Quand on ne tient pas l’alcool ou comment se retrouver dans une mauvaise situation. - histoire érotique

Quand on ne tient pas l’alcool ou comment se retrouver dans une mauvaise situation.
« Bonjour à tous mes fans. Je réponds dans ce texte à la demande d’une jeune femme qui après avoir lu mes textes et fascinée par quelques petites vidéos que j’ai postées sur la toile et qui voulait que j’écrive une histoire pour elle avec ses fantasmes les plus hot. L’auteur »

On me surnomme Lou mais je ne vous dirai pas mon vrai prénom.
Je suis assez petite, 1m58 pour 53 kg, j’ai des seins en forme de poire, des cheveux longs châtain foncé, les yeux marron. J’ai un petit ami, grand blond, beau gosse. Oui, j'avoue que je fantasme sur les queues bien épaisses. Je suis un peu frustrée avec mon homme actuel mais mon premier mec en avait une sacrée, mon Dieu ce que je la sentais passer... Elle devait faire dans les 18 cm de long. Dire que mon Jules fait 1m82 et que sa verge est moins longue, aussi…
On aime se défouler dans des soirées et il y a quelques temps j’étais si alcoolisée que je me demande encore ce qu’il s’y est passé. Mais j’ai déchanté quelque temps après quand j’ai reçu des photos assez compromettantes sur mon ordi où quelqu’un avait profiter de mes charmes.
J’aurais dû laisser courir mais mon petit ami n’aurait pas compris que je n’étais pas dans mon état normal donc pleinement consentante. Je lui ai répondu tellement il était insistant et ai poster des photos de moi de plus en plus équivoques. Maintenant je n’ai pas que le doigt pris dans la machine, mais le bras entier. Il a alors débuté un chantage, d’abord une rencontre dans un lieu public. Ce n’est pas une gravure de mode, un mec plutôt quelconque inconnu de moi.
J’ai cédé à sa demande et me suis retrouvée chez lui trois jours plus tard, espérant je ne sais quoi, (faut être conne, ou alors…). Assez rapidement, il s’est montré pressant et m’a dévêtue malgré mes récriminations, et pourtant je ne me suis pas enfuie. J’ai cru qu’il allait me sauter aussitôt dessus mais à ma grande surprise, il m’a embrassé dans le cou, puis sur les seins qui bien malgré moi ont réagis, mes petits tétons se sont tendus très vite car ils sont très sensibles. Sa bouche a continué son travail toujours de plus en plus bas pour enfin se coller sur ma chatte. Le cunni me rend folle, je le sais, mais je suis clitoridienne. Ma tête a beau me crier que ce n’est pas bien, mon corps, lui, dit le contraire.
Je sens sa bouche embrasser mes cuisses, je frissonne. Quand sa langue atteint ma petite chatte toute lisse, un profond gémissement m'échappe. Il est doué, bien trop doué, sa langue court entre mes petites lèvres. Mon corps se contracte de plus en plus vite et il n'a presque pas titillé mon clito. Il met deux doigts dans ma chatte et je me laisse faire comme une salope car dès que je me rebiffe, une bonne claque sur mes fesses me fait comprendre que je ne dois pas bouger, soumise à son bon plaisir, et pour ma jouissance à moi. Un troisième doigt puis un quatrième rejoignent les autres doigts dans ma chatte peu habituée à un tel traitement. Ce sont maintenant ses dents qui mordillent mon clito, ses lèvres qui l’aspirent et le tètent. Des décharges électriques me traversent et je reste immobile, comme assommée quelques secondes, ne réalisant pas qu’il a introduit au moment critique un doigt dans mon anus, puis deux.
Je n'ai pas trop mal et ça me chauffe légèrement. Un cri monte du fond de mon ventre. Il m’ordonne alors de lui offrir mon trou du cul comme si j’avais mon mot à dire. Mes fesses écartées par ses mains, il une vue imprenable sur mon petit trou et ma chatte béante et dégoulinante qui s’offre à lui. Encouragé par mes gémissements, il a mis son pouce dans mon cul et tous ses autres doigts dans ma chatte.
-Je vais te défoncer la chatte, ma petite pute ! De toute manière elle est tellement mouillée que ça va rentrer tout seul. Mais avant, rends-moi la pareille, retire mon pantalon.
Docile, je m’attaque à la ceinture puis à la fermeture-éclair, Une bosse déforme son slip quand je baisse son fut et je respire car le paquet est de belle proportion mais sans trop. Mais la désillusion est vite là quand je retire ce dernier rempart qui cachait à ma vue une teub quasiment au repos.
-T’as intérêt à vite me faire bander sinon tu vas dérouiller. Branle ma queue, suce mon sucre d’orge.

J’essaie de me rebiffer mais il est plus fort que moi. Il me retire mes lunettes, me force à s’agenouiller devant lui, prend ma natte de cheveux pour approcher ma bouche de sa verge. Je n’ai pas d’autre choix que d’ouvrir la bouche et embouquer la grosse virgule. Je ne suis pas folle de cette pratique et n’ai jamais voulu aller jusqu’au bout, recrachant la bite avant l’instant fatidique. Je n’ai pas le choix de m’appliquer, constatant la croissance exponentielle de sa verge. Avec le peu de partenaires que j’ai connus, je n’ai jamais été confrontée à une teub qui s’allonge et grossit à un tel point. Ma bouche ne peut plus en avaler qu’un peu plus d’un tiers, n’étant pas férue des gorges profondes. J’ai des haut-le-cœur quand le gland mafflu butte sur ma luette mais il se sert de ma bouche comme d’un gode. Sa queue est si grosse que je ne peux en goûter maintenant que la gueule !
Il me pétrit les seins et pince les tétins me rendant encore plus excitée. Je ne peux faire le tour de sa bite avec ma main prise comme dans un étau par la sienne qui monte et descend pour le rendre bien dur pendant que je suce son gland. Je ne peux en prendre guère plus dans ma petite bouche. Il semble apprécier, car je l'entends grogner de contentement. Je sens sa bite durcir encore dans ma bouche et j'ai du mal à l'enfoncer entre mes lèvres, tant elle est longue et si volumineuse.
Je suce comme je peux cette pine si grande, ma petite langue vient lécher ce gland si monstrueux. Je suis excitée malgré moi, comment un sexe peut être si énorme ? Comment ai-je pu me retrouver dans cette situation ? Je ne comprends pas. Ma petite bouche est tellement remplie... Il redresse davantage mon visage, me soumettant encore un peu plus à sa virilité et sa violence. Je suis humiliée, détruite et sa lance embroche sauvagement ma bouche. Ses coups de bites sont hallucinants de violence et de puissance, et pourtant, j’éprouve un plaisir que je n’ai encore jamais connu en faisant une fellation à un homme.
-Je vais jouir putain, je vais jouir ! Quelle salope…
J’essaie d’extraire ce pieu de ma bouche mais il s’y oppose. Il se vide en moi et englue ma langue d’une dose de foutre peu commune puis il retire son mandrin et me plaque une main sur ma bouche.
-Avale petite pute, sinon tu vas prendre cher.

Je n’ai pas le choix et dégluti plusieurs fois avant de lui montrer que je lui ai obéi, Ce n’est pas aussi désagréable que je croyais mais ce n’est pas ma tasse de thé. Il me force ensuite à lui nettoyer sa verge à coup de langue. Je crois le supplice terminé pour aujourd’hui mais il ne l’entend pas de cette oreille. Il me couche sur le lit, prend mes mollets pour les poser sur ses épaules, place sa verge à l’entrée de ma vulve puis plie mon corps pour poser ses bras sous mes aisselles. Je suis complètement coincée, ne pouvant plus bouger même si je le voulais. La queue demi-raide, il se sert de son pieu dressé pour m’empaler. Toute ouverte et béante que je sois, ma chatte a du mal à laisser passer l’énorme gland. Il projette son ventre vers l’avant sans se soucier de moi. Soudain je sens comme une déchirure, une douleur brève me traverse et aussitôt, je sens son pieu s’enfoncer dans mon vagin et buter avec force tout au fond de moi. Jamais je n’ai ressenti ça, comment ma matrice a pu se dilater autant pour accueillir un tel monstre ? Cent pour cent de mes terminaisons nerveuses sont à la fête.
Je n’ai pas d’autre choix que de laisser son énorme mandrin qui vient de retrouver la consistance d’une barre de fer me ramoner la chatte sans pitié et pour son unique plaisir. De la douleur, j'en ai à revendre, mais le plaisir est là aussi, de plus en plus fort. Il me démonte centimètre-carré par centimètre-carré le moindre recoin de ma grotte vierge de toute pénétration jusqu’à ce jour.
je n’en reviens pas de jouir plusieurs fois sous ses assauts, noyant la raie de mes fesses et mon anus d’une abondante dose de cyprine. Il me domine ainsi durant de très longues minutes, durant lesquelles je sombre presque dans un état de semi-conscience où je ne pense plus à rien et où seul l'incroyable gourdin compte réellement quand soudain à ses grognements, je réalise qu’il ne va pas tarder à jouir.
-Non ! Non ! Pas dans ma chatte ! Tu n’as pas mis de capote !!!

A suivre…