Quand on ne tient pas l’alcool ou comment se retrouver dans une mauvaise situation. Suite

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Quand on ne tient pas l’alcool ou comment se retrouver dans une mauvaise situation. Suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
Tags : Gros sexe
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Quand on ne tient pas l’alcool ou comment se retrouver dans une mauvaise situation. Suite
Quand on ne tient pas l’alcool ou comment se retrouver dans une mauvaise situation.
« Bonjour à tous mes fans. Je réponds dans ce texte à la demande d’une jeune femme qui après avoir lu mes textes et fascinée par quelques petites vidéos que j’ai postées sur la toile et qui voulait que j’écrive une histoire pour elle avec ses fantasmes les plus hot. L’auteur »

Il me démonte centimètre carré par centimètre carré le moindre recoin de ma grotte vierge de toute pénétration jusqu’à ce jour.
je n’en reviens pas de jouir plusieurs fois sous ses assauts, noyant la raie de mes fesses et mon anus d’une abondante dose de cyprine. Il me domine ainsi durant de très longues minutes, durant lesquelles je sombre presque dans un état de semi-conscience où je ne pense plus à rien et où seul l'incroyable gourdin compte réellement quand soudain à ses grognements, je réalise qu’il ne va pas tarder à jouir.
-Non ! Non ! Pas dans ma chatte ! Tu n’as pas mis de capote !!!

Suite…
Que n’ai-je pas dit là ? Il retire sa bite de ma chatte et je retiens mon souffle tandis qu'il appuie son gland sur ma rondelle. Me prenant par les hanches, il pousse et réussit à faire pénétrer son gland dans mon anus de quelques millimètres, m'arrachant alors le cri le plus puissant que je n'ai jamais poussé. Je suis vierge de ce côté-là, ayant toujours refusé cette pratique que je trouve avilissante. La douleur me traverse tout le corps dans une décharge monstrueuse d’adrénaline. Je hurle et pleure tandis qu’il me pénètre de plus en plus profondément. Au bout de quelques minutes horribles, je sens ses couilles cogner contre ma chatte. Il est complètement entré dans mon cul le salaud ! Malgré la durée et la lenteur du processus car pour une fois, il y est allé précautionneusement, j'ai toujours intensément mal et je ne veux qu'une chose : qu'il retire son immense queue de mon pauvre anus. Je pleure toujours et le supplie d'arrêter, mais il tente plutôt de me rassurer, aurait-il un cœur ?
- Tu verras, ça va passer... c'est normal que tu aies mal... laisse-moi faire, tu es si bonne...

Des larmes coulent de mes yeux. Je sens son pieu dur comme la pierre m'ouvrir littéralement le cul... Mon corps est en transe, je transpire, j'ai si chaud, mon esprit s'égare tellement l'intensité de ce qu'il me fait me fait vriller. Il donne alors un très gros coup de boutoir, et m'embroche l'anus jusqu'aux couilles. Je pousse un long hurlement de douleur, étant à peine lubrifiée, c'est affreux. Bon sang ! Comment mon cul peut-il encaisser un tel soc ? Il commence alors à me sodomiser nettement et proprement, avec tout son savoir sexuel.
Immédiatement, la douleur s'accentue. J'ai affreusement mal, mais je ne vois pas comment l'inverse serait possible : je ne fais pas le poids avec mes 53 kilos, avec un gros engin en train de me perforer la rondelle.
Il me baise l'anus sans pitié, m'éclatant mon anneau fripé sans se soucier de ma santé physique et morale. Dans un miroir, je vois une jeune fille de 26 printemps se faire démonter le cul par un homme qui ne me ferait pas tourner la tête dans la rue, membré comme un taureau.
Mais malgré toute la souffrance qu'il me fait endurer, le plaisir nait peu à peu, et mes oreilles entendent mes premiers gémissements de plaisir. Mon « tortionnaire » ralentit soudainement la cadence, et finit par retirer son gros mandrin de ma rondelle, me libérant de son poids.
Mon sphincter n’a pas le temps de se contracter qu’il fait glisser son énorme chibre vers ma rondelle, et m'enfile une nouvelle fois d’une seule poussée. Je pousse un gémissement de douleur, puis son rythme profond et violent revient rapidement, me faisant à nouveau ressentir ce plaisir inconnu que je me refusais jusqu’à présent, entreprenant de presser son défonce-cul en contractant les muscles de mon rectum. Le plaisir ressenti à cette pénétration anale est totalement différent de celui que j’éprouve lors d'un accouplement vaginal. La montée de la jouissance est plus longue, plus insidieuse.
-C’est booonnn ! Je hurle, en jetant mon cul vers l’arrière pour accentuer la pénétration. Enfonce-toi encore plus. (Mais qu’est-ce que je raconte ?)

Le résultat est presque immédiat. Mon tourmenteur grogne en se cambrant spasmodiquement.
Alors oubliant mes préjugés, je reprends à mon compte cette chevauchée érotique, à la différence que pour cette nouvelle cavalcade, c'est mon anus dilaté qui coulisse le long de la verge bandée, tel une jument couverte par l’étalon reproducteur du hara.
Pour lui, le frottement de cette gaine étroite le long de son chibre ravive son envie d’en finir. Le massage de sa queue par l'anus resserré réanime son plaisir qui s'était momentanément apaisé et l'accentue même. Sentant l'orgasme le gagner sans qu'il ne puisse le freiner, il crochète mes hanches animées d’une vie propre.
Je suis si excitée que je n'y prête pas attention, tout occupée à atteindre moi aussi l'orgasme final. Pour arriver rapidement à cette délivrance sexuelle, j’ai glissé une main entre mes cuisses afin de me frotter le clitoris avec entrain, la chatte dégoulinante.
Ne pouvant contenir plus longtemps cette éjaculation qui lui gonfle la queue, il se cambre convulsivement, enfonçant profondément son membre à l'intérieur de mes boyaux. Dans un râle presque inhumain, il lâche son sperme dans l'orifice secret, le corps complètement tétanisé.
Le spectacle de cet homme statufié par la jouissance, la force de l'orgasme déclenche chez moi une félicité prodigieuse, m'imaginant les rafales de sperme jaillissant de la verge plantée dans mon cul et m’inondant les intestins à la manière d'un lavement, j’éprouve à mon tour un terrible orgasme qui m’anéantie.

Nos corps se séparent enfin. Quand je me relève, des contractions que je ne peux réfréner expulsent de mon rectum un flot de foutre tacheté de traces brunâtres. Je me précipite dans sa douche pour me calmer et reprendre mes esprits. Il me rejoint dans la salle de bain avec mes vêtements, toujours dénudé. Je vois sa verge osciller entre ses cuisses à chacun de ses pas. Je suis horrifiée de ce qui vient de se passer il n’y a pas si longtemps et pourtant… et pourtant ma tête est enfin en accord avec ma libido. Il faut dire que je fantasme depuis longtemps sur un homme monté comme un âne qui m’impose ce que mon copain n’ose pas, étant un vrai gentleman : Me forcer à branler et sucer une ENORME bite, et surtout à avaler sa liqueur, me prendre sans se soucier de mon bon plaisir, et comble de mes désirs les plus refoulés, me sodomiser comme une vulgaire catin.
-Ma chère, je n’ai plus de prise sur toi maintenant que tu sais où j’habite et que tu peux toi aussi me causer du tort. Tu peux partir, mais ma porte te sera toujours ouverte si tu veux prolonger l’aventure.

Je me rhabille et me sauve, trop contente que ça en reste là. Ce soir-là, mon copain s’étonne de mes initiatives et me questionne :
-Mais que t’arrive-t-il Lou ? Je ne t’ai jamais connue aussi dévergondée et assoiffée de sexe. Je ne veux pas m’en plaindre et remercie le Bon Dieu d’un tel changement.

S’il savait qui il devrait remercier… Le plus terrible, c’est que quand il me faisait l’amour, je ne pensais qu’à cet inconnu qui m’a révélée. Le pire, c’est que je ne pense plus qu’à une chose, connaître à nouveau la pamoison de prendre son jonc vigoureux, sa formidable poutre partout où il le désirera.

Qui de ma conscience ou de ma libido l’emportera ? Pour le moment, je n’ai pas encore la réponse…

D’après vous, que devrais-je faire ?

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