Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente.
Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente.
Bonjour,
Vous souvenez-vous des jeux olympiques de l’été 2024 ?
J’ai été particulièrement attirée par la natation, plus particulièrement par le plongeon. Si vous vous souvenez lors des interviews après les compétitions, l’une des présentatrices a interrogé un plongeur français car on voyait bien lorsqu’il était sur la planche du plongeoir qu’il en avait dans le slip. Il faut dire que son maillot ne pouvait cacher une impressionnante bite bien qu’elle soit au repos. C’est ce qu’on nomme vulgairement un slip avec poutre apparente, et quelle poutre !!!
Il faut que je vous dise que je suis suédoise et faisant partie de l’équipe olympique de mon pays pour les plongeons synchronisés. Ayant dans ma famille des ancêtres français, je parle couramment cette langue et je n’ai pu résister à aller faire connaissance avec ce jeune homme qui n’a pas peur d’exhiber devant des dizaines de millions de téléspectateurs un organe peu commun. Nous avons bien sympathisé et de fil en aiguille j’ai réussi à l’inviter à venir dans mon pays après les compétitions pour prendre un repos bien mérité.
Pendant plusieurs jours je lui ai fait visiter la région et ses coutumes. En parlant de coutume, il n’a pu échapper au sauna que l’on prend chez nous à plusieurs, en famille ou non, et dans le plus simple appareil.
Ce qui m’a le plus étonnée, c’est que cet homme qui n’a pas peur de montrer ce qu’il a dans le slip devant des caméras est très pudique quand il faut retirer ce dernier rempart de tissu.
Comme à notre habitude nous on nous retrouvons dans ce local surchauffé. Sont présents ma tante Ebba, son mari Karl et ma meilleure copine Alva ainsi que moi bien entendu et le frenchie qui se prénomme Olivier. Il est assez gêné et garde sa serviette sur ses cuisses, collée contre son bas-ventre mais n’a pas d’autre choix que de voir la plastique de tout le monde. Ma tante a des seins lourds légèrement tombant, un ventre un peu rebondi et une fine toison blonde encadrant des grandes lèvres en forme de papillon.
Pour ce qui est de ma copine, elle exhibe deux belles doudounes que la gravité n’a pas encore atteint. Comme moi elle est complètement épilée laissant entrevoir une chatte qui n’attend qu’une chose, la queue du chat… Pour ce qui est de mon oncle par alliance, on peut dire que la nature a été assez généreuse avec lui. Il a entre les jambes un bel organe épais mais assez court. Son fils, ou plutôt celui de son ex-femme d’un premier mariage mais qui adore venir chez lui, Einar vient de nous rejoindre, complètement nu lui aussi, sa teub ballotte à chacun de ses pas. Contrairement à la verge de son beau-père elle est assez fine et plus longue. Pour vous donner une idée de leur instrument, allez chercher chez vous n’importe quelle bombe ménagère, elles font toutes la même taille, un peu moins de vingt centimètres pour la partie métallique et 23 avec le capuchon ou propulseur en plastique, et pour le diamètre, six centimètres. Ils se partagent plus ou moins ces dimensions, mon oncle pour le diamètre et Einar pour la longueur sans le capuchon, mais sans les atteindre.
Après quelques minutes, les choses prennent une autre tournure, il faut dire que l’on est un pays où n’y a aucun tabou. Ma copine Alva s’est levée avant de s’agenouiller entre les cuisses de Karl, suivie presque aussitôt par ma tante qui prend la même position devant Einar, le beau-fils de son mari. Elles se saisissent alors des verges flasques et commencent à branler en cœur les membres de la famille tuyau de poêle, ce qui peut se comprendre de deux façons différentes mais qui arrive au même résultat.
Ils réagissent aux stimuli et se dressent assez rapidement deux beaux étendards. Ça ne me fait ni chaud ni froid sauf à un endroit particulier de mon corps qui s’humidifie. Il y a longtemps que je connais l’anatomie de tous et je suis toujours en admiration devant la colonne massive de mon oncle qui contraste avec la hampe fine de Einar mais d’une longueur qui en ravirait plus d’une. Dommage que ces deux particularités ne soient pas regroupées chez un seul individu, à moins que… Je me tourne vers Olivier qui ne sait plus où se mettre quand ces deux bouches avides tètent sans vergogne les organes « des hommes de la famille » et il ne faut que quelques minutes à ma tante avant qu’elle n’arrive à tirer le premier tribu de Einar, suivie de ma sœur de ces lances dressées.
Olivier a beau faire mais la nature fait le reste. Je vois l’effet du spectacle qu’il observe les yeux à demi-clos car la serviette qu’il a toujours sur le haut de ses cuisses se dresse comme un chapiteau de tente sur le mât principal. Il n’y a qu’un moyen pour le décoincer, je saisis un coin de la serviette et l’arrache brusquement dévoilant aux yeux de tous un pénis impressionnant. Je me doutais bien que vu les dimensions de son sexe au repos, le résultat en érection ne devait pas être piqué des hannetons. C’est exceptionnel ! Une barre massive s’élève à la verticale entre ses cuisses, le gland dépassant de quelques centimètres son nombril. Il conjugue les deux particularités de Einar et de son père mais avec des proportions encore plus importantes. Comme chacun sait, un sportif qui fait du plongeon est souvent bien gaulé et lui est digne d’un black hyper membré.
-Tu as dû avoir beaucoup de conquêtes, je lui demande.
- Non, au contraire, si j’avais cédé à une, toutes auraient voulu tester ce qui se cache dans mon slip, et moi, je n’aurais pensé qu’à ça et si je m’étais mis à bander sur le plongeoir, mon maillot de bain n’aurais pu contenir mon érection et je me serais fait virer pour exhibition, alors…
Si je reprends la comparaison avec la bombe, elle en a la taille mais pour le diamètre, se rapproche de celle d’une bombe de peinture, beaucoup plus grosse. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et comme les autres « femmes de la famille » m’agenouille entre ses cuisses pour saisir d’une main ferme cette colonne de chair impressionnante que mes doigts ne peuvent cercler. Il se rebiffe un peu, les mains sur la banquette et le dos collé au mur mais n’a pas d’autre choix à part sortir que de se laisser faire et ma fois, au bout d’un moment je crois que ça ne lui déplaît pas.
Je le branle de mes deux mains et sa verge et si grande que je peux embouquer le gland aussi massif que le reste. Ma tante et Alva ne résistent pas à un tel met de Reines et viennent s’asseoir de chaque côté d’Olivier, prenant chacune une de ses mains pour la glisser entre leurs cuisses. Je ne sais pas s’il s’attendait à un tel piège en acceptant mon invitation mais après un instant d’hésitation et encouragé par elles, il fouille de ses doigts les deux vagins offerts pour le plus grand plaisir de ma tante et de ma copine qui n'hésitent pas à poser une de leurs mains sur les miennes pour branler cet épi monstrueux.
Il est assez résistant à cette triple sollicitation et nous nous relayons sur son manche de pioche, n’hésitant pas à en goûter toutes les saveurs, écartant nos mâchoires au maximum pour gober une fraise hors du commun. Ses œufs sont doués d’une vie propre et montent et baissent à la base de la hampe massive. Sous nos efforts, il geint et grogne avant de s’exclamer
-Ooohhh putain, C’est que vous me faites est divin. Je ne peux plus me retenir, je vais jouir bordel, je vais jouir !
Nous nous précipitons pour l’halali finale en nous pressant toutes les trois devant lui, attendant notre obole. Contrairement à bien des hommes il ne se saisit pas de sa verge pour la branler mais pose ses mains dans mes cheveux et ceux de ma copine. Nous admirons son engin doué d’une vie propre monter et descendre au rythme des contractions et expulsant plusieurs fois de suite des jets monstrueux de sperme qui nous éclaboussent de la poitrine à la chevelure, laissant des traces blanchâtres sur nos visages, battant en quantité Karl et Einar réunis. Dommage que nous n’en ayons goûté qu’une infime partie qui a atterri dans nos bouches. Sa divine liqueur a un goût bien plus appétissant. S’il tient la distance on va pouvoir s’amuser avec un tel étalon.
J’ouvre mes lèvres, sans les éloigner, afin de le laisser y jouir encore. Mes doigts lui masturbent la verge, qui est encore secouée des derniers spasmes d'éjection.
-Merci Olivier, tu nous as gâtées, jouis jusqu'au bout, tu le mérites.
Nous laissons le temps s’écouler après ce moment hors du temps. Plus la température monte, plus Olivier s’enhardit, je sens ses mains sur moi. Une des miennes se balade sur une très belle poitrine musclée mais la bite d’Olivier reste demi-molle. Je l’invite à sortir pour faire redescendre la pression au jacuzzi. Il s’empresse de remettre son maillot de bain, celui qu’il portait sur le plongeoir et se glisse dans le jacuzzi. Je m'esclaffe de rire en regardant dans l'eau car sa queue dépasse de son maillot de bain et j’ai une vue parfaite de son énorme gland semi-décalotté.
Je lui touche la verge, en lui lançant un sourire malicieux.
-Ouahhh mon petit frenchie ! Tu ne fais pas semblant toi ! C'est pour moi, tout ça ?
-Euuuhhh, je ne sais pas, je ne m’attendais pas à ce qu’il vient de se passer et ne sais plus comment me comporter, que te dire ? Oh et puis zut ! Tu peux en faire ce que tu veux !
-Hummm ! J'ai envie de ! Tu vas bien voir…
Sa verge penche sur le côté, bloquée avec l'élastique de son slip de bain qui ne peut la contenir. La famille vient de nous rejoindre et nous observe, de nouveau Olivier ne sait plus où se mettre, pas habitué à se montrer en spectacle. Je me laisse glisser à genoux dans l’eau, je le caresse en jetant un petit regard en direction de mon oncle avant d’avancer mon visage pour enfoncer la grosse queue d’Olivier au fond de ma gorge et je commence mon récital de fellatrice.
En un rien de temps, sa bite redevient vraiment énorme et très dure dans ma bouche et je ne suis pas déçue, adorant ce moment, en train de savourer une queue hors norme, cela me rend hystérique. Je n’éprouve pas la moindre gêne ou même la moindre appréhension de faire ça devant les autres. Je prends un immense plaisir à sucer une nouvelle queue, surtout quand comme Olivier, c’est un homme exceptionnellement bien membré comme j’en rêvais depuis longtemps. Je m’attarde sur son gland et son frein, très rapidement sa respiration s’accélère et son engin frétille, prouvant que je lui fais de l’effet, c’est bon signe après l’exercice du hammam. J’avale goulûment le pénis d’un homme à peine plus jeune que Einar et cela m’excite. D’ailleurs en parlant de lui, il vient de se coller à la droite d’Olivier et son beau-père à sa gauche, me permettant ainsi de les branler en cœur. Trois bites pour moi toute seule, je suis gâtée ! Ça me permet de comparer leur organe et de comprendre que ça ne va pas être tout rose de me faire baiser par Olivier. Je vais déguster dur… Mais les paroles de Einar me détournent de mes pensées :
-Tu aimes les gorges profondes, Olivier ? C’est une spécialité de la maison. Ma belle-mère, Alva et Kriss redoutent la queue massive de Karl mais réussissent à avaler la mienne. Je suis curieux de savoir comment elles vont s’y prendre avec toi. Mesdames, en place !
A suivre…
Bonjour,
Vous souvenez-vous des jeux olympiques de l’été 2024 ?
J’ai été particulièrement attirée par la natation, plus particulièrement par le plongeon. Si vous vous souvenez lors des interviews après les compétitions, l’une des présentatrices a interrogé un plongeur français car on voyait bien lorsqu’il était sur la planche du plongeoir qu’il en avait dans le slip. Il faut dire que son maillot ne pouvait cacher une impressionnante bite bien qu’elle soit au repos. C’est ce qu’on nomme vulgairement un slip avec poutre apparente, et quelle poutre !!!
Il faut que je vous dise que je suis suédoise et faisant partie de l’équipe olympique de mon pays pour les plongeons synchronisés. Ayant dans ma famille des ancêtres français, je parle couramment cette langue et je n’ai pu résister à aller faire connaissance avec ce jeune homme qui n’a pas peur d’exhiber devant des dizaines de millions de téléspectateurs un organe peu commun. Nous avons bien sympathisé et de fil en aiguille j’ai réussi à l’inviter à venir dans mon pays après les compétitions pour prendre un repos bien mérité.
Pendant plusieurs jours je lui ai fait visiter la région et ses coutumes. En parlant de coutume, il n’a pu échapper au sauna que l’on prend chez nous à plusieurs, en famille ou non, et dans le plus simple appareil.
Ce qui m’a le plus étonnée, c’est que cet homme qui n’a pas peur de montrer ce qu’il a dans le slip devant des caméras est très pudique quand il faut retirer ce dernier rempart de tissu.
Comme à notre habitude nous on nous retrouvons dans ce local surchauffé. Sont présents ma tante Ebba, son mari Karl et ma meilleure copine Alva ainsi que moi bien entendu et le frenchie qui se prénomme Olivier. Il est assez gêné et garde sa serviette sur ses cuisses, collée contre son bas-ventre mais n’a pas d’autre choix que de voir la plastique de tout le monde. Ma tante a des seins lourds légèrement tombant, un ventre un peu rebondi et une fine toison blonde encadrant des grandes lèvres en forme de papillon.
Pour ce qui est de ma copine, elle exhibe deux belles doudounes que la gravité n’a pas encore atteint. Comme moi elle est complètement épilée laissant entrevoir une chatte qui n’attend qu’une chose, la queue du chat… Pour ce qui est de mon oncle par alliance, on peut dire que la nature a été assez généreuse avec lui. Il a entre les jambes un bel organe épais mais assez court. Son fils, ou plutôt celui de son ex-femme d’un premier mariage mais qui adore venir chez lui, Einar vient de nous rejoindre, complètement nu lui aussi, sa teub ballotte à chacun de ses pas. Contrairement à la verge de son beau-père elle est assez fine et plus longue. Pour vous donner une idée de leur instrument, allez chercher chez vous n’importe quelle bombe ménagère, elles font toutes la même taille, un peu moins de vingt centimètres pour la partie métallique et 23 avec le capuchon ou propulseur en plastique, et pour le diamètre, six centimètres. Ils se partagent plus ou moins ces dimensions, mon oncle pour le diamètre et Einar pour la longueur sans le capuchon, mais sans les atteindre.
Après quelques minutes, les choses prennent une autre tournure, il faut dire que l’on est un pays où n’y a aucun tabou. Ma copine Alva s’est levée avant de s’agenouiller entre les cuisses de Karl, suivie presque aussitôt par ma tante qui prend la même position devant Einar, le beau-fils de son mari. Elles se saisissent alors des verges flasques et commencent à branler en cœur les membres de la famille tuyau de poêle, ce qui peut se comprendre de deux façons différentes mais qui arrive au même résultat.
Ils réagissent aux stimuli et se dressent assez rapidement deux beaux étendards. Ça ne me fait ni chaud ni froid sauf à un endroit particulier de mon corps qui s’humidifie. Il y a longtemps que je connais l’anatomie de tous et je suis toujours en admiration devant la colonne massive de mon oncle qui contraste avec la hampe fine de Einar mais d’une longueur qui en ravirait plus d’une. Dommage que ces deux particularités ne soient pas regroupées chez un seul individu, à moins que… Je me tourne vers Olivier qui ne sait plus où se mettre quand ces deux bouches avides tètent sans vergogne les organes « des hommes de la famille » et il ne faut que quelques minutes à ma tante avant qu’elle n’arrive à tirer le premier tribu de Einar, suivie de ma sœur de ces lances dressées.
Olivier a beau faire mais la nature fait le reste. Je vois l’effet du spectacle qu’il observe les yeux à demi-clos car la serviette qu’il a toujours sur le haut de ses cuisses se dresse comme un chapiteau de tente sur le mât principal. Il n’y a qu’un moyen pour le décoincer, je saisis un coin de la serviette et l’arrache brusquement dévoilant aux yeux de tous un pénis impressionnant. Je me doutais bien que vu les dimensions de son sexe au repos, le résultat en érection ne devait pas être piqué des hannetons. C’est exceptionnel ! Une barre massive s’élève à la verticale entre ses cuisses, le gland dépassant de quelques centimètres son nombril. Il conjugue les deux particularités de Einar et de son père mais avec des proportions encore plus importantes. Comme chacun sait, un sportif qui fait du plongeon est souvent bien gaulé et lui est digne d’un black hyper membré.
-Tu as dû avoir beaucoup de conquêtes, je lui demande.
- Non, au contraire, si j’avais cédé à une, toutes auraient voulu tester ce qui se cache dans mon slip, et moi, je n’aurais pensé qu’à ça et si je m’étais mis à bander sur le plongeoir, mon maillot de bain n’aurais pu contenir mon érection et je me serais fait virer pour exhibition, alors…
Si je reprends la comparaison avec la bombe, elle en a la taille mais pour le diamètre, se rapproche de celle d’une bombe de peinture, beaucoup plus grosse. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et comme les autres « femmes de la famille » m’agenouille entre ses cuisses pour saisir d’une main ferme cette colonne de chair impressionnante que mes doigts ne peuvent cercler. Il se rebiffe un peu, les mains sur la banquette et le dos collé au mur mais n’a pas d’autre choix à part sortir que de se laisser faire et ma fois, au bout d’un moment je crois que ça ne lui déplaît pas.
Je le branle de mes deux mains et sa verge et si grande que je peux embouquer le gland aussi massif que le reste. Ma tante et Alva ne résistent pas à un tel met de Reines et viennent s’asseoir de chaque côté d’Olivier, prenant chacune une de ses mains pour la glisser entre leurs cuisses. Je ne sais pas s’il s’attendait à un tel piège en acceptant mon invitation mais après un instant d’hésitation et encouragé par elles, il fouille de ses doigts les deux vagins offerts pour le plus grand plaisir de ma tante et de ma copine qui n'hésitent pas à poser une de leurs mains sur les miennes pour branler cet épi monstrueux.
Il est assez résistant à cette triple sollicitation et nous nous relayons sur son manche de pioche, n’hésitant pas à en goûter toutes les saveurs, écartant nos mâchoires au maximum pour gober une fraise hors du commun. Ses œufs sont doués d’une vie propre et montent et baissent à la base de la hampe massive. Sous nos efforts, il geint et grogne avant de s’exclamer
-Ooohhh putain, C’est que vous me faites est divin. Je ne peux plus me retenir, je vais jouir bordel, je vais jouir !
Nous nous précipitons pour l’halali finale en nous pressant toutes les trois devant lui, attendant notre obole. Contrairement à bien des hommes il ne se saisit pas de sa verge pour la branler mais pose ses mains dans mes cheveux et ceux de ma copine. Nous admirons son engin doué d’une vie propre monter et descendre au rythme des contractions et expulsant plusieurs fois de suite des jets monstrueux de sperme qui nous éclaboussent de la poitrine à la chevelure, laissant des traces blanchâtres sur nos visages, battant en quantité Karl et Einar réunis. Dommage que nous n’en ayons goûté qu’une infime partie qui a atterri dans nos bouches. Sa divine liqueur a un goût bien plus appétissant. S’il tient la distance on va pouvoir s’amuser avec un tel étalon.
J’ouvre mes lèvres, sans les éloigner, afin de le laisser y jouir encore. Mes doigts lui masturbent la verge, qui est encore secouée des derniers spasmes d'éjection.
-Merci Olivier, tu nous as gâtées, jouis jusqu'au bout, tu le mérites.
Nous laissons le temps s’écouler après ce moment hors du temps. Plus la température monte, plus Olivier s’enhardit, je sens ses mains sur moi. Une des miennes se balade sur une très belle poitrine musclée mais la bite d’Olivier reste demi-molle. Je l’invite à sortir pour faire redescendre la pression au jacuzzi. Il s’empresse de remettre son maillot de bain, celui qu’il portait sur le plongeoir et se glisse dans le jacuzzi. Je m'esclaffe de rire en regardant dans l'eau car sa queue dépasse de son maillot de bain et j’ai une vue parfaite de son énorme gland semi-décalotté.
Je lui touche la verge, en lui lançant un sourire malicieux.
-Ouahhh mon petit frenchie ! Tu ne fais pas semblant toi ! C'est pour moi, tout ça ?
-Euuuhhh, je ne sais pas, je ne m’attendais pas à ce qu’il vient de se passer et ne sais plus comment me comporter, que te dire ? Oh et puis zut ! Tu peux en faire ce que tu veux !
-Hummm ! J'ai envie de ! Tu vas bien voir…
Sa verge penche sur le côté, bloquée avec l'élastique de son slip de bain qui ne peut la contenir. La famille vient de nous rejoindre et nous observe, de nouveau Olivier ne sait plus où se mettre, pas habitué à se montrer en spectacle. Je me laisse glisser à genoux dans l’eau, je le caresse en jetant un petit regard en direction de mon oncle avant d’avancer mon visage pour enfoncer la grosse queue d’Olivier au fond de ma gorge et je commence mon récital de fellatrice.
En un rien de temps, sa bite redevient vraiment énorme et très dure dans ma bouche et je ne suis pas déçue, adorant ce moment, en train de savourer une queue hors norme, cela me rend hystérique. Je n’éprouve pas la moindre gêne ou même la moindre appréhension de faire ça devant les autres. Je prends un immense plaisir à sucer une nouvelle queue, surtout quand comme Olivier, c’est un homme exceptionnellement bien membré comme j’en rêvais depuis longtemps. Je m’attarde sur son gland et son frein, très rapidement sa respiration s’accélère et son engin frétille, prouvant que je lui fais de l’effet, c’est bon signe après l’exercice du hammam. J’avale goulûment le pénis d’un homme à peine plus jeune que Einar et cela m’excite. D’ailleurs en parlant de lui, il vient de se coller à la droite d’Olivier et son beau-père à sa gauche, me permettant ainsi de les branler en cœur. Trois bites pour moi toute seule, je suis gâtée ! Ça me permet de comparer leur organe et de comprendre que ça ne va pas être tout rose de me faire baiser par Olivier. Je vais déguster dur… Mais les paroles de Einar me détournent de mes pensées :
-Tu aimes les gorges profondes, Olivier ? C’est une spécialité de la maison. Ma belle-mère, Alva et Kriss redoutent la queue massive de Karl mais réussissent à avaler la mienne. Je suis curieux de savoir comment elles vont s’y prendre avec toi. Mesdames, en place !
A suivre…
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Je me souviens de la présentatrice qui en avait parlé lors du journal des jeux un soir et qui l'avait invité le lendemain
