Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 2

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 2
Jeux olympiques de PARIS 2024, natation, le plongeon du français avec poutre apparente. 2

-Tu aimes les gorges profondes, Olivier ? C’est une spécialité de la maison. Ma belle-mère, Alva et Kriss redoutent la queue massive de Karl mais réussissent à avaler la mienne. Je suis curieux de savoir comment elles vont s’y prendre avec toi. Mesdames, en place !

Suite :
Ebba et Alva n’attendaient que ça pour participer et se couchent sur le dos au bord du jacuzzi, la tête dans le vide au-dessus de l’eau. Je ne peux que suivre le mouvement et prendre place à côté d’elles, redoutant ce qui va suivre. L’un après l’autre, Karl et Einar trempent leur biscuit dans nos bouches. Celle de mon oncle par alliance Karl me gratte la luette tandis que celle de Einar déforme le cou de ma copine sous le regard horrifié d’Olivier, ne croyant pas ça possible. Mais ce que nous attendons toutes, c’est qu’il passe enfin à l’acte. Il se décide enfin et commence par ma copine Alva qui malgré l’alésage de Karl et Einar ne peut supporter qu’un tel bélier franchisse la frontière de sa gorge, elle le repousse en crachant ses boyaux.
Il change alors de bouche et glisse sa poutre entre mes mâchoires. Je sens son gland buter sur ma glotte mais il est si gros que j’ai des haut-le-cœur et comme Alva recrache l’intrus. C’est maintenant au tour de ma tante. Olivier enfonce centimètre par centimètre sa colonne de chair dans la bouche d’Ebba et s’arrête quand il bute au fond de sa gorge, s’attendant à un troisième refus. Mais ma tante passe ses bras au-dessus de sa tête pour poser ses mains sur les fesses d’Olivier lui signifiant ainsi de continuer. Il reste pratiquement un tiers de l’énorme phallus à l’air libre. Ebba prend une profonde respiration et attire Olivier à elle. Son cou se gonfle, complètement déformé par la tête du nœud d’Olivier qui progresse dans son gosier. La déformation est dantesque ! J’ai peur pour la vie de ma tante, et je ne suis pas la seule… Karl est prêt à réagir quand Ebba repousse Olivier, fière de son exploit avant de s’exclamer :
-Mon Dieu ! j’ai cru y passer mais j’ai réussi ! C’était horrible et ne recommencerai pas de sitôt. Sa queue est vraiment trop grosse pour ce type d’exercice !

Olivier est déçu mais fier du compliment, nous avouant que c’était la première fois qu’il s’adonnait à un tel exercice, et que de toute façon, il était novice dans bien des domaines du sexe, son état de sportif de haut niveau étant incompatible avec la gaudriole. Il serait donc puceau dans différentes pratiques bien connues de notre « famille » de dépravés ?
Je réussis enfin à m’isoler avec lui dans ma chambre, lui disant que je veux aller plus loin avec lui mais il ne se sent pas encore prêt par respect pour moi. Je le pousse à s’asseoir sur le bord du lit et le chevauche face à lui. Ma vulve est maintenant en contact du sexe bandé d’Olivier et chaque mouvement que j’imprime est d’un érotisme insoutenable pour lui.
J’ai posé mes mains sur ses épaules et entreprends un mouvement d’avant en arrière, de littéralement glisser sur son sexe pour lui prouver mon excitation. Il se laisse aller à cette caresse et à chaque fois que j’avance, je sens son gland frotter mon clitoris dardé comme jamais. Son orgasme est proche et il doit le ressentir aussi puisque lorsque son gland arrive en bout de course, pile sur mes petites lèvres et que je tente de me faire pénétrer, il s’y oppose à peine, exacerbant mon désir de me faire prendre par lui.
Je glisse en arrière toujours en le tenant par les épaules et en exerçant une pression de plus en plus forte si bien que je sens mes lèvres intimes épouser la forme de la tige fringante. Je fais durer ce mouvement quelques instants et à chaque fin de course sens un peu plus le gland forcer mon entrée. Mais il refuse toujours systématiquement de céder et me repousse pour ne pas me laisser faire et revient en arrière pour sentir le contact sur mon clitoris. Il ne peut plus se retenir et jouit entre nos deux corps, nous couvrant mutuellement de sa crème abondante.
-Excuse-moi, Kriss, je… je… C’était plus fort que moi… Me pardonne-tu d’être si coincé ?
-Tu es tout pardonné, Olivier, mais tu ne partiras pas de cette maison avant d’avoir cédé à mes avances… Et sûrement à celles des autres femmes de cette maison !

Ce n’est que partie remise. Le lendemain, je propose à Olivier de venir dans ma chambre et lui propose de nous rejoindre sur le lit où je suis allongée en pleine action avec le mari de ma tante, Karl et Einar, son beau-fils d’un précédent mariage, essayant de reprendre un peu d’air et de me rincer la bouche après mes deux fellations successives et mes deux éjaculations buccales familiales. Olivier est maintenant moins coincé et se déshabille plus naturellement, il est maintenant entièrement nu devant nous, sa verge au repos est plus massive que celle de Karl et aussi longue que celle de Einar qui reprennent leurs caresses, m’embrassant de partout. Comment une si petite différence au repos de son organe en comparaison de ceux de Karl et Einar peut-elle devenir si grande quand il est en pleine érection ? Mystère…
C’est très agréable d’avoir deux bouches, quatre mains et vingt doigts qui s’activent sur mon corps. J’observe du coin de l’œil maintenant Olivier complètement dénudé, les bras ballants, ne cherchant même pas à se branler, la nature et leurs ébats étant amplement suffisant pour faire son œuvre et faire grossir son membre…
Il s’approche de moi pendant que Karl et Einar se relaient maintenant pour me prendre à tour de rôle. Il est si prêt que son sexe appuie contre ma peau. Je ne peux réprimer un regard vers l’objet tendu, en constatant encore la longueur et l’épaisseur peu communes. Olivier s’en rend compte et s’excuse :
-Pardonne moi Kriss, mais le spectacle que vous donnez me met dans tous mes états.
-Ne t’excuse-pas Olivier, mais voudrais-tu pas être à leurs places ? Je voudrais tant être prise par toi, bien que ta teub me fasse peur, je n’en ai jamais pris de si grosses. Mais Karl et Einar m’ont bien mise en condition.

Il ne me répond-pas et appuie son sexe sur mes fesses cette fois-ci, très excité et que sûrement la moiteur du lieu, la nudité des corps et nos préliminaires y avaient sûrement contribués. Enfin il prend son courage à deux mains faute de tenir son chibre et ose lâcher :
-Euh oui, mais si je suis seul avec toi, sinon je ne pourrai pas.

Il s’est installé sur le lit, couché sur le dos, sa queue n’en parait que plus grosse. Je trépigne d’impatience en enfilant un préservatif XXL sur cette massue en échangeant de longs regards lubriques pendant que je couvre sa verge. On dirait la grande vergue d’un bateau à voile.
Je suis en travers du matelas, les jambes écartées, pendant qu’il me caresse la poitrine. Je le chevauche enfin pour que sa grosse bite trouve naturellement l’entrée de mon vagin et agite ma croupe mignonne prête à se planter sur ce dard si généreux. Je suis comme ma copine assez étroite et déjà l’engin de Karl a du mal à se frayer son chemin, mais là…
Tranquillement mais avec une énorme appréhension, je m’empale, centimètre par centimètre sur cette immense colonne de chair, faisant plusieurs pauses pour bien m’habituer à ce calibre. Je ne me suis jamais sentie aussi pleine, mes muqueuses intimes distendues au maximum.
Une fois remplie, je me penche pour l’embrasser et commence à bouger. Je saisis la tête du lit et pousse un feulement rauque de lionne en chaleur, m’offrant plus aisément à la pénétration de sa grosse verge. Je m'abandonne, poussant un long râle, quand son gland bute au plus profond de moi. J’ai déjà senti une telle extase avec la lance de Einar sauf que lui, sa teub est fine, là, je suis comme empalée jusqu’à la garde, enfin non ! Quand je regarde entre nos corps, plusieurs centimètres que le préservatif ne pouvait couvrir séparent toujours nos pubis. Et que dire de l’épaisseur hors du commun de son chibre…
-Arggghhh ! Olivier ! Putain de teub ! Elle est trop grosse ! Qu’est-ce que je dérouille !
-Oh Kriss ! Ma queue est serrée par ta chatte ! c'est normal ? Il faut dire que je n’ai quasiment pas de point de repère dans ce domaine.
-Je sais que j’ai une petite chatte et il faut dire que tu te poses là, enfin ton engin. Je n’ai vu de tels mandrins que dans certains films pornos.

J’ai mon visage déformé par le plaisir autant que par une douleur diffuse. Je mets mes mains autour de sa tête et l'attire pour l’embrasser mais il me fait crier, à chaque fois que sa poutre cogne au fond de moi, découvrant une sensibilité méconnue de moi. Olivier, consterné, porte une main contre ma bouche, tant j’exprime oralement ma jouissance. Mais maintenant, il a pris le dessus, moralement et physiquement et ne s'empêche plus de me buriner, ne sachant pas encore maitriser la pénétration et de s’adapter à sa partenaire avec son formidable engin. D'ailleurs, c'est moi qui lui réclame !
-Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Olivier ! Non ! C'est trop bon mais vas-y plus doucement, défonce-moi encore mais n’oublie-pas que tu es monté comme un âne, putain ! Un peu de douceur, c’est pas mal non plus ! Outch ! Outch ! Tu me détruis la chatte !

Malgré la douleur, je jouis comme une folle et ma cyprine coule à flot mais la pression de sa verge laisse peu de place et je gicle comme jamais. Je sens enfin sa verge pulser et remplir le condom d’une bonne dose de foutre avant qu’il ne s'affale sur le lit, en sueur.
-Oh putain ! Ça ne m’est jamais arrivée de jouir comme ça ! Huuummm ! C'était bon ? Putain ! C'est énorme ! J'ai jamais connu ça ! Merde les draps, je les ai trempés tellement j’ai joui !

A suivre …

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