Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 3
Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 3
-Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Olivier ! Non ! C'est trop bon mais vas-y plus doucement, défonce-moi encore mais n’oublie-pas que tu es monté comme un âne, putain ! Un peu de douceur, c’est pas mal non plus ! Outch ! Outch ! Tu me détruis la chatte !
Malgré la douleur, je jouis comme une folle et ma cyprine coule à flot mais la pression de sa verge laisse peu de place et je gicle comme jamais. Je sens enfin sa verge pulser et remplir le condom d’une bonne dose de foutre avant qu’il ne s'affale sur le lit, en sueur en s’exclamant :.
-Oh putain ! Ça ne m’est jamais arrivée de jouir comme ça ! Huuummm ! C'était bon ? Putain !
-C'est énorme ! J'ai jamais connu ça ! Merde les draps, je les ai trempés tellement j’ai joui !
Suite :
Je lui ôte sa capote bien remplie pour lui offrir la fellation de sa vie. Je croyais qu’il serait Out quelques temps mais il rebande très vite et je m’emploie comme une folle pour l’amener à une nouvelle jouissance. Je le pompe en reprenant ma respiration régulièrement pour contrôler son éjaculation, le suçant pour y arriver au moment où je le souhaite. J’émets des petits cris de plaisir pour ajouter un côté intense et passionné. Au bout d’un quart d’heure et la bouche endolorie, je le pompe littéralement, me déchainant sur sa grosse queue, stimulant son gland au fond de ma gorge jusqu’à ce qu’il ne puisse éviter une éjaculation au fond de celle-ci. Olivier explose enfin, il éjacule en prenant un immense plaisir avec des cris caractéristiques d’un homme qui prend un énorme pied. Il se met à grogner en giclant sa grosse dose de foutre dans ma gorge. Je gémis de plaisir cérébral, avec la bouche pleine de sperme. Je ne peux rejeter ce liquide crémeux du fond de ma gorge, j’avale avec délice ce précieux nectar et je lui nettoie ensuite minutieusement son gland puis toute la hampe majestueuse avec ma langue.
- Mmmuuuhhh ! Mmmuummm !
- Oooh que c’est bon ! Putain ! Tu es une déesse de l’amour, Kris !
- Ça va Olivier ? On va aller prendre une douche pour se rafraîchir et reprendre nos esprits et se calmer un peu !
Nous sommes les deux dans la douche, se savonnant mutuellement. Je le croyais calmé mais je ne sais si c’est son abstinence sportive ou si j’ai réveillé un faune endormi. Il est collé contre mon dos, ses mains pétrissant mes seins aux pointes durcies et je sens entre mes cuisses croitre un morceau de chair qui se redresse et durci encore et encore, épousant de la hampe ma fente baillante de désir. Je suis devenu hermaphrodite quand je me penche et vois entre mes cuisses poindre son gland et quelques centimètres de sa verge, comme si j’avais deux sexes.
-Hummm ! A nouveau d’attaque à ce que je vois, laisse-moi faire Olivier.
Je me penche en avant, une main sur le mur et l’autre sur son braquemard et le dirige vers mon sexe pour me pénétrer, mais change d’avis. C’est encore pire de ressentir ça. Je gémis et râle pendant le début de cette pénétration hors-normes tout en me hissant sur la plante des pieds pour pouvoir m'empaler plus aisément et plus fort. On dirait qu’Olivier ressent une certaine différence de sensation.
-C’est pas croyable ! Dans cette position, tu es encore plus étroite que tout à l’heure, comment est-ce possible ?
Je tourne la tête pour l'embrasser et réfréner un cri de douleur, sans cesser de coulisser sur sa grosse verge que je ferais mieux de nommer un défonce-cul.
-C'est parce que je ne me le suis pas mis dans ma chatte mais dans le cul ! Regarde ! Arghhhhhhh !
Je me redresse pour le retenir un peu dans mon dos, pendant qu'il s'affaire, à me conquérir l'anus, et chaque centimètre gagné dans mon orifice anal m'oblige à râler de plaisir et de douleur partagés.
-Outttccchhh ! Je pensais pas me faire enculer, aujourd'hui ! Bon Dieu ce que je dérouille mais c'est bon, déjà ! Arrrggghhhh ! Mon amour ! Regarde ! Tu m'encules ! J'avais oublié qu'elle était aussi grosse putain ! Aussi bonne, aussi ! Arrrrggghhh ...
Il m'entraine ensuite vers le lavabo et m'encule par derrière maintenant sans retenu, tout étonné que son pubis claque bruyamment contre mes fesses. J’atteins un nouvel orgasme qui me fait gicler fortement. Il décule et me retourne puis me soulève pour m'empaler face à lui, avec sa grosse verge dans mon cul resté béant. Cette défonce anale est bruyante, bestiale, et très humide car je l'inonde à chaque nouvel orgasme.
-Arghhh ! Arghhhh ! Olivier ! Tu m'encules comme la pute que je suis ! C'est encore plus fort qu’avec Karl ou Einar ! Oui encooorrreee ! Je jouis du cuuulll ! J'sens plus mon cul, mais c'est ce que je kiffe !
Il me repose au sol, à bout de force et veut retirer sa verge.
- Ne bouges plus Olivier ! Je continue de jouir. Je ne contrôle plus rien tellement je suis sensible ! Ahhhhh !!! Non ! Reste comme ça, ne bouge plus, je t’en supplie ! Arhhh ! Arghhhh !
Lentement, le phénomène se calme, mon corps se détend enfin, ivre de plaisir, quand Olivier me signale :
-Et moi Kriss ! J'étais sur le point de me vider dans ton cul, une première pour moi ! Il suffirait que je me touche la bite pour gicler mon sperme par terre.
-Excuse-moi, mon petit français, mais j'aimerais que tu te retiennes assez pour jouir une nouvelle fois dans ma bouche !
Et je me précipite sur « La Source de Jouvence ». Mon anus défoncé flatule sans cesse, ne se résolvant pas encore à se refermer tellement il a été dilaté. Malgré un goût prononcé, j’avale son sexe jusqu’à dépasser le niveau de la glotte, étant une grande amatrice de gorge profonde. J’ai toujours aimé la pratiquer et c’est pour cela que j’apprécie donner une fellation, mais ne peux réussir l’exploit de Ebba. J’ingurgite son sperme pour la deuxième fois avec passion, satisfaite, avant de l’exhorter :
-Hummmm ! Encore ! Oui, donnes moi tout ton jus de plaisir ! C'est pour moi tout ça ! T’as des sacrées couilles, toi !
Ça ne le perturbe pas, ne sachant pas que peu d’hommes peuvent réussir à jouir trois fois de suite en si peu de temps, et si on y ajoute la quantité formidable de sperme qu’il a produit et l’obélisque qu’il a entre les cuisses, je lui décerne une médaille d’or post-olympique. Je suis parcourue encore de spasmes anaux tellement il m’a bien défoncée.
On a gagné un repos bien mérité. A chaque jour mérite sa peine…
En parlant de jour, dès le lendemain ma tante et ma copine entreprennent Olivier, le prenant chacune par une main pour le bain du matin dans le jacuzzi. Il se laisse faire maintenant, sachant pertinemment à quoi il s’expose. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, elles se sont complètement dévêtues et ont fait de même avec Olivier, la queue pendante entre ses boules. Je les observe par écran interposé car Karl a fait poser des caméras dans pratiquement toutes les pièces, encore troublée par son physique.
Elles l’entreprennent, essayant de le corrompre. Je remarque alors que ma copine Alva a un plug anal dans le cul, ah la petite salope !
Elle s’est agenouillée devant lui et avant même qu’il ne proteste, elle prend son immense queue dans ses mains et la glisse dans sa bouche, commençant de lents va-et-vient qu’il semble apprécier car je l'entends grogner de contentement. Je vois sa bite durcir dans la bouche d’Alva qui a du mal à l'enfoncer complètement et abandonne, tant elle est devenue longue et volumineuse. Elle se rattrape en lui faisant dévorer sa foufoune pendant qu’elle manœuvre le plug dans son rectum. Il lui caresse ses petites fesses musclées en embrassant fougueusement la chatte offerte pendant que ma tante prend la relève et avale le chibre désormais au mieux de sa forme.
- Putain ! Vous êtes aussi bonnes que Kris ! Deux vraies salopes ! Et toi Alva, qu’est-ce que tu as dans le cul ? Pas une pour rattraper l’autre.
Mais Alva n’y tient plus et rampe sur le corps d’Olivier jusqu’à ce qu’elle sente ses fesses buter contre la tête de ma tante qui cède la place. Elle a maintenant entre ses cuisses la barre de fer qui frétille d’impatience. Je sais qu’elle est un peu plus étroite que moi, elle va salement dérouillée. Le gland bute contre sa chatte, en cherchant l’entrée. Ebba revient à la charge et dresse l’obélisque entre les muqueuses de ma copine et le formidable gland se fraie difficilement un passage.
-Putain que tu es serrée Alva !
Je vois les traits d’Alva se crisper mais courageusement, elle s’empale sur ce braquemard massif. Elle n’avait pas tenu compte du plug dans son cul qui comprime son vagin, laissant encore moins de place à ce chibre hors-normes.
-Qu’est-ce que je déguste, mais que c’est booonnn ! T’as vraiment une teub énorme !
Les jambes de ma copine se détendent avec fureur avant de se replier, son ventre est agité de secousses comme si elle recevait des décharges, empalée le plus loin possible sur ce pal démesuré. Elle agonise sous le formidable soc qui explore une « terra incognita » Je vois clairement la grosse verge d’Olivier, qui se lubrifie à chaque sortie pour encore gagner en profondeur, en y revenant encore et encore, mais il n’y a rien à faire, elle n’a pas une chatte assez profonde pour un tel pieu…
-Maintenant ! Maintenant ! Le supplie-t-elle. "Arrrhhh ! Arrrhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
A suivre…
-Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Olivier ! Non ! C'est trop bon mais vas-y plus doucement, défonce-moi encore mais n’oublie-pas que tu es monté comme un âne, putain ! Un peu de douceur, c’est pas mal non plus ! Outch ! Outch ! Tu me détruis la chatte !
Malgré la douleur, je jouis comme une folle et ma cyprine coule à flot mais la pression de sa verge laisse peu de place et je gicle comme jamais. Je sens enfin sa verge pulser et remplir le condom d’une bonne dose de foutre avant qu’il ne s'affale sur le lit, en sueur en s’exclamant :.
-Oh putain ! Ça ne m’est jamais arrivée de jouir comme ça ! Huuummm ! C'était bon ? Putain !
-C'est énorme ! J'ai jamais connu ça ! Merde les draps, je les ai trempés tellement j’ai joui !
Suite :
Je lui ôte sa capote bien remplie pour lui offrir la fellation de sa vie. Je croyais qu’il serait Out quelques temps mais il rebande très vite et je m’emploie comme une folle pour l’amener à une nouvelle jouissance. Je le pompe en reprenant ma respiration régulièrement pour contrôler son éjaculation, le suçant pour y arriver au moment où je le souhaite. J’émets des petits cris de plaisir pour ajouter un côté intense et passionné. Au bout d’un quart d’heure et la bouche endolorie, je le pompe littéralement, me déchainant sur sa grosse queue, stimulant son gland au fond de ma gorge jusqu’à ce qu’il ne puisse éviter une éjaculation au fond de celle-ci. Olivier explose enfin, il éjacule en prenant un immense plaisir avec des cris caractéristiques d’un homme qui prend un énorme pied. Il se met à grogner en giclant sa grosse dose de foutre dans ma gorge. Je gémis de plaisir cérébral, avec la bouche pleine de sperme. Je ne peux rejeter ce liquide crémeux du fond de ma gorge, j’avale avec délice ce précieux nectar et je lui nettoie ensuite minutieusement son gland puis toute la hampe majestueuse avec ma langue.
- Mmmuuuhhh ! Mmmuummm !
- Oooh que c’est bon ! Putain ! Tu es une déesse de l’amour, Kris !
- Ça va Olivier ? On va aller prendre une douche pour se rafraîchir et reprendre nos esprits et se calmer un peu !
Nous sommes les deux dans la douche, se savonnant mutuellement. Je le croyais calmé mais je ne sais si c’est son abstinence sportive ou si j’ai réveillé un faune endormi. Il est collé contre mon dos, ses mains pétrissant mes seins aux pointes durcies et je sens entre mes cuisses croitre un morceau de chair qui se redresse et durci encore et encore, épousant de la hampe ma fente baillante de désir. Je suis devenu hermaphrodite quand je me penche et vois entre mes cuisses poindre son gland et quelques centimètres de sa verge, comme si j’avais deux sexes.
-Hummm ! A nouveau d’attaque à ce que je vois, laisse-moi faire Olivier.
Je me penche en avant, une main sur le mur et l’autre sur son braquemard et le dirige vers mon sexe pour me pénétrer, mais change d’avis. C’est encore pire de ressentir ça. Je gémis et râle pendant le début de cette pénétration hors-normes tout en me hissant sur la plante des pieds pour pouvoir m'empaler plus aisément et plus fort. On dirait qu’Olivier ressent une certaine différence de sensation.
-C’est pas croyable ! Dans cette position, tu es encore plus étroite que tout à l’heure, comment est-ce possible ?
Je tourne la tête pour l'embrasser et réfréner un cri de douleur, sans cesser de coulisser sur sa grosse verge que je ferais mieux de nommer un défonce-cul.
-C'est parce que je ne me le suis pas mis dans ma chatte mais dans le cul ! Regarde ! Arghhhhhhh !
Je me redresse pour le retenir un peu dans mon dos, pendant qu'il s'affaire, à me conquérir l'anus, et chaque centimètre gagné dans mon orifice anal m'oblige à râler de plaisir et de douleur partagés.
-Outttccchhh ! Je pensais pas me faire enculer, aujourd'hui ! Bon Dieu ce que je dérouille mais c'est bon, déjà ! Arrrggghhhh ! Mon amour ! Regarde ! Tu m'encules ! J'avais oublié qu'elle était aussi grosse putain ! Aussi bonne, aussi ! Arrrrggghhh ...
Il m'entraine ensuite vers le lavabo et m'encule par derrière maintenant sans retenu, tout étonné que son pubis claque bruyamment contre mes fesses. J’atteins un nouvel orgasme qui me fait gicler fortement. Il décule et me retourne puis me soulève pour m'empaler face à lui, avec sa grosse verge dans mon cul resté béant. Cette défonce anale est bruyante, bestiale, et très humide car je l'inonde à chaque nouvel orgasme.
-Arghhh ! Arghhhh ! Olivier ! Tu m'encules comme la pute que je suis ! C'est encore plus fort qu’avec Karl ou Einar ! Oui encooorrreee ! Je jouis du cuuulll ! J'sens plus mon cul, mais c'est ce que je kiffe !
Il me repose au sol, à bout de force et veut retirer sa verge.
- Ne bouges plus Olivier ! Je continue de jouir. Je ne contrôle plus rien tellement je suis sensible ! Ahhhhh !!! Non ! Reste comme ça, ne bouge plus, je t’en supplie ! Arhhh ! Arghhhh !
Lentement, le phénomène se calme, mon corps se détend enfin, ivre de plaisir, quand Olivier me signale :
-Et moi Kriss ! J'étais sur le point de me vider dans ton cul, une première pour moi ! Il suffirait que je me touche la bite pour gicler mon sperme par terre.
-Excuse-moi, mon petit français, mais j'aimerais que tu te retiennes assez pour jouir une nouvelle fois dans ma bouche !
Et je me précipite sur « La Source de Jouvence ». Mon anus défoncé flatule sans cesse, ne se résolvant pas encore à se refermer tellement il a été dilaté. Malgré un goût prononcé, j’avale son sexe jusqu’à dépasser le niveau de la glotte, étant une grande amatrice de gorge profonde. J’ai toujours aimé la pratiquer et c’est pour cela que j’apprécie donner une fellation, mais ne peux réussir l’exploit de Ebba. J’ingurgite son sperme pour la deuxième fois avec passion, satisfaite, avant de l’exhorter :
-Hummmm ! Encore ! Oui, donnes moi tout ton jus de plaisir ! C'est pour moi tout ça ! T’as des sacrées couilles, toi !
Ça ne le perturbe pas, ne sachant pas que peu d’hommes peuvent réussir à jouir trois fois de suite en si peu de temps, et si on y ajoute la quantité formidable de sperme qu’il a produit et l’obélisque qu’il a entre les cuisses, je lui décerne une médaille d’or post-olympique. Je suis parcourue encore de spasmes anaux tellement il m’a bien défoncée.
On a gagné un repos bien mérité. A chaque jour mérite sa peine…
En parlant de jour, dès le lendemain ma tante et ma copine entreprennent Olivier, le prenant chacune par une main pour le bain du matin dans le jacuzzi. Il se laisse faire maintenant, sachant pertinemment à quoi il s’expose. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, elles se sont complètement dévêtues et ont fait de même avec Olivier, la queue pendante entre ses boules. Je les observe par écran interposé car Karl a fait poser des caméras dans pratiquement toutes les pièces, encore troublée par son physique.
Elles l’entreprennent, essayant de le corrompre. Je remarque alors que ma copine Alva a un plug anal dans le cul, ah la petite salope !
Elle s’est agenouillée devant lui et avant même qu’il ne proteste, elle prend son immense queue dans ses mains et la glisse dans sa bouche, commençant de lents va-et-vient qu’il semble apprécier car je l'entends grogner de contentement. Je vois sa bite durcir dans la bouche d’Alva qui a du mal à l'enfoncer complètement et abandonne, tant elle est devenue longue et volumineuse. Elle se rattrape en lui faisant dévorer sa foufoune pendant qu’elle manœuvre le plug dans son rectum. Il lui caresse ses petites fesses musclées en embrassant fougueusement la chatte offerte pendant que ma tante prend la relève et avale le chibre désormais au mieux de sa forme.
- Putain ! Vous êtes aussi bonnes que Kris ! Deux vraies salopes ! Et toi Alva, qu’est-ce que tu as dans le cul ? Pas une pour rattraper l’autre.
Mais Alva n’y tient plus et rampe sur le corps d’Olivier jusqu’à ce qu’elle sente ses fesses buter contre la tête de ma tante qui cède la place. Elle a maintenant entre ses cuisses la barre de fer qui frétille d’impatience. Je sais qu’elle est un peu plus étroite que moi, elle va salement dérouillée. Le gland bute contre sa chatte, en cherchant l’entrée. Ebba revient à la charge et dresse l’obélisque entre les muqueuses de ma copine et le formidable gland se fraie difficilement un passage.
-Putain que tu es serrée Alva !
Je vois les traits d’Alva se crisper mais courageusement, elle s’empale sur ce braquemard massif. Elle n’avait pas tenu compte du plug dans son cul qui comprime son vagin, laissant encore moins de place à ce chibre hors-normes.
-Qu’est-ce que je déguste, mais que c’est booonnn ! T’as vraiment une teub énorme !
Les jambes de ma copine se détendent avec fureur avant de se replier, son ventre est agité de secousses comme si elle recevait des décharges, empalée le plus loin possible sur ce pal démesuré. Elle agonise sous le formidable soc qui explore une « terra incognita » Je vois clairement la grosse verge d’Olivier, qui se lubrifie à chaque sortie pour encore gagner en profondeur, en y revenant encore et encore, mais il n’y a rien à faire, elle n’a pas une chatte assez profonde pour un tel pieu…
-Maintenant ! Maintenant ! Le supplie-t-elle. "Arrrhhh ! Arrrhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
A suivre…
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