Beau-papa Chapitre 1 L’épouse modèle.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Beau-papa Chapitre 1 L’épouse modèle.
Beau-papa
Chapitre 1
L’épouse modèle.
Je m’appelle Lucie, je suis mariée depuis huit ans avec Bruno et nous avons deux enfants, la prunelle de mes yeux.
J’étais heureuse et une mère comblée jusqu’au jour où j’ai découvert que mon mari me trompait avec une de ses collègues. Je ne pouvais pas garder ça pour moi et lui ai fait une scène terrible.
Je lui ai même dit de quitter la maison.
J’ai ensuite pu réfléchir au calme et me suis dit que mes enfants allaient en souffrir et qu’ils n’y étaient pour rien. J’ai donc pardonné à Bruno après qu’il m’ait juré qu’il romprait avec cette trainée.
Pour tenter de sauver notre couple, nous avons longuement parlé mais il a réussi à se dédouaner en argumentant que s’il me trompait, c’était un peu de ma faute car depuis que nous avions des enfants, j’ai reporté tout ma tendresse et mon amour vers eux au détriment de lui, ne ressentant plus de désir sexuel pour lui.
J’ai tellement culpabilisé que le lui ai donné une seconde chance, essayant d’être plus demandeuse au lit et de le surprendre sexuellement, me forçant un peu.
Ma belle famille s’en est mêlée, surtout ma belle-mère qui mettait en avant les enfants qu’il fallait laisser en dehors de tout ça, qu’il valait mieux fermer les yeux sur ses incartades plutôt que de briser notre couple. Je comprenais qu’elle le défende en mère égoïste mais ses arguments étaient assez hypocrites.
Ce n’est pas son comportement qu’elle jugeait immoral, cherchant tous les arguments possibles pour rejeter la faute sur moi. Il avait eu le culot d’étaler devant elle nos problèmes de couple ne manquant pas une occasion pour me rabaisser à ses yeux et elle le soutenait.
J’ai cru que la leçon avait porté ses fruits et qu’il avait senti le souffle du boulet mais quelques mois plus tard il oublia son téléphone, plusieurs sonneries rapprochées m’ont fait prendre en main l’objet pour voir si une chose importante était arrivée. En fait, trois SMS très explicites d’une femme qui s’impatientait de ne pas le voir arriver à l’hôtel me confirma qu’il n’avait pas du tout mis fin aux coups de canif dans notre contrat de mariage. J’étais dans une rage folle qu’il me trompe encore malgré tous mes efforts pour le reconquérir. Il continuait à me faire porter les cornes.
Je ruminais les choses, songeant à engager une procédure de divorce et serrant le poing dans ma poche pour le moment le temps de réunir des preuves de son infidélité.
Mais la goutte qui fit déborder le vase arriva le week-end suivant pendant l’anniversaire de son frère Michel qu’il fêtait chez mes beaux-parents. Il y avait aussi sa sœur Brigitte et son compagnon Anthony.
Je ne sais pas comment on en est arrivé là pendant le repas mais Bruno évoqua la violente dispute que le lui avais faite avant de venir après que sa mère lui ait demandé pourquoi nous étions arrivés si tard.
J’étais horrifiée qu’il déballe devant tout le monde et surtout nos enfants nos problèmes de couple me donnant bien-sûr le mauvais rôle. Et ça n’a pas manqué, aussitôt ma belle-mère y alla de ses commentaires et de ses conseils perfides, disant je n’y mettais pas assez du mien, critiquant ma façon de m’habiller et assurant que si un homme va voir ailleurs, c’est que sa femme ne sait pas s’y prendre pour le retenir.
En pleurs, je quittai précipitamment la pièce pour me réfugier dans la salle de bain.
Un seul vint frapper à la porte pour me demander si tout allait bien. Je reconnus la voix de mon beau-père Jean.
-Je te présente mes excuses pour mon fils et tous les autres, ce sont vraiment des abrutis, je peux entrer ?
Il m’a un peu consolée, écoutant mes jérémiades et mes déboires avant de réussir à me faire quitter la pièce.
La journée a été longue, je ne desserrais pas les dents, enfin nous reprîmes la voiture avec les enfants pour rentrer sous le regard fielleux de ma belle- mère et de Brigitte.
Les jours suivant ne furent pas roses mais je reprenais la routine de mère attentionnée, la parfaite femme au foyer triste mais plus soumise. Maintenant, il me trompait ouvertement, ne cherchant même plus à s’en cacher.
En faisant une recherche sur le net, pour une fois je cliquais sur le bandeau publicitaire et tombais par hasard sur un article parlant des histoires de couple. Le simple fait de cliquer dessus et une liste complète de sites d’histoires érotiques apparut. J’en ai lu quelques unes et je suis vite devenue accroc, au moins là, il n’y avait pas de scène de ménage !
Au fil des histoires, quelque chose s’est réveillé en moi, je prenais plus de plaisir en lisant ces textes qu’en cédant de moins en moins souvent à mon mari. Je sentais sur lui l’odeur du parfum de sa maîtresse. Le seul avantage avec lui c’est qu’il a toujours été très rapide.
Ce pauvre con était fier comme un coq chantant sur un tas de fumier pour glorifier ses exploits. S’il savait que j’ai toujours simulé avec lui n’arrivant jamais au plaisir dans un si court laps de temps.
Depuis ce jour, nous faisons chambre à part.
Aujourd’hui, les enfants partis à l’école et après avoir fait le ménage, je me plonge encore une fois dans une nouvelle érotique. C’est l’histoire d’une certaine Sophie qui a connu elle aussi des déboires avec son mari et contacte l’auteur du texte qu’elle lit, un certain mlkjhg39. J’aime tellement l’histoire que je dévore les différents épisodes les uns après les autres, la main plongée dans mon pantalon entrouvert pour me caresser doucement. Mes doigts frottent mon clitoris gonflé et mes lèvres humides.
Je pose mon ordinateur sur le canapé à coté de moi et descends mon pantalon bientôt rejoint par ma culotte sur mes chevilles. Je me masturbe frénétiquement faisant pénétrer un doigt puis deux dans ma chatte détrempée.
Mon cœur s’affole, j’écarte bien mes cuisses pour voir ma fente parcourue de petits frissons de plaisir. Mes grandes lèvres entrouvertes laissent échapper ma cyprine, des gouttes de rosée humidifient déjà ma chatte. Plus bas, mon petit trou sombre palpite aussi.
Il y a longtemps que je ne m’étais pas regardée de cette façon et la vision de ma chatte humide et de mon trou ridé est je dois dire assez excitante.
La vue est tellement érotique que je passe un doigt mouillé au milieu de ma fente avant de titiller mon trou du cul en pinçant un de mes tétons, me concentrant les yeux fermés sur les scènes suggérées dans l’histoire.
Je sens le plaisir monter, des picotements remontent dans le creux de mes reins quand soudain un bruit me fait sursauter. J’ouvre les yeux et découvre affolée Jean, mon beau-père. Je me redresse brutalement, cachant mon intimité avec un coussin en bafouillant des excuses à peine compréhensibles. Je n’ai jamais été aussi gênée, la honte me monte aux joues, la bouche ouverte, l’air hébétée.
Il est debout à quelques mètres de moi, aussi surpris et gêné que moi, sa boite à outils à la main.
Je réalise soudain que j’avais complètement oublié qu’il devait passer pour la chasse d’eau qui fuyait à la salle de bain.
Il tente maladroitement de se justifier :
-Pardon Lucie, excuse-moi…je ne voulais pas …euh… te déranger. Tu te souviens ? La fuite ?
-Non ! C’est moi qui …je suis confuse …pardon…pardon…je ne sais pas ce qui m’a pris !
-Ne t’excuses-pas Lucie, c’est de ma faute, je n’aurais pas du rentrer sans sonner.
-Oh que j’ai honte ! Qu’allez-vous pensez de moi maintenant!
-Euh…non, n’ais pas honte, ce n’est pas si grave, je vais aller m’occuper des toilettes... Je n’ai rien vu !
Dès qu’il quitte la pièce, je remets rapidement de l’ordre dans ma tenue et éteins l’ordinateur.
S’il raconte ça à son fils, je…
Jean a tôt fait de colmater la fuite et revient au salon.
-Ce n’était rien, il fallait seulement régler le flotteur !
-Merci beau-papa !
-Appelle-moi Jean, mon abruti de fils a vraiment un poil dans la main pour m’appeler pour des conneries pareils ! Quel fainéant !
Je n’ose pas croiser son regard tellement j’ai honte de mon comportement mais il se comporte comme si rien ne s’était passé.
-Offre-moi un petit café et je file.
-Avec plaisir Jean, suivez-moi à la cuisine !
A suivre…
Chapitre 1
L’épouse modèle.
Je m’appelle Lucie, je suis mariée depuis huit ans avec Bruno et nous avons deux enfants, la prunelle de mes yeux.
J’étais heureuse et une mère comblée jusqu’au jour où j’ai découvert que mon mari me trompait avec une de ses collègues. Je ne pouvais pas garder ça pour moi et lui ai fait une scène terrible.
Je lui ai même dit de quitter la maison.
J’ai ensuite pu réfléchir au calme et me suis dit que mes enfants allaient en souffrir et qu’ils n’y étaient pour rien. J’ai donc pardonné à Bruno après qu’il m’ait juré qu’il romprait avec cette trainée.
Pour tenter de sauver notre couple, nous avons longuement parlé mais il a réussi à se dédouaner en argumentant que s’il me trompait, c’était un peu de ma faute car depuis que nous avions des enfants, j’ai reporté tout ma tendresse et mon amour vers eux au détriment de lui, ne ressentant plus de désir sexuel pour lui.
J’ai tellement culpabilisé que le lui ai donné une seconde chance, essayant d’être plus demandeuse au lit et de le surprendre sexuellement, me forçant un peu.
Ma belle famille s’en est mêlée, surtout ma belle-mère qui mettait en avant les enfants qu’il fallait laisser en dehors de tout ça, qu’il valait mieux fermer les yeux sur ses incartades plutôt que de briser notre couple. Je comprenais qu’elle le défende en mère égoïste mais ses arguments étaient assez hypocrites.
Ce n’est pas son comportement qu’elle jugeait immoral, cherchant tous les arguments possibles pour rejeter la faute sur moi. Il avait eu le culot d’étaler devant elle nos problèmes de couple ne manquant pas une occasion pour me rabaisser à ses yeux et elle le soutenait.
J’ai cru que la leçon avait porté ses fruits et qu’il avait senti le souffle du boulet mais quelques mois plus tard il oublia son téléphone, plusieurs sonneries rapprochées m’ont fait prendre en main l’objet pour voir si une chose importante était arrivée. En fait, trois SMS très explicites d’une femme qui s’impatientait de ne pas le voir arriver à l’hôtel me confirma qu’il n’avait pas du tout mis fin aux coups de canif dans notre contrat de mariage. J’étais dans une rage folle qu’il me trompe encore malgré tous mes efforts pour le reconquérir. Il continuait à me faire porter les cornes.
Je ruminais les choses, songeant à engager une procédure de divorce et serrant le poing dans ma poche pour le moment le temps de réunir des preuves de son infidélité.
Mais la goutte qui fit déborder le vase arriva le week-end suivant pendant l’anniversaire de son frère Michel qu’il fêtait chez mes beaux-parents. Il y avait aussi sa sœur Brigitte et son compagnon Anthony.
Je ne sais pas comment on en est arrivé là pendant le repas mais Bruno évoqua la violente dispute que le lui avais faite avant de venir après que sa mère lui ait demandé pourquoi nous étions arrivés si tard.
J’étais horrifiée qu’il déballe devant tout le monde et surtout nos enfants nos problèmes de couple me donnant bien-sûr le mauvais rôle. Et ça n’a pas manqué, aussitôt ma belle-mère y alla de ses commentaires et de ses conseils perfides, disant je n’y mettais pas assez du mien, critiquant ma façon de m’habiller et assurant que si un homme va voir ailleurs, c’est que sa femme ne sait pas s’y prendre pour le retenir.
En pleurs, je quittai précipitamment la pièce pour me réfugier dans la salle de bain.
Un seul vint frapper à la porte pour me demander si tout allait bien. Je reconnus la voix de mon beau-père Jean.
-Je te présente mes excuses pour mon fils et tous les autres, ce sont vraiment des abrutis, je peux entrer ?
Il m’a un peu consolée, écoutant mes jérémiades et mes déboires avant de réussir à me faire quitter la pièce.
La journée a été longue, je ne desserrais pas les dents, enfin nous reprîmes la voiture avec les enfants pour rentrer sous le regard fielleux de ma belle- mère et de Brigitte.
Les jours suivant ne furent pas roses mais je reprenais la routine de mère attentionnée, la parfaite femme au foyer triste mais plus soumise. Maintenant, il me trompait ouvertement, ne cherchant même plus à s’en cacher.
En faisant une recherche sur le net, pour une fois je cliquais sur le bandeau publicitaire et tombais par hasard sur un article parlant des histoires de couple. Le simple fait de cliquer dessus et une liste complète de sites d’histoires érotiques apparut. J’en ai lu quelques unes et je suis vite devenue accroc, au moins là, il n’y avait pas de scène de ménage !
Au fil des histoires, quelque chose s’est réveillé en moi, je prenais plus de plaisir en lisant ces textes qu’en cédant de moins en moins souvent à mon mari. Je sentais sur lui l’odeur du parfum de sa maîtresse. Le seul avantage avec lui c’est qu’il a toujours été très rapide.
Ce pauvre con était fier comme un coq chantant sur un tas de fumier pour glorifier ses exploits. S’il savait que j’ai toujours simulé avec lui n’arrivant jamais au plaisir dans un si court laps de temps.
Depuis ce jour, nous faisons chambre à part.
Aujourd’hui, les enfants partis à l’école et après avoir fait le ménage, je me plonge encore une fois dans une nouvelle érotique. C’est l’histoire d’une certaine Sophie qui a connu elle aussi des déboires avec son mari et contacte l’auteur du texte qu’elle lit, un certain mlkjhg39. J’aime tellement l’histoire que je dévore les différents épisodes les uns après les autres, la main plongée dans mon pantalon entrouvert pour me caresser doucement. Mes doigts frottent mon clitoris gonflé et mes lèvres humides.
Je pose mon ordinateur sur le canapé à coté de moi et descends mon pantalon bientôt rejoint par ma culotte sur mes chevilles. Je me masturbe frénétiquement faisant pénétrer un doigt puis deux dans ma chatte détrempée.
Mon cœur s’affole, j’écarte bien mes cuisses pour voir ma fente parcourue de petits frissons de plaisir. Mes grandes lèvres entrouvertes laissent échapper ma cyprine, des gouttes de rosée humidifient déjà ma chatte. Plus bas, mon petit trou sombre palpite aussi.
Il y a longtemps que je ne m’étais pas regardée de cette façon et la vision de ma chatte humide et de mon trou ridé est je dois dire assez excitante.
La vue est tellement érotique que je passe un doigt mouillé au milieu de ma fente avant de titiller mon trou du cul en pinçant un de mes tétons, me concentrant les yeux fermés sur les scènes suggérées dans l’histoire.
Je sens le plaisir monter, des picotements remontent dans le creux de mes reins quand soudain un bruit me fait sursauter. J’ouvre les yeux et découvre affolée Jean, mon beau-père. Je me redresse brutalement, cachant mon intimité avec un coussin en bafouillant des excuses à peine compréhensibles. Je n’ai jamais été aussi gênée, la honte me monte aux joues, la bouche ouverte, l’air hébétée.
Il est debout à quelques mètres de moi, aussi surpris et gêné que moi, sa boite à outils à la main.
Je réalise soudain que j’avais complètement oublié qu’il devait passer pour la chasse d’eau qui fuyait à la salle de bain.
Il tente maladroitement de se justifier :
-Pardon Lucie, excuse-moi…je ne voulais pas …euh… te déranger. Tu te souviens ? La fuite ?
-Non ! C’est moi qui …je suis confuse …pardon…pardon…je ne sais pas ce qui m’a pris !
-Ne t’excuses-pas Lucie, c’est de ma faute, je n’aurais pas du rentrer sans sonner.
-Oh que j’ai honte ! Qu’allez-vous pensez de moi maintenant!
-Euh…non, n’ais pas honte, ce n’est pas si grave, je vais aller m’occuper des toilettes... Je n’ai rien vu !
Dès qu’il quitte la pièce, je remets rapidement de l’ordre dans ma tenue et éteins l’ordinateur.
S’il raconte ça à son fils, je…
Jean a tôt fait de colmater la fuite et revient au salon.
-Ce n’était rien, il fallait seulement régler le flotteur !
-Merci beau-papa !
-Appelle-moi Jean, mon abruti de fils a vraiment un poil dans la main pour m’appeler pour des conneries pareils ! Quel fainéant !
Je n’ose pas croiser son regard tellement j’ai honte de mon comportement mais il se comporte comme si rien ne s’était passé.
-Offre-moi un petit café et je file.
-Avec plaisir Jean, suivez-moi à la cuisine !
A suivre…
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement que je lise la suite
Ca commence fort , et je regarde maintenant ma bru d'un tout autre oeil
N°222: On dirait que le beau-papa est moins con que son fils
on dirait mon histoire avec ma bru
le père est peu -être moins con que le fils
on dirait une histoire vécue, mon histoire... Tout du moins pour le début
Bravo à l'auteur. Toujours beaucoup d'imagination. On s'y croirait....
Sofie
Sofie
Bon début,j'attends la suite avec impatience !
j"ai adoré ma belle fille me rend fou de desirs
,toujours en mini robe et chemisier entrouvert
sur sa tres belle poitrine,
je fantasme de la trouver dans une telle
situation,,vite une suite dans laquelle
je pourrais m'identifier ,,
,toujours en mini robe et chemisier entrouvert
sur sa tres belle poitrine,
je fantasme de la trouver dans une telle
situation,,vite une suite dans laquelle
je pourrais m'identifier ,,