froide sur ses yeux pour tenter de réduire le rouge qui les entoure. Puis c’est avec une boule au ventre, que Vanessa rejoint son commandant dans son bureau. La porte est ouverte, elle se place dans l’encadrement et le regarde fébrile, ne sachant trop comment réagir. Puis prenant son courage à deux mains, Vanessa lui demande craintivement :
- Je…je peux te parler ?
- Oui évidemment, dit-il sans lever la tête de son écran.
- Je…je suis désolée…je ne voulais pas te faire perdre ton temps. J’ai compris que je n’étais pas faite pour ce monde, ni pour toi…Ne t’inquiètes pas, cela n’entachera pas notre relation professionnelle. J’espère que tu trouveras la femme que tu mérites et je te souhaite plein de bonheur.
Disant ceci, Vanessa tourne les talons, quitte la pièce et se dirige vers l’entrée de la maison. Elle pleure à chaudes larmes, en rejoignant sa voiture, mais alors qu’elle allait ouvrir la portière, une voix résonne de l’entrée de la maison.
- C’est vraiment ce que tu désires ? ?
Vanessa s’arrête net mais n’ose pas se retourner, le commandant la rejoint se place en face d’elle et il relève son menton de sa main droite pour plonger son regard dans l’humidité de ses yeux.
- Si c’est ton souhait, je le respecte et je ne doute pas que tu sauras rester professionnelle dans nos relations au travail. Mais est-ce vraiment ce que tu veux ?
- Je veux ton bonheur, et je vois bien que je ne suis pas celle qui te le permettra, répond-t-elle baissant les yeux.
- Eh bien, je pensais qu’il en faudrait plus pour déstabiliser la grande Vanessa, sourit-il tout en la prenant dans ses bras. Et je suis désolé de te parler ainsi mais quand tu es perdue, tu fais preuve de peu de réflexion… La femme que je mérite, je l’ai trouvée, je l’aime et ça me coûte d’autant plus de devoir la sanctionner. Mais je suis un Maître D/s avant tout, nous avons des codes, et je me dois de les respecter. Saches que si tu veux quitter ce monde je ne m’y opposerais pas, mais j’aimerais te garder pour femme, sauf si évidemment c’est moi que tu souhaites fuir.
- Non, non, je ne veux fuir ni toi, ni ce monde, et surtout pas le Maître, mais je ne mérite ni l’un, ni l’autre.
- Tu as tort, tu es une des meilleures soumises que je n’ai jamais éduquée, et la seule femme qui ne m’ait jamais fascinée.
Sans un mot de plus le commandant la relâche et s’agenouille face à Vanessa.
- Si tu l’acceptes, j’aimerai partager ma vie avec toi, j’aimerai que tu viennes vivre ici. Qu’en penses-tu ?
C’est très émue que Vanessa s’agenouille face à lui et s’effondre en larmes dans ses bras. Il la laisse se calmer, la consolant de ses bras, puis sèche ses larmes de ses doigts avant de la relever contre lui.
- Allons viens, rentrons, dit-il en la prenant par la main.
Ils arrivent dans le salon, le commandant l’assoit à ses côtés et l’embrasse tendrement.
- Tu n’as pas répondu à ma question, je ne veux pas que tu te sentes obligée, je sais comme tu aimes ta liberté.
- Non, non, je suis d’accord… enfin… moi aussi je le veux… mais… je ne peux pas décider seule… IL doit me l’autoriser.
- Ne t’en fais pas pour ça, ton Maître sera ravi d’apprendre cette nouvelle. Alors, je te propose de revenir ici après ta garde, prends les affaires que tu désires, et on fera tes cartons ce weekend, enfin si ça te conviens.
Vanessa ne lui répond pas, elle se contente de l’embrasser avec beaucoup de tendresse, baiser qu’il accepte avec plaisir. Ils restent un instant l’un contre l’autre dans un câlin empli d’amour.
- Bien, il est l’heure pour toi de prendre ta garde et pour moi de retourner au bureau. On prend chacun notre voiture, je préfère pour le moment que notre relation reste secrète, pas que je ne veuille pas de toi, mais je dois réfléchir à la meilleure façon pour que cela soit accepté des hommes et de la hiérarchie du centre de secours.
- Je suis d’accord, sourit-elle enfin apaisée.
Vanessa prend sa voiture et quitte la maison la première, arrivée à la caserne, elle se gare, file se changer et ayant un peu de temps décide de se connecter à son mail pour écrire à son Maître :
« Bonjour Maître, si Vous me le permettez, je souhaiterais Vous remercier pour le temps passé en Votre demeure et pour avoir pris la peine de me faire comprendre mon erreur. Je tiens à Vous présenter mes excuses pour avoir délibérément souhaité taire mon état, je voulais me prouver que malgré ma vie professionnelle, je pouvais être une bonne soumise. J’ai compris en quoi il était important que Vous soyez parfaitement renseigné, et j’ai compris qu’une bonne soumise est avant tout une soumise qui s’en remet aux choix de son Maître. La sanction de Votre ami a été d’une grande douleur morale, alors qu’il n’y ait eu aucune douleur physique, mais l’épreuve a été difficile à accepter. Je pensais savoir faire la part des choses entre l’amant et l’éducateur, j’ai compris que je me leurrais. Maître, j’espère que Vous aurez la bonté de pardonner mes faiblesses et d’accepter de me garder comme soumise à l’épreuve à Vos Nobles pieds. Maître, je dois également Vous informer d’une chose importante : Votre ami m’a demandé de vivre avec lui, j’en ai énormément envie, mais je ne peux pas accepter sans Votre accord. Aussi j’implore Votre bénédiction pour me permettre de vivre à ses côtés, s’il vous plait qu’il en soit ainsi. Recevez Maître, mon plus profond respect et ma dévotion la plus absolue. Votre soumise Vanessa »
Vanessa relit son mail et l’envoie avant de filer au rassemblement de la prise de garde... Monsieur Le Marquis d’Evans est à son bureau et est heureux d’apprendre ce qu’Il lit. Il décide qu’une telle bénédiction ne peut se faire par mail et change son emploi du temps pour aller rendre une petite visite à la caserne à l’heure du déjeuner. A midi précise, Walter le conduit jusque devant la porte de la caserne et va se garer, attendant dans la voiture le retour du Noble. Le Marquis salut les hommes à l’entrée et monte directement les escaliers en direction des bureaux du commandant. Carole, la secrétaire également soumise (voir épisodes précédents) est absente juste à ce moment-là et c’est un jeune pompier qui fait l’accueil.
- Bonjour Monsieur, je viens voir le commandant.
- Vous aviez rendez-vous ? demande d’un air occupé et sans le regarder, le jeune homme indifférent.
- Non, je ne prends jamais de rendez-vous.
- Eh bien, ça ne va pas être possible, le commandant ne peut être dérangé par n’importe qui, rétorque le jeune homme presque insolent.
Le Marquis sourit face à l’assurance et à l’insolence de cette jeune recrue qui ne va pas tarder à regretter son pitoyable accueil… Au même moment Carole qui vient juste de finir sa pause déjeuner, fait son apparition dans le bureau…
(A suivre …)
Le jour n’est pas encore levé, Vanessa se réveille doucement, mais Laurent dort encore, elle patiente donc toujours recroquevillée sur la couverture, au sol. Elle aimerait sentir son corps contre le sien, sa main sur sa peau, une caresse de sa part. Elle se met à espérer qu’il se réveille, qu’il lui pardonne et qu’il la traite en femme. Après plusieurs longues minutes, la jeune femme l’entend bouger, le commandant se lève, se tourne vers la descente de lit, mais au lieu de sa main, c’est un léger coup de pied sur sa croupe qui la sort de ses songes.
- Redresse-toi chienne, dit-il d’un ton détaché.
Immédiatement, Vanessa se redresse sur ses genoux et patiente, les mains toujours liées devant elle, la tête baissée. Le commandant la regarde confus, désirant la délivrer, mais il maîtrise l’art d’éduquer les soumises et il sait que s’il veut marquer suffisamment son esprit, il ne doit pas faire preuve de faiblesse. Sans dire un mot, il sort son sexe de son caleçon et l’enfonce dans la bouche de la jeune femme. Il lui empoigne aussi les cheveux et il se sert d’elle sans lui laisser le temps de réagir ni de reprendre son souffle, sa verge va buter profondément contre le fond de sa gorge, Vanessa supporte tant bien que mal ce coït buccale, reprenant sa respiration les rares fois où il se retire partiellement. Après de longues minutes à lui baiser la bouche, il éjacule en de longs jets une semence épaisse et chaude, tout en laissant échapper des râles de plaisirs. Satisfait, le commandant se retire sans la regarder, sans lui adresser la parole, sans même lui ordonner d’avaler et quitte la pièce, ne faisant plus aucun cas de Vanessa. Elle est malheureuse de cette situation, elle est persuadée qu’il ne veut plus d’elle. Dans un sanglot, elle avale le sperme emplissant sa bouche et patiente, des larmes coulant sur ses genoux. La jeune femme ne se rend pas compte du temps qui passe, mais il lui semble être une éternité, deux heures, peut-être trois sont passées et il ne revient pas, il l’a laissé enchaînée au pied du lit comme un chien à sa niche. Le commandant revient enfin après seulement trente minutes d’absence, la détache sans lui adresser la parole, sans même la regarder, puis lui retire ses bracelets et son collier.
- Vas te doucher et reviens habillée, ordonne-t-il d’un ton détaché.
Vanessa n’ose rien répondre, habituellement, le commandant la cajole après lui avoir retiré son collier, il l’a traite en femme, en amante, mais aujourd’hui il ne la regarde même pas, il s’en débarrasse, comme d’un poids dont il voudrait se libérer. La jeune femme se relève, le regarde, mais il tourne déjà les talons, elle va jusqu’à la salle de bain et prend une douche rapidement, sans parvenir à sécher ses larmes qui coulent sans discontinuer. Une fois habillée, elle sèche ses larmes avec l’aide de la serviette et passe de l’eau froide sur ses yeux pour tenter de réduire le rouge qui les entoure. Puis c’est avec une boule au ventre, que Vanessa rejoint son commandant dans son bureau. La porte est ouverte, elle se place dans l’encadrement et le regarde fébrile, ne sachant trop comment réagir. Puis prenant son courage à deux mains, Vanessa lui demande craintivement :
- Je…je peux te parler ?
- Oui évidemment, dit-il sans lever la tête de son écran.
- Je…je suis désolée…je ne voulais pas te faire perdre ton temps. J’ai compris que je n’étais pas faite pour ce monde, ni pour toi…Ne t’inquiètes pas, cela n’entachera pas notre relation professionnelle. J’espère que tu trouveras la femme que tu mérites et je te souhaite plein de bonheur.
Disant ceci, Vanessa tourne les talons, quitte la pièce et se dirige vers l’entrée de la maison. Elle pleure à chaudes larmes, en rejoignant sa voiture, mais alors qu’elle allait ouvrir la portière, une voix résonne de l’entrée de la maison.
- C’est vraiment ce que tu désires ? ?
Vanessa s’arrête net mais n’ose pas se retourner, le commandant la rejoint se place en face d’elle et il relève son menton de sa main droite pour plonger son regard dans l’humidité de ses yeux.
- Si c’est ton souhait, je le respecte et je ne doute pas que tu sauras rester professionnelle dans nos relations au travail. Mais est-ce vraiment ce que tu veux ?
- Je veux ton bonheur, et je vois bien que je ne suis pas celle qui te le permettra, répond-t-elle baissant les yeux.
- Eh bien, je pensais qu’il en faudrait plus pour déstabiliser la grande Vanessa, sourit-il tout en la prenant dans ses bras. Et je suis désolé de te parler ainsi mais quand tu es perdue, tu fais preuve de peu de réflexion… La femme que je mérite, je l’ai trouvée, je l’aime et ça me coûte d’autant plus de devoir la sanctionner. Mais je suis un Maître D/s avant tout, nous avons des codes, et je me dois de les respecter. Saches que si tu veux quitter ce monde je ne m’y opposerais pas, mais j’aimerais te garder pour femme, sauf si évidemment c’est moi que tu souhaites fuir.
- Non, non, je ne veux fuir ni toi, ni ce monde, et surtout pas le Maître, mais je ne mérite ni l’un, ni l’autre.
- Tu as tort, tu es une des meilleures soumises que je n’ai jamais éduquée, et la seule femme qui ne m’ait jamais fascinée.
Sans un mot de plus le commandant la relâche et s’agenouille face à Vanessa.
- Si tu l’acceptes, j’aimerai partager ma vie avec toi, j’aimerai que tu viennes vivre ici. Qu’en penses-tu ?
C’est très émue que Vanessa s’agenouille face à lui et s’effondre en larmes dans ses bras. Il la laisse se calmer, la consolant de ses bras, puis sèche ses larmes de ses doigts avant de la relever contre lui.
- Allons viens, rentrons, dit-il en la prenant par la main.
Ils arrivent dans le salon, le commandant l’assoit à ses côtés et l’embrasse tendrement.
- Tu n’as pas répondu à ma question, je ne veux pas que tu te sentes obligée, je sais comme tu aimes ta liberté.
- Non, non, je suis d’accord… enfin… moi aussi je le veux… mais… je ne peux pas décider seule… IL doit me l’autoriser.
- Ne t’en fais pas pour ça, ton Maître sera ravi d’apprendre cette nouvelle. Alors, je te propose de revenir ici après ta garde, prends les affaires que tu désires, et on fera tes cartons ce weekend, enfin si ça te conviens.
Vanessa ne lui répond pas, elle se contente de l’embrasser avec beaucoup de tendresse, baiser qu’il accepte avec plaisir. Ils restent un instant l’un contre l’autre dans un câlin empli d’amour.
- Bien, il est l’heure pour toi de prendre ta garde et pour moi de retourner au bureau. On prend chacun notre voiture, je préfère pour le moment que notre relation reste secrète, pas que je ne veuille pas de toi, mais je dois réfléchir à la meilleure façon pour que cela soit accepté des hommes et de la hiérarchie du centre de secours.
- Je suis d’accord, sourit-elle enfin apaisée.
Vanessa prend sa voiture et quitte la maison la première, arrivée à la caserne, elle se gare, file se changer et ayant un peu de temps décide de se connecter à son mail pour écrire à son Maître :
« Bonjour Maître, si Vous me le permettez, je souhaiterais Vous remercier pour le temps passé en Votre demeure et pour avoir pris la peine de me faire comprendre mon erreur. Je tiens à Vous présenter mes excuses pour avoir délibérément souhaité taire mon état, je voulais me prouver que malgré ma vie professionnelle, je pouvais être une bonne soumise. J’ai compris en quoi il était important que Vous soyez parfaitement renseigné, et j’ai compris qu’une bonne soumise est avant tout une soumise qui s’en remet aux choix de son Maître. La sanction de Votre ami a été d’une grande douleur morale, alors qu’il n’y ait eu aucune douleur physique, mais l’épreuve a été difficile à accepter. Je pensais savoir faire la part des choses entre l’amant et l’éducateur, j’ai compris que je me leurrais. Maître, j’espère que Vous aurez la bonté de pardonner mes faiblesses et d’accepter de me garder comme soumise à l’épreuve à Vos Nobles pieds. Maître, je dois également Vous informer d’une chose importante : Votre ami m’a demandé de vivre avec lui, j’en ai énormément envie, mais je ne peux pas accepter sans Votre accord. Aussi j’implore Votre bénédiction pour me permettre de vivre à ses côtés, s’il vous plait qu’il en soit ainsi. Recevez Maître, mon plus profond respect et ma dévotion la plus absolue. Votre soumise Vanessa »
Vanessa relit son mail et l’envoie avant de filer au rassemblement de la prise de garde... Monsieur Le Marquis d’Evans est à son bureau et est heureux d’apprendre ce qu’Il lit. Il décide qu’une telle bénédiction ne peut se faire par mail et change son emploi du temps pour aller rendre une petite visite à la caserne à l’heure du déjeuner. A midi précise, Walter le conduit jusque devant la porte de la caserne et va se garer, attendant dans la voiture le retour du Noble. Le Marquis salut les hommes à l’entrée et monte directement les escaliers en direction des bureaux du commandant. Carole, la secrétaire également soumise (voir épisodes précédents) est absente juste à ce moment-là et c’est un jeune pompier qui fait l’accueil.
- Bonjour Monsieur, je viens voir le commandant.
- Vous aviez rendez-vous ? demande d’un air occupé et sans le regarder, le jeune homme indifférent.
- Non, je ne prends jamais de rendez-vous.
- Eh bien, ça ne va pas être possible, le commandant ne peut être dérangé par n’importe qui, rétorque le jeune homme presque insolent.
Le Marquis sourit face à l’assurance et à l’insolence de cette jeune recrue qui ne va pas tarder à regretter son pitoyable accueil… Au même moment Carole qui vient juste de finir sa pause déjeuner, fait son apparition dans le bureau…
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