Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 5

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 5
Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 5


Olivier n’est plus pressé et prend son temps. Sa main droite remonte vers l’anus, caresse les fesses d’Ebba vite rejoint par sa bouche. Sa salive rend l’opération de plus en plus simple et la rondelle palpite sous les coups de langue inquisiteurs. La queue d’Olivier a toujours la même vigueur car ma copine y veille.

Suite :
Il glisse sa langue légèrement râpeuse sur l’anus de tata qui sursaute de plaisir car il commence alors à le pénétrer en raidissant sa langue et quand il juge le moment opportun, Olivier présente l’enfant à la mère, hihi… Difficilement il pénètre le trou distendu de son défonce-cul qui s'enfonce lentement pendant qu’Ebba serre les dents.
-Ouaaaahhhh ! C'est trop pour mon petit cul !!!! Oh oui ! Encore plus profond ! Je suis bouillante du cul ! Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiiiiii !!!
-Tu en veux encore plus ? Hein ? Mère indigne… Dis- le !
-Oui… oui… je… suis… une… salope qui fait cocu son mari
-Tu aimes ça, les grosses queues ? … Tu vas être servie. Han…, han…, han…
En trois coups de reins, il lui défonce la rosette jusqu’au fond.
-J’ai enculé les deux filles de la maison et maintenant je sodomise la cougar… Ça ne fait pas de doute, ton cul est moins étroit que le leur, je n’ai plus à me retenir…
-Arrête… arrête… tu me fais mal… nooonn!!…
Il continue à la bourrer sans ménagement… à chaque coup, j’entends le claquement de son bas-ventre contre les fesses gélatineuses d’Ebba qui n’en finissent pas de trembloter… Il la ramone de toute la longueur de son braquemard, le conduit finit par se distendre un peu, lui facilitant la tache…
-Ouiiiiii, Oh ouiiiiiiii, Oh ouiiiiii, Ahhhhh ummmhhh ! C’est incroyable ! continue… Ne t’en va pas…
-Tu l’aimes, ma queue ?
-Han…, han…, ou…oui, quelle poutre !

Il lui prend la taille et donne un coup de reins brutal, enfonçant son rostre jusqu'au couilles dans le cul de ma tante et le ramonage commence lentement puis prend de la vitesse maintenant sous les râles d’Ebba qui bave et dit des mots sans suite :
-Non ouiiiiiii !! encoooore noooooon !!!aaaaaaaaaah !!!.
Je l’entends gémir tel un petit chiot, ou plutôt une grosse chienne libidineuse puis son souffle s’accélère. Je fantasme sur ce jeune frenchie en train de la prendre sauvagement et je pense qu’il la prend bien, car je reconnais les petits cris d’Ebba quand elle arrive à l’orgasme, quand elle commence à monter au septième ciel. La queue est tendue entre ses fesses et elle repart dans un nouvel orgasme !
-Aahh… Aaaahhh …. Aaaahhh….. Ahhhhhhhhhhhh… Ohoooooooo…

Je ne sais pas combien de temps cette séance dure, elle me parait interminable, je ne sais plus, je n’en peux plus. Olivier lui annonce qu’il va de nouveau éjaculer, elle enlève la bite de son anus puis lui demande de jouir sur ses seins pour que ma copine puisse lécher son sperme. Olivier se pogne à toute vitesse et éjacule encore une dose de folie sur la poitrine d’Ebba et d’Alva qui se lèchent comme deux gouines en manque, tous leurs orifices baillant, tuméfiés, qui dégorgent sur le sol des flots de matière innommables. Olivier les regarde, un vague sourire narquois aux lèvres…
-J’ai baisé toute cette drôle de famille par tous les trous !

Là il se trompe, c’est mal connaître notre famille…
Le dernier jour, déjà. Demain il ne sera plus là… Après une petite réunion de famille, nous décidons d’un commun accord de tirer le meilleur profit du frenchie. Ebba lui fait prendre un petit cachet bleu réduit en poudre dans son jus d’orange et je me charge de lui passer un cockring sur sa verge en passant une bourse puis l’autre dans l’anneau avant d’y introduire le tuyau encore mou. Malgré un diamètre de l’anneau de 5,3 centimètres, la chose n’est pas si aisée que ça car la base de son pénis entre les bourses et son bas-ventre atteint allégrement les 22 centimètres de circonférence en érection,( mesure véridique). Il commence à bander mais je lui demande de patienter un peu et de me retrouver dans le salon. Quand il s’y rend, je ne le prends pas en traître et lui demande à nouveau s’il nous autorise à disposer de lui comme bon nous semble et si on peut lui bander les yeux. Il hésite un peu mais accepte le deal.
Ebba et Alva nous rejoignent, en un rien de temps il se retrouve nu et sous les caresses de nos six mains partout sur lui sauf sur son sexe, nous voyons son pénis se redresser quasiment à la verticale car le sang qui afflue dans les corps caverneux de la hampe se trouve pris au piège comme dans le tensiomètre du médecin. Je touche son chibre, il est encore plus dur que d’habitude, encore plus gros, l’excroissance en est presque monstrueuse de puissance.
Nous nous amusons à tour de rôle ou à plusieurs sur sa teub dont je ne peux pratiquement prendre en bouche que le gland massif. Ma tante sort alors de la pièce et revient avec Karl et Einar qui en silence, viennent se mêler à cette curée peu ordinaire. Sans se servir de leurs mains, ils goûtent l’un après l’autre à ce rostre hors du commun pendant qu’on ne reste pas inactives et dévoilons leurs verges elles aussi en pleines érections.
Je ne résiste pas à la tentation de comparer et prends en main le manche fin d’Einar où mon pouce couvre deux phalanges de mon majeur et le gourdin d’Olivier où deux centimètres les séparent, pour la longueur, l’écart est plus faible mais visible à l’œil nu. Je recommence la comparaison avec le mandrin de beau-papa qui est plus court d’au moins cinq centimètres si ce n’est plus, mais mes doigts arrivent à se toucher. Ce qui me choque aussi, c’est la dureté de la verge d’Olivier que je ne peux comprimer entre mes doigts contrairement aux ‘’organes familiaux’’
Pendant un temps, nous nous arrangeons pour qu’il ne remarque pas les intrus, mais quand Alva grimpe sur le divan pour qu’il lui dévore sa fontaine à plaisir et que Ebba et moi nous sommes collées contre son corps, chacune d’un côté pour diriger une de ses mains dans notre minette, il se pose sûrement des questions, surtout quand Karl prend à pleine main le chibre d’Olivier, et malgré ses grosses paluches, je constate que son pouce frôle à peine ses autres doigts, puis une main de Einar vient se mêler à la danse.
-Mais… Putain ! Quelle famille d’obsédés ! Que ça soit les hommes ou les femmes !
Karl et Einar ne se gênent plus pour astiquer cet obélisque dressé ou en dévorer les boules. Sous ces cinq sollicitations, il arrive assez rapidement à un point de non-retour.
-Je vais jouir putain ! Aaarrrggg !

Olivier éjacule, plusieurs contractions de sa verge et la danse de ses couilles montrent que le tuyau est alimenté mais rien ne sort. Le sperme, coincé par l’anneau continue de s’accumuler et réussit enfin en montant en pression à passer ce goulot d’étranglement. Sa semence jaillit avec une puissance folle, monte haut dans les airs avant de se répandre sur le sol, y laissant une trainée blanchâtre en pointillé sur plus d’un mètre, c’est complètement irréel… Plusieurs autres jets viennent tracer d’autres lignes. Nous nous regardons, émerveillés par cet exploit et constatons que sa queue ne débande pas. Après cet instant hors du temps, nous reprenons nos esprits et recommençons à exploiter notre étalon qui quelques minutes plus tard, éjacule une deuxième fois sans débander. Olivier est comme dans une sorte d’état de transe, ne se reconnaissant pas, mais ne pouvant rien y faire à cet état d’érection permanente.
Karl qui connait un ami qui tient un sex-shop s’est procuré une gélatine spéciale et moule en plusieurs fois son engin, un pour l’épi dressé, un autre pour ses couilles et un troisième pour la base massive de son soc. Le durcissement est assez rapide mais le démoulage ne se fait pas aussi facilement tirant quelques cris de contestation d’Olivier.
Je ne peux tout vous raconter mais l’orgie a duré presque quatre heures avec quelques interruptions pour reprendre des forces. Olivier a dû plonger son dard dans cinq bouches, cinq culs et trois chattes. Le summum a été atteint quand les trois chattes étaient occupées soit par sa langue ou ses mains, sa queue plantée dans le cul de Einar et ses œufs dans la bouche de Karl. Quel tableau ! Ou plutôt quel film, car bien sûr, Karl a tout enregistré pour garder un souvenir de cet journée mémorable. Olivier a joui six fois dans cette journée, et plus ça durait, plus il lui fallait longtemps pour arriver à l’orgasme. Il n’a réussi à débander pour la première fois qu’au bout de deux heures, enfin en partie car l’anneau gardait suffisamment de sang dans sa verge pour qu’elle soit encore aussi grosse que celle de Karl et aussi longue que celle de Einar.
Il a fini par s’endormir, exténué, pendant qu’on se relayait encore en amazone sur notre pur-sang. On l’a enfin laissé se reposer, ne pouvant retirer l’anneau que difficilement une heure après car à force de copuler, sa pine avait enflée.

Le patron du sex-shop a fait plusieurs modèles de la teub du frenchie, un avec une ventouse qui mesure hors-tout 25 centimètres, un autre double pour un plaisir double entre filles qui atteint quarante centimètres et un autre avec réservoir. Il a voulu les commercialiser et à demander la permission à Karl qui lui a répondu :
-Ok, mais sur ton catalogue, ils devront avoir telle appellation, pour celui à ventouse ; Le plongeur, pour le double ; branche d’olivier, et pour le troisième ; l’éjaculateur des plongeoirs.

Son ami, interloqué, lui demande pourquoi ces dénominations bizarres mais accepte, trop content d’avoir de tels articles en vente dans sa boutique. La réponse n’est pas plus claire.
-C’est à cause des jeux Olympiques de Paris.
Quand j’ai du vague à l’âme et que je me sers de l’un de ces godes, je me pose souvent ces questions : Est-ce vrai ? J’ai vraiment connu le garçon qui possédait un tel engin entre ses cuisses ?

Il parait que ces articles se vendent comme des petits pains, ou plutôt comme « la baguette de pain du Frenchie », bien dure, bien chaude, bien droite.

Et vous… Vous rappelez-vous des commentaires des journalistes, surtout des femmes, quand elles l’ont vu sur le plongeoir, avec son slip moule-burnes, avec son maillot de bain à poutre apparente ?

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Texte coquin : Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 5
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